- ilfaitbeauNiveau 3
Bonjour
En lisant des critiques sur Louise Labé, j'ai pu voir qu'on rapprochait l'écriture de ses sonnets de la strophe saphique. Je ne vois pas en quoi.
En avez-vous une idée ?
Merci d'avance
En lisant des critiques sur Louise Labé, j'ai pu voir qu'on rapprochait l'écriture de ses sonnets de la strophe saphique. Je ne vois pas en quoi.
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- LefterisEsprit sacré
Etonnant en effet, car la strophe dite sapphique répond à des critères prosodiques et métriques assez précis (quantité longue ou brève et nombre des syllabes). Des poètes latins comme Horace pouvaient jouer à cela, puisque la quantité est pertinente dans cette langue, mais ça paraît plus difficile en français. Peut-être le français de la Renaissance se prêtait-il plus à cette distinction longues/brèves, mais sous toutes réserves, puisque la poésie médiévale fonctionnait déjà au nombre de syllabes et à la rime. Ou alors s'agit-il tout simplement de l'inspiration sapphique, qui semble indéniable.ilfaitbeau a écrit:Bonjour
En lisant des critiques sur Louise Labé, j'ai pu voir qu'on rapprochait l'écriture de ses sonnets de la strophe saphique. Je ne vois pas en quoi.
En avez-vous une idée ?
Merci d'avance
Si NLM passe dans le coin, il aura peut-être une idée.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
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