Un collégien menace un enseignant avec un couteau

Juste après un cours, l’élève a demandé au professeur de mathématiques d’annuler la convocation de ses parents en lien avec ses difficultés scolaires. « Il a sorti un couteau et menacé la professeur de la tuer si elle ne renonçait pas à cet entretien avec ses parents », explique le procureur. La professeur a réussi à s’enfuir et a immédiatement avisé sa hiérarchie. L’adolescent a alors appelé Police Secours, « réitérant ses menaces », précise le parquet.

L’établissement a alors mis en place le plan « alerte attentat-intrusion » (PPMS) afin de protéger les 500 élèves, qui ont été confinés dans la cantine et le gymnase jusqu’à intervention de la police. Les forces de l’ordre ont rapidement retrouvé le jeune garçon, qui s’était enfermé dans une salle du collège. Il portait sur lui un couteau, « de 30 centimètres », précise BFMTV.

tAoK a écrit:Bof, d'ici 10 ans, ce genre de fait divers sera devenu tellement banal.
Autant s'y habituer dès maintenant.

tAoK a écrit:Bof, d'ici 10 ans, ce genre de fait divers sera devenu tellement banal.
Autant s'y habituer dès maintenant.

Ha@_x a écrit:

tAoK a écrit:Bof, d'ici 10 ans, ce genre de fait divers sera devenu tellement banal.
Autant s'y habituer dès maintenant.

Ben non justement.
Quand on tolère qu'un élève te dise c'est bon ou te tchippe sans le virer de classe. Quand on tolère qu'un élève ne se prenne que 3 jours pour une insulte. Quand on tolère qu'un élève dise d'un stagiaire je vais le planter en commission éducative (voir un autre fil), il ne faut certes pas s'étonner que ce dernier élève se pointe avec un couteau de 30 cm pour menacer son prof.

Mais bon à un moment, il va falloir que l'on dise stop, nous tous/tes, collectivement.

Ha@_x a écrit:

tAoK a écrit:Bof, d'ici 10 ans, ce genre de fait divers sera devenu tellement banal.
Autant s'y habituer dès maintenant.

Ben non justement.
Quand on tolère qu'un élève te dise c'est bon ou te tchippe sans le virer de classe. Quand on tolère qu'un élève ne se prenne que 3 jours pour une insulte. Quand on tolère qu'un élève dise d'un stagiaire je vais le planter en commission éducative (voir un autre fil), il ne faut certes pas s'étonner que ce dernier élève se pointe avec un couteau de 30 cm pour menacer son prof.

Mais bon à un moment, il va falloir que l'on dise stop, nous tous/tes, collectivement.

Czar a écrit:Cette collègue de mathématiques s'est visiblement montrée très malveillante et manque de pé-da-go-gie. Il est urgent qu'elle soit convoquée au rectorat afin de justifier son comportement et qu'elle présente rapidement des excuses à l'élève. Il faut peut-être également l'envoyer en formation?



(Je ne sais plus quoi dire quand on voit le déferlement d’événements. Je préfère donc réagir à  cette information avec l'ironie la plus grinçante possible)

Loreleii a écrit:30 centimètres, quand-même ...

roxanne a écrit:Mais on te dit que ce n’est pas un enfant à problème, m’enfin.
Ils viennent avec quoi les « enfants à problème » ?

L’agresseur n’a pas appelé le SAMU ni la police pour faire part d’une intention meurtrière, comme cela s’est répandu sur le net. Le procureur de la République, Christian Mercuri, confirme que l’adolescent a bien passé un coup de fil depuis la salle de classe où il se trouvait, en utilisant le smartphone de la victime qui avait déjà pu s’enfuir. Si on ignore encore comment il a pu s’affranchir du code d’accès, il a en revanche pu joindre la dernière personne contactée par la victime. Il s’agit d’une enseignante à laquelle il a dit que s’il la voyait [sa professeure], il la tuait.

Monsieur Silence a écrit:D'après le procureur, il aurait bien passé un appel, mais à une collègue de l'enseignante agressée.

https://www.neoprofs.org/t132455-un-collegien-menace-un-enseignant-avec-un-couteau#5170214

L’agresseur n’a pas appelé le SAMU ni la police pour faire part d’une intention meurtrière, comme cela s’est répandu sur le net. Le procureur de la République, Christian Mercuri, confirme que l’adolescent a bien passé un coup de fil depuis la salle de classe où il se trouvait, en utilisant le smartphone de la victime qui avait déjà pu s’enfuir. Si on ignore encore comment il a pu s’affranchir du code d’accès, il a en revanche pu joindre la dernière personne contactée par la victime. Il s’agit d’une enseignante à laquelle il a dit que s’il la voyait [sa professeure], il la tuait.