- chgcaNiveau 1
Bonjour à tous,
Je suis nouvelle sur ce forum donc j'espère que je ne me suis pas trompée de rubrique !
PES affectée en septembre dans un département prison (8-10 ans pour en sortir), j'ai posté ma lettre de démission jeudi.
Issue d'une licence d'espagnol, mon objectif a toujours été de devenir prof d'espagnol. La vie a fait que je me suis dirigée vers un Master MEEF 1er degré. Malheureusement inconsciemment je ne me sentais pas vraiment à ma place, même si j'aimais cela. J'ai donc obtenu le CRPE, et ai été affectée en septembre dans un département prison (8-10 ans pour en sortir, même avec enfants mariage ou PACS) à 300 km de chez moi, loin de mon conjoint. Au début je me disais que j'allais pouvoir tenir le coup, j'étais contente de goûter à l'indépendance, à mon premier emploi. Bref, mon état s'est rapidement dégradé jusqu'à ce que je commence à me dire sur la route en allant à l'école "Ce serait bien si j'avais un accident pour ne pas devoir y aller...", boule au ventre, pleurs, entre autre. Loin de mon conjoint, impossibilité de le rejoindre sauf les week-end donc route, fatigue, je m'endors sur la route. Je me rends compte que je n'apprécie pas le niveau ni le fait d'enseigner toutes ces matières. Trop d'administratif (PPRE etc.). Les parents qui me font *** pour un rien. L'EN n'en parlons même pas ! Malgré des bilans de mes tutrices très satisfaisants, une équipe de collègues de choc, je craque : arrêt maladie. J'y retourne 2 jours avant les vacances, et là déclic : je veux démissionner de cette situation de merde. J'ai pas envie de perdre 10 ans de ma vie dans une situation que je n'aime pas.
J'ai donc posté ma lettre de démission jeudi. Je vais sûrement être convoquée à l'inspection pour expliquer ma volonté de démissionner.
A côté de ça, j'ai envie de tout reprendre à zéro et de tenter l'enseignement dans le privé dans le 2nd degré en tant que professeure d'espagnol : c'était mon rêve avant. J'ai donc postulé pour faire des suppléances dans le privé, j'espère être rapidement contactée.
J'ai une grande question :
- L'inspection peut-elle me refuser ma démission ?
- est ce que je peux repasser un concours enseignant dans le 2nd degré ?
Merci d'avance pour vous soutien...
Je suis nouvelle sur ce forum donc j'espère que je ne me suis pas trompée de rubrique !
PES affectée en septembre dans un département prison (8-10 ans pour en sortir), j'ai posté ma lettre de démission jeudi.
Issue d'une licence d'espagnol, mon objectif a toujours été de devenir prof d'espagnol. La vie a fait que je me suis dirigée vers un Master MEEF 1er degré. Malheureusement inconsciemment je ne me sentais pas vraiment à ma place, même si j'aimais cela. J'ai donc obtenu le CRPE, et ai été affectée en septembre dans un département prison (8-10 ans pour en sortir, même avec enfants mariage ou PACS) à 300 km de chez moi, loin de mon conjoint. Au début je me disais que j'allais pouvoir tenir le coup, j'étais contente de goûter à l'indépendance, à mon premier emploi. Bref, mon état s'est rapidement dégradé jusqu'à ce que je commence à me dire sur la route en allant à l'école "Ce serait bien si j'avais un accident pour ne pas devoir y aller...", boule au ventre, pleurs, entre autre. Loin de mon conjoint, impossibilité de le rejoindre sauf les week-end donc route, fatigue, je m'endors sur la route. Je me rends compte que je n'apprécie pas le niveau ni le fait d'enseigner toutes ces matières. Trop d'administratif (PPRE etc.). Les parents qui me font *** pour un rien. L'EN n'en parlons même pas ! Malgré des bilans de mes tutrices très satisfaisants, une équipe de collègues de choc, je craque : arrêt maladie. J'y retourne 2 jours avant les vacances, et là déclic : je veux démissionner de cette situation de merde. J'ai pas envie de perdre 10 ans de ma vie dans une situation que je n'aime pas.
J'ai donc posté ma lettre de démission jeudi. Je vais sûrement être convoquée à l'inspection pour expliquer ma volonté de démissionner.
A côté de ça, j'ai envie de tout reprendre à zéro et de tenter l'enseignement dans le privé dans le 2nd degré en tant que professeure d'espagnol : c'était mon rêve avant. J'ai donc postulé pour faire des suppléances dans le privé, j'espère être rapidement contactée.
J'ai une grande question :
- L'inspection peut-elle me refuser ma démission ?
- est ce que je peux repasser un concours enseignant dans le 2nd degré ?
Merci d'avance pour vous soutien...
- roxanneOracle
Désolée. Par contre, tu savais bien dans quel département tu passais le concours et les difficultés pour en sortir? Après tu peux toujours repasser des concours l'affectation dans ne second degré est encore plus aléatoire Bon courage en tout cas.
- VerduretteModérateur
Je pense que si chgca s'éclatait dans son travail, elle supporterait bien mieux une difficulté dont elle semble avoir été très consciente dès le départ. Elle a manifestement fait ses choix partiellement sous la pression de certains événements
mais aussi, en grande partie, en connaissance de cause, en pesant le pour et le contre. Mais on ne peut pas tout prévoir.
Pour le professorat d'espagnol en choisissant son lieu d'exercice, mieux vaut passer par un poste en contractuel, ou bien tenter le concours dans l'enseignement privé , où le système de mutation est différent.
chgca a écrit:La vie a fait que je me suis dirigée vers un Master MEEF 1er degré.
mais aussi, en grande partie, en connaissance de cause, en pesant le pour et le contre. Mais on ne peut pas tout prévoir.
Pour le professorat d'espagnol en choisissant son lieu d'exercice, mieux vaut passer par un poste en contractuel, ou bien tenter le concours dans l'enseignement privé , où le système de mutation est différent.
- skindiverÉrudit
Bonjour
Il ne faut pas te décourager. Bien sur tu peux aller postuler dans l'enseignement privé sous contrat. En revanche tu vas voir que le salaire est moins élevé que tu ce que tu touchais en tant que PES (ce qui n'était pas déjà bien élevé).
Il peux aussi postuler dans le public.
Après si tu es dans l'Yonne c'est possible de devoir continuer à faire beaucoup de route pour te rendre dans ton établissement. (Ca a été mon cas quand j'ai commencé).
Il ne faut pas te décourager. Bien sur tu peux aller postuler dans l'enseignement privé sous contrat. En revanche tu vas voir que le salaire est moins élevé que tu ce que tu touchais en tant que PES (ce qui n'était pas déjà bien élevé).
Il peux aussi postuler dans le public.
Après si tu es dans l'Yonne c'est possible de devoir continuer à faire beaucoup de route pour te rendre dans ton établissement. (Ca a été mon cas quand j'ai commencé).
- chgcaNiveau 1
Effectivement je savais très bien que je m'engageais sans pouvoir en réellement sortir de ce département, mais quand on a travaillé dur pour un concours bah personnellement j'ai accepté le poste car on nous dit que les places sont tellement chères, mais au final la réalité m'a bien vite rattrapée...
C'est pour cela que je souhaite tenter le 2nd degré d'abord par la voie des suppléances puis envisager le concours, je sais pertinemment que le statut de suppléant offre un salaire moindre et n'est donc pas envisageable sur le long terme. Mais si c'est le prix à payer pour que je m'épanouisse, je le ferai. Un salaire ça se retrouve, pas une santé... Vous pensez que ça peut être une bonne solution pour voir si je m'épanouis plus que dans le 1er degré?
Et pour les mutations oui, le privé n'utilise pas le système de points de ce que j'ai compris. J'ai vraiment été déçue du public en tout cas... mais je souhaite me redonner une chance dans l'enseignement pour ne pas avoir de regrets. Merci pour vos messages !
C'est pour cela que je souhaite tenter le 2nd degré d'abord par la voie des suppléances puis envisager le concours, je sais pertinemment que le statut de suppléant offre un salaire moindre et n'est donc pas envisageable sur le long terme. Mais si c'est le prix à payer pour que je m'épanouisse, je le ferai. Un salaire ça se retrouve, pas une santé... Vous pensez que ça peut être une bonne solution pour voir si je m'épanouis plus que dans le 1er degré?
Et pour les mutations oui, le privé n'utilise pas le système de points de ce que j'ai compris. J'ai vraiment été déçue du public en tout cas... mais je souhaite me redonner une chance dans l'enseignement pour ne pas avoir de regrets. Merci pour vos messages !
- CharliebbtlNiveau 4
Attention quand même dans le second degré, dans le public en tout cas, il y a aussi risque d' "académies prison" également en fonction de l'académie que tu souhaites intégrer.
- chgcaNiveau 1
Oui effectivement je souhaite absolument éviter le public, si je repasse le concours c'est dans le privé ça c'est sûr !
- ChickenNiveau 5
Bonjour chgca,
Des suppléances pour démarrer c'est une excellente idée : au moins, vous saurez si enseigner l'espagnol dans le second degré vous convient
Pour les mutations dans l'enseignement privé (une fois le Cafep obtenu et le stage effectué) pas de système de points c'est exact mais cela ne veut pas dire obtenir son académie à coup sûr. De plus, il y a des matières pour lesquelles il est difficile d'avoir un temps plein. Dans l'enseignement privé on peut se voir proposer un mi-temps. Pour ne pas risquer d'être déçue, je vous conseille de contacter un syndicat qui pourra vous donner l'"état" de tension ou non de votre discipline dans l'académie souhaitée!
Je vous souhaite du courage (et un peu de chance!) pour mener à bien ce nouveau projet!
Des suppléances pour démarrer c'est une excellente idée : au moins, vous saurez si enseigner l'espagnol dans le second degré vous convient
Pour les mutations dans l'enseignement privé (une fois le Cafep obtenu et le stage effectué) pas de système de points c'est exact mais cela ne veut pas dire obtenir son académie à coup sûr. De plus, il y a des matières pour lesquelles il est difficile d'avoir un temps plein. Dans l'enseignement privé on peut se voir proposer un mi-temps. Pour ne pas risquer d'être déçue, je vous conseille de contacter un syndicat qui pourra vous donner l'"état" de tension ou non de votre discipline dans l'académie souhaitée!
Je vous souhaite du courage (et un peu de chance!) pour mener à bien ce nouveau projet!
- chgcaNiveau 1
Merci beaucoup pour vos conseils !
- olive27400Niveau 8
chgca a écrit: Malgré des bilans de mes tutrices très satisfaisants, une équipe de collègues de choc, je craque : arrêt maladie. J'y retourne 2 jours avant les vacances, et là déclic : je veux démissionner de cette situation de merde. J'ai pas envie de perdre 10 ans de ma vie dans une situation que je n'aime pas.
Bonjour
Je suis désolé mais je suis choqué par le terme que tu emploies. Cette situation de merde comme tu dis c'est toi qui l'as choisi en passant le CRPE dans un département déficitaire pour espérer avoir plus de chances d'être admis. Ensuite, tu devais imaginer que tu allais passer devant tous les autres PE qui veulent aussi se rapprocher de chez eux car TOI tu es dans une situation plus compliquée que les autres ! Ta réflexion sur le changement de département en est l'illustration.
Je suis aussi choqué (mais je me choque facilement) par le terme département prison. Les élèves de ces départements n'ont pas le droit d'avoir des profs ? C'est le propre de l'éducation. J'ai bien compris que tu crachais sur l'EN mais prends le temps de lire quelques posts sur le privé. Ce n'est pas toujours aussi rose que tu l'imagines et notamment avec les parents qui te font déjà ****. Peut-être parce que les parents peuvent aussi demander des explications. (De mon expérience, les parents les plus chiants sont.... les profs).
Les profs du second degré ne peuvent pas faire cela. C'est un concours national et j'ai beaucoup plus de compassion pour ceux qui sont obligés de partir de chez eux, avec peu d'espoir de rentrer (je ne parle pas de moi, j'ai eu la chance de ne pas avoir à bouger). Pour le coup, pour eux, ce sont des situations de merde car ils n'ont rien choisi.
Bonne reconversion quand même
- TulipiaNiveau 7
Au regard de tes différents messages, je te déconseille de passer les concours du public. Les mutations se font à l'échelle nationale. Tu n'es même pas sûre de rester dans ton académie d'origine pour l'année de stage, et après il te faut obligatoirement muter pour l'année de T1, et on est rarement dans la même académie que pour le stage. Il faut être prêt à faire des concessions. Si 300 kilomètres sont déjà trop pour toi alors même que tu savais depuis un an, donc depuis l'inscription au concours, que tu allais être affectée dans cette académie, ne tente pas le concours du second degré... Ou alors il faut revoir tes priorités.
- chgcaNiveau 1
Bonjour,olive27400 a écrit:Bonjourchgca a écrit: Malgré des bilans de mes tutrices très satisfaisants, une équipe de collègues de choc, je craque : arrêt maladie. J'y retourne 2 jours avant les vacances, et là déclic : je veux démissionner de cette situation de merde. J'ai pas envie de perdre 10 ans de ma vie dans une situation que je n'aime pas.
Je suis désolé mais je suis choqué par le terme que tu emploies. Cette situation de merde comme tu dis c'est toi qui l'as choisi en passant le CRPE dans un département déficitaire pour espérer avoir plus de chances d'être admis. Ensuite, tu devais imaginer que tu allais passer devant tous les autres PE qui veulent aussi se rapprocher de chez eux car TOI tu es dans une situation plus compliquée que les autres ! Ta réflexion sur le changement de département en est l'illustration.
Je suis aussi choqué (mais je me choque facilement) par le terme département prison. Les élèves de ces départements n'ont pas le droit d'avoir des profs ? C'est le propre de l'éducation. J'ai bien compris que tu crachais sur l'EN mais prends le temps de lire quelques posts sur le privé. Ce n'est pas toujours aussi rose que tu l'imagines et notamment avec les parents qui te font déjà ****. Peut-être parce que les parents peuvent aussi demander des explications. (De mon expérience, les parents les plus chiants sont.... les profs).
Les profs du second degré ne peuvent pas faire cela. C'est un concours national et j'ai beaucoup plus de compassion pour ceux qui sont obligés de partir de chez eux, avec peu d'espoir de rentrer (je ne parle pas de moi, j'ai eu la chance de ne pas avoir à bouger). Pour le coup, pour eux, ce sont des situations de merde car ils n'ont rien choisi.
Bonne reconversion quand même
Bien sûr que j'ai choisi cette situation et en connaissance de cause, je pensais que j'allais pouvoir résister mais finalement non, vivre la réalité est très différent de se l'imaginer, et ça je n'en avais pas bien conscience à l'époque. Aussi, parce que mes priorités ont pu changer cette année.
Pour le terme "département prison", c'est ma vision des choses. Prison pourquoi ? Parce qu'on peut difficilement en sortir, au bout de plusieurs années.
Bien sûr que j'ai conscience que le privé n'est pas un hôtel de luxe. Je souhaite tout de même me faire mon propre avis personnel en effectuant des suppléances dans le privé, ainsi je pourrai décider ou non de faire une croix définitive sur l'enseignement.
Pour les profs du 2nd degré du public, c'est sûr que ça ne doit pas être facile du tout, mais s'ils restent, c'est qu'ils acceptent cette situation et que les aspects positifs sont plus forts pour eux que les aspects négatifs.
Je crois aussi qu'il y a peu de gens très heureux et épanouis dans l'EN maintenant. Si j'avais pu avoir un avant-goût de la fonction publique, j'aurais réfléchi deux fois avant de m'engager. Je crois qu'être enseignant est un sacerdoce de nos jours... et trouver l'équilibre dans sa vie professionnelle et personnelle est tâche ardue.
- olive27400Niveau 8
Bonjour
Je suis rassuré de ta réponse. Comme quoi l'écrit ou son interprétation ne permettent pas toujours la nuance.
Je pense qu'il faudra un jour retravailler le système des mutations et des primo-affectations. Mais cela vient aussi de l'évolution de la société et des recrutements. Il y a 25-30 ans, on enchaînait études, concours et on construisait sa vie ensuite, là où on avait été muté. Si on était déjà en couple, c'était parfois plus simple que le conjoint bouge et se trouve un emploi. Se loger et vivre, notamment en région parisienne , était plus simple.
Je suis rassuré de ta réponse. Comme quoi l'écrit ou son interprétation ne permettent pas toujours la nuance.
Je pense qu'il faudra un jour retravailler le système des mutations et des primo-affectations. Mais cela vient aussi de l'évolution de la société et des recrutements. Il y a 25-30 ans, on enchaînait études, concours et on construisait sa vie ensuite, là où on avait été muté. Si on était déjà en couple, c'était parfois plus simple que le conjoint bouge et se trouve un emploi. Se loger et vivre, notamment en région parisienne , était plus simple.
- chgcaNiveau 1
olive27400 a écrit:Bonjour
Je suis rassuré de ta réponse. Comme quoi l'écrit ou son interprétation ne permettent pas toujours la nuance.
Je pense qu'il faudra un jour retravailler le système des mutations et des primo-affectations. Mais cela vient aussi de l'évolution de la société et des recrutements. Il y a 25-30 ans, on enchaînait études, concours et on construisait sa vie ensuite, là où on avait été muté. Si on était déjà en couple, c'était parfois plus simple que le conjoint bouge et se trouve un emploi. Se loger et vivre, notamment en région parisienne , était plus simple.
Exactement, je pense que si le système de mutations était différent on aurait des enseignants beaucoup plus épanouis car ils seraient là par choix, en majorité on va dire ! Et comme tu dis l'évolution de la société est inéluctable.
- HélipsProphète
Mais je ne comprends pas. Tu as passé le CRPE où pour être affectée à 300km de chez toi sans l'avoir choisi ?
_________________
Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- chgcaNiveau 1
Hélips a écrit:Mais je ne comprends pas. Tu as passé le CRPE où pour être affectée à 300km de chez toi sans l'avoir choisi ?
233 km. Je l'ai passé dans l'académie de Dijon et j'ai eu l'Yonne alors que je voulais la Saône-et-Loire.
- HélipsProphète
Oui enfin il y 50 ans, les jeunes profs étaient nommés chacun à un bout de la France en zone pas nécessairement bien désservies. Mes parents ont eu de la chance finalement : de région parisienne tous les deux, ça leur faisait un point de chute pour se retrouver quelques week-end.olive27400 a écrit:Bonjour
Je suis rassuré de ta réponse. Comme quoi l'écrit ou son interprétation ne permettent pas toujours la nuance.
Je pense qu'il faudra un jour retravailler le système des mutations et des primo-affectations. Mais cela vient aussi de l'évolution de la société et des recrutements. Il y a 25-30 ans, on enchaînait études, concours et on construisait sa vie ensuite, là où on avait été muté. Si on était déjà en couple, c'était parfois plus simple que le conjoint bouge et se trouve un emploi. Se loger et vivre, notamment en région parisienne , était plus simple.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
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