- lou gaiaNiveau 5
Bonjour,
Cela fait deux ans que j'y pense. Depuis quelques mois, l'idée se fait plus concrète. Je cherche à obtenir des témoignages de profs/anciens profs devenus psychologue (institution ou libéral)
J'ai trouvé l'organisme de formation (à distance à Paris 8) je peux à peu près le financer. (temps partiel à 50% pour la Licence 2 ou 3 suivant équivalence puis dispo de droit pour enfant de moins de 8 ans pour les deux ans de Master puis dispo pour créer une entreprise ou alors temps partiel à 50% à voir) Mais j'ai plusieurs questions :
- Depuis 2019, les salariés du privé peuvent démissionner pour se réorienter et toucher une allocation spécifique. Je viens de téléphoner au service Pôle Emploi cela ne fonctionne pas pour les agents du service public. Est ce que vous avez connaissance d'une aide quelconque pour les fonctionnaires ?
- Avec un Master 2 Histoire et quelques années d'expérience en tant que prof, est ce réaliste d'obtenir une équivalence pour la Licence 2 ou 3 en psycho ?
Merci de votre aide
Cela fait deux ans que j'y pense. Depuis quelques mois, l'idée se fait plus concrète. Je cherche à obtenir des témoignages de profs/anciens profs devenus psychologue (institution ou libéral)
J'ai trouvé l'organisme de formation (à distance à Paris 8) je peux à peu près le financer. (temps partiel à 50% pour la Licence 2 ou 3 suivant équivalence puis dispo de droit pour enfant de moins de 8 ans pour les deux ans de Master puis dispo pour créer une entreprise ou alors temps partiel à 50% à voir) Mais j'ai plusieurs questions :
- Depuis 2019, les salariés du privé peuvent démissionner pour se réorienter et toucher une allocation spécifique. Je viens de téléphoner au service Pôle Emploi cela ne fonctionne pas pour les agents du service public. Est ce que vous avez connaissance d'une aide quelconque pour les fonctionnaires ?
- Avec un Master 2 Histoire et quelques années d'expérience en tant que prof, est ce réaliste d'obtenir une équivalence pour la Licence 2 ou 3 en psycho ?
Merci de votre aide
- doubledeckerSage
pour répondre à ta première question je dirais l'indemnité de départ volontaire?
pour la 2nde la partie il y a pas mal de stats, sciences humaines donc peut être une équivalence sur ces UE là est possible. Sans compter le fameux PIX...
bon courage!
pour la 2nde la partie il y a pas mal de stats, sciences humaines donc peut être une équivalence sur ces UE là est possible. Sans compter le fameux PIX...
bon courage!
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If you're not failing every now and again it's a sign you're not doing anything very innovative (Woody Allen)
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- lou gaiaNiveau 5
doubledecker a écrit:pour répondre à ta première question je dirais l'indemnité de départ volontaire?
pour la 2nde la partie il y a pas mal de stats, sciences humaines donc peut être une équivalence sur ces UE là est possible. Sans compter le fameux PIX...
bon courage!
Merci de ta réponse. Effectivement il y a l'Indemnité de Départ Volontaire mais ce n'est valable que jusque décembre 2020 ensuite ce sera rupture conventionnelle comme dans le privé sauf que l'accord, le refus et le montant de l'indemnité de départ est fixé uniquement par l'administration.
Pour le reste (équivalence) j'espère entrer en L2. Mais c'est compliqué puisque la réponse d'équivalence n'intervient qu'en juillet, alors que la demande de dispo/temps partiel doit se faire au minium 4 mois avant la rentrée. Il y a donc une prise de risque de ma part. Si on me refuse toute équivalence et que je pars de 0, je souhaite conserver mon temps plein pour des raisons financières et diminuer progressivement pour les années suivantes. Mais si je suis acceptée en L2 ou L3, j'aimerai partir directement sur un mi temps voir une dispo. Bref, c'est compliqué.
Oui pour le PIX, je viens de le découvrir dans mon collège, mais à la fac ça à l'air d'être déjà là depuis longtemps.
- DODO62Niveau 5
J'avais tenté la même démarche (je suis aussi professeur d'Histoire et Géographe) il y a 4 ans en psycho à Lille 3. Je n'avais pas obtenu d'équivalence pour commencer en L2...Juste une dispense pour quelques UE. Leur justification étant que le cursus de psycho à Lille 3 est très "scientifique": gros coeff pour les stat, la biologie/physique et la méthodologie (comment mettre en place des plans d'expérience etc). Peut-être qu'à Paris 8 les matières scientifiques pèsent-elles moins?
- lou gaiaNiveau 5
DODO62 a écrit:J'avais tenté la même démarche (je suis aussi professeur d'Histoire et Géographe) il y a 4 ans en psycho à Lille 3. Je n'avais pas obtenu d'équivalence pour commencer en L2...Juste une dispense pour quelques UE. Leur justification étant que le cursus de psycho à Lille 3 est très "scientifique": gros coeff pour les stat, la biologie/physique et la méthodologie (comment mettre en place des plans d'expérience etc). Peut-être qu'à Paris 8 les matières scientifiques pèsent-elles moins?
Du coup tu as abandonné ton projet ? Oui paris 8 est plus orienté vers la psycho humaniste mais il y a tout de même des cours de bio/stats. Donc je m'inquiète aussi. Je suis tombée sur un tableau d'équivalence de Bordeaux : en étant prof, on peut prétendre à une L2 chez eux. Pour arriver à la L3, il faut posséder auparavant une licence en bio. Donc j'espère obtenir l'entrée en L2 mais bon, c'est pas gagné.
- HonchampDoyen
Psychologue ça doit pouvoir se faire "assez vite".
Psychalanyste, c'est plus compliqué.
Je crois que pour s'afficher psychanalyste, il faut avoir soi-même fait une analyse, ce qui est une démarche longue, puis être "agréé" par une association de psychanalystes. (Il y a diverses "obédiences").
Je crois que les psychanalystes débutants ont un "superviseur", qui les aide un certain temps. Est-ce que cela peut-être leur ancien psychanalyste, je ne sais pas.
je n'en sais pas davantage.
Mais comme ce n'est pas un cursus universitaire, ce n'est pas du tout comme faire des études de psycho.
(Mais il se peut que lou gaïa soit en analyse).
Un lien vers le site d'une personne que j'ai fréquentée quand elle était encore en fac d'histoire et qui est devenue psychanalyste. (Et que je ne fréquente plus depuis près de 35 ans, mais je sais comment elle a évolué).
Son site est bien fait. Je n'en sais pas plus.
http://www.psy-hammer.com/#Methode
Psychalanyste, c'est plus compliqué.
Je crois que pour s'afficher psychanalyste, il faut avoir soi-même fait une analyse, ce qui est une démarche longue, puis être "agréé" par une association de psychanalystes. (Il y a diverses "obédiences").
Je crois que les psychanalystes débutants ont un "superviseur", qui les aide un certain temps. Est-ce que cela peut-être leur ancien psychanalyste, je ne sais pas.
je n'en sais pas davantage.
Mais comme ce n'est pas un cursus universitaire, ce n'est pas du tout comme faire des études de psycho.
(Mais il se peut que lou gaïa soit en analyse).
Un lien vers le site d'une personne que j'ai fréquentée quand elle était encore en fac d'histoire et qui est devenue psychanalyste. (Et que je ne fréquente plus depuis près de 35 ans, mais je sais comment elle a évolué).
Son site est bien fait. Je n'en sais pas plus.
http://www.psy-hammer.com/#Methode
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- lou gaiaNiveau 5
Honchamp a écrit:Psychologue ça doit pouvoir se faire "assez vite".
Psychalanyste, c'est plus compliqué.
Je crois que pour s'afficher psychanalyste, il faut avoir soi-même fait une analyse, ce qui est une démarche longue, puis être "agréé" par une association de psychanalystes. (Il y a diverses "obédiences").
Je crois que les psychanalystes débutants ont un "superviseur", qui les aide un certain temps. Est-ce que cela peut-être leur ancien psychanalyste, je ne sais pas.
je n'en sais pas davantage.
Mais comme ce n'est pas un cursus universitaire, ce n'est pas du tout comme faire des études de psycho.
(Mais il se peut que lou gaïa soit en analyse).
Un lien vers le site d'une personne que j'ai fréquentée quand elle était encore en fac d'histoire et qui est devenue psychanalyste. (Et que je ne fréquente plus depuis près de 35 ans, mais je sais comment elle a évolué).
Son site est bien fait. Je n'en sais pas plus.
http://www.psy-hammer.com/#Methode
Merci de ta réponse. ce forum est vraiment top.
Effectivement, mon analyse est "terminée" même si je reprendrai sans aucun doute une supervision avant d'ouvrir un cabinet. Je suis allée voir le site de ton contact, et je lui ai envoyé un message, merci beaucoup.
- DODO62Niveau 5
lou gaia a écrit:DODO62 a écrit:J'avais tenté la même démarche (je suis aussi professeur d'Histoire et Géographe) il y a 4 ans en psycho à Lille 3. Je n'avais pas obtenu d'équivalence pour commencer en L2...Juste une dispense pour quelques UE. Leur justification étant que le cursus de psycho à Lille 3 est très "scientifique": gros coeff pour les stat, la biologie/physique et la méthodologie (comment mettre en place des plans d'expérience etc). Peut-être qu'à Paris 8 les matières scientifiques pèsent-elles moins?
Du coup tu as abandonné ton projet ? Oui paris 8 est plus orienté vers la psycho humaniste mais il y a tout de même des cours de bio/stats. Donc je m'inquiète aussi. Je suis tombée sur un tableau d'équivalence de Bordeaux : en étant prof, on peut prétendre à une L2 chez eux. Pour arriver à la L3, il faut posséder auparavant une licence en bio. Donc j'espère obtenir l'entrée en L2 mais bon, c'est pas gagné.
J'ai réussi à obtenir la L1 en bossant comme une dingue les maths et la bio. Je n'ai malheureusement pas pu continuer en L2 car les règles de fonctionnement avaient changé: par exemple, obligation d'assister au cours de stats, aux devoirs hors partiels (et sans aménagements possibles pour les salariés comme moi) de stats. De toute façon, trop d'étudiants au regard du nombre de places en M1 et M2. Même ceux ayant de bons résultats ne sont pas sûrs d'être pris en M2, et sans ce diplôme, pas de titre de psychologue et d'installation en cabinet privé. Dans mon entourage, beaucoup de ces jeunes ayant validé la L3 ou un M1 se retrouvent à passer les concours de l'enseignement par défaut.
- PseudoDemi-dieu
Comme indiqué plus haut, je confirme qu'il n'y a pas d'équivalence octroyée pour entré en L2 ou L3.
Tout dépends de ton projet. Si tu veux devenir psychologue (qui est un titre réglementé) il faut le master de psycho. Idem pour le titre de psychothérapeute.
Le titre de psychanalyse n'est pas réglementé, tu peux t'installer demain. Maintenant, est-ce raisonnable ou étique, c'est une autre paire de manche.
Mais si ton souhait est de recevoir des personnes pour les accompagner d'un point de vue psychologique, et que le titre t'importe peu, il y a d'autres possibilités.
A l'époque où j'ai voulu me dirigé vers la psychothérapie pour me reconvertir, j'ai écarté la formation universitaire parce qu'il me semblait plus important d'être formée à la psychothérapie que d'absorber un savoir principalement théorique, et, pire, tout faire à distance pour un métier de lien. Il me semblait évident que le lien, la relation humaine et le travail pratique était primordial.
J'ai donc suivi une formation privée de psychopraticien, et je ne le regrette pas. Cela a duré autant (et même plus longtemps si je compte les temps d'intégration entre les différents cycles et le temps de la rédaction du mémoire) que la formation à la fac. J'ai démissionné de l'En il y a un an et j'ai mon cabinet à Paris (et j'en vis).
Plus que le titre, c'est la formation à la conduite d'une psychothérapie qui me semble primordiale (qui est peu enseigné à la fac, en fait), la psychothérapie personnelle (qui n'est pas obligatoire à la fac alors qu'elle l'est dans les différentes écoles privées). Ce qui n'empêche pas de se constituer des connaissances solides, et d'ailleurs, le désir d'apprendre et la formation continue me semble également incontournable.
La supervision évoquée plus haut existe pour tous les psy (et elle est obligatoire dans les écoles privées), mais tous ne la mettent pas en œuvre. C'est dommage.
Ensuite, il faut s'installer, et se constituer une clientèle. Obtenir un diplôme ou un titre, c'est une chose, s'installer en est une autre. J'ai pu le faire progressivement, parce que la pratique est demandé pour la formation (sans pratique, pas de diplôme). A la fac, tu as des stages en institution obligatoire, mais pas une pratique de la psychothérapie "de ville". Tu te retrouves un peu seul pour faire le grand saut.
Bref, tout dépend de ton projet. Obtenir un titre précis, faire une spécialisation qui demande un parcours universitaire précis et incontournable ou proposer tes services en psychothérapie.
Tout dépends de ton projet. Si tu veux devenir psychologue (qui est un titre réglementé) il faut le master de psycho. Idem pour le titre de psychothérapeute.
Le titre de psychanalyse n'est pas réglementé, tu peux t'installer demain. Maintenant, est-ce raisonnable ou étique, c'est une autre paire de manche.
Mais si ton souhait est de recevoir des personnes pour les accompagner d'un point de vue psychologique, et que le titre t'importe peu, il y a d'autres possibilités.
A l'époque où j'ai voulu me dirigé vers la psychothérapie pour me reconvertir, j'ai écarté la formation universitaire parce qu'il me semblait plus important d'être formée à la psychothérapie que d'absorber un savoir principalement théorique, et, pire, tout faire à distance pour un métier de lien. Il me semblait évident que le lien, la relation humaine et le travail pratique était primordial.
J'ai donc suivi une formation privée de psychopraticien, et je ne le regrette pas. Cela a duré autant (et même plus longtemps si je compte les temps d'intégration entre les différents cycles et le temps de la rédaction du mémoire) que la formation à la fac. J'ai démissionné de l'En il y a un an et j'ai mon cabinet à Paris (et j'en vis).
Plus que le titre, c'est la formation à la conduite d'une psychothérapie qui me semble primordiale (qui est peu enseigné à la fac, en fait), la psychothérapie personnelle (qui n'est pas obligatoire à la fac alors qu'elle l'est dans les différentes écoles privées). Ce qui n'empêche pas de se constituer des connaissances solides, et d'ailleurs, le désir d'apprendre et la formation continue me semble également incontournable.
La supervision évoquée plus haut existe pour tous les psy (et elle est obligatoire dans les écoles privées), mais tous ne la mettent pas en œuvre. C'est dommage.
Ensuite, il faut s'installer, et se constituer une clientèle. Obtenir un diplôme ou un titre, c'est une chose, s'installer en est une autre. J'ai pu le faire progressivement, parce que la pratique est demandé pour la formation (sans pratique, pas de diplôme). A la fac, tu as des stages en institution obligatoire, mais pas une pratique de la psychothérapie "de ville". Tu te retrouves un peu seul pour faire le grand saut.
Bref, tout dépend de ton projet. Obtenir un titre précis, faire une spécialisation qui demande un parcours universitaire précis et incontournable ou proposer tes services en psychothérapie.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- OblomovaNiveau 2
Merci pour ce témoignage. Peux-tu donner des précisions sur la manière dont tu as choisi ta formation de psychopraticienne et sur ce qu'elle t'a coûté ?
Une autre question : je sais que l'EN n'accepte pas le cumul d'activité en tant que prof et en tant que psychologue. Est-ce la même chose pour les psychopraticiens?
Une autre question : je sais que l'EN n'accepte pas le cumul d'activité en tant que prof et en tant que psychologue. Est-ce la même chose pour les psychopraticiens?
- roxanneOracle
Contente de voir que ton projet a abouti, Pseudo. C'est un beau chemin qui n'a pas été simple.
- PseudoDemi-dieu
Oblomova a écrit:Merci pour ce témoignage. Peux-tu donner des précisions sur la manière dont tu as choisi ta formation de psychopraticienne et sur ce qu'elle t'a coûté ?
Une autre question : je sais que l'EN n'accepte pas le cumul d'activité en tant que prof et en tant que psychologue. Est-ce la même chose pour les psychopraticiens?
Pour choisir, j'ai listé les écoles reconnues au niveau européen, qui aboutissent au CEP (Certificat Européen de Psychothérapie). Cela me semblait être un gage de sérieux. Puis j'ai sélectionné les approches qui me convenaient le plus, soit que je les connaissais un peu déjà, puis en consultant leur site respectif. Ensuite, ces écoles proposent toutes une introduction à leur méthode, sur un week-end ou quelques jours. Je suis allée à ces journées pour voir de près, sentir si ça me convenait.
Pour le coût, hé bien ça coûte un bras, mais heureusement que je ne me suis pas arrêtée à ça (pour la formation comme pour ma thérapie personnelle). De mémoire, j'ai dû débourser dans les 2500 à 3000 balles par année de formation. Il y a ensuite la thérapie personnelle, mais je l'aurai de toute façon faîte, à raison de 50 euros par semaine pendant... x années. L'En m'a octroyé un bout d'aide une fois, après une lutte acharnée que je n'ai pas voulu renouveler pour les autres années, tellement c'était épuisant et moralement blessant de grapiller 500 balles.
Je précise ici que je vis seule, je n'ai ni compagnon ni famille qui m'ont soutenue : mon salaire a dû suffire à tout. Inutile donc de se dire que si on était en couple, ou riche, ou ceci, cela, on pourrait.
Les règles de cumul sont identiques pour les psychopraticiens que pour le reste. Durant tout mon parcours, les règles ont changées plusieurs fois. Il faut s'adapter et ruser en fonction des changements. Il faut partir du principe que l'EN, dans sa grande magnificence, ne te simplifiera jamais la vie mais qu'on n'est pas obligé de la laisser tout nous dicter. Un jour j'ai décidé d'arriver à mon objectif, quelques soient les bâtons que l'administration mettrait dans mes roues.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- PseudoDemi-dieu
roxanne a écrit:Contente de voir que ton projet a abouti, Pseudo. C'est un beau chemin qui n'a pas été simple.
Merci ! Tu fais partie des membres du forum qui ont suivi tout cela depuis le début. Un chemin pas simple, effectivement, mais abouti !
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- OblomovaNiveau 2
Merci pour ces précisions, ton parcours est édifiant en effet, et très stimulant pour ceux qui n'en sont qu'au début !
- Lola95Niveau 1
Bonsoir,
pour ma part, j'ai 58 ans et demi, prof titulaire de 25 ans, en doctorat de psycho parcours "Psychanalyse" (je termine bientôt), une formation perso, théorico-clinique de très longue date en psychanalyse et psychopatho, et je continue à me demander si, oui ou non, je peux envisager de pratiquer quelques heures/semaine (pas plus de 4h/semaine...) hors temps de service bien évidemment.. ou pas ? Dois-je m'adresser à la comm. de déontologie ? Dois-je demander une autorisation de cumul pour activité accessoire ? Dois-je me mettre à tps partiel avant de comencer, au risque de me voir opposer un refus ensuite... ? Etc, etc... Merci.
pour ma part, j'ai 58 ans et demi, prof titulaire de 25 ans, en doctorat de psycho parcours "Psychanalyse" (je termine bientôt), une formation perso, théorico-clinique de très longue date en psychanalyse et psychopatho, et je continue à me demander si, oui ou non, je peux envisager de pratiquer quelques heures/semaine (pas plus de 4h/semaine...) hors temps de service bien évidemment.. ou pas ? Dois-je m'adresser à la comm. de déontologie ? Dois-je demander une autorisation de cumul pour activité accessoire ? Dois-je me mettre à tps partiel avant de comencer, au risque de me voir opposer un refus ensuite... ? Etc, etc... Merci.
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