- chmarmottineGuide spirituel
[MAJ 25/10] En 2 semaines, le nombre d'hospitalisations en cours a été multiplié par 2.
— Emmanuel de Margerie (@flight_behav) October 25, 2020
Pour les enfants (0-9 ans), c'est par 3.
Ces enfants ont été contaminés avant les vacances. @jmblanquer, peut-on revoir le protocole sanitaire pour la rentrée (masques, aération) ? pic.twitter.com/HlSOzZLhtq
Idem si on regarde le nombre d'entrées à l'hôpital : 132 enfants (0-9ans) admis cette semaine, contre 42 il y a 15j. Sur ce critère, c'est la seule classe d'âge qui a déjà dépassé le pic de sa première vague. pic.twitter.com/HvugkAEaN3
— Emmanuel de Margerie (@flight_behav) October 25, 2020
- almuixeNeoprof expérimenté
Cicyle a écrit:
Je maintiens que dans le premier degré, la solution la plus acceptable ("la moins pire") serait celle des demi-groupes. Qui nous permettrait d'assurer une certaine sécurité sanitaire, une certaine distanciation (d'être moins débordés et donc de penser à l'hygiène de base parce qu'avec mes 25 élèves en 3 niveaux, je n'ai pas tellement le temps de m'hydro-alcooliser les mains ou de décontaminer les poignées de porte ). Et qui permettrait aux enfants de garder un lien avec l'école. Autant en mai-juin, j'étais opposée à la réouverture pour si peu de temps, autant là, on est en tout début d'année scolaire. Le tout distanciel ne me semble pas souhaitable à ce moment de l'année (même avec des plus grands). Sauf situation sanitaire absolument hors de contrôle.
En plus, cela tombe bien, il va y avoir plein de personnes au chômage dans le monde de la culture ou des secteurs en contact avec de la clientèle (serveurs, vendeurs). Je ne dis pas qu'on va magiquement les transformer en instituteurs, mais vu leur métier on peut penser qu'ils sont nombreux à avoir des compétences transférables. Puisque de toute manière, il va falloir payer le chômage pourquoi ne pas essayer d'en embaucher pour alléger les classes ? Et qu'ainsi les problèmes de garde des enfants ne se pose pas.
_________________
Association R.E.A.C.T – Réagir face aux Enfants et Adolescents au Comportement Tyrannique
- CleroliDoyen
Je ne suis pas capable d'accorder d'emblée du crédit à cette extrapolation. En revanche, comme toi, je peux discuter des hypothèses sur lesquelles elle repose (je m'en garderai bien dans le cas présent cependant car ce n'est pas du tout mon domaine). Je te remercie donc de nous avoir fait part de tes analyses.Enaeco a écrit:
Vous accordez réellement du crédit à cette modélisation ?
En quoi la prise en compte de la rapidité de la décrue impacterait le délai et la rapidité de la montée de la nouvelle vague ?
Pourquoi les données ne prennent pas en compte la montée de la première vague ? (réponse : car le modèle polynomiale ne marche plus du tout).
Ce n'est pas l'auteur qui a mis en évidence les données en rouge totalement inventées (c'est Germain Forestier qui propose cette version plus honnête).
Ca ne vous dérange pas qu'on fasse une modélisation sur des données qui n'existent pas ???
Faire une modélisation à partir d'une série de données existantes et extrapoler, je veux bien. C'est ce qu'a fait Catherine Hill de manière bien plus sérieuse !
Mais la, c'est NON. A ce petit jeu je peux aussi vous faire une modélisation qui se base sur la première vague. Je décide que son sommet sera atteint dans 1 semaine ou 2 puis je vous invente encore 2 ou 3 semaines de données avec une décrue du même style que la première, j'ajoute un petit modèle sur excel et voila.
Désolé mais c'est tout sauf honnête. Extrapoler, oui. Inventer, non.
- mgb35Érudit
Dans une commune près de chez moi, des le 11 mai les élèves ont tous repris à plein temps. Ils commençaient par 1 h30 avec le professeur des écoles, puis étaient pris en charge par un animateur avec lequel ils finissaient leur travail avant de faire autre chose. Même chose l'après midi.
- Isis39Enchanteur
mgb35 a écrit:Je n'ai plus le lien mais Paris en juin a fait un État des lieux des locaux utilisables et des animateurs afin de proposer un dédoublement des classes.
Dans une commune près de chez moi, des le 11 mai les élèves ont tous repris à plein temps. Ils commençaient par 1 h30 avec le professeur des écoles, puis étaient pris en charge par un animateur avec lequel ils finissaient leur travail avant de faire autre chose. Même chose l'après midi.
Dans le rural, les locaux disponibles ne courent pas les rues...
- moi c'est moiNiveau 9
Isis39 a écrit:mgb35 a écrit:Je n'ai plus le lien mais Paris en juin a fait un État des lieux des locaux utilisables et des animateurs afin de proposer un dédoublement des classes.
Dans une commune près de chez moi, des le 11 mai les élèves ont tous repris à plein temps. Ils commençaient par 1 h30 avec le professeur des écoles, puis étaient pris en charge par un animateur avec lequel ils finissaient leur travail avant de faire autre chose. Même chose l'après midi.
Dans le rural, les locaux disponibles ne courent pas les rues...
... Sans parler de l'incapacité totale de trouver des animateurs. En même temps c'est normal, ils se collent en frais de déplacement ce qu'on les paie pour animer.
D'où le fiasco des NAP dans les petites écoles rurales.
- trompettemarineMonarque
chmarmottine a écrit:anthinéa a écrit:Sur Cnews, un député LREM a dit que Blanquer travaille sur un
Nouveau protocole qui va être présenté bientôt au gouvernement.
Il est presque en avance dis-donc ...
Rien que de lire ça, ça m'énerve ...
On est le 26 octobre ... et on est prêt !
Depuis avril, on passe notre temps à attendre des protocoles ...
C'est déprimant.
Un nouvel allégement ?
C'était bien cela la logique du dernier allégement, ça allait moins bien, donc on ne fermait plus les classes après 3 cas contacts.
Étant donné que la plupart des élèves ne se déclarent plus cas contact (les tests, toussa), je suppose qu'on va blinder encore plus les classes et même proposer l'arrêt du port du masque.
Les enfants ne sont pas contagieux. :dehors2:
- mgb35Érudit
C'était dans le rural. Rennes et Paris se sont déjà dits prêts. Avec de la volonté, cela doit être possible dans beaucoup d'endroits.Isis39 a écrit:mgb35 a écrit:Je n'ai plus le lien mais Paris en juin a fait un État des lieux des locaux utilisables et des animateurs afin de proposer un dédoublement des classes.
Dans une commune près de chez moi, des le 11 mai les élèves ont tous repris à plein temps. Ils commençaient par 1 h30 avec le professeur des écoles, puis étaient pris en charge par un animateur avec lequel ils finissaient leur travail avant de faire autre chose. Même chose l'après midi.
Dans le rural, les locaux disponibles ne courent pas les rues...
- chmarmottineGuide spirituel
mgb35 a écrit:C'était dans le rural. Rennes et Paris se sont déjà dits prêts. Avec de la volonté, cela doit être possible dans beaucoup d'endroits.Isis39 a écrit:mgb35 a écrit:Je n'ai plus le lien mais Paris en juin a fait un État des lieux des locaux utilisables et des animateurs afin de proposer un dédoublement des classes.
Dans une commune près de chez moi, des le 11 mai les élèves ont tous repris à plein temps. Ils commençaient par 1 h30 avec le professeur des écoles, puis étaient pris en charge par un animateur avec lequel ils finissaient leur travail avant de faire autre chose. Même chose l'après midi.
Dans le rural, les locaux disponibles ne courent pas les rues...
En mai-juin, Luc Ferry proposait de laisser les lycées en distanciel et de profiter des locaux vacants pour dédoubler les classes de primaire.
- chmarmottineGuide spirituel
A ces recommandations, Jean-Michel Blanquer opposait une mâle assurance : «Nous sommes préparés à tout.» Le 1er septembre, la rentrée a lieu avec un protocole sanitaire allégé : alors que les effectifs en France sont les plus bondés d’Europe, il est mis fin à la distanciation physique en classe si elle ne permet pas de faire rentrer tous les élèves. Le 10 septembre, les agences régionales de santé indiquent que les quelques masques en tissu distribués aux enseignants et aux élèves pauvres sont insuffisamment protecteurs et ne dispensent pas d’être déclaré cas contact (à la différence des masques chirurgicaux). Le 21 septembre, alors que les classes ferment par dizaines, Blanquer allège le protocole. Il faut maintenant trois cas positifs la même semaine dans des fratries différentes pour fermer une classe. Au vu de la difficulté à obtenir les résultats de PCR à cette époque, cela contribue à casser le thermomètre, à afficher une normalité de façade en laissant flamber l’épidémie. Le 25 septembre, sans surprise, le milieu scolaire et universitaire devient la première source de clusters en France.
Le gouvernement instaure un couvre-feu, prône timidement le télétravail, commence péniblement à parler d’aération des locaux… et prépare la rentrée scolaire du 2 novembre, comme si de rien n’était. Alors j’ai demandé aux personnels de témoigner, anonymement bien sûr, puisque, obligation de neutralité, devoir de réserve, et école de la confiance obligent, les personnels de l’Education nationale se sentent contraints à l’omerta.
https://www.liberation.fr/france/2020/10/26/covid-a-l-ecole-l-omerta-et-le-deni_1803450?xtor=rss-450&utm_medium=Social&utm_source=Twitter&utm_campaign=dlvr.it
- Night OwlNiveau 10
Isis39 a écrit:mgb35 a écrit:Je n'ai plus le lien mais Paris en juin a fait un État des lieux des locaux utilisables et des animateurs afin de proposer un dédoublement des classes.
Dans une commune près de chez moi, des le 11 mai les élèves ont tous repris à plein temps. Ils commençaient par 1 h30 avec le professeur des écoles, puis étaient pris en charge par un animateur avec lequel ils finissaient leur travail avant de faire autre chose. Même chose l'après midi.
Dans le rural, les locaux disponibles ne courent pas les rues...
+1. Et il faut trouver des animateurs...
- CatalunyaExpert spécialisé
- mgb35Érudit
Pour ce que j'ai appelé animateur, il y a un énorme vivier entre les chômeurs, les personnes au RSA, les étudiants rentrés chez leurs parents, les personnes en chômage partiel... Nul besoin de formation mais si cela serait un plus. Je rappelle que les AED n'en ont pas.
Pour les locaux, il y aurait les collèges, les lycées, les salles polyvalentes. Alors oui, il faudrait peut être emmener les élèves dans une commune voisine dans certains cas mais cela m a l'air supportable.
De plus, c'est une mesure très économique. Avec une personne embauchée au smic, on économise 10 ou 15 chômages partiels !
- FireflyNiveau 9
Je rajouterais toutes les salles des palais des congrès/salles de spectacle, si les étudiants sont en distanciel il y a aussi les salles à la fac...mgb35 a écrit:Sincèrement, je trouve que vous mettez des obstacles où ils n'existent pas. Il s'agit juste d'un problème de volonté.
Pour ce que j'ai appelé animateur, il y a un énorme vivier entre les chômeurs, les personnes au RSA, les étudiants rentrés chez leurs parents, les personnes en chômage partiel... Nul besoin de formation mais si cela serait un plus. Je rappelle que les AED n'en ont pas.
Pour les locaux, il y aurait les collèges, les lycées, les salles polyvalentes. Alors oui, il faudrait peut être emmener les élèves dans une commune voisine dans certains cas mais cela m a l'air supportable.
De plus, c'est une mesure très économique. Avec une personne embauchée au smic, on économise 10 ou 15 chômages partiels !
- EdithWGrand sage
Isis39 a écrit:mgb35 a écrit:Je n'ai plus le lien mais Paris en juin a fait un État des lieux des locaux utilisables et des animateurs afin de proposer un dédoublement des classes.
Dans une commune près de chez moi, des le 11 mai les élèves ont tous repris à plein temps. Ils commençaient par 1 h30 avec le professeur des écoles, puis étaient pris en charge par un animateur avec lequel ils finissaient leur travail avant de faire autre chose. Même chose l'après midi.
Dans le rural, les locaux disponibles ne courent pas les rues...
Si, il y en a quand même pas mal... La vie associative est très riche, y compris de locaux, et les anciens sont peu actifs en ce moment, les clubs de belote ne se réunissent quasiment plus, ça fait de l'espace libre. C'est plutôt les encadrants qui manquent. On ne peut même pas mettre à contribution les animateurs sport/art qui courent constamment d'un endroit à l'autre et assurent parfois leur discipline dans 5 ou 6 écoles plus la pratique soir et week end.
- volnyNiveau 7
- RaptorWillNiveau 9
Je pense plutôt qu'ils sont dans le même état d'esprit que Trump: ils partent du principe qu'on peut plus contrôler le virus. Advienne ce qu'il pourra.
_________________
"Je forme une entreprise qui n’eut jamais d’exemple, et dont l’exécution n’aura point d’imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature, et cet homme, ce sera moi. " Rousseau
- AsarteLilithEsprit sacré
mgb35 a écrit:Sincèrement, je trouve que vous mettez des obstacles où ils n'existent pas. Il s'agit juste d'un problème de volonté.
Pour ce que j'ai appelé animateur, il y a un énorme vivier entre les chômeurs, les personnes au RSA, les étudiants rentrés chez leurs parents, les personnes en chômage partiel... Nul besoin de formation mais si cela serait un plus. Je rappelle que les AED n'en ont pas.
Pour les locaux, il y aurait les collèges, les lycées, les salles polyvalentes. Alors oui, il faudrait peut être emmener les élèves dans une commune voisine dans certains cas mais cela m a l'air supportable.
De plus, c'est une mesure très économique. Avec une personne embauchée au smic, on économise 10 ou 15 chômages partiels !
Je ne suis pas d'accord. On demande bien une formation, et de plus en plus longue, pour être enseignant ! Ca ne s'improvise pas. Ou alors, comment se fait-il que des postes vides ne soient pas pourvus ? Certains AED sont étudiants, ils ont donc au moins un peu de formation.
Par ailleurs, question locaux et transport : j'enseigne en campagne, la majeure partie des élèves de mon établissement à recours aux transports scolaires. Je ne pense pas que déplacer des élèves soit donc toujours possible (et si on veut éviter les contaminations, brasser les classes, les établissements, ce n'est pas possible ! Et quid du protocole sanitaire sur les lieux d'accueil ?).
_________________
Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- volnyNiveau 7
RaptorWill a écrit:Vous pensez vraiment qu'ils vont fermer les établissements ou nous mettre en hybride ?
Je pense plutôt qu'ils sont dans le même état d'esprit que Trump: ils partent du principe qu'on peut plus contrôler le virus. Advienne ce qu'il pourra.
Ils fermeront plutôt les lycées et laisseront ouverts les collèges et primaires.
- EdithWGrand sage
AsarteLilith a écrit:mgb35 a écrit:Sincèrement, je trouve que vous mettez des obstacles où ils n'existent pas. Il s'agit juste d'un problème de volonté.
Pour ce que j'ai appelé animateur, il y a un énorme vivier entre les chômeurs, les personnes au RSA, les étudiants rentrés chez leurs parents, les personnes en chômage partiel... Nul besoin de formation mais si cela serait un plus. Je rappelle que les AED n'en ont pas.
Pour les locaux, il y aurait les collèges, les lycées, les salles polyvalentes. Alors oui, il faudrait peut être emmener les élèves dans une commune voisine dans certains cas mais cela m a l'air supportable.
De plus, c'est une mesure très économique. Avec une personne embauchée au smic, on économise 10 ou 15 chômages partiels !
Je ne suis pas d'accord. On demande bien une formation, et de plus en plus longue, pour être enseignant ! Ca ne s'improvise pas. Ou alors, comment se fait-il que des postes vides ne soient pas pourvus ? Certains AED sont étudiants, ils ont donc au moins un peu de formation.
Par ailleurs, question locaux et transport : j'enseigne en campagne, la majeure partie des élèves de mon établissement à recours aux transports scolaires. Je ne pense pas que déplacer des élèves soit donc toujours possible (et si on veut éviter les contaminations, brasser les classes, les établissements, ce n'est pas possible ! Et quid du protocole sanitaire sur les lieux d'accueil ?).
Les 35 cars scolaires qui arrivent à la ville voisine sont parfois (souvent) pleins... d'élèves de niveaux différents et d'établissements différents. Il n'y a pas de mélange 1er et 2nd degré en théorie, mais c'est difficile à faire respecter, notamment quand un petit de CP compte sur le grand frère de 5è pour lui ouvrir la porte de la maison. Sans compter les internes qui prennent le train.
- maikreeeesseGrand sage
- micaschisteMonarque
Ma vision des choses : Ils sont dans le déni le plus total. Tout va rester ouvert avec un protocle à peine modifié. Que fait le ministre de l'Education Nationale ??? Il devrait déjà être en train d'expliquer le nouveau protocole adapté à la situation épidémique actuelle, pas celle de juillet prise en compte pour la rentrée de septembre, pour une mise en oeuvre le 2 novembre. Il reste une toute petite semaine pour s'y préparer. L'évolution est catastrophique sur la quasi-totalité du territoire. C'est de la folie pure de retourner en classe comme si de rien n'était (je fais abstraction de Samuel Paty car deux crises se télescopent et elles sont toutes les deux d'une grande importance).volny a écrit:RaptorWill a écrit:Vous pensez vraiment qu'ils vont fermer les établissements ou nous mettre en hybride ?
Je pense plutôt qu'ils sont dans le même état d'esprit que Trump: ils partent du principe qu'on peut plus contrôler le virus. Advienne ce qu'il pourra.
Ils fermeront plutôt les lycées et laisseront ouverts les collèges et primaires.
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"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- mgb35Érudit
Je me rends compte de ce que j'ecris et je me rends aussi compte que tu ne me lis pas...maikreeeesse a écrit:Mais je rêve ! D'une part je mentionne plus haut que ma municipalité devant le manque de personnel est obligé de faire appel à des parents bénévoles, dans Grenoble à côté ils n'arrivent pas embaucher et mettent de grandes affiches un peu partout et d'autre part teabquillement
certains ici décrétent que bon même sans formation un gars au chômage fera bien l'affaire. On ne parle plus d'école, on parle garderie, c'est bien cela ? On n'est plus dans le bon fil. D'accord on est dans une situation extraordinaire mais vous vous rendez compte de ce que vous écrivez ?
Je n'ai jamais dit que ces personnes remplaceraient les professeurs mais seulement qu'ils prendraient en charge les élèves comme le font les AED.
- AsarteLilithEsprit sacré
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- maikreeeesseGrand sage
Tu n'es pas seul, et tu as fait le lien avec ce que j'avais écrit un peu plus haut ? Ils n'arrivent à recruter et demandent des volontaires bénévoles. Si tu ne vois pas le problème je le vois moi.
AsarteLilith
- CleroliDoyen
On ne peut pas confier des enfants aux premiers venus, quels qu'ils soient. Il faut vérifier leurs antécédents et les former à minima. On ne pas tout accepter à cause du virus (au passage, s'il y a le moindre problème -personne violente par exemple- qui sera tenu pour responsable ?).mgb35 a écrit:Je me rends compte de ce que j'ecris et je me rends aussi compte que tu ne me lis pas...maikreeeesse a écrit:Mais je rêve ! D'une part je mentionne plus haut que ma municipalité devant le manque de personnel est obligé de faire appel à des parents bénévoles, dans Grenoble à côté ils n'arrivent pas embaucher et mettent de grandes affiches un peu partout et d'autre part teabquillement
certains ici décrétent que bon même sans formation un gars au chômage fera bien l'affaire. On ne parle plus d'école, on parle garderie, c'est bien cela ? On n'est plus dans le bon fil. D'accord on est dans une situation extraordinaire mais vous vous rendez compte de ce que vous écrivez ?
Je n'ai jamais dit que ces personnes remplaceraient les professeurs mais seulement qu'ils prendraient en charge les élèves comme le font les AED.
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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