- NLM76Grand Maître
Vous avez des exemples d'utilisation de ces exemples-types ? Je n'en vois pas des tonnes.
- Hōrum fortissimī sunt Belgæ.
- Simiarum pulcherrima deformis est.
- Quid novī, nihil novī. Quid consiliī, hoc præmiī.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- LefterisEsprit sacré
Le senatus consultum ultimum :
caveant consules ne quid detrimenti res publica capiat
ou chez Térence
Quid mulieris ? quel genre de femme ?
Quid negotii ? quelle sorte d'affaire ?
caveant consules ne quid detrimenti res publica capiat
ou chez Térence
Quid mulieris ? quel genre de femme ?
Quid negotii ? quelle sorte d'affaire ?
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- henrietteMédiateur
Quis vestrum ? Qui parmi vous ?
Tu ne parles pas du génitif partitif après un adverbe de quantité (type "satis eloquentiae, sapientiae parum"), ou peut-être as-tu déjà tous les exemples qu'il te faut ?
Tu ne parles pas du génitif partitif après un adverbe de quantité (type "satis eloquentiae, sapientiae parum"), ou peut-être as-tu déjà tous les exemples qu'il te faut ?
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- AsarteLilithBon génie
Chez Cicéron, dans sa Première Catilinaire ? '' Lequel d'entre nous penses-tu qu'il ignore....?
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- NLM76Grand Maître
Non, je n'ai pas d'exemples de tels exemples.Tu crois que c'est important à voir tôt dans l'apprentissage ? (Je pense à mon Libellus secundus) J'ai le sentiment qu'on peut reporter ça à plus tard.henriette a écrit:Quis vestrum ? Qui parmi vous ?
Tu ne parles pas du génitif partitif après un adverbe de quantité (type "satis eloquentiae, sapientiae parum"), ou peut-être as-tu déjà tous les exemples qu'il te faut ?
Quant à "altissima arbōrum", je me demande s'il faut le garder comme modèle à étudier très tôt. L'avantage, c'est que ça fait travailler le superlatif. Mais est-ce que c'est une tournure suffisamment fréquente ?
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- henrietteMédiateur
A voir tôt dans l'apprentissage, très franchement non. A dire vrai je n'abordais jamais le génitif partitif avant la 3e - et maintenant, avec les horaires qui sont devenus ce qu'ils sont, et le niveau en grammaire des élèves, je ne l'aborde plus du tout.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- NLM76Grand Maître
Oui. Mais je me demande si ce n'est pas bien de voir non "le génitif partitif", mais les modèles "Quid novī ?" et "altissima arbōrum", sans forcément parler de "génitif partitif" assez tôt. Le premier de proposer des petits jeux de question-réponse qui me paraissent très féconds, très tôt.
Pour le second, je me demandais s'il était pertinent d'introduire la morphologie du superlatif sans parler de son complément. Mais à regarder l'usage, j'ai l'impression que le plus souvent, le superlatif est utilisé sans complément. Et... quand même, si ce n'est pas l'occasion de voir le superlatif absolu et le superlatif relatif, je me dis que c'est une occasion ratée.
Pour le second, je me demandais s'il était pertinent d'introduire la morphologie du superlatif sans parler de son complément. Mais à regarder l'usage, j'ai l'impression que le plus souvent, le superlatif est utilisé sans complément. Et... quand même, si ce n'est pas l'occasion de voir le superlatif absolu et le superlatif relatif, je me dis que c'est une occasion ratée.
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- NLM76Grand Maître
Voilà, j'ai fait cet essai-ci :
Est-ce qu'il y aurait des joueurs pour construire des phrases à utiliser dans les exercices (version, thème, lecture, composition de phrases) avec les contraintes proposées en p.2 ? [J'essaie de refiler mon boulot aux autres...]
Et bien sûr des remarques et critiques pour la page 1 ?
Edit :
Ok. Personne n'a joué. Je suis très déçu par mes collègues, qui ne veulent pas faire mon boulot à ma place. Pfff.
Du coup, je l'ai fait moi-même, avec l'aide de l'ami Publius Maro. Fichier actualisé ci-dessus. Cadeau, si vous avez envie de l'utiliser en classe.
- Superlatif
Edit :
Ok. Personne n'a joué. Je suis très déçu par mes collègues, qui ne veulent pas faire mon boulot à ma place. Pfff.
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