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- LagomorpheFidèle du forum
belote a écrit:Euh. 6 ans d'élaboration de sujets de bac, je n'ai pas eu l'accélération. Mais, oui, effectivement, tu peux le mettre en avant et ça peut aider pour l'avis excellent.
Lequel avis excellent ne garantit en rien qu'on bénéficiera de l'accélération, d'ailleurs.
Au bout de presque 20 ans de maison, j'ai acquis la certitude bien argumenté que le principal trait de l'Education Nationale est l'ingratitude totale envers ses personnels. Faire plus que le boulot strictement prévu par le statut dans l'espoir d'obtenir ultérieurement quelque chose, c'est la garantie quasi absolue d'être déçu. On peut faire des choses en plus, mais parce que ça nous plaît à nous - rien n'interdisant alors de les mettre en valeur lors du PPCR. L'élaboration d'un sujet d'examen peut entrer dans ce cadre, au moins la première fois, je comprends qu'on puisse trouver ça intellectuellement stimulant. Mais il ne faut pas attendre un retour d'ascenseur:
- la mission me plaît / m'intéresse -> je fais (bien)
- la mission me déplaît et est facultative -> je ne fais pas (et rien ne m'oblige à me justifier, ni même seulement à écouter les tentatives de culpabilisation et autres jugements moraux de ceux qui confondent leur morale et leur intérêt personnels avec un texte réglementaire)
- la mission me déplaît mais pas de chance elle est obligatoire et non rémunérée -> je bâcle; si l'Etat-employeur attribuait quelque valeur à cette mission, il l'aurait rémunérée
- la mission me déplaît, est obligatoire et un peu rémunérée -> je fais (convenablement, sans plus), cas typique des corrections d'examen
- DaphnéDemi-dieu
anthracite a écrit:Et cerise sur le gateau, maintenant, en plus de ne pas être payés, il faudrait rattraper nos heures de cours.
Convoc de la DEC pour préparation sur place en 1 jour des sujets des épreuves de remplacement, en enseignements scientifiques (donc sujet mixant SVT en PC). Et bien d'après les inspecteurs, le chef est en droit de nous demander de rattraper les heures de cours, les élèves étant prioritaires. J'ai dit tout de suite : si on me demande de rattraper, vous ne me verrez pas. Il se trouve que j'ai 7 h de cours le jour de la convoc, faut pas pousser non plus. L'inspecteur s'est même excusé de ne pas pouvoir faire mieux, il devait nous convoquer le soir ou pendant nos vacances. C'est la première fois qu'on me fait le coup (et pas la dernière à mon avis).
Bon, le chef ne m'a rien demandé, mes cours ont été directement annulés sur pronote. Mais c'est proprement inadmissible.
Ah oui ça c'est scandaleux.
Faire ça en lieu et place d'une journée de cours ça peut être agréable, nous changer de la monotonie et du train train de l'ordinaire, le fait de ne pas être spécifiquement rémunéré étant compensé par la journée de cours "perdue".
Mais devoir en plus récupérer les heures ça c'est de l'arnaque absolue !
- UntitledNiveau 8
Lagomorphe a écrit:Au bout de presque 20 ans de maison, j'ai acquis la certitude bien argumenté que le principal trait de l'Education Nationale est l'ingratitude totale envers ses personnels. Faire plus que le boulot strictement prévu par le statut dans l'espoir d'obtenir ultérieurement quelque chose, c'est la garantie quasi absolue d'être déçu. On peut faire des choses en plus, mais parce que ça nous plaît à nous - rien n'interdisant alors de les mettre en valeur lors du PPCR. L'élaboration d'un sujet d'examen peut entrer dans ce cadre, au moins la première fois, je comprends qu'on puisse trouver ça intellectuellement stimulant. Mais il ne faut pas attendre un retour d'ascenseur:
- la mission me plaît / m'intéresse -> je fais (bien)
- la mission me déplaît et est facultative -> je ne fais pas (et rien ne m'oblige à me justifier, ni même seulement à écouter les tentatives de culpabilisation et autres jugements moraux de ceux qui confondent leur morale et leur intérêt personnels avec un texte réglementaire)
- la mission me déplaît mais pas de chance elle est obligatoire et non rémunérée -> je bâcle; si l'Etat-employeur attribuait quelque valeur à cette mission, il l'aurait rémunérée
- la mission me déplaît, est obligatoire et un peu rémunérée -> je fais (convenablement, sans plus), cas typique des corrections d'examen
Lagomorphe Président (encore) !
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- UntitledNiveau 8
Daphné a écrit:anthracite a écrit:Et cerise sur le gateau, maintenant, en plus de ne pas être payés, il faudrait rattraper nos heures de cours.
Convoc de la DEC pour préparation sur place en 1 jour des sujets des épreuves de remplacement, en enseignements scientifiques (donc sujet mixant SVT en PC). Et bien d'après les inspecteurs, le chef est en droit de nous demander de rattraper les heures de cours, les élèves étant prioritaires. J'ai dit tout de suite : si on me demande de rattraper, vous ne me verrez pas. Il se trouve que j'ai 7 h de cours le jour de la convoc, faut pas pousser non plus. L'inspecteur s'est même excusé de ne pas pouvoir faire mieux, il devait nous convoquer le soir ou pendant nos vacances. C'est la première fois qu'on me fait le coup (et pas la dernière à mon avis).
Bon, le chef ne m'a rien demandé, mes cours ont été directement annulés sur pronote. Mais c'est proprement inadmissible.
Ah oui ça c'est scandaleux.
Faire ça en lieu et place d'une journée de cours ça peut être agréable, nous changer de la monotonie et du train train de l'ordinaire, le fait de ne pas être spécifiquement rémunéré étant compensé par la journée de cours "perdue".
Mais devoir en plus récupérer les heures ça c'est de l'arnaque absolue !
En ce qui me concerne, les commissions d'élaboration de sujets n'en ont que le nom ! Puisqu'on me demande d'envoyer lesdits sujets bien en amont des commissions. Et quand je dis "sujet", cela veut dire : sujet + corrigé + barème de notation + matière d’œuvre candidat + matière d’œuvre centre d'examen. En pratique, j'y passe approximativement un week-end entier, voire plus. Les commissions servent seulement à relire/contrôler/modifier les sujets qui ont été envoyés. Ce n'est pas l'efficacité qui nous étouffe...
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- zigmag17Guide spirituel
Untitled a écrit:Lagomorphe a écrit:Nationale est l'ingratitude totale envers ses personnels. Faire plus que le boulot strictement prévu par le statut dans l'espoir d'obtenir ultérieurement quelque chose, c'est la garantie quasi absolue d'être déçu. On peut faire des choses en plus, mais parce que ça nous plaît à nous - rien n'interdisant alors de les mettre en valeur lors du PPCR. L'élaboration d'un sujet d'examen peut entrer dans ce cadre, au moins la première fois, je comprends qu'on puisse trouver ça intellectuellement stimulant. Mais il ne faut pas attendre un retour d'ascenseur:
- la mission me plaît / m'intéresse -> je fais (bien)
- la mission me déplaît et est facultative -> je ne fais pas (et rien ne m'oblige à me justifier, ni même seulement à écouter les tentatives de culpabilisation et autres jugements moraux de ceux qui confondent leur morale et leur intérêt personnels avec un texte réglementaire)
- la mission me déplaît mais pas de chance elle est obligatoire et non rémunérée -> je bâcle; si l'Etat-employeur attribuait quelque valeur à cette mission, il l'aurait rémunérée
- la mission me déplaît, est obligatoire et un peu rémunérée -> je fais (convenablement, sans plus), cas typique des corrections d'examen
Lagomorphe Président (encore) !
Je vote pour aussi!!
- A TuinVénérable
Lagomorphe a écrit:
- la mission me plaît / m'intéresse -> je fais (bien)
- la mission me déplaît et est facultative -> je ne fais pas (et rien ne m'oblige à me justifier, ni même seulement à écouter les tentatives de culpabilisation et autres jugements moraux de ceux qui confondent leur morale et leur intérêt personnels avec un texte réglementaire)
- la mission me déplaît mais pas de chance elle est obligatoire et non rémunérée -> je bâcle; si l'Etat-employeur attribuait quelque valeur à cette mission, il l'aurait rémunérée
- la mission me déplaît, est obligatoire et un peu rémunérée -> je fais (convenablement, sans plus), cas typique des corrections d'examen
C'est très beau et bien dit !
- PrezboGrand Maître
anthracite a écrit:Et cerise sur le gateau, maintenant, en plus de ne pas être payés, il faudrait rattraper nos heures de cours.
Convoc de la DEC pour préparation sur place en 1 jour des sujets des épreuves de remplacement, en enseignements scientifiques (donc sujet mixant SVT en PC). Et bien d'après les inspecteurs, le chef est en droit de nous demander de rattraper les heures de cours, les élèves étant prioritaires. J'ai dit tout de suite : si on me demande de rattraper, vous ne me verrez pas. Il se trouve que j'ai 7 h de cours le jour de la convoc, faut pas pousser non plus. L'inspecteur s'est même excusé de ne pas pouvoir faire mieux, il devait nous convoquer le soir ou pendant nos vacances. C'est la première fois qu'on me fait le coup (et pas la dernière à mon avis).
Bon, le chef ne m'a rien demandé, mes cours ont été directement annulés sur pronote. Mais c'est proprement inadmissible.
L'"avis des inspecteurs" n'a pas force de loi : un CDE ne peut pas t'imposer de rattraper les cours que tu n'as pas assuré parce que tu étais officiellement convoqué sur une autre mission. Dans le cas présent, si je comprends bien, ton chef n'a même pas essayé, c'est l'IPR qui faisait du zèle.
- LordAnthonyNiveau 6
Chez nous les collègues concernés par la rédaction d'un sujet (activité qui s'étale sur 1 an et demi environ) ont demandé à être libéré de leurs obligations de fin d'année pour travailler sur le sujet fin juin. Accord du proviseur qui a prévenu qui de droit. Au final c'est eux qui ont eu le plus de convocations en fin d'année. Du grand foutage de gueule...
- anthraciteNiveau 9
Prezbo a écrit:L'"avis des inspecteurs" n'a pas force de loi : un CDE ne peut pas t'imposer de rattraper les cours que tu n'as pas assuré parce que tu étais officiellement convoqué sur une autre mission. Dans le cas présent, si je comprends bien, ton chef n'a même pas essayé, c'est l'IPR qui faisait du zèle.
Ah, c'est bon à savoir ! En effet, c'est l'IA qui nous a dit que depuis que le ministère voulait un prof devant une classe et 0 heure perdue, les élèves étaient prioritaires devant l'ordre de mission. Le chef n'a rien essayé.
- Vieux_MongolFidèle du forum
Prezbo a écrit:anthracite a écrit:Et cerise sur le gateau, maintenant, en plus de ne pas être payés, il faudrait rattraper nos heures de cours.
Convoc de la DEC pour préparation sur place en 1 jour des sujets des épreuves de remplacement, en enseignements scientifiques (donc sujet mixant SVT en PC). Et bien d'après les inspecteurs, le chef est en droit de nous demander de rattraper les heures de cours, les élèves étant prioritaires. J'ai dit tout de suite : si on me demande de rattraper, vous ne me verrez pas. Il se trouve que j'ai 7 h de cours le jour de la convoc, faut pas pousser non plus. L'inspecteur s'est même excusé de ne pas pouvoir faire mieux, il devait nous convoquer le soir ou pendant nos vacances. C'est la première fois qu'on me fait le coup (et pas la dernière à mon avis).
Bon, le chef ne m'a rien demandé, mes cours ont été directement annulés sur pronote. Mais c'est proprement inadmissible.
L'"avis des inspecteurs" n'a pas force de loi : un CDE ne peut pas t'imposer de rattraper les cours que tu n'as pas assuré parce que tu étais officiellement convoqué sur une autre mission. Dans le cas présent, si je comprends bien, ton chef n'a même pas essayé, c'est l'IPR qui faisait du zèle.
J'ai plutôt l'impression que les choses, en tout cas chez moi, se passent de la manière suivante :
- le recteur et le secrétaire général font pression sur les chefs de services et le collège des inspecteurs pour que les règles de convocation soient appliquées de manière très strictes, loyauté institutionnelle oblige. Si ça marchent pas trop bien ils peuvent se défausser en engueulant les étages inférieurs. Et soupçonnent quand même un peu CDE et inspecteurs de rechigner à mettre en œuvre une réforme si simple.
- les services et les inspecteurs, plus confrontés au réel, sont copieusement emm...dés. Pour que les choses tournent il faut bien convoquer, mais en mettant quelques garde-fous qui renvoient la responsabilité vers l'établissement.
- les chefs d'établissement qui en ont gros sur la patate que ça leur retombe dessus prennent la décision de laisser partir, mais supportent de plus en plus mal la situation.
- Pourquoi 3,14159Expert
N'oubliez pas, qu'aujourd'hui, il y a l'IA !
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"Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité. " (Albert Einstein).
- courage_fuyonsNiveau 5
Une seule solution : il suffit de devenir un des collègues « qui ne sont jamais sollicités ». Pour cela renoncer a l’idée d’une promotion et autres récompenses de l’inspecteur … et s’esquiver au besoin… et ne pas culpabiliser!
Saviez vous qu’il est possible de renoncer au PPCR? De refuser merci mais non merci la visite d’inspection ?
Se faire oublier car on ne peut pas compter sur vous… et arrêter de travailler gratuitement en dehors des cours.
On a toujours le choix, il faut juste s’en donner les moyens. Savoir ce qu’on perd et ce qu’on gagne.
Saviez vous qu’il est possible de renoncer au PPCR? De refuser merci mais non merci la visite d’inspection ?
Se faire oublier car on ne peut pas compter sur vous… et arrêter de travailler gratuitement en dehors des cours.
On a toujours le choix, il faut juste s’en donner les moyens. Savoir ce qu’on perd et ce qu’on gagne.
- UntitledNiveau 8
courage_fuyons a écrit:Une seule solution : il suffit de devenir un des collègues « qui ne sont jamais sollicités ». Pour cela renoncer a l’idée d’une promotion et autres récompenses de l’inspecteur … et s’esquiver au besoin… et ne pas culpabiliser!
Saviez vous qu’il est possible de renoncer au PPCR? De refuser merci mais non merci la visite d’inspection ?
Se faire oublier car on ne peut pas compter sur vous… et arrêter de travailler gratuitement en dehors des cours.
On a toujours le choix, il faut juste s’en donner les moyens. Savoir ce qu’on perd et ce qu’on gagne.
C'est vrai, mais c'est quand même désolant d'en arriver là ! Car il suffirait de pas grand-chose pour qu'on fasse le boulot avec plaisir (au hasard : une petite rétribution financière). Franchement tous les profs que je connais sont de bonne volonté à la base. Ça m’écœure de voir à quel point le système nous écrase et nous use à force de tirer sur la corde.
Je précise que je viens de constater que mes 3 jours d'absence pour commission sont estampillés "absence personnelle" sur Pronote. Ça aussi ça me rend dingue. Ça les étoufferait de marquer "convocation administrative" ?
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- Vieux_MongolFidèle du forum
courage_fuyons a écrit:Une seule solution : il suffit de devenir un des collègues « qui ne sont jamais sollicités ». Pour cela renoncer a l’idée d’une promotion et autres récompenses de l’inspecteur … et s’esquiver au besoin… et ne pas culpabiliser!
Saviez vous qu’il est possible de renoncer au PPCR? De refuser merci mais non merci la visite d’inspection ?
Se faire oublier car on ne peut pas compter sur vous… et arrêter de travailler gratuitement en dehors des cours.
On a toujours le choix, il faut juste s’en donner les moyens. Savoir ce qu’on perd et ce qu’on gagne.
Quand je pense qu'avant on prenait ces collègues pour des fumistes sans morale qui faisaient faire le boulot aux autres et pas pour des vrais révolutionnaires en lutte. Qu'est-ce qu'on a pu être naïfs quand même !
- henrietteMédiateur
O tempora, o mores.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Untitled a écrit:courage_fuyons a écrit:Une seule solution : il suffit de devenir un des collègues « qui ne sont jamais sollicités ». Pour cela renoncer a l’idée d’une promotion et autres récompenses de l’inspecteur … et s’esquiver au besoin… et ne pas culpabiliser!
Saviez vous qu’il est possible de renoncer au PPCR? De refuser merci mais non merci la visite d’inspection ?
Se faire oublier car on ne peut pas compter sur vous… et arrêter de travailler gratuitement en dehors des cours.
On a toujours le choix, il faut juste s’en donner les moyens. Savoir ce qu’on perd et ce qu’on gagne.
C'est vrai, mais c'est quand même désolant d'en arriver là ! Car il suffirait de pas grand-chose pour qu'on fasse le boulot avec plaisir (au hasard : une petite rétribution financière). Franchement tous les profs que je connais sont de bonne volonté à la base. Ça m’écœure de voir à quel point le système nous écrase et nous use à force de tirer sur la corde.
Je précise que je viens de constater que mes 3 jours d'absence pour commission sont estampillés "absence personnelle" sur Pronote. Ça aussi ça me rend dingue. Ça les étoufferait de marquer "convocation administrative" ?
Je trouve ça absolument scandaleux.
Ca alimente un discours nauséabond sur les absences des enseignants. Je pense qu'il faut absolument se battre pour que le motif de l'absence ne puisse prêter à confusion.
C'est sans doute aussi une question informatique dans Pronote, mais un logiciel, ça évolue.
Attention peut-être à la formulation : l'expression "convocation administrative" a un petit goût de sanction,
- Clecle78Bon génie
Mais, ça s'appelle absence administrative et pas convocation. Il faut en effet exiger que le motif soit changé .
- UntitledNiveau 8
CarmenLR a écrit:
Je trouve ça absolument scandaleux.
Ca alimente un discours nauséabond sur les absences des enseignants. Je pense qu'il faut absolument se battre pour que le motif de l'absence ne puisse prêter à confusion.
C'est sans doute aussi une question informatique dans Pronote, mais un logiciel, ça évolue.
Oui c'est bien ce qui me dérange aussi ! À la réflexion il me semble bien avoir déjà vu "absence administrative" sur mon EDT donc je pense que c'est juste une mauvaise manip de ma secrétaire de direction. Je vais passer la voir pour lui demander de modifier cela.
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