Caplp économie gestion option commerce vente via le CNED avec procédure de "démission reconversion'

Bonjour à toutes et tous.

Étant actuellement dans l'optique de me lancer dans le concours du Caplp , pour la session 2021, il me reste quelques interrogations.

Je vous explique déjà ma situation: je suis actuellement en CDI responsable rayons depuis 2013, et souhaite me reconvertir vers l'enseignement professionnel.

J'ai vu que le CNED proposait une formation spécifique pour ce concours , mais celle-ci est-elle compatible avec les euros de mon compte personnel de formation accumulé au cours de ma carrière professionnelle?
Ayant contacté le CNED à ce sujet depuis plus d'un mois il me dise qu'il sont débordés et ne peuvent me répondre pour le moment...
Si vous avez aussi des retours sur cette formation CNED dans son contenu et sa pertinence, je suis preneur !

Afin de préparer au mieux ce concours, j'aurais aussi souhaité faire l'objet d'une procédure de "démission-reconversion", qui a été crée par l'état fin 2019, qui me permettrait de démissionner quelques mois avant le concours tout en me garantissant un droit au chômage maintenu durant cette période de "transition", mon boss refusant tout départ conventionnel...
Si quelqu'un à déjà fait appel à cette procédure pour le concours j'aimerais avoir son retour sur la commission , et surtout savoir si cela est bien rentré dans le cadre de la "reconversion professionnelle" pour eux?

Si certains ont également envisagé ou préparé le concours, tout en restant en poste en CDI, je veux bien aussi leur retour car c'est aussi une solution que j'ai envisagée, mais cela me semble un peu compliqué en terme de temps de préparation...

Merci d'avance pour les futures réponses

Bonjour, alors mon pseudo est un peu plus compliqué que ça , en tout cas mon nom n est pas Humbert si c est ce que tu sous entend , mais merci quand même .

Pas de problème, alors

jhumbert a écrit:

Si certains ont également envisagé ou préparé le concours, tout en restant en poste en CDI, je veux bien aussi leur retour car c'est aussi une solution que j'ai envisagée, mais cela me semble un peu compliqué en terme de temps de préparation...

Bonjour Jhumbert,

J'ai obtenu le CAPLP option vente en 2016. J'étais à l'époque responsable de magasin, maman de deux enfants ( qui avaient 3 et 6 ans) et j'ai préparé le concours complètement seule. Je n'ai pas eu besoin du CNED, et j'avais été classé dans le 1er tiers des lauréats.

Mes conseils :
- t'imprégner très fortement des rapports de jury : les lire plusieurs fois, essayer de comprendre le sens... certaines années, j'avais pu trouver des copies que le jury jugeait excellente.
- travailler les différents thèmes économiques ou juridiques : j'avais fait des fiches pour les grands thèmes donnés au programme et j'avais retravaillé les cours de BTS MUC ( remplacé depuis par le MCO)
- faire un maximum de sujets des années antérieurs suivant le temps imparti. Puis prendre la correction en utilisant les rapports de jurys et/ou internet
- te libérer un créneau spécifique dans la semaine

Il faut pouvoir dégager pas mal d'heures pour pouvoir se préparer sereinement. Pour ma part, j'utilisais tous mes mercredis matins (je mettais les enfants en garde), et le temps de midi. Environ 1 mois avant les épreuves écrites, j'y ai rajouté 2 ou 3 soirées par semaine.

Courage dans ta préparation !

Bonjour,

Lauréate en 2015, il n'y avait pas encore de "démission-reconversion". Lorsque j'ai été reçue au concours, j'ai envoyé une demande de congé sabbatique d'un an avec un peu de retard car il y a un préavis de 3 mois mais elle a été acceptée par mon employeur (banque). J'ai trouvé cette solution très confortable puisqu'elle me permettait de reprendre mon ancien poste en cas de problème. J'ai préparé avec le CNED. Je trouve que c'est une bonne préparation lorsque l'on est novice et qu'il n'y a pas professeur dans son entourage. Cependant, j'ai aidé une amie à préparer son concours sans le cned et mes conseils ont portés leurs fruits du coup j'ai tendance à dire que si quelqu'un a présenté le concours récemment il pourra aussi être de très bon conseil, je rejoins d'ailleurs Bouboudnunu sur ses conseils de travail préparatoire.
Concernant le CPF, seuls les heures DIF sont libres de financer la formation de ton choix. Sinon, dans le cadre du nouveau dispositif, les heures CPF financent des formations indiquées dans ton CPF. Les autres formations peuvent éventuellement être ajoutées à la demande des organismes mais le choix est pour l'instant un peu limité.
Personnellement, j'avais aussi fait le choix de préparer la L3 comme j'avais un BTS même si je n'y étais pas obligée pour m'inscrire au CAPLP vente. J'ai financé ma L3 à distance grâce au CIF "formation hors temps de travail". Aujourd'hui je ne regrette pas car ma licence m'a permis d'être CAPET par détachement.
Ce n'est que mon expérience et mes choix mais avant de prendre une décision, j'ai listé toutes les possibilités: choix de formation, mode de financement, choix de cessation de travail... J'ai effectué des heures de recherches, contacté des tas d'organismes (Fongecif, cned, université, DRH...). J'ai ensuite sélectionné ce qui me semblait être la bonne combinaison dans mon cas.
Après si tu as d'autres questions notamment sur le fonctionnement de ton CPF tu peux me faire un MP.

jhumbert a écrit:Bonjour à toutes et tous.

Étant actuellement dans l'optique de me lancer dans le concours du Caplp , pour la session 2021, il me reste quelques interrogations.

Je vous explique déjà ma situation: je suis actuellement en CDI responsable rayons depuis 2013, et souhaite me reconvertir vers l'enseignement professionnel.

[...]
Merci d'avance pour les futures réponses  

Je ne me prononce pas sur "démission reconversion" car je ne connais pas.
En plus des conseils judicieux qui t'ont été fournis, un exemple parmi mes collègues de vente qui elle aussi (comme beaucoup) est une reconvertie. Elle avait contacté mon établissement de l'époque et avait assisté à des cours de deux profs qui étaient volontaires. Elle avait parfois travaillé avec l'un d'eux pour voir comment il préparait ses cours. Je ne sais pas par quel intermédiaire elle était passé, l'établissement ? l'inspection académique ? Une fois admise à l'oral l'inspecteur de vente lui avait même proposé de faire des entraînements pour l'oral et l'avait conseillée.

Peut-être que tu as des contacts prof, par exemple des enseignants de X ou Y établissements pro qui placent des élèves en stage dans votre établissement, que tu as peut-être rencontré lorsqu'ils venaient effectuer des visites de stages ? Le contact avec le chef des travaux (cela ne s'appelle plus comme cela, mais c'est à coucher dehors comme nom) d'un établissement qui vous enverrait des stagiaires ?
Cela peut être utile et à tenter même si ce n'est pas non plus indispensable.

Bon courage à toi, en espérant un jour de voir dans notre "maison qui rend fou".

Je complète les propos de Jacq.

En tant que responsable de magasin, j'avais des contacts avec des enseignants lors des visites de stage. Sur le bassin minier dans lequel je suis, il y a deux lycée pro : j'avais des contacts dans chacun des deux lycées. Une collègue (maintenant partie en CAPET, elle aussi), m'avait demandé d'être jury de l'oral de bac pro commerce. C'était une expérience très chouette et très formative : pouvoir découvrir le niveau des élèves, prendre connaissance des référentiels (programmes).

Nadounet : le détachement correspond à tes attentes ? J'avais fais cette demande, en même temps que l'inscription au concours interne du capet. J'ai été lauréate au concours, donc plus besoin du détachement. Vois tu de grandes différences de public qu'en plp ?

Bouboudnunu a écrit:Je complète les propos de Jacq.

Nadounet : le détachement correspond à tes attentes ? J'avais fais cette demande, en même temps que l'inscription au concours interne du capet. J'ai été lauréate au concours, donc plus besoin du détachement. Vois tu de grandes différences de public qu'en plp ?

Bouboudnunu, je te dirai cela bientôt car je vais faire ma première rentrée en lycée technique cette année . J'ai était admissible 2 fois au CAPET externe et la dernière fois (cette année), j'ai raté de 0,25 points à l'oral. Heureusement, j'ai demandé en parallèle le détachement. Pour l'instant je suis ravie car le lycée où je serai m'a indiqué que je ferai aussi du BTS ce que j'imagine improbable pour un stagiaire. J'ai assisté à plusieurs heures de cours en STMG et BTS au cours des dernières années grâce à des collègues sympas qui m'ont permis d'assister à leur cours en accord avec le CDE. J'ai de la veine car je ne change pas de commune, juste d'établissement et je connais déjà bien le lycée où je serai. Sinon, forcément ça sera un énorme changement pour moi qui n'ai fait qu'1 an en lycée pro et 4 ans en SEGPA. Je quitte donc la SEGPA pour la STMG et le BTS. D'après les ressentis des collègues les bac pro sont "plus sympas" que les STMG au niveau relationnel, j'avoue que j'ai beaucoup aimé travaillé avec les Bac pro, bien plus qu'avec les CAP et les SEGPA. L'an dernier j'ai assisté à un cours de merca, je me suis mise au fond de la salle et là une terminale STMG m'interpelle et me dit :"vous êtes là parce que vous voulez travailler avec les STMG mais vous avez vu notre classe et vous n'avez pas peur?", j'ai répondu :"actuellement j'ai des SEGPA et ça va", elle m'a dit "ha ouais, non vous n'avez pas peur" :sourit: Du coup, je suis dans la même situation que toi, c'est tout nouveau et j'espère que je serai à la hauteur même sans tuteur.

Merci pour vos retours d expériences, ça m'aide grandement, mention spéciale pour demander d assister à un ou plusieurs cours directement en classe je n y aurais pas pensé . (Bon avec la covid je peux toujours tenté mais ça risque d être complexe...).

Pour ceux qui ont déjà débuté l enseignement des cours justement , tout les gens à qui j' ai parlé de ma reconversion me dise "tu va travailler en lycée pro tu n'as pas peur?", "Certains élèves ont l air d être difficiles"
Si vous avez des retours la dessus aussi car je n'avais pas eu peur de celà, mais est ce si compliqué que ça ? (Les gens qui me disent ça ne sont absolument pas dans l enseignement comme vous vous en doutez...)

Nadounet : ce serait sympa de ce suivre cette année, nos parcours se ressemblent en effet beaucoup.

Jhumbert : je vais être franche, le début de l'enseignement en lycée pro a été un choc pour moi. Il m'a bien fallu jusqu'aux vacances de Toussaint pour m'en remettre. Durant mon année de stage, je n'avais qu'une seule classe à 9h par semaine. C'était une classe de 30 très dure. Je ne m'attendais pas à tant d'élèves présents par dépit et non par choix, sans intérêt autre que celui de tout faire sauf que de suivre le cours. Heureusement pour moi, il en était de même avec les collègues, et mes tuteurs Espé et établissement, ainsi que l'inspecteur lors de sa visite, m'ont conforté dans mes pratiques et m'ont dit que parfois ça se passait comme ça.

L'année de titularisation, j'ai été envoyé en zone de prévention violence dans l'académie de Créteil (merci l'affectation à 1h20 de TGV malgré mes 2 enfants). J'appréhendais. Là, c'était complètement différent : des élèves plutôt gentils et à bon fond, mais avec un absentéisme d'environ 40%. Ce n'est pas facile non plus à appréhender, il faut beaucoup différencier les apprentissages.

Enfin, les deux années passées, j'ai retrouvé le lycée proche de chez moi, et mes fameux loulous ( qui n'étaient plus en seconde, mais en terminale). Toujours aussi dur avec eux, mais avec les autres classes, les enseignements étaient cool.

Pour avoir assister durant mon stage à des cours en lycée général, je dirai que oui, en pro nos élèves sont plus compliqués. Mais ils sont aussi attachants, dans l'affectif. On les connait bien quand on les a entre 6 à 7h par semaine par classe.

Encore une fois je rejoins complètement Bouboudnunu
Affectée en segpa pour mon année de stage sans avoir jamais enseigné ou assisté à un cours. Pas de tuteur jusqu'en octobre car les collègues de LP ont refusé, des titulaires disaient ne pas savoir gérer les segpa!
Des la rentrée, j'ai fait figure d'autorité devant les élèves mais j'ai vraiment cru que je n'y arriverais pas, surtout seule. Comme dit précédemment, j'étais en congé sabbatique et j'ai vraiment pensé à reprendre mon ancien job sauf qu'il n'est pas possible de rompre un congé en cours. Je me suis dit tant pis, je fais mon année et on verra.
En octobre, j'ai eu un super tuteur qui était surtout là pour m'écouter et m'encourager. Rapidement, j'ai découvert que j'aimais beaucoup faire cours, voir les élèves progresser même s'il fallait se fâcher parfois en plus une relation de confiance s'était créée. En somme, j'ai eu un déclic, une vocation est née et je ne me vois plus faire un autre métier!
Après, le public pro n'est pas facile mais pour certains prof c'est un public qui leur convient bien, du coup ils te diront que ce n'est pas si difficile que cela. Il faut tenter l'expérience pour véritablement se faire une idée.

Bouboudnunu a écrit:Nadounet : ce serait sympa de ce suivre cette année, nos parcours se ressemblent en effet beaucoup.

OUI

Concernant les affectations (je n'en suis pas encore là mais autant demandé vu que le sujet est lancé ), comment cela fonctionne, selon son ordre au concours on sélectionne l affectation ou on ne choisit pas du tout? ( J'imagine qu'il y a également une histoire de coefficient familial, pacs et mariage? ).

Oui il y a des points d'affectation liés au classement, à la situation familiale et à la carrière (ex contractuel par exemple). Il y a une affectation nationale pour l'année de stage puis une affectation nationale lors de la titularisation. Donc il faudra se préparer à partir loin avec la possibilité de retrouver son académie avec le temps (points d'années d'éloignement). En vente, les barres sont souvent hautes même sur Dijon, il faut les consulter pour avoir une idée selon ta situation des chances d'accéder à l'académie de Dijon. Le barème et les barres sont publiées sur internet.

Je suis justement de l'aca de Dijon. Et même mariée, avec 2 enfants, j'ai été "éjectée" hors de l'aca pour la titularisation... pourtant j'avais beaucoup de points !

Ok après Dijon est ma ville d adoption je ne suis pas spécialement "attaché " à elle mais ok je comprend mieux le système merci

Du coup "bouboudnunu" tu exerces maintenant sur Dijon si tu es revenu vers chez toi comme tu as dit précédemment ?

Dans l'académie... mais elle est vaste...

Pour l'AC Dijon en Eco-Gestion, c'est une académie "moyenne" pour l'obtenir (moyenne par rapport aux autres Aca, mais cela reste "pas facile"). Pour cette année c'était 406 points, ce qui ne veut pas dire grand chose, mais seulement trois entrants (c'est cela qui est le plus éclairant). A titre de comparaison, les Aca voisines étaient à 955 points (Lyon, trois entrants aussi), 729 pour Besançon (3 entrants), Clermont 858 (3 entrants) et pour les moins demandées, Reims 215 (8 entrants), Orléans 102 (10 entrants), et bien évidemment la palme pour Créteil, 14 points avec 28 entrants (Versailles, 14 points aussi).
Cela te donne, Jhumbert, une idée des écarts entre académies (pour info, Montpellier et Marseille sont à plus de 1500 points).

Cela veut dire surtout que même marié(e) et avec enfants, c'est chaud !

La collègue devenue amie dont je parlais savait que même avec mari (divorcés), enfants (avec garde partagée) c'était ticket direct pour Créteil. Mais coup de chance phénoménal, l'année où elle passait au mouvement interacadémique, mon académie qui se promenait depuis des années à 500-600 points est tombée à 200 ! Elle a eu l'académie du premier coup et en plus un poste à cinq minutes de chez elle ! Mais il ne faut pas rêver, depuis les points sont remontés, elle a vraiment eu le c.l bordé de nouilles !

C'est pour cela que j'ai plein d'amis-collègues qui restent contractuels dans mon académie plutôt que de risquer de partir à Créteil.

Pour la taille de l'Aca, oui, l'AC Dijon est grande. J'ai une collègue qui vit dans l'Aca de Dijon mais reste en poste dans mon académie, limitrophe de celle de Dijon car, hors académie, elle se retrouve proche de la ville où elle réside (bordure de l'Aca de Dijon) alors que si elle obtenait l'Aca de Dijon elle se retrouverait potentiellement de l'autre côté, bien plus loin de chez elle.

Merci de ces précisions au moins c est du concret là

jhumbert a écrit:Du coup "bouboudnunu" tu exerces maintenant sur Dijon si tu es revenu vers chez toi comme tu as dit précédemment ?

Bouboudnunu a écrit:Dans l'académie... mais elle est vaste...

Il faut vraiment penser l'idée que l'on peut être muté à Créteil/Versailles. J''avais pensé à cela lorsque j'ai passé le concours.  Mes amis m'avaient dit "tu pars pour Paris [les banlieues]" et j'avais dit "oui". Il faut penser à cela en premier. Nous partons là où il y a des postes.  L'emploi "à vie" cela va aussi avec "là où il y a des besoins" et c'est ensuite difficile d'en partir (mes copains d'Eco-G-C l'ont vu).

Pour le public, nos élèves. Je peux peut-être  plus te répondre que tes futurs collègues car j'ai toutes les sections (prof de matière générale) : les Commerce, Vente, Accueil ne sont pas les pires. Ce sont des sections qui restent attractives. Ils sont [modéré] car ils sont actifs, toujours besoin de mouvement, toujours le besoin du mouvement. Mais ce sont de bons gamins souvent, le plus souvent. Je n'ai aucun mauvais souvenir de ces classes, sauf lorsqu'ils sont à 30+ et que lorsque que tout le monde veut prendre la parole en même temps, c'est pénible.  Tout va dépendre de la zone dans laquelle tu vas tomber, c'est tout. Ils sont aussi [modéré] qu'ils sont dynamiques, mais en même temps si on leur demande de travailler en vente-commerce..... ben il ne faut pas se comporter en légumes. La question n'est pas la section mais plutôt de l'endroit où l'on tombe. Sinon souvent les MRCU sont les meilleures sections, chiantes parce que hyper actives. Mais toi, en tant que pro, tu veux un employé qui se traîne la patte ou un gars hyper actif ?

Et puis en plus, ces élèves de Com-Vente-Acc, "vous" (les collègues d'Eco....) les avez en groupe alors que "nous"(les collègues de matières générales) les avons souvent en classe entière. Donc les conditions ne sont pas les mêmes.

Merci Jacq c est aussi intéressant d avoir un retour de la vision en "matière générale" , plutôt qu'en spécialité , j'imagine bien que le nombre d élevé dans la classe peut vite faire changer l ambiance effectivement...

Merci la modération. Franchement, convenez que les propos sont sincères et sans aucune critique. Disons : "pénibles" pour faire beau ! Il me faut donc admettre que l'on ne peut écrire ce que l'on dit.