- EnaecoVénérable
Le classique Blanquer-bashing qui accompagne ses vidéos.
- encore une vidéo inutile !
- Tu es arrivé jusqu'au bout ? Respect !
- moi je n'ai pas tenu plus de 15s
Il y a quand même plus critiquable qu'un "Bonnes vacances" qui arrive un 8 juillet à 21h. (Les établissements autour de chez moi ont plié les oraux hier à midi)
C'est quand même assez factuel : on est en vacances. Il aurait fallu préciser "et bon courage pour la préparation de vos cours tout au long de ces "vacances"" pour que ça en fasse un discours acceptable ?
Si la petite vidéo de rentrée arrive avant la pré-rentrée, faudra-t-il faire remarquer qu'on a déjà repris le boulot il y a quelques jours (et que d'ailleurs on n'a jamais arreté de travailler pendant les vacances) ?
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Il y a quand même plus critiquable qu'un "Bonnes vacances" qui arrive un 8 juillet à 21h. (Les établissements autour de chez moi ont plié les oraux hier à midi)
C'est quand même assez factuel : on est en vacances. Il aurait fallu préciser "et bon courage pour la préparation de vos cours tout au long de ces "vacances"" pour que ça en fasse un discours acceptable ?
Si la petite vidéo de rentrée arrive avant la pré-rentrée, faudra-t-il faire remarquer qu'on a déjà repris le boulot il y a quelques jours (et que d'ailleurs on n'a jamais arreté de travailler pendant les vacances) ?
- DanskaProphète
En fait, s'il pouvait juste se taire, l'humanité y gagnerait beaucoup. Mon bien-être personnel également.
- User20401Vénérable
Compliqué, dans le premier degré, de préparer une classe avec toutes ces incertitudes… Quid du coin autonomie ? Coin bibliothèque ? Si on doit espacer les tables, je n'aurai pas de place pour tout ça dans l'une de mes écoles. Bref, on va devoir tout organiser au dernier moment (pour le coup, Blanquer n'y est pour rien : on ne sait pas comment sera l'épidémie en septembre) et la rentrée risque d'être sportive !
- piescoModérateur
Enaeco a écrit:Le classique Blanquer-bashing qui accompagne ses vidéos.
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- moi je n'ai pas tenu plus de 15s
Il y a quand même plus critiquable qu'un "Bonnes vacances" qui arrive un 8 juillet à 21h. (Les établissements autour de chez moi ont plié les oraux hier à midi)
C'est quand même assez factuel : on est en vacances. Il aurait fallu préciser "et bon courage pour la préparation de vos cours tout au long de ces "vacances"" pour que ça en fasse un discours acceptable ?
Si la petite vidéo de rentrée arrive avant la pré-rentrée, faudra-t-il faire remarquer qu'on a déjà repris le boulot il y a quelques jours (et que d'ailleurs on n'a jamais arreté de travailler pendant les vacances) ?
Bon, par souci d'exactitude ce sont 10 secondes.
Sérieusement, vu le peu de soutien que nous avons eu de la part de notre Ministère lors de ces mois de crise (je peux concevoir qu'on était tous tête dans l'eau et qu'on a fait du mieux qu'on pouvait, mais bon... quand-même), la faible défense qu'il a fait de nos métiers et de nos conditions de travail quand on nous a traité de fainéants, le nombre de mensonges adressés à la population générale, ce message ne peut pas calmer le jeu. Au moins, ils pourraient soigner la forme vu que pour le contenu, on repassera.
- ZeSandmanFidèle du forum
Pontorson50 a écrit:Toutefois, les collègues plus à risques (plus de 60 ans, morbidité particulière...) risquant de rester à domicile, je vais peut-être devoir admettre le distanciel comme partie de la solution (mais quid des disciplines où cela n'a pas de sens?).
La question que je me pose est : y a-t-il seulement une discipline pour laquelle le distanciel a du sens ?
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Ce sont les rêves qui donnent au monde sa forme.
- Not a PandaHabitué du forum
Enaeco a écrit:Le classique Blanquer-bashing qui accompagne ses vidéos.
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Il y a quand même plus critiquable qu'un "Bonnes vacances" qui arrive un 8 juillet à 21h. (Les établissements autour de chez moi ont plié les oraux hier à midi)
C'est quand même assez factuel : on est en vacances. Il aurait fallu préciser "et bon courage pour la préparation de vos cours tout au long de ces "vacances"" pour que ça en fasse un discours acceptable ?
Si la petite vidéo de rentrée arrive avant la pré-rentrée, faudra-t-il faire remarquer qu'on a déjà repris le boulot il y a quelques jours (et que d'ailleurs on n'a jamais arreté de travailler pendant les vacances) ?
Sa gestion de la crise Covid-19 est une calamité.
Sa communication souvent mensongère et dirigée principalement vers l'électeur plutôt que vers ses personnels.
La réforme des retraites, les mensonges, les promesses vagues pour tenter d'éteindre le mouvement social, la répression subie par les collègues mobilisés.
La réforme du lycée, la précipitation, le bordel général, la répression (encore).
Le fiasco complet lors du bac 2019.
Son maintien au gouvernement qui est un crachat à la figure.
J'en oublie surement.
Il peut faire la vidéo ou le mail le plus parfait avec les meilleurs annonces, aucun enseignant ne le croirait. Des tomates, c'est tout ce qu'il mérite à chacune de ses apparitions.
- ditaNeoprof expérimenté
La question du sens est subsidiaire. Si on en veut, on en trouve.
- Flo44Érudit
Le problème, ce n'est pas le sens, c'est le suivi des élèves.dita a écrit:La question du sens est subsidiaire. Si on en veut, on en trouve.
Quand je vois les questions que certains élèves m'ont posées... sans compter toutes celles qu'ils n'ont pas posées, on voit que ce n'est pas comme en classe.
Et si on veut vraiment suivre les élèves individuellement, ça prend un temps fou. Il faudrait 3 à 4 fois moins d'élèves pour s'en sortir à peu près.
On ne parle même pas des problèmes techniques (pas de réseau, pas d'ordinateur, un smartphone pour 4, etc...)
- Flo44Érudit
D'après Sud Éducation, lors de la suspicion de coronavirus, les consignes sont de ne surtout rien dire (aux collègues, aux élèves)
Suspicions de coronavirus à l'école : "Les premières consignes, c'est surtout ne dites rien"
Les premières consignes, c'est surtout ne dites rien
Ceux qui ont eu des cas dans leur établissement, vous confirmez?
Pour septembre, j'envisage de demander aux collègues d'avertir le plus vite possible les collègues, surtout dès que le test est positif...
Mon médecin est toujours persuadé qu'on teste et isole très vite les cas contacts...
Suspicions de coronavirus à l'école : "Les premières consignes, c'est surtout ne dites rien"
Les premières consignes, c'est surtout ne dites rien
Ceux qui ont eu des cas dans leur établissement, vous confirmez?
Pour septembre, j'envisage de demander aux collègues d'avertir le plus vite possible les collègues, surtout dès que le test est positif...
Mon médecin est toujours persuadé qu'on teste et isole très vite les cas contacts...
- FloEarthNiveau 7
@Flo44 : Je confirme...
- Madame_ProfEsprit sacré
Idem.
_________________
2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- arcencielGrand Maître
Je confirme. C'est l'ARS qui demande de ne rien dire.
- ZeSandmanFidèle du forum
arcenciel a écrit:Je confirme. C'est l'ARS qui demande de ne rien dire.
L'ordre de ne rien dire a clairement été intimé aux infirmiers scolaires dans mon académie début mars...
_________________
Ce sont les rêves qui donnent au monde sa forme.
- mgb35Érudit
Le taux de positivité des tests étant tellement faible, le choix est fait de ne pas affoler la population.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Et aussi, peut-être, de protéger le secret médical, en évitant certains débordements comme il y en a eu…
_________________
Si tu vales valeo.
- JennyMédiateur
On a été prévenus du premier cas dans l’établissement par la presse. Pas de tests généralisés malgré de nombreux cas. Certains collègues malades nous ont quand même prévenus.
- arcencielGrand Maître
Nous, ce fut il y a 3 semaines: une collègue avec symptômes testée positive au covid, traçage de ses contacts (toutes personnes rencontrées lors des 72h avant l'apparition des symptômes). Nous n'avons pas été testés car nous n'avions pas été en contact avec elle durant ces 72H. Et l'ARS nous a interdit d'en parler aux parents et à qui que ce soit (à part le personnel enseignant, agents et périscolaire) pour ne pas semer la panique.ZeSandman a écrit:arcenciel a écrit:Je confirme. C'est l'ARS qui demande de ne rien dire.
L'ordre de ne rien dire a clairement été intimé aux infirmiers scolaires dans mon académie début mars...
- ditaNeoprof expérimenté
Est-on tenu d'obéir à l'ARS ?
- PonocratesExpert spécialisé
Quelle panique ? Des hordes fuyant les zones de cluster, la bave au lèvres, contaminant tout le pays comme dans le Fléau de King ? Comminiquer ne serait-il pas plutôt de nature à pousser les gens à faire attention, à porter ces lutins de masques s'ils savaient qu'ils sont peut-être porteurs sains ? Je ne comprends pas l'ARS. À moins que l'idée soit de permettre au virus de circuler pour atteindre la fameuse immunité de groupe ?arcenciel a écrit:Nous, ce fut il y a 3 semaines: une collègue avec symptômes testée positive au covid, traçage de ses contacts (toutes personnes rencontrées lors des 72h avant l'apparition des symptômes). Nous n'avons pas été testés car nous n'avions pas été en contact avec elle durant ces 72H. Et l'ARS nous a interdit d'en parler aux parents et à qui que ce soit (à part le personnel enseignant, agents et périscolaire) pour ne pas semer la panique.ZeSandman a écrit:arcenciel a écrit:Je confirme. C'est l'ARS qui demande de ne rien dire.
L'ordre de ne rien dire a clairement été intimé aux infirmiers scolaires dans mon académie début mars...
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"If you think education is too expensive, try ignorance ! "
"As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? "
- epekeina.tes.ousiasModérateur
En l'occurrence, révéler des informations couvertes par le secret médical, quand on est fonctionnaire d'Etat et tenu au devoir de réserve et qu'on en a eu la notification explicite, oui, mieux vaudrait ne pas révéler publiquement des informations protégées.
Tu n'as pas lu dans la presse, les cas de personnels soignants harcelés, menacés, etc. pendant le confinement? Et ça, c'est sans compter que, quand je vois un médecin, je ne m'attends pas à ce qu'il parle à tout le monde de moi…
Ponocrates a écrit:Quelle panique ? Des hordes fuyant les zones de cluster, la bave au lèvres, contaminant tout le pays comme dans le Fléau de King ? Comminiquer ne serait-il pas plutôt de nature à pousser les gens à faire attention, à porter ces lutins de masques s'ils savaient qu'ils sont peut-être porteurs sains ? Je ne comprends pas l'ARS. À moins que l'idée soit de permettre au virus de circuler pour atteindre la fameuse immunité de groupe ?
Tu n'as pas lu dans la presse, les cas de personnels soignants harcelés, menacés, etc. pendant le confinement? Et ça, c'est sans compter que, quand je vois un médecin, je ne m'attends pas à ce qu'il parle à tout le monde de moi…
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Si tu vales valeo.
- PonocratesExpert spécialisé
Sauf qu'aujourd'hui l'image du virus n'est pas la même, que l'on sait quelles en sont les principales victimes et que du coup beaucoup cessent d'être prudents. Je ne tiens pas à ce que l'on parle de "moi", mais je trouve normal que l'on prévienne les gens en contact sans mentionner le nom de la personne, afin qu'ils soient plus prudents. Le vrai problème est que l'on soupçonne fortement des asymptomatiques d'être contaminant: dans ces conditions, ne rien dire est absurde.epekeina.tes.ousias a écrit:En l'occurrence, révéler des informations couvertes par le secret médical, quand on est fonctionnaire d'Etat et tenu au devoir de réserve et qu'on en a eu la notification explicite, oui, mieux vaudrait ne pas révéler publiquement des informations protégées.Ponocrates a écrit:Quelle panique ? Des hordes fuyant les zones de cluster, la bave au lèvres, contaminant tout le pays comme dans le Fléau de King ? Comminiquer ne serait-il pas plutôt de nature à pousser les gens à faire attention, à porter ces lutins de masques s'ils savaient qu'ils sont peut-être porteurs sains ? Je ne comprends pas l'ARS. À moins que l'idée soit de permettre au virus de circuler pour atteindre la fameuse immunité de groupe ?
Tu n'as pas lu dans la presse, les cas de personnels soignants harcelés, menacés, etc. pendant le confinement? Et ça, c'est sans compter que, quand je vois un médecin, je ne m'attends pas à ce qu'il parle à tout le monde de moi…
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C'est le livre ? "
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Ponocrates a écrit:Sauf qu'aujourd'hui l'image du virus n'est pas la même, que l'on sait quelles en sont les principales victimes et que du coup beaucoup cessent d'être prudents. Je ne tiens pas à ce que l'on parle de "moi", mais je trouve normal que l'on prévienne les gens en contact sans mentionner le nom de la personne, afin qu'ils soient plus prudents. Le vrai problème est que l'on soupçonne fortement des asymptomatiques d'être contaminant: dans ces conditions, ne rien dire est absurde.
Mais justement: c'est aux médecins, dont l'ARS, de le faire — et pas à toi, ou à moi ou à quiconque. Tu dis que tu ne tiens pas à ce que l'on parle de toi: tout le monde est comme ça, et personne ne veut que ses problèmes personnels soient exposés en public. Et les recherches de contact se font toujours en en disant le moins possible (c'était déjà comme ça, dans les années 80, à l'époque du SIDA) et en demandant aux personnes de ne rien dire, de ne rien répéter, de respecter la confidentialité. Encore une fois: c'est parfaitement normal, et le contraire serait véritablement scandaleux. Pour un prof, ça vaut vis-à-vis des collègues, vis-à-vis des élèves (avec circonstances aggravantes le cas échéant) et vis-à-vis des parents.
Il faut absolument séparer ce point de la question de savoir si l'ARS fait ou ne fait pas son travail, si elle en a ou pas les moyens et ne pas céder à l'illusion de rendre tout public, surtout si c'est pour pallier des insuffisances côté médecine.
_________________
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- PonocratesExpert spécialisé
epekeina.tes.ousias a écrit:Ponocrates a écrit:Sauf qu'aujourd'hui l'image du virus n'est pas la même, que l'on sait quelles en sont les principales victimes et que du coup beaucoup cessent d'être prudents. Je ne tiens pas à ce que l'on parle de "moi", mais je trouve normal que l'on prévienne les gens en contact sans mentionner le nom de la personne, afin qu'ils soient plus prudents. Le vrai problème est que l'on soupçonne fortement des asymptomatiques d'être contaminant: dans ces conditions, ne rien dire est absurde.
Mais justement: c'est aux médecins, dont l'ARS, de le faire — et pas à toi, ou à moi ou à quiconque. Tu dis que tu ne tiens pas à ce que l'on parle de toi: tout le monde est comme ça, et personne ne veut que ses problèmes personnels soient exposés en public. Et les recherches de contact se font toujours en en disant le moins possible (c'était déjà comme ça, dans les années 80, à l'époque du SIDA) et en demandant aux personnes de ne rien dire, de ne rien répéter, de respecter la confidentialité. Encore une fois: c'est parfaitement normal, et le contraire serait véritablement scandaleux. Pour un prof, ça vaut vis-à-vis des collègues, vis-à-vis des élèves (avec circonstances aggravantes le cas échéant) et vis-à-vis des parents.
Il faut absolument séparer ce point de la question de savoir si l'ARS fait ou ne fait pas son travail, si elle en a ou pas les moyens et ne pas céder à l'illusion de rendre tout public, surtout si c'est pour pallier des insuffisances côté médecine.
Je n'ai pas dit que c'était à moi de diffuser la nouvelle concernant un tiers, mais que l'ARS signale aux personnes fréquentant un établissement "attention il y a un, deux, trois cas à l'heure actuelle dans cet établissement, redoublez d'attention dans l'application des gestes barrières", c'est nécessaire, surtout à l'heure où la vigilance se relâche. Et cela n'a rien à voir avec "exposer des problèmes personnels en public". Le problème est que les symptômes sont très variés, que l'on peut passer à côté et quand même contaminer des gens sans le savoir.
À l'école primaire, en crèche, on ne fait pas tant de manière pour mettre un écriteau indiquant "Il y a eu des cas de poux, redoublez d'attention". Et ce n'est pas potentiellement mortel...
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C'est le livre ? "
- arcencielGrand Maître
Je pense que l'ARS l'aurait signalé aux parents d'élèves si la collègue avait cotoyé les élèves pendant les 72H avant symptômes...
- ditaNeoprof expérimenté
La confidentialité peut tuer. C'est est avec des circonlocutions, des ajournements, des effarouchements de pucelle, de la lenteur et du jus de cerveau que l'on va mourir.
- Ramanujan974Érudit
Je trouve hallucinant l'attitude de l'ARS, voire même criminel.
Je ne vois pas en quoi le secret médical est remis en cause en disant qu'il y a des cas dans tel établissement, il ne s'agit pas de clamer haut et fort que l'élève Bidule de la 4eB ou M. Machin prof de maths est malade du CoVid, mais d'avertir les autres usagers du risque.
Je ne vois pas en quoi le secret médical est remis en cause en disant qu'il y a des cas dans tel établissement, il ne s'agit pas de clamer haut et fort que l'élève Bidule de la 4eB ou M. Machin prof de maths est malade du CoVid, mais d'avertir les autres usagers du risque.
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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