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- DicloniaExpert
Ne pas oublier de remercier pour avoir pensé à toi...
Le modèle de FOP est très bien !
Mais dire non merci, simplement, sans faux prétexte, ce qui à terme, pourrait se retourner contre toi.
Tout de même, tu as bien le droit de ne pas vouloir être désigné volontaire pour du bénévolat, 2 heures par semaines...
Le modèle de FOP est très bien !
Mais dire non merci, simplement, sans faux prétexte, ce qui à terme, pourrait se retourner contre toi.
Tout de même, tu as bien le droit de ne pas vouloir être désigné volontaire pour du bénévolat, 2 heures par semaines...
- roxanneOracle
Et puis, peut-être au fond que ça se fait par habitude et par une sorte d'obligation collective sans réel enthousiasme . Si ça se trouve, tu vas ouvrir la boite de Pandore...J'ai déjà vu ce genre de choses arriver. Pas sure que ça passionne tout le monde finalement, et s'ils voient que tu dis non simplement, d'autres suivront .
- CathEnchanteur
Ne jamais s'empêtrer dans des mensonges.
Tu ne désires plus. Voilà tout.
Tu ne désires plus. Voilà tout.
- celitianSage
Le risque est que tu finisses par "exploser", et cela peut être encore plus difficile de recoller les morceaux avec tes collègues (j'ai connu ça, plusieurs mois pour revenir comme avant).
- glucheNiveau 10
En fait, la question de départ est faussée: quand on dit non, on prend toujours le risque de froisser quelqu'un.
Je suis d'accord avec le fait de ne pas te justifier, ça évite tout jugement sur tes raisons de refuser.
En tout cas, plutôt que de te dire que tu vas peut-être compliquer les relations dans l'équipe, mets-toi plutôt dans la tête que tu vas les assainir, pour toi en tout cas, et peut-être même pour les autres. Peut-être qu'on t'en voudra un peu, qu'on sera un peu déçu, ce qui peut aussi se comprendre, mais, entre gens de bonne composition, tout ça n'est généralement pas bien grave et s'apaise avec le temps.
Je suis d'accord avec le fait de ne pas te justifier, ça évite tout jugement sur tes raisons de refuser.
En tout cas, plutôt que de te dire que tu vas peut-être compliquer les relations dans l'équipe, mets-toi plutôt dans la tête que tu vas les assainir, pour toi en tout cas, et peut-être même pour les autres. Peut-être qu'on t'en voudra un peu, qu'on sera un peu déçu, ce qui peut aussi se comprendre, mais, entre gens de bonne composition, tout ça n'est généralement pas bien grave et s'apaise avec le temps.
- Clecle78Bon génie
Le problème vient tout de même du fait que la collègue était présumée consentante dès son arrivée. Ça en dit le long sur l'équipe tout de même. Cela l'a incitée à accepter la première année et le piège s'est refermé. Peut être dire que tu as bien apprécié cette année mais que tu as constaté que cela te fatiguait et que tu as besoin de ta pause de midi sans rentrer dans les détails.
- gauvain31Empereur
Clecle78 a écrit:Le problème vient tout de même du fait que la collègue était présumée consentante dès son arrivée. Ça en dit le long sur l'équipe tout de même. Cela l'a incitée à accepter la première année et le piège s'est refermé. Peut être dire que tu as bien apprécié cette année mais que tu as constaté que cela te fatiguait et que tu as besoin de ta pause de midi sans rentrer dans les détails.
Cela me semble très bien de le dire comme ça. On ne pourra pas l'accuser de ne pas avoir essayer.
Cette mentalité de penser qu'il faut faire des choses de façon bénévole ... et en plus l'imposer à une collègue arrivante est vraiment caractéristiques de l'EN. Et je suis d'accord que cela interroge sur la mentalité de l'équipe . Cette mentalité (que l'on retrouve surtout au primaire) me tapait déjà avant sur le système, mais dans le cadre d'un mépris institutionnalisé et d'une baisse des salaires via le gel du point d'indice, cela devient pour moi indécent.
Il devrait y avoir boycott et même un arrêt définitif de toutes les activités "club" bénévoles dans ce contexte. J'aimerais dans le monde d'Après qu'il y ait au moins changement de mentalité à ce niveau-là dans l'EN. Puisque nous ne sommes bons qu'à obtenir des badges ....
- User10247Niveau 8
Effectivement.Clecle78 a écrit:Le problème vient tout de même du fait que la collègue était présumée consentante dès son arrivée. Ça en dit le long sur l'équipe tout de même. Cela l'a incitée à accepter la première année et le piège s'est refermé. Peut être dire que tu as bien apprécié cette année mais que tu as constaté que cela te fatiguait et que tu as besoin de ta pause de midi sans rentrer dans les détails.
C'était à ce moment là qu'il fallait refuser sans rentrer dans les prémices d'une justification. Se justifier, peut être interprété comme le fait qu'il y'a matière à discussion et à débat.
Là, il s'agit de conserver de bonnes relations, donc il faut mettre de l'eau dans son vin et avancer une raison (plutôt que d'opposer un refus sec qui envenimerait les choses)
- LilypimsGrand sage
gauvain31 a écrit:Clecle78 a écrit:Le problème vient tout de même du fait que la collègue était présumée consentante dès son arrivée. Ça en dit le long sur l'équipe tout de même. Cela l'a incitée à accepter la première année et le piège s'est refermé. Peut être dire que tu as bien apprécié cette année mais que tu as constaté que cela te fatiguait et que tu as besoin de ta pause de midi sans rentrer dans les détails.
Cela me semble très bien de le dire comme ça. On ne pourra pas l'accuser de ne pas avoir essayer.
Cette mentalité de penser qu'il faut faire des choses de façon bénévole ... et en plus l'imposer à une collègue arrivante est vraiment caractéristiques de l'EN. Et je suis d'accord que cela interroge sur la mentalité de l'équipe . Cette mentalité (que l'on retrouve surtout au primaire) me tapait déjà avant sur le système, mais dans le cadre d'un mépris institutionnalisé et d'une baisse des salaires via le gel du point d'indice, cela devient pour moi indécent.
Il devrait y avoir boycott et même un arrêt définitif de toutes les activités "club" bénévoles dans ce contexte. J'aimerais dans le monde d'Après qu'il y ait au moins changement de mentalité à ce niveau-là dans l'EN. Puisque nous ne sommes bons qu'à obtenir des badges ....
Non, non, pas du tout. J'ai connu ça avant d'entrer dans l'EN. J'ai commencé dans une (petite) entreprise dans laquelle tous les employés restaient une demi-heure à une heure chaque soir bénévolement pour finir ou continuer le travail de la journée. Quand les jeunes arrivants n'ont pas voulu perpétuer cette étrange tradition et sont partis à l'heure, ça a été très mal pris par les anciens. Mais nous n'en sommes pas morts et j'ai même gardé longtemps des relations cordiales avec eux.
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- piescoModérateur
Clecle78 a écrit:Le problème vient tout de même du fait que la collègue était présumée consentante dès son arrivée. Ça en dit le long sur l'équipe tout de même. Cela l'a incitée à accepter la première année et le piège s'est refermé. Peut être dire que tu as bien apprécié cette année mais que tu as constaté que cela te fatiguait et que tu as besoin de ta pause de midi sans rentrer dans les détails.
C'est clair... franchement, j'ai failli tomber de ma chaise en lisant le message initial. Il faudrait sacrifier sa pause méridienne parce que d'autres l'ont décidé ? Non mais... c'est le monde à l'envers.
Pour répondre à la question de départ, moi je dis : "Non, merci." avec un grand sourire.
- kroutuNiveau 6
Voilà un fonctionnement d'entreprise bien étrange, mais je peux entendre que ça ait été perçu comme un mal nécessaire à un moment et que l'habitude soit restée quelques temps. Mais ça reste une situation anormale, et l'EN n'est pas une petite boîte qui un jour a eu besoin de bonne volonté pour assurer sa survie...
- Spoiler:
- Avec le même genre de logique, pendant le confinement un ami me disait que ses collègues et lui étaient officiellement au chômage partiel financé par l'Etat mais que leur boîte leur demandait de continuer à bosser parce que sinon ça allait être compliqué...
- LilypimsGrand sage
kroutu a écrit:Voilà un fonctionnement d'entreprise bien étrange, mais je peux entendre que ça ait été perçu comme un mal nécessaire à un moment et que l'habitude soit restée quelques temps. Mais ça reste une situation anormale, et l'EN n'est pas une petite boîte qui un jour a eu besoin de bonne volonté pour assurer sa survie...
- Spoiler:
Avec le même genre de logique, pendant le confinement un ami me disait que ses collègues et lui étaient officiellement au chômage partiel financé par l'Etat mais que leur boîte leur demandait de continuer à bosser parce que sinon ça allait être compliqué...
C'est pourtant bien sur notre (extrême) bonne volonté que l'EN tient dans son ensemble et pas seulement dans le collège de Flo, et ce n'est pas acceptable. Quant à l'entreprise que j'évoquais plus haut, je crois que ce sont des débuts très difficiles et précaires qui avaient entraîné cette pratique mais ce que je voulais dire à Flo (mais je n'ai pas été claire), c'est qu'il est possible de dire non à une pratique installée sans susciter de conflits durables et difficiles à supporter pour certains. Dans mon cas, les ressentiments des anciens à notre égard se sont estompés au fil des mois et ont laissé la place à des relations très cordiales et même complices (pour certains).
- Spoiler:
- Mais ça, c'est de l'escroquerie, non ?
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- DaphnéDemi-dieu
roxanne a écrit:Et puis, peut-être au fond que ça se fait par habitude et par une sorte d'obligation collective sans réel enthousiasme . Si ça se trouve, tu vas ouvrir la boite de Pandore...J'ai déjà vu ce genre de choses arriver. Pas sure que ça passionne tout le monde finalement, et s'ils voient que tu dis non simplement, d'autres suivront .
Ça c'est encore bien possible.
- gnafron2004Grand sage
Flo44 a écrit:
Enfin, je ne vois pas le rapport avec les mathématiques, et ça me met en rogne de dépenser de l'argent pour ça, alors qu'on a d'autres besoins.
Je reviens sur cela, qui a été négligé dans les réponses à la question de départ; il n'est pas normal que les activités d'un club soient subventionnées par les crédits pédagogiques. C'est au FSE de prendre en charge ces dépenses. Les crédits pédagogiques doivent servir au pédagogique, c'est à dire à la classe. Pas aux activités de certains élèves volontaires seulement.
- Albert JarlHabitué du forum
Ah... dire non.
Quand la peur de se retrouver exclu du groupe conduit le sujet à agir contre sa volonté. Passionnants humains.
Etant réputé, dans mon entourage, pour conduire ma vie selon mes propres règles, j'ai l'impression de passer ma vie à répondre à ce genre de question...
"Comment tu fais ?"
"Moi je n'y arrive pas"
Je comprends parfaitament l'origine du problème, mais très peu la difficulté à vrai dire.
Le risque d'exclusion est largement un fantasme. Quand on ne dit pas oui à tout, on ne se retrouve pas exclu, au contraire. Par contre on clive et on trie. On se débarrasse notamment des parasites et autres profiteurs. Mais beaucoup de gens ont peur de devoir assumer le côté clivant.
Quand la peur de se retrouver exclu du groupe conduit le sujet à agir contre sa volonté. Passionnants humains.
Etant réputé, dans mon entourage, pour conduire ma vie selon mes propres règles, j'ai l'impression de passer ma vie à répondre à ce genre de question...
"Comment tu fais ?"
"Moi je n'y arrive pas"
Je comprends parfaitament l'origine du problème, mais très peu la difficulté à vrai dire.
Le risque d'exclusion est largement un fantasme. Quand on ne dit pas oui à tout, on ne se retrouve pas exclu, au contraire. Par contre on clive et on trie. On se débarrasse notamment des parasites et autres profiteurs. Mais beaucoup de gens ont peur de devoir assumer le côté clivant.
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Si vis pacem, para bellum
- DaphnéDemi-dieu
Albert Jarl a écrit:Ah... dire non.
Quand la peur de se retrouver exclu du groupe conduit le sujet conduit à agir contre sa volonté. Passionnants humains.
Etant réputé, dans mon entourage, pour conduire ma vie selon mes propres règles, j'ai l'impression de passer ma vie à répondre à ce genre de question...
"Comment tu fais ?"
"Moi je n'y arrive pas"
Je comprends parfaitament l'origine du problème, mais très peu la difficulté à vrai dire.
Le risque d'exclusion est largement un fantasme. Quand on ne dit pas oui à tout, on ne se retrouve pas exclu, au contraire. Par contre on clive et on trie. On se débarrasse notamment des parasites et autres profiteurs. Mais beaucoup de gens ont peur de devoir assumer le côté clivant.
Ça me rappelle une anecdote arrivée à ma mère professeur et je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ....
Dans un grand lycée, il fallait accueillir c'est à dire loger et nourrir des collègues étrangers pendant une semaine lors d'un échange.
Pas de volontaires qui se bousculent au portillon, y compris des collègues avec une grande maison des moyens du personnel domestique et pas d'enfants etc... etc...
- Spoiler:
- Dans une petite ville de province ce genre de choses se sait.
Et voilà qu'on lui tombe littéralement dessus, elle avec 5 enfants à la maison, en trouvant que franchement elle pourrait faire un effort !
Ahurie sur le coup, elle a quand même vite percuté en répondant : "moi je peux mais je ne veux pas :lol:"
On lui a fichu une paix royale ... et aucune exclusion ni animosité :diable:
- ditaNeoprof expérimenté
Albert Jarl et Daphné, c'est très intéressant. J'ai passé la première partie de ma vie à être bonne poire, maintanant, je suis rugueux au possible. Je crois être plus apprécié, sinon être plus respecté maintenant.
- BalthazaardVénérable
Tel que tu poses la question, je dirais "les gens dont tu penses froisser la suceptibilité ont-ils une importance pour toi?" suivant la réponse le comportement est différent.
Pour ce que j'en dis...dans mon travail tout ce que j'accepte de faire est contre salaire ou contrepartie, quasiment jamais bénévolement, les rares fois étant en soulignant que cela me cassait les pieds et que c'était exceptionnellement pour rendre service ponctuellement. Par contre quand je le fais, je le fais bien. Du coup on hésite à me demander quelque chose, mais si j'accepte on sait que ce sera fait......j'ai toujours eu d'excellents rapports avec la hiérarchie sans jamais faire de lèche ou courber le dos...
A côté de cela nombre de collègues ont accepté des taches avec un enthousiasme vrai ou simulé sans contrepartie et quand la chose est devenue trop lourde s'en sont détachés et sont passés pour des gens peu fiables et ne tenant pas parole.
Pour moi le choix est fait, faut dire aussi que j'ai assez mauvais caractère et que je me contrefiche de l'avis des autres...
Pour ce que j'en dis...dans mon travail tout ce que j'accepte de faire est contre salaire ou contrepartie, quasiment jamais bénévolement, les rares fois étant en soulignant que cela me cassait les pieds et que c'était exceptionnellement pour rendre service ponctuellement. Par contre quand je le fais, je le fais bien. Du coup on hésite à me demander quelque chose, mais si j'accepte on sait que ce sera fait......j'ai toujours eu d'excellents rapports avec la hiérarchie sans jamais faire de lèche ou courber le dos...
A côté de cela nombre de collègues ont accepté des taches avec un enthousiasme vrai ou simulé sans contrepartie et quand la chose est devenue trop lourde s'en sont détachés et sont passés pour des gens peu fiables et ne tenant pas parole.
Pour moi le choix est fait, faut dire aussi que j'ai assez mauvais caractère et que je me contrefiche de l'avis des autres...
- Lord StevenExpert
En fait je ne comprends pas trop le problème. Nous passons notre carrière à froisser les collègues et être froissés nous mêmes, tout simplement parce que nous sommes des individualités. Dire non ou s'entendre dire non n'est pas forcément un instant agréable mais une semaine après la vie fait qu'on passe à autre chose. Ne vous mettez pas la rate au court bouillon, dites non, vous y gagnerez en qualité de vie et tout le monde aura très vite oublié, ou feint d'oublier mais cela reviendra peu ou prou au même.
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If you play with a cat, you should mind his scratch
- Albert JarlHabitué du forum
Daphné a écrit:
Ahurie sur le coup, elle a quand même vite percuté en répondant : "moi je peux mais je ne veux pas :lol:"
Voilà... la punchline de celui/celle qui a tout compris.
Cela ne veut pas dire qu'on est un enf...é. Simplement on fait plaisir à X ou Y quand on le décide. Parce qu'on a envie ou parce que l'on veut être reconnaissant.
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Si vis pacem, para bellum
- BalthazaardVénérable
Florine98 a écrit:ProvençalLeGaulois a écrit:Justement des collègues susceptibles risquent bien plus de mal le prendre si on fait passer une séance de sport pour un rendez-vous médical.
Je maintiens que certains se compliquent franchement la vie à vouloir tout justifier et à aller jusqu'à "embellir la vérité" (aka mentir) pour ce faire.
Il s'agit d'un club basé sur du volontariat qu'elle ne veut plus animer, pas d'une obligation professionnelle pour laquelle il faudrait une justification pour ne pas l'assurer. Il suffit de dire que cela ne l'intéresse pas et si certains se vexent, tant pis, il faut arrêter de se laisser bouffer par ce que pensent les autres (surtout sur quelque chose d'aussi insignifiant)
Non, mais je suis tout à fait d'accord avec tout ce que tu écris.
L'ennui c'est que certains collègues ne raisonnent pas avec ce schéma de pensée : que ce soit du bénévolat ou pas, ça ne change strictement rien pour eux et ils n'hésiteront pas à la faire passer pour une égoïste.
D'où ma préconisation : évoquer une raison médicale (qui n'est pas un mensonge eu égard à ce qu'écrit @Flo44 dans son premier message). En général, les gens ne cherchent pas à en savoir plus ou à insister quand il s'agit d'un problème de santé : ils ne vont pas considérer cela comme égoïste de préférer sa santé à un club (sauf à tomber sur des gens gratinés, mais là on ne peut pas faire grand chose).
Bref, si on veut garder de bonnes relations avec des gens potentiellement susceptibles, il faut éviter de dire "Non, je n'en ai pas envie". Mais invoquer une raison sans les détails (et de préférence suffisamment délicate pour qu'ils évitent de creuser, là le souci médical c'est parfait).
Si ils me considèrent comme un égoïste et moi je les considère comme de pauvres
- Albert JarlHabitué du forum
dita a écrit:Albert Jarl et Daphné, c'est très intéressant. J'ai passé la première partie de ma vie à être bonne poire, maintanant, je suis rugueux au possible. Je crois être plus apprécié, sinon être plus respecté maintenant.
Cela me paraît logique. C'est non seulement lié au type de personne que l'on attire à soi et surtout au niveau d'amour propre que l'on développe. Lorsque tu te protèges toi-même, tu es mieux dans ta peau, donc tu rayonnes davantage.
Je devrais faire des piges à psychologie magazine.
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Si vis pacem, para bellum
- piescoModérateur
Avec ton avatar comme présentation, ça passera crème.
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Nos han quitado tanto, nos quitaron el miedo.
https://www.youtube.com/watch?v=oeU7rb-dBow&t=277s
- User10247Niveau 8
dita a écrit:Albert Jarl et Daphné, c'est très intéressant. J'ai passé la première partie de ma vie à être bonne poire, maintanant, je suis rugueux au possible. Je crois être plus apprécié, sinon être plus respecté maintenant.
Je ne sais que trop bien ce que tu racontes. Je vis actuellement peu ou prou la même chose : j'ai prêté de l'argent à une personne que je considérais comme mon amie (alors que je savais pertinemment qu'elle n'était pas fiable) par "peur" de froisser sa susceptibilité si je refusais.
Je puis vous dire que c'est la croix et la bannière pour que madame daigne me rembourser, maintenant.
Il faut se dire que ce sont des leçons de vie qui nous permettront de ne pas commettre les mêmes erreurs à l'avenir.
- PointàlaligneExpert
Daphné a écrit:
Ahurie sur le coup, elle a quand même vite percuté en répondant : "moi je peux mais je ne veux pas :lol:"
On lui a fichu une paix royale ... et aucune exclusion ni animosité :diable:
Respect à la maman de Daphné !
En vieillissant, j'ose de plus en plus dire "non, je n'en ai pas envie". Eh bien le ciel ne me tombe pas sur la tête, et ça facilite drôlement la vie.
Une réponse appropriée à la question posée en début de fil me semble donc : "je n'ai pas envie de continuer cette année".
("Ben pourquoi ? - Ben je l'ai fait un an pour dépanner mais je n'en ai pas envie en fait, alors j'arrête").
- Albert JarlHabitué du forum
piesco a écrit:Avec ton avatar comme présentation, ça passera crème.
Faut pas croire, j'ai un babtou fragile qui sommeille en moi.
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