- henrietteMédiateur
C'est le protocole définitif.
Par contre il peut y avoir des lettres de cadrage académique en plus, ou une déclinaison du protocole par la collectivité territoriale, et c'est peut-être ce que ton chef attend ?
Par contre il peut y avoir des lettres de cadrage académique en plus, ou une déclinaison du protocole par la collectivité territoriale, et c'est peut-être ce que ton chef attend ?
- HonchampDoyen
Ci-dessous le mail que je viens d'envoyer à mon chef. Cette histoire de non-masques pour les élèves me terrifie, donc, c'est la goutte d'eau pour moi. Je viens donc de lui envoyer ça, en m'appuyant sur le CR du SNALC.
Il semble que JM Blanquer parle tout le temps, et souvent à tort et à travers. Peut-être cela a-t-il été le cas ici. Mais cela a été dit.
Bonjour Mr X
Je vous fais part de mon souhait de ne pas revenir au collège en cas de réouverture.
J'avais évoqué la possibilité de reprendre, certes.
Mais le protocole définitif tombé hier ne prévoit plus l'obligation de masques pour les élèves. Et l'allège pour les enseignants.
C'est pour moi une ligne rouge infranchissable.
De plus, quid de l'idée de tester les collègues qui ont été malades ?
Bref, je demande à ne pas revenir et à continuer le travail à la maison avec les élèves , pour cause de "impossibilité psychologique à revenir physiquement".
Ci-dessous, l'extrait de l'entretien par visio-conférence entre mon syndicat, le SNALC, et le ministre le 29 avril : la réponse du ministre à une question posée, sur quoi je m'appuie :
"Pour les personnes à risques, l’objectif est la bienveillance et le pragmatisme, le bon sens. Nous retiendrons probablement le mécanisme de l’attestation sur l’honneur. Pour certaines personnes, il est psychologiquement très difficile de revenir physiquement. Le ministre précise qu’il ne juge pas de la rationalité de ces cas. On fera confiance à la conscience de chacun, sachant que quand quelqu’un est vulnérable, sa conscience peut lui dicter de rester chez lui. Une énumération indicative des éléments de vulnérabilité sera faite comme vous le demandez."
Bon courage à vous.
Mme Honchamp, professeur.
Il semble que JM Blanquer parle tout le temps, et souvent à tort et à travers. Peut-être cela a-t-il été le cas ici. Mais cela a été dit.
Bonjour Mr X
Je vous fais part de mon souhait de ne pas revenir au collège en cas de réouverture.
J'avais évoqué la possibilité de reprendre, certes.
Mais le protocole définitif tombé hier ne prévoit plus l'obligation de masques pour les élèves. Et l'allège pour les enseignants.
C'est pour moi une ligne rouge infranchissable.
De plus, quid de l'idée de tester les collègues qui ont été malades ?
Bref, je demande à ne pas revenir et à continuer le travail à la maison avec les élèves , pour cause de "impossibilité psychologique à revenir physiquement".
Ci-dessous, l'extrait de l'entretien par visio-conférence entre mon syndicat, le SNALC, et le ministre le 29 avril : la réponse du ministre à une question posée, sur quoi je m'appuie :
"Pour les personnes à risques, l’objectif est la bienveillance et le pragmatisme, le bon sens. Nous retiendrons probablement le mécanisme de l’attestation sur l’honneur. Pour certaines personnes, il est psychologiquement très difficile de revenir physiquement. Le ministre précise qu’il ne juge pas de la rationalité de ces cas. On fera confiance à la conscience de chacun, sachant que quand quelqu’un est vulnérable, sa conscience peut lui dicter de rester chez lui. Une énumération indicative des éléments de vulnérabilité sera faite comme vous le demandez."
Bon courage à vous.
Mme Honchamp, professeur.
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- BoudoirNiveau 3
Bonjour,
j'ai fait une recherche par mots -clés avant de poster mais je n'ai pas trouvé de réponse, pardon si c'est une redite.
Ma questions est : si l'on vit avec une personne vulnérable, que faut-il faire comme démarches, à part informer le CDE, pour rester en "distanciel"?
Pas avoir envie de prendre de risque...
Merci
Boudoir
j'ai fait une recherche par mots -clés avant de poster mais je n'ai pas trouvé de réponse, pardon si c'est une redite.
Ma questions est : si l'on vit avec une personne vulnérable, que faut-il faire comme démarches, à part informer le CDE, pour rester en "distanciel"?
Pas avoir envie de prendre de risque...
Merci
Boudoir
- User17095Érudit
Un entretien en visio, rapporté par une source syndicale, n'est pas une circulaire. C'est hasardeux de s'appuyer dessus pour ne pas revenir en établissement.
Et je trouve que ce discours est très étonnant parce que considérer comme recevable le motif "j'ai peur je ne crois pas que ces mesures suffisent", c'est ouvrir la porte au volontariat des agents.
Et je trouve que ce discours est très étonnant parce que considérer comme recevable le motif "j'ai peur je ne crois pas que ces mesures suffisent", c'est ouvrir la porte au volontariat des agents.
- MoutonNiveau 5
Mieux vaut en effet s'appuyer sur les interviews BFM!
- Fesseur ProGuide spirituel
BonjourBoudoir a écrit:Bonjour,
j'ai fait une recherche par mots -clés avant de poster mais je n'ai pas trouvé de réponse, pardon si c'est une redite.
Ma questions est : si l'on vit avec une personne vulnérable, que faut-il faire comme démarches, à part informer le CDE, pour rester en "distanciel"?
Pas avoir envie de prendre de risque...
Merci
Boudoir
On en parle ici : https://www.neoprofs.org/t128585-coronavirus-demarches-reactions-personnes-vulnerables
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Pourvu que ça dure...
- MoutonNiveau 5
pogonophile a écrit:Et je trouve que ce discours est très étonnant parce que considérer comme recevable le motif "j'ai peur je ne crois pas que ces mesures suffisent", c'est ouvrir la porte au volontariat des agents.
Le problème c'est que le volontariat des agents a déjà été évoqué (par je ne sais quel recteur ou lors d'entrevues avec le DGESCO) : donc clairement la question se pose.
Et ça ne me parait pas absurde, bien au contraire. Ça rend "juste" la tache des CDE encore plus impossible.
Parce que clairement, pour vivre avec quelqu'un qui est TERRIFIÉE à l'idée que je reprenne, ce motif me paraît parfaitement recevable. Ce serait d'ailleurs plus "j'ai peur, je ne crois pas que ces mesures seront suffisamment bien appliquées pour être efficaces". Sans parler de la distance de 1m, qui n'est pas suffisante.
- *Ombre*Grand sage
Chez nous aussi la reprise s'organise avec, je dois le dire, beaucoup d'humanité et de respect de chacun.
Voici le message qui accompagnait le sondage.
Voici le message qui accompagnait le sondage.
Principes :
- Un enseignant n’assure pas, en même temps, du présentiel et du distanciel.
- L’enseignant ne prépare pas des séances / activités différentes pour le présentiel et le distanciel même si la mise en oeuvre est, elle, un peu différente.
- L’EDT initial est modifié à minima.
Un sondage pronote va donc vous parvenir :
Préalables :
- Quel que soit votre choix, il vous appartient et ne doit être l’objet d’aucun jugement.
- Aucun personnel ne doit mettre en danger sa santé ou celle de ses proches.
- Chacun fait de son mieux, en cette période inédite, à laquelle personne n’était préparée.
- Pontorson50Fidèle du forum
pogonophile a écrit:Un entretien en visio, rapporté par une source syndicale, n'est pas une circulaire. C'est hasardeux de s'appuyer dessus pour ne pas revenir en établissement.
Et je trouve que ce discours est très étonnant parce que considérer comme recevable le motif "j'ai peur je ne crois pas que ces mesures suffisent", c'est ouvrir la porte au volontariat des agents.
J'avoue que, bien que je me jette sur ce genre de compte rendu (comme beaucoup, j'ai envie d'en savoir plus et plus tôt que la com officielle), je suis un peu troublé sur les conséquences de cette transparence; même si je remercie les syndicats de tenter de nous informer, il y a un aspect tactique qui pourrait se retourner contre eux : car si le ministre dans ses rencontres avec eux ne dispose pas de la garantie du secret des travaux, il fera tout pour ne plus rien dire d'important dans ces réunions. Aujourd'hui, si Blanquer finalement, au moment de la décision, se ravise et n'admet pas ce concept de "retrait psychologique", il passera pour avoir rompu un engagement moral. C'est bien le but du syndicat qui transcrit ses propos. C'est un problème. Comment laisser des lieux où la parole soit vraiment libre avant la prise de décision? Mais comment un syndicat peut-il remplir sa mission d'information ne serait- ce que pour montrer qu'il a posé des questions, et lesquelles, apporté sa contribution et laquelle, protesté et sur quoi, sans dire un mot des paroles de l'interlocuteur?
- pépé46Niveau 2
pasteque a écrit:Mon CDE attend le protocole sanitaire. Pourquoi certain semble déjà l'avoir? y-a'il une chance que ce ne soit pas le définitif? Car j'avoue que cette histoire de masque finalement non obligatoire m'a fait passer une nuit blanche...
Aucune nouvelle de mon CDE depuis le 20 avril... petit collège de 300 élèves dans de vieux bâtiments particulièrement biscornus.
Confortablement installé devant mon PC, le chat sur les genoux, je compatis sincèrement. Comment se fonder sur ce protocole ubuesque pour décider de lancer un grand jeu de roulette russe? Quid des responsabilités? Ne pourrait-on profiter des quelques semaines restantes pour préparer, sérieusement pour une fois, la rentrée en septembre?
Dans les conditions proposées, cette reprise prématurée, au parfum carcéral, risque d'être particulièrement anxiogènes pour nos élèves. Est-ce l'objectif de notre métier que de déstabiliser les enfants en leur exhibant le pot de confiture (de Gariguettes ) tout en leur interdisant d'y toucher?
Et que penser de nos camarades travailleurs qui comptent sur nous pour faire garderie pendant qu'ils iront récolter leur modeste pécule: passé les 7 à 8 semaines libératoires que feront-ils de leur progéniture pendant les vacances d'été? Faudra-t-il dorénavant mobiliser des profs à chaque vacances scolaires pour leur permettre d'assurer leur survie financière? Au fait, comment faisaient-ils avant?
Voilà pour ma modeste contribution à ce vaste portenawak.
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“A line is a dot that went for a walk”
"Vox populi vexe Dei".
- MUTISExpert
Les propos rapportés ont tout de même été tenus par le Ministre. Ils ont donc une valeur de prescription et on peut faire confiance à JR Girard pour que la transcription soit fidèle.
Je ne vois pas pourquoi un ministre en exercice exigerait le secret des travaux et discussions quand il échange avec des syndicalistes. Ce serait même tout à fait choquant selon moi.
"Pour les personnes à risques, l’objectif est la bienveillance et le pragmatisme, le bon sens. Nous retiendrons probablement le mécanisme de l’attestation sur l’honneur. Pour certaines personnes, il est psychologiquement très difficile de revenir physiquement. Le ministre précise qu’il ne juge pas de la rationalité de ces cas. On fera confiance à la conscience de chacun, sachant que quand quelqu’un est vulnérable, sa conscience peut lui dicter de rester chez lui. Une énumération indicative des éléments de vulnérabilité sera faite comme vous le demandez."
Ces éléments me semblent essentiels même s'ils dérangent ceux qui suspectent toujours la mauvaise foi ou la mauvaise volonté des profs. Mais ceux-ci ne changeront de toutes façons pas d'avis, quel que soit le dévouement des profs...
Je ne vois pas pourquoi un ministre en exercice exigerait le secret des travaux et discussions quand il échange avec des syndicalistes. Ce serait même tout à fait choquant selon moi.
"Pour les personnes à risques, l’objectif est la bienveillance et le pragmatisme, le bon sens. Nous retiendrons probablement le mécanisme de l’attestation sur l’honneur. Pour certaines personnes, il est psychologiquement très difficile de revenir physiquement. Le ministre précise qu’il ne juge pas de la rationalité de ces cas. On fera confiance à la conscience de chacun, sachant que quand quelqu’un est vulnérable, sa conscience peut lui dicter de rester chez lui. Une énumération indicative des éléments de vulnérabilité sera faite comme vous le demandez."
Ces éléments me semblent essentiels même s'ils dérangent ceux qui suspectent toujours la mauvaise foi ou la mauvaise volonté des profs. Mais ceux-ci ne changeront de toutes façons pas d'avis, quel que soit le dévouement des profs...
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"Heureux soient les fêlés car ils laissent passer la lumière" (Audiard)
"Ce n'est pas l'excès d'autorité qui est dangereux, c'est l'excès d'obéissance" (Primo Levi)
"La littérature, quelque passion que nous mettions à le nier, permet de sauver de l'oubli tout ce sur quoi le regard contemporain, de plus en plus immoral, prétend glisser dans l'indifférence absolue" (Enrique Vila-Matas)
" Que les dissemblables soient réunis et de leurs différences jaillira la plus belle harmonie ; rien ne se fait sans lutte." (Héraclite)
"Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie, de n'être pas fou" (Pascal).
- User17095Érudit
MUTIS a écrit:Les propos rapportés ont tout de même été tenus par le Ministre. Ils ont donc une valeur de prescription et on peut faire confiance à JR Girard pour que la transcription soit fidèle.
Je ne vois pas pourquoi un ministre en exercice exigerait le secret des travaux et discussions quand il échange avec des syndicalistes. Ce serait même tout à fait choquant selon moi.
Je n'ai pas de raison de croire que la transcription est erronée. En revanche, depuis ma position de chef d'établissement, je n'ai pas été informé de ce qui, au fond, n'a jamais été qu'une parole en entretien. Je le répète, ce n'est pas une circulaire, et ça n'a pas valeur de prescription : à un moment, le fonctionnement de l'administration, ce n'est pas une collection de paroles dites aux uns et pas aux autres, charge aux premiers de rapporter aux secondes.
MUTIS a écrit:Ces éléments me semblent essentiels même s'ils dérangent ceux qui suspectent toujours la mauvaise foi ou la mauvaise volonté des profs. Mais ceux-ci ne changeront de toutes façons pas d'avis, quel que soit le dévouement des profs...
C'est destiné à quelqu'un en particulier ça ou c'est juste un propos général ?
- ainahFidèle du forum
pépé46 a écrit:
Et que penser de nos camarades travailleurs qui comptent sur nous pour faire garderie pendant qu'ils iront récolter leur modeste pécule: passé les 7 à 8 semaines libératoires que feront-ils de leur progéniture pendant les vacances d'été? Faudra-t-il dorénavant mobiliser des profs à chaque vacances scolaires pour leur permettre d'assurer leur survie financière? Au fait, comment faisaient-ils avant?
Voilà pour ma modeste contribution à ce vaste portenawak.
Ils les mettent au centre de loisir. Nier que la situation est exceptionnelle pour eux me semble un peu fort (a moins que ce ne soit un trait d'humour que j'ai pris au premier degré, auquel cas, j'en suis désolée )
- RuthvenGuide spirituel
pogonophile a écrit:
Je n'ai pas de raison de croire que la transcription est erronée. En revanche, depuis ma position de chef d'établissement, je n'ai pas été informé de ce qui, au fond, n'a jamais été qu'une parole en entretien. Je le répète, ce n'est pas une circulaire, et ça n'a pas valeur de prescription : à un moment, le fonctionnement de l'administration, ce n'est pas une collection de paroles dites aux uns et pas aux autres, charge aux premiers de rapporter aux secondes.
En même temps, des circulaires, il n'y en a pas trop qui circulent en ce moment (c'est peut-être pour éviter de diffuser le virus) , on se fie à ce qu'on trouve sur le net, dans les FAQ ou sur BFM ... :diable:
- micaschisteMonarque
J'avais posé la question sur la distance de 1m à respecter il y a quelques temps.
Sur quelle base scientifique a -t-elle été posée ? Quelle est la référence de l'étude scientifique montrant que c'est suffisant ?
J'ai bien ma petit idée là-dessus...
Pour d'autres pays, la distance à respecter c'est 2 m, comme au Danemark.
Est-ce que cette question a été posée par les syndicats au ministère de l'EN ?
Sur quelle base scientifique a -t-elle été posée ? Quelle est la référence de l'étude scientifique montrant que c'est suffisant ?
J'ai bien ma petit idée là-dessus...
Pour d'autres pays, la distance à respecter c'est 2 m, comme au Danemark.
Est-ce que cette question a été posée par les syndicats au ministère de l'EN ?
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"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- Clecle78Bon génie
Ce matin courriel d'un élève de 15 ans en parfaite santé avant la fin des cours. Trois semaines de covid dont une d'hospitalisation, élève déclaré guéri il y a quinze jours . Aujourd'hui ,rechute importante . Franchement ça fait peur
- Une passanteEsprit éclairé
Votre échange me fait réaliser que j'ignore totalement ce qui est officiel de ce qui ne l'est pas !
Ma direction semble prendre pour acquis les annonces du ministre, mes IPR aussi quand il s'est agi de la modification de l'épreuve de français, mais en réalité, qu'en est-il officiellement ?
J'ai quand même l'impression qu'il y a beaucoup d'annonces, parfois contradictoires, et qu'à part être très anxiogènes parce qu'on navigue à vue, cela ne semble pas très légal.
Me trompé-je ???
Ma direction semble prendre pour acquis les annonces du ministre, mes IPR aussi quand il s'est agi de la modification de l'épreuve de français, mais en réalité, qu'en est-il officiellement ?
J'ai quand même l'impression qu'il y a beaucoup d'annonces, parfois contradictoires, et qu'à part être très anxiogènes parce qu'on navigue à vue, cela ne semble pas très légal.
Me trompé-je ???
- SphinxProphète
Il me semble que les CHS doivent décider de l'application locale du protocole sanitaire. Je ne sais pas combien ce protocole a force de loi : il serait bien sûr plus que très hasardeux de ne pas appliquer ce qui y est, mais quid d'y rajouter des conditions ? En d'autres termes, un établissement peut-il décider que les élèves pour être admis doivent avoir des masques ? (même grand public et faits maison ça serait mieux que rien).
Cela indique "Le port du masque « grand public » est obligatoire dans toutes les situations où le respect des règles de distanciation risque de ne pas être respecté." Je crois qu'il appartient aux établissements de définir quelles sont ces situations, non ? C'est facile, avec des zozos parfois turbulents dans toutes les classes, de dire "c'est tout le temps".
Cela indique "Le port du masque « grand public » est obligatoire dans toutes les situations où le respect des règles de distanciation risque de ne pas être respecté." Je crois qu'il appartient aux établissements de définir quelles sont ces situations, non ? C'est facile, avec des zozos parfois turbulents dans toutes les classes, de dire "c'est tout le temps".
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- Thalia de GMédiateur
Tu as déjà cette base https://www.neoprofs.org/t128682-protocoles-sanitaires-definitifs-pour-le-primaire-et-pour-le-secondaire#4952741, un résumé de @Sphinx que la modération a reposté pour qu'elle soit bien visible.Une passante a écrit:Votre échange me fait réaliser que j'ignore totalement ce qui est officiel de ce qui ne l'est pas !
Ma direction semble prendre pour acquis les annonces du ministre, mes IPR aussi quand il s'est agi de la modification de l'épreuve de français, mais en réalité, qu'en est-il officiellement ?
J'ai quand même l'impression qu'il y a beaucoup d'annonces, parfois contradictoires, et qu'à part être très anxiogènes parce qu'on navigue à vue, cela ne semble pas très légal.
Me trompé-je ???
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- SphinxProphète
J'espère que je n'ai rien oublié d'important dedans À préciser que plutôt qu'un résumé, c'est une compilation des passages qui concernent directement les profs du secondaire.
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"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- Thalia de GMédiateur
Si tu as oublié, tu auras un gage, c'est tout.
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Soleil noir de mes mélancolies.
- ysabelDevin
micaschiste a écrit:J'avais posé la question sur la distance de 1m à respecter il y a quelques temps.
Sur quelle base scientifique a -t-elle été posée ? Quelle est la référence de l'étude scientifique montrant que c'est suffisant ?
J'ai bien ma petit idée là-dessus...
Pour d'autres pays, la distance à respecter c'est 2 m, comme au Danemark.
Est-ce que cette question a été posée par les syndicats au ministère de l'EN ?
D'après tout ce que j'ai lu et vu (les vidéos de simulation), c'est 1m qd on porte un masque, 2m - au moins - sans masque.
Et comme le dit mon conjoint : comment expliquer que je sente à 4 ou 5m le parfum de quelqu'un ?
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- pépé46Niveau 2
ainah a écrit:pépé46 a écrit:
Et que penser de nos camarades travailleurs qui comptent sur nous pour faire garderie pendant qu'ils iront récolter leur modeste pécule: passé les 7 à 8 semaines libératoires que feront-ils de leur progéniture pendant les vacances d'été? Faudra-t-il dorénavant mobiliser des profs à chaque vacances scolaires pour leur permettre d'assurer leur survie financière? Au fait, comment faisaient-ils avant?
Voilà pour ma modeste contribution à ce vaste portenawak.
Ils les mettent au centre de loisir. Nier que la situation est exceptionnelle pour eux me semble un peu fort (a moins que ce ne soit un trait d'humour que j'ai pris au premier degré, auquel cas, j'en suis désolée )
C'est effectivement un trait d'humour. Après on peut se poser la question: à partir de quel âge est-il raisonnable de laisser un enfant seul (ou avec sa fratrie) à la maison? Pour les deux miens c'était à partir de la 6e, mais peut-être suis-je un monstre qui s'ignore. Au secours.
Pour être tout à fait honnête, je ne laisserais pas certains de mes sixièmes plus de 5 minutes seuls (et on peut généraliser sans crainte jusqu'au Lycée) . Mais de toute façon ce n'est pas forcément ceux-là qui reviendront...en tout cas je croise les doigts.
Comme beaucoup d'autres métiers le notre aussi a entamé depuis un moment sa mutation, à vitesse exponentielle malheureusement. La vitesse est grisante et, après tout, ce n'est que la rencontre soudaine avec le mur qui tue. Comment ne pas s'empêcher de revisualiser le film "Idiocracy"? Mais je m'éloigne du sujet initial...
Vivement la retraite donc !
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“A line is a dot that went for a walk”
"Vox populi vexe Dei".
- SérénaNeoprof expérimenté
Merci beaucoup Sphinx pour ce travail de compilation.
- chmarmottineGuide spirituel
ysabel a écrit:micaschiste a écrit:J'avais posé la question sur la distance de 1m à respecter il y a quelques temps.
Sur quelle base scientifique a -t-elle été posée ? Quelle est la référence de l'étude scientifique montrant que c'est suffisant ?
J'ai bien ma petit idée là-dessus...
Pour d'autres pays, la distance à respecter c'est 2 m, comme au Danemark.
Est-ce que cette question a été posée par les syndicats au ministère de l'EN ?
D'après tout ce que j'ai lu et vu (les vidéos de simulation), c'est 1m qd on porte un masque, 2m - au moins - sans masque.
Et comme le dit mon conjoint : comment expliquer que je sente à 4 ou 5m le parfum de quelqu'un ?
J'avais mis en lien un replay du professeur kansau qui précisait 2 mètres avec chacun un masque.
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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