[Mouvement intra 2020] - Académie de Versailles

Dans mon ancien établissement situé dans le bassin de st cloud, nous accueillions des stagiaires de maths et pourtant l'établissement était classé zep jusqu'à la reforme des rep/rep+. Nos stagiaires se fadent des classes à 31/32. C'est pas tout à faut ce à quoi ils s'attendaient quand ils ont postulé dans le "bassin de st cloud".
Il faut aussi penser que tous les stagiaires ne sont pas célibataires. Pour ma part, j'avais deja 2 enfants quand je me suis reconvertie dans l'en et j'ai obtenu un établissement à 2 pas de chez moi. Je pense que je suis passée devant beaucoup de monde car j'étais dans le ventre mou du classement capes.

Le problème, c'est surtout que pour les stagiaires comme pour les mutations, on ne peut que croiser les doigts.

Mon propos est ambigu : "pour moi, c'est un établissement de relégation" : à mon avis.
J'ai réussi le CAPES de maths, et non l'agrégation ; avec un rang passable. Donc, suivant l'algorithme d'affectation, je serai affecté dans une des zones les moins demandées.

J'ignore comment fonctionne l'affectation des stagiaires. J'ai lu, ici, que nous obtenions des postes un peu faciles, puisque justement nous sommes débutants.
Je fais part des mes idées initiales , qui sont tirées des journaux télévisés, pour avoir un autre éclairage, et ne pas rester enfermé dans mes croyances.

à ce stade, je crois que :
- plus une zone est défavorisée socialement, plus les élèves vont être agressifs
- mais que dans une zone très favorisée, les élèves seront arrogants et insupportables

Dites du coup, quelqu'un sait si il y a des stagiaires attendus en maths à Sarcelles en rep+ (ou autre) ? Parce que dans ce cas Sarcelles remonterait en première position dans mon classement... Ou sur des villes du sud de la zone de Sarcelles ?

berseria a écrit:à ce stade, je crois que :
- plus une zone est défavorisée socialement, plus les élèves vont être agressifs
- mais que dans une zone très favorisée, les élèves seront arrogants et insupportables

Alors pour l'idée reçue numéro 1 : Non les élèves défavorisés ne sont pas agressifs, les élèves défavorisés sont des élèves défavorisés.
Ils peuvent, pour certains, devenir très agressifs s'ils ont l'impression qu'on les prend pour des buses ou qu'on les méprise.
Ceux qui connaissent les bahuts défavorisés savent :
- Que la violence, y compris verbale, est surtout entre élèves.
- Que ces mêmes élèves subissent en dehors de l'école une violence sociale.
- Que le principal problème de ces établissements n'est pas le degré de violence, mais le niveau scolaire et culturel qui est souvent très bas.

Pour l'idée reçue numéro 2 :
- Tous les élèves favorisés ne sont pas arrogants et insupportables, certains peuvent l'être.
- Beaucoup de choses dépendent du positionnement en tant que professeur dans ces établissements (et une classe de 30 bourgeois peut être plus difficile à gérer qu'une classe de 21 gosses de REP+, pardon, de relégation , je sais, j'ai fait les deux... )

berseria a écrit:Je fais part des mes idées initiales , qui sont tirées des journaux télévisés

C'est justement ça le problème, je crois : ne connaître, ni le métier, ni le terrain, pour venir asséner des phrases choc, et des expressions désobligeantes, entendues sur un quelconque plateau télévisuel, peuplé de pitres.  

Je ne peux qu'aller dans le sens des messages précédents...
Je suis agrégée, j'ai fait mon stage en collège, et certes à Paris mais dans un collège Porte de la Chapelle. Autant te dire que c'était loin d'être facile...et pourtant, j'ai passé une excellente année même si je ne nie rien des difficultés que j'ai pu connaître avec certains élèves, dans une classe en particulier dont je garderai mémoire.
Puis j'ai enseigné au lycée de Corbeil-Essonnes pendant 3 ans, et n'en suis partie que parce que l'occasion s'est offerte à moi de retourner dans une ville que j'apprécie, dans un cadre qui me convient. J'y ai croisé des élèves attachants, et ai même gardé contact avec certains. J'y ai aussi vécu des moments très durs, des incivilités parfois graves, mais essentiellement dans les couloirs, pas en classe avec les élèves qui me connaissaient, et les collègues ont toujours été là pour m'aider à traverser les orages.
Sincèrement, la pire année que j'ai vécue, c'était dans un lycée assez huppé. L'équipe de Lettres se déchirait, il n'y avait aucune convivialité. Oui, les élèves étaient globalement plus calmes, plus scolaires, plus cultivés aussi pour certains, mais le sentiment de solitude était très, très prégnant. J'en suis partie très vite et suis retournée (volontairement, et je ne regrette en rien mon choix, d'ailleurs je ne demande plus à bouger depuis) en collège, dans la même ville car je ne voulais pas renoncer cette fois à mon cadre de vie pour autant.
Alors attention aux préjugés.
En outre, si les élèves sentent que tu les méprises, ça se passera mal. S'ils sentent que tu les respectes, les choses seront infiniment différentes.

Ha tiens aussi le cliché sur les bahuts friqués où les élèves dont des idiots arrogants.

Combo !!

Juste un truc comme ça : avant d'enseigner à telle catégorie sociale, tu vas enseigner à des humains. Je te le signale comme ça au hasard hein. Mais quelle que soit la CSP de ton bahut, en arrivant bardé de préjugés, tu te prépares des mois difficiles

AuriAma a écrit:Dites du coup, quelqu'un sait si il y a des stagiaires attendus en maths à Sarcelles en rep+ (ou autre) ? Parce que dans ce cas Sarcelles remonterait en première position dans mon classement... Ou sur des villes du sud de la zone de Sarcelles ?

Oui, pas qu’en REP+.

berseria a écrit:Mon propos est ambigu : "pour moi, c'est un établissement de relégation" : à mon avis.
J'ai réussi le CAPES de maths, et non l'agrégation ; avec un rang passable. Donc, suivant l'algorithme d'affectation, je serai affecté dans une des zones les moins demandées.

J'ignore  comment fonctionne l'affectation des stagiaires. J'ai lu, ici, que nous obtenions des postes un peu faciles, puisque justement nous sommes débutants.
Je fais part des mes idées initiales , qui sont tirées des journaux télévisés, pour avoir un autre éclairage, et ne pas rester enfermé dans mes croyances.

à ce stade, je crois que :
- plus une zone est défavorisée socialement, plus les élèves vont être agressifs
- mais que dans une zone très favorisée, les élèves seront arrogants et insupportables

Ça n'est pas si simple que ça, pour mon concours j'étais première de l'Île-de-France et j'étais quand même la seule du premier décile à ne pas obtenir Paris mais Versailles car à points égaux, c'est la date de naissance qui départage.
Bref, si tu es né en 1998, tu passes après.

Quant au reste, tu n'as que des clichés en tête, mais d'autres l'ont dit avant moi.
Il n'est pas possible de raisonner en terme de "zone". J'ai fait mon stage à Ermont, dans le Val d'Oise, c'était plutôt favorisé il me semble. Je n'avais à l'époque pu faire que des vœux département. Mais sur une même zone, tu peux avoir de tout et son contraire.

Lire que les élèves sont insupportables dans une zone favorisée est quand même assez énorme... J'enseigne pour la première fois en zone favorisée après 5 ans de REP+ et non, je ne trouve pas les élèves plus insupportables. Ce sont des adolescents, tout simplement... C'est impossible de généraliser à ce niveau... Fais attention, car les élèves pourraient sentir que tu as tout cet imaginaire en tête. Je ne parle même pas de ton intégration dans l'établissement avec les collègues si tu tiens ce discours...

Ha@_x a écrit:

berseria a écrit:Pour moi, un collège de Sarcelles est un établissement de relégation.

Il est pourtant nettement plus glorieux d'enseigner dans ces établissements que de grenouiller dans du privilégié plan-plan.


Mais oser écrire ça.... , je souhaite ne jamais t'avoir comme collègue.

Un enseignant en zone de relégation.

+1

Vatrouchka a écrit:

AuriAma a écrit:Dites du coup, quelqu'un sait si il y a des stagiaires attendus en maths à Sarcelles en rep+ (ou autre) ? Parce que dans ce cas Sarcelles remonterait en première position dans mon classement... Ou sur des villes du sud de la zone de Sarcelles ?

Oui, pas qu’en REP+.

Merci, du coup je remonte Sarcelles dans la liste. Avec 150pts, j'ai peut-être une chance d'avoir la ville de Sarcelles même. Perso, j'aimerais bien avoir un établissement rep+ cet année, dommage qu'on ne puisse pas le signaler !

Tu peux visualiser ton barème dans l'application Aladdin ?
Comment as tu obtenu ton nombre de points ?

berseria a écrit:Tu peux visualiser ton barème dans l'application Aladdin ?
Comment as tu obtenu ton nombre de points ?

Je l'ai calculé à partir de mon rang au concours, je ne sais plus où j'ai trouvé l'info... Ça va de 150 (premier décile) à 15 (dernier décile) et 5 pour la liste complémentaire si je me souviens bien. Ça ne fait pas lourd face au rapprochement de conjoint et enfants à charge mais avec un peu de chance la zone de Sarcelles ne sera pas trop demandée...

Ha@_x a écrit:

berseria a écrit:à ce stade, je crois que :
- plus une zone est défavorisée socialement, plus les élèves vont être agressifs
- mais que dans une zone très favorisée, les élèves seront arrogants et insupportables

Alors pour l'idée reçue numéro 1 : Non les élèves défavorisés ne sont pas agressifs, les élèves défavorisés sont des élèves défavorisés.
Ils peuvent, pour certains, devenir très agressifs s'ils ont l'impression qu'on les prend pour des buses ou qu'on les méprise.
Ceux qui connaissent les bahuts défavorisés savent :
- Que la violence, y compris verbale, est surtout entre élèves.
- Que ces mêmes élèves subissent en dehors de l'école une violence sociale.
- Que le principal problème de ces établissements n'est pas le degré de violence, mais le niveau scolaire et culturel qui est souvent très bas.

Pour l'idée reçue numéro 2 :
- Tous les élèves favorisés ne sont pas arrogants et insupportables, certains peuvent l'être.
- Beaucoup de choses dépendent du positionnement en tant que professeur dans ces établissements (et une classe de 30 bourgeois peut être plus difficile à gérer qu'une classe de 21 gosses de REP+, pardon, de relégation , je sais, j'ai fait les deux... )

berseria a écrit:Je fais part des mes idées initiales , qui sont tirées des journaux télévisés

C'est justement ça le problème, je crois : ne connaître, ni le métier, ni le terrain, pour venir asséner des phrases choc, et des expressions désobligeantes, entendues sur un quelconque plateau télévisuel, peuplé de pitres.  

+1000

Lire de tels apriori sociaux, chez un jeune laureat du concours, ce n'est pas tres rassurant.

Avant tout garder en tete que l'on a affaire a des enfants, puis des ados, avec une histoire personnelle ou scolaire parfois douloureuse, et pas seulement dans les milieux defavorises.

Les considerer comme des individualites c'est aussi important. Enfin faire preuve d'empathie et d'indulgence vis a vis des humains que l'on cotoie dans le metier, que ce soir des adultes ou des eleves...

@Pandorafa cette question est fondamentale dans notre métier, je suis 100% d'accord avec ton commentaire

Je regarde la carte des zones de l'académie de Versailles, et je la trouve anxiogène.  L'image monolithique que j'ai de l’Île-de-France, c'est celle des faits divers.  Grâce aux précisions, Dans le même département, des établissements en grande difficulté côtoient des établissements ruraux plus calmes. Certes.

Dans un établissement sensible, quel est le niveau des élèves , notamment en mathématiques :
quelle est la part des élèves qui ne maîtrisent pas le programme de l'année précédente et celle de l'année encore d'avant ?

Je suis avant tout inquiet de l'affectation que je vais avoir.

Tu sais, même dans des villes favorisées, les élèves ne maîtrisent pas le programme des années précédentes. En seconde cette année j'avais beaucoup d'élèves perdus dès qu'on utilisait des lettres et j'avais une élève qui comptait sur ses doigts pour faire "8 + 5".

@berseria : Ne t’inquiète pas trop et on peut avoir aussi des élèves faibles et gentils. 
Tu feras progresser tes élèves comme tu pourras.

berseria a écrit:Je regarde la carte des zones de l'académie de Versailles, et je la trouve anxiogène.  L'image monolithique que j'ai de l’Île-de-France, c'est celle des faits divers.  Grâce aux précisions, Dans le même département, des établissements en grande difficulté côtoient des établissements ruraux plus calmes. Certes.

Dans un établissement sensible, quel est le niveau des élèves , notamment en mathématiques :
quelle est la part des élèves qui ne maîtrisent pas le programme de l'année précédente et celle de l'année encore d'avant ?

Je suis avant tout inquiet de l'affectation que je vais avoir.

1- N'oublie pas d'apporter une armure de plates et d'éviter les déplacements après 20h, plus sérieusement, moi c'est ton message que je trouve anxiogène....pour les autres ....

2- Mais oui bien sûr, l'IDF est un véritable coupe-gorge . Quand on a ce genre de visions, on reste chez soi.

3- , encore....en collège ? Tous ! Les élèves ne maîtrisent jamais le programme des années précédentes, y compris les meilleurs, ils ont des restes (ou pas). Et c'est à nous de les ré-activer les restes... Je n'ai jamais croisé un élève capable de me définir précisément le nationalisme au mois de septembre en 3e, alors qu'il avait vu la notion au 3e trimestre de 4e avec moi ! Tout au plus une vague idée.
Enseigner ce n'est pas appliquer un cahier des charges avec des élèves dociles en face, c'est un travail humain, y compris, ce fut très justement dit, dans les établissements les plus favorisés. En face, ce sont de petits êtres humains, des enfants, pas des adultes miniatures.

4- En fait comme dit plus haut, par @Jenny, il faut arrêter de s'inquiéter et aborder le métier avec humilité voire curiosité.

Oh là là je confirme effectivement que ça va très très mal se passer si tu arrives avec des certitudes comme ça, quel que soit l'établissement... Il y a des bahuts plus difficiles que d'autres, c'est un fait (et encore j'ai envie de dire que souvent la difficulté est davantage corrélée à l'attitude de l'équipe et à l'attitude de la direction qu'au milieu social des élèves... J'ai vu des collègues adorer leur passage en REP dans un bahut soudé et efficace et d'autres complètement perdre pied dans un établissement "facile" avec une direction aux fraises). Mais quel que soit l'établissement, les élèves auront toujours davantage de respect pour un enseignant qui aura pour eux la bienveillance de les traiter en êtres humains sans a priori et feront tout pour dézinguer celui chez qui ils sentiront hauteur et mépris, ça tu n'y couperas pas. Ils donneront souvent l'impression d'être qui dans l'affect, qui dans la provoc, mais en réalité ils veulent une seule chose : qu'on ait l'honnêteté et l'équité de les prendre pour qui ils sont et pas pour l'idée qu'on s'en est faite avant d'arriver.

berseria a écrit:Je regarde la carte des zones de l'académie de Versailles, et je la trouve anxiogène.  L'image monolithique que j'ai de l’Île-de-France, c'est celle des faits divers.  Grâce aux précisions, Dans le même département, des établissements en grande difficulté côtoient des établissements ruraux plus calmes. Certes.

Dans un établissement sensible, quel est le niveau des élèves , notamment en mathématiques :
quelle est la part des élèves qui ne maîtrisent pas le programme de l'année précédente et celle de l'année encore d'avant ?

Je suis avant tout inquiet de l'affectation que je vais avoir.  

Tu es probablement victime de ce que j'appelle le "syndrome du Marseillais" (mais ça doit aussi être le cas d'autres endroits) qui ne voit dans l'île de France qu'un vortex infâme dont on ne sort jamais vivant. Tu me rappelles cette fille d'amis de mes parents qu'on m'avait demandé d'amener de Châtelet à Roissy, parce que ses parents refusaient qu'elle prît le RER seule à 22 ans. Elle avait les larmes aux yeux à l'idée... De traverser la Seine Saint Denis (lol). On parle souvent du snobisme des parisiens, mais les préjugés sur l'île de France sont tout aussi pitoyables.

Oui, l'île de France, c'est assez grand et y a du monde, m'enfin, je connais des gens qui ont découvert que dans certaines académies, y a la montagne et il faut une voiture et faire minimum une heure de bagnole pour enseigner aux petits montagnards.
Oui, il y a des endroits pourris (m'enfin quelle académie n'a pas ses endroits pourris ?), mais pas que. Respire un coup et comprends une bonne fois pour toute que, de la Guyane à nouans le fuzelier, tu vas enseigner à des humains. Tu en auras de formidables comme de détestables. C'est ce qui s'appelle vivre dans la vraie vie.

Elaïna a écrit:Tu es probablement victime de ce que j'appelle le "syndrome du Marseillais" (mais ça doit aussi être le cas d'autres endroits) qui ne voit dans l'île de France qu'un vortex infâme dont on ne sort jamais vivant. Tu me rappelles cette fille d'amis de mes parents qu'on m'avait demandé d'amener de Châtelet à Roissy, parce que ses parents refusaient qu'elle prît le RER seule à 22 ans. Elle avait les larmes aux yeux à l'idée... De traverser la Seine Saint Denis (lol). On parle souvent du snobisme des parisiens, mais les préjugés sur l'île de France sont tout aussi pitoyables.

Finalement j'aime bien les préjugés sur le 93, auprès de certains, tu passes pour un véritable guerrier qui se bat en première ligne dans les territoires perdus de la République, des zones de non-droit, peuplées de sauvages sanguinaires, traversées par l'infâme RER B, la ligne de la mort...

Spoiler:

Sinon, pour le syndrome dit du Marseillais, syndrome du Marseillais chic alors, parce que la Belle de Mai, ou les quartiers nord, ça ressemble beaucoup au 93, je ne m'y sens absolument pas dépaysé...

Spoiler:

Bon, moi je dois être à 50% de pannes mais j'ai une poisse infernale avec les trains donc c'est pas révélateur.

C'est parce que tu le prends pas assez tôt. 6h45/ 7h, tout roule....9h, les problèmes commencent.
Le RER B est réputé tomber en panne après le pic de pointe matinal

Merci de vos remarques. Est-ce que vous avez-eu de stagiaires en décalage avec les élèves et les autres enseignants ?
Après, le principe d'un stagiaire c'est de découvrir l'enseignement.

Une fois, j'ai donné des cours de maths à une adulte en formation de gestion. Elle posait des questions surprenantes, comment faire des opérations élémentaires. Elle m'a dit que je la regardais comme si c'était une extra-terrestre.

Je vais essayer de ne pas faire la même chose avec les élèves.

Salut à tous,

je cherche désespérément à joindre l'académie de Versailles. Je suis nommé là-bas en septembre et j'aimerais avoir plus de précision concernant les inscriptions, papiers, logements etc. etc.

D'autant plus que je serai certainement en DU or il faut, à priori, s'inscrire dans une université en choisissant un parcours. Bref, si quelqu'un à un moyen de les joindre parce que pour le moment c'est silence radio au téléphone et je me sens lâché dans la nature à devoir tout deviner par moi-même à un mois de la rentrée.

Merci d'avance, bon courage à tous dans cette période.

Le rectorat est fermé, il faut attendre la mi août au mieux.