- henrietteMédiateur
Pour lutter contre le décrochage et l'échec, l'université d'Evry lance une prépa d'une année à destination des bacheliers qui ne savent pas encore quelles études ils veulent poursuivre.
À l'issue de cette année, les étudiants auront le choix entre poursuivre des études supérieures ou entrer dans la vie active.
Ce dispositif est hors Parcoursup, ce qui permettra à des bacheliers ayant été refusés partout de pouvoir venir s'y inscrire.
www.leparisien.fr/amp/essonne-91/l-universite-d-evry-lance-une-annee-prepa-pour-choisir-la-bonne-filiere-24-01-2020-8243646.php
À l'issue de cette année, les étudiants auront le choix entre poursuivre des études supérieures ou entrer dans la vie active.
Ce dispositif est hors Parcoursup, ce qui permettra à des bacheliers ayant été refusés partout de pouvoir venir s'y inscrire.
www.leparisien.fr/amp/essonne-91/l-universite-d-evry-lance-une-annee-prepa-pour-choisir-la-bonne-filiere-24-01-2020-8243646.php
Au premier semestre, la centaine d'élèves, sélectionnée sur lettre de motivation et entretien oral, suivra différents cours pour réviser les bases acquises au lycée en maths, français, anglais, mais pas seulement. « Le but, c'est aussi de les informer sur tout ce que l'enseignement supérieur peut leur offrir, complète le président. Et également de les alerter sur les embûches que peut comporter la vie universitaire. C'est important qu'ils apprennent à travailler en autonomie, à organiser leur vie personnelle… » Des sorties culturelles ou nature, des « rencontres ouverture » avec des acteurs du territoire ou encore des ateliers sur des différents thèmes viendront compléter le tout.
Au deuxième semestre, les étudiants pourront s'orienter soit vers un « parcours études supérieures » classique, soit vers « un parcours emploi ou engagement », où ils approfondiront leur connaissance du monde professionnel ou associatif, via des stages, notamment. Ceux qui choisissent cette deuxième option devraient pouvoir reprendre leurs études par la suite s'ils le souhaitent. « C'est une garantie qu'on veut leur donner », assure Patrick Curmi.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- CasparProphète
Le retour de la "propédeutique" ?
En tout cas si les étudiants rencontrent des "acteurs du territoire", tout ira bien c'est sûr.
En tout cas si les étudiants rencontrent des "acteurs du territoire", tout ira bien c'est sûr.
- MariekeNiveau 7
De "mon temps", soit la fin des années 80, en 1ère année de droit, nous étions dans l'amphi 700 (pour 700 places). Les deux premiers mois, nous étions obligés de nous assoir sur les marches, tellement il y avait de monde. En 4ème année, moins de 100, et 18 en DEA, puis 2. Bref, j'appelle cela la sélection naturelle par le travail et l'assiduité.
Bref, rien de nouveau.
J'ai enseigné quelques années à l'université d'Evry. Pendant 2 ans, des cours de mise à niveau des "fondamentaux" avaient été mis en place. Puis abandonnés faute de financement. Ils étaient bien utiles, mais en parallèle pour les étudiants de première année.
Ce truc, c'est un peu école de la seconde chance pour des bacheliers avec des dossiers tellement vides qu'ils ne sont acceptés nul part. Ce sera ça, ou l'école privée.
Bref, rien de nouveau.
J'ai enseigné quelques années à l'université d'Evry. Pendant 2 ans, des cours de mise à niveau des "fondamentaux" avaient été mis en place. Puis abandonnés faute de financement. Ils étaient bien utiles, mais en parallèle pour les étudiants de première année.
Ce truc, c'est un peu école de la seconde chance pour des bacheliers avec des dossiers tellement vides qu'ils ne sont acceptés nul part. Ce sera ça, ou l'école privée.
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