- AsarteLilithEsprit sacré
Idem pour moi, sans enfants toutefois
- AdrenFidèle du forum
Pour le défi n°50 "un roman dont les héroïnes sont soeurs", Riz noir d'Anna Moï. Suite à l'offensive du Têt, Tan la narratrice et Tao sa soeur sont emprisonnées pour motifs politiques. Tan mêle description de la prison, de la torture et récit des souvenirs de sa mère et de leur vie de famille avant l'arrestation. La langue est très simple, très belle.
"S'il en est pour apprécier la beauté de la guerre et de ses orages d'acier, je n'en fait pas partie. Je suis complice de ceux qui guettent obstinément les éclats rougeoyants des fourmis géantes sur le tronc des noyers de cajou ou les lents déplacements des nuages transpercés d'orage."
"S'il en est pour apprécier la beauté de la guerre et de ses orages d'acier, je n'en fait pas partie. Je suis complice de ceux qui guettent obstinément les éclats rougeoyants des fourmis géantes sur le tronc des noyers de cajou ou les lents déplacements des nuages transpercés d'orage."
- DeliaEsprit éclairé
Noyers de cajou ?
Les noix de cajou, ou anacardes, sont le fruit de l'anacardier.
Les noix de cajou, ou anacardes, sont le fruit de l'anacardier.
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- AdrenFidèle du forum
Les deux sont dans le texte, anacardiers et noyers de cajou... Ce n'est pas une traduction. Les deux ne
pourraient pas s'employer ?
pourraient pas s'employer ?
- OudemiaBon génie
J'emprunte en bibliothèque le plus souvent, mais quelques titres tombent parfois pile avec un livre que je viens d'acheter (je n'ai pas de PAL, sauf virtuelle : quand j'achète, je lis aussitôt). J'essaie de ne pas faire entrer de relectures dans le défi (je relis énormément, rares sont les livres ici que je n'aie pas lus au moins deux fois...).AsarteLilith a écrit:Comment trouvez vous vos lectures ? Pour ma part, c'est un mélange de hasard et de ce que j'ai dans ma bibliothèque
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
pour le défi n°5 "une histoire de vacances" J'ai piqué Qui prend la mouche de MC Beaton à Lulucastagnette. Premier tome des aventures du "petit frère" d'Agathe Raisin. En Ecosse, un groupe suit un stage de pêche à la truite et au saumon. Les huit participants ne se connaissent pas et chacun a un personnalité bien marquée. Hamish Macbeth, le policier du village à l'air un peu bête les suit de loin jusqu'au jour où...
pour le défi n°5 "une histoire de vacances" J'ai piqué Qui prend la mouche de MC Beaton à Lulucastagnette. Premier tome des aventures du "petit frère" d'Agathe Raisin. En Ecosse, un groupe suit un stage de pêche à la truite et au saumon. Les huit participants ne se connaissent pas et chacun a un personnalité bien marquée. Hamish Macbeth, le policier du village à l'air un peu bête les suit de loin jusqu'au jour où...
- HermionyGuide spirituel
Défi 24 : un livre sans "e" : Joyland, de Stephen King.
Devin Jones est un jeune homme de 21 ans qui vient d'être quitté par sa petite amie. Pour tenter d'oublier sa peine, il se fait embaucher dans un parc d'attraction, Joyland, en tant qu'homme à tout faire. Tout semble aller pour le mieux, jusqu'à ce qu'il apprenne qu'un meurtre a été commis quelques années auparavant, au sein même du parc et qu'un de ses amis voie la victime...Devin a-t-il réellement "une ombre au-dessus de lui" comme le lui a dit la voyante du parc ? Et qui est ce garçon étrange qui vit au bord de la plage ?
Pas le meilleur King à mon sens (j'ai beaucoup plus apprécié Salem ou Simetierre), mais on se laisse prendre au jeu, et l'intrigue est assez bien ficelée pour qu' on ne puisse pas deviner en avance l'identité du tueur.
Défi en cours : un livre avec un nom de membre de la famille dans le titre : Les frères Karamasov. Je m'étais promis d'éviter les gros pavés, mais c'est le seul livre qui paraissait correspondre et que j'avais en stock.
Devin Jones est un jeune homme de 21 ans qui vient d'être quitté par sa petite amie. Pour tenter d'oublier sa peine, il se fait embaucher dans un parc d'attraction, Joyland, en tant qu'homme à tout faire. Tout semble aller pour le mieux, jusqu'à ce qu'il apprenne qu'un meurtre a été commis quelques années auparavant, au sein même du parc et qu'un de ses amis voie la victime...Devin a-t-il réellement "une ombre au-dessus de lui" comme le lui a dit la voyante du parc ? Et qui est ce garçon étrange qui vit au bord de la plage ?
Pas le meilleur King à mon sens (j'ai beaucoup plus apprécié Salem ou Simetierre), mais on se laisse prendre au jeu, et l'intrigue est assez bien ficelée pour qu' on ne puisse pas deviner en avance l'identité du tueur.
Défi en cours : un livre avec un nom de membre de la famille dans le titre : Les frères Karamasov. Je m'étais promis d'éviter les gros pavés, mais c'est le seul livre qui paraissait correspondre et que j'avais en stock.
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"Soyons subversifs. Révoltons-nous contre l'ignorance, l'indifférence, la cruauté, qui d'ailleurs ne s'exerce si souvent contre l'homme que parce qu'elles se sont fait la main sur les animaux. Il y aurait moins d'enfants martyrs s'il y avait moins d'animaux torturés".
Marguerite Yourcenar
« La vraie bonté de l’homme ne peut se manifester en toute pureté et en toute liberté qu’à l’égard de ceux qui ne représentent aucune force. » «Le véritable test moral de l’humanité, ce sont ses relations avec ceux qui sont à sa merci : les animaux. » Kundera, L’Insoutenable Légèreté de l’être
- *Ombre*Grand sage
Les Frères Karamazov, je suis en plein dedans, Hermiony (enfin, j'arrive à la fin). C'est époustouflant.
- PointàlaligneExpert
Je n'ai encore pu reprendre la lecture que par petits morceaux... pourvu que cette troisième semaine soit plus calme !
Grâce au défi, je découvre le poète contemporain Lionel Mazari. Pour le n° 12, un recueil de poésie paru ces 40 dernières années, j'ai lu Journal d'un ange suivi de JC Cédille.
Si vous voulez découvrir sa voix et ses vers, il y a un podcast de France Culture qui lui donne la parole :
Lionel Mazari dans l'émission "A quoi ça rime" sur France Culture.
Grâce au défi, je découvre le poète contemporain Lionel Mazari. Pour le n° 12, un recueil de poésie paru ces 40 dernières années, j'ai lu Journal d'un ange suivi de JC Cédille.
Si vous voulez découvrir sa voix et ses vers, il y a un podcast de France Culture qui lui donne la parole :
Lionel Mazari dans l'émission "A quoi ça rime" sur France Culture.
- ValorNiveau 9
Dans quelle traduction (ou édition) le lis-tu?*Ombre* a écrit:Les Frères Karamazov, je suis en plein dedans, Hermiony (enfin, j'arrive à la fin). C'est époustouflant.
- gregforeverGrand sage
Je l'ai lu vers 15 ans... je n'en garde strictement aucun souvenir, mais vos commentaires donnent envie de s'y replonger: Les Frères Karamazov, sur ma liste!
- *Ombre*Grand sage
Valor a écrit:Dans quelle traduction (ou édition) le lis-tu?*Ombre* a écrit:Les Frères Karamazov, je suis en plein dedans, Hermiony (enfin, j'arrive à la fin). C'est époustouflant.
Mode *frime* ON : Moi, Madame, je lis dans la Pléiade.
Mode *réalité* : En vrai, je n'ai jamais vraiment apprécié cette collection (mais bon, les étudiants en Lettres, on leur offre des Pléaide...) Ce n'est pas spécialement la traduction, qui me charme, que la vigueur des personnages (même s'il y a parfois quelques longueurs).
- *Ombre*Grand sage
Terminé le volume 4 de la sage du sorcier, Harry Potter et la coupe de feu.
J'ai eu du mal au début (moi qui disais du volume précédent que j'en avais ma claque du Quidditch, ça ne parle que de ça une bonne partie du roman :lol: ) mais ensuite, ça monte en puissance, et la fin est vraiment bien.
Bon, je ne sais pas si ça peut entrer dans une catégorie du défi. Pour livre sur le thème du sport, ça vous paraît tiré par les cheveux (histoire de récompenser mon stoïcisme face à tous ces matchs de Quidditch) ? Ou bien pour "fin d'un monde" (le monde tranquille, à l'abri de Volemort) ?
J'ai eu du mal au début (moi qui disais du volume précédent que j'en avais ma claque du Quidditch, ça ne parle que de ça une bonne partie du roman :lol: ) mais ensuite, ça monte en puissance, et la fin est vraiment bien.
Bon, je ne sais pas si ça peut entrer dans une catégorie du défi. Pour livre sur le thème du sport, ça vous paraît tiré par les cheveux (histoire de récompenser mon stoïcisme face à tous ces matchs de Quidditch) ? Ou bien pour "fin d'un monde" (le monde tranquille, à l'abri de Volemort) ?
- Volo'Neoprof expérimenté
*Ombre* a écrit:Terminé le volume 4 de la sage du sorcier, Harry Potter et la coupe de feu.
J'ai eu du mal au début (moi qui disais du volume précédent que j'en avais ma claque du Quidditch, ça ne parle que de ça une bonne partie du roman :lol: ) mais ensuite, ça monte en puissance, et la fin est vraiment bien.
Bon, je ne sais pas si ça peut entrer dans une catégorie du défi. Pour livre sur le thème du sport, ça vous paraît tiré par les cheveux (histoire de récompenser mon stoïcisme face à tous ces matchs de Quidditch) ? Ou bien pour "fin d'un monde" (le monde tranquille, à l'abri de Volemort) ?
Pour le sport, je trouve que c’est cohérent. Entre le match d’ouverture et la compétition de la coupe de feu.
Je trouve cela moins cohérent « fin d’un monde »... à la limite le premier, quand Harry apprend l’existence d’un monde nouveau.
(C’est marrant je viens de lire les trois premiers tomes cette semaine )
- *Ombre*Grand sage
OK, Volo, merci pour ton avis.
Sinon, je demande ici... Ma fille a un peu d'avance sur moi. Elle trépigne pour lire le tome 5. Pour l'instant, j'ai différé, sur la recommandation de Lulu, car il semble que ces aventures deviennent ensuite plus sombres et violentes. Mais elle est très déçue et ne veut rien lire d'autre pour l'instant. Elle m'affirme que des copains à elle ont déjà lu l'intégralité de la série. Cela me fait douter. Pensez-vous que je puisse mettre le volume 5 entre ses mains (je voudrais finir Karamazov avant de me lancer dans autre chose) ? Elle a 8 ans. Option intermédiaire : je lis avec elle et j'interromps si ça devient trop dur (mais bon, cela peut être encore plus frustrant que de passer à autre chose à la fin d'un tome).
Sinon, je demande ici... Ma fille a un peu d'avance sur moi. Elle trépigne pour lire le tome 5. Pour l'instant, j'ai différé, sur la recommandation de Lulu, car il semble que ces aventures deviennent ensuite plus sombres et violentes. Mais elle est très déçue et ne veut rien lire d'autre pour l'instant. Elle m'affirme que des copains à elle ont déjà lu l'intégralité de la série. Cela me fait douter. Pensez-vous que je puisse mettre le volume 5 entre ses mains (je voudrais finir Karamazov avant de me lancer dans autre chose) ? Elle a 8 ans. Option intermédiaire : je lis avec elle et j'interromps si ça devient trop dur (mais bon, cela peut être encore plus frustrant que de passer à autre chose à la fin d'un tome).
- Volo'Neoprof expérimenté
Le dernier tiers du 5 est plus violent en termes d’images, oui. Je ne le recommanderais pas nécessairement à 8 ans. Après elle a lu la fin du 4 qui n’est pas franchement glorieux en termes d’images non plus dans le cimetière.
- AdrenFidèle du forum
Bonsoir Ombre, ma fille a lu toutela saga d'un coup entre la fin du CE1 et le début du CE2, je ne sais plus quel âge ça fait. Elle est facilement impressionnable mais elle a bien aimé. Elle faisait parfois des pauses le soir dans les 3 derniers. On attendu davantage pour les films.
- *Ombre*Grand sage
Merci pour vos avis, les filles. Je vais encore attendre un peu avant de prendre une décision.
- PointàlaligneExpert
Vigilance... Quand j'étais petite, je lisais systématiquement tout ce que l'on m'avait déconseillé ou interdit. Bon, tous les enfants ne sont pas désobéissants non plus, mais parfois interdire n'est pas efficace...
- Volo'Neoprof expérimenté
Après si elle est lectrice à 8 ans, un passage plus violent en termes d’images saura l’arrêter d’elle-même. C’est ça aussi qui est bien avec la lecture : chacun imagine des choses différentes. Et oui, sinon pour les films je partage le point de vue.
- *Ombre*Grand sage
Merci à toutes pour vos avis. Bon, je vais lui laisser les livres. Pour les films, elle a le temps. Pour l'instant, elle ne réclame que les livres, donc tout va bien.
De mon côté, fini cette nuit, pour l'entrée "roman dont le titre comprend un nom de membre de la famille", Les Frères Karamazov, de Dostoïevski. Est-il nécessaire de présenter ce grand classique ? Fiédor Karamazov est un affreux vieillard, avare, brutal, grossier, libidineux... Il a quatre fils de différentes unions, aux caractères à la fois très différents et très trempés. L'aîné, Dimitri, est celui qui lui ressemble le plus, jouisseur, dissolu et qui partant se heurte le plus violemment à son père. Le cadet, Ivan, est un athée résolu qui ne croit qu'en l'action et rêve de révolution. Le plus jeune, Alexeï, dit Aliocha, est la pureté même, la bonté incarnée (il m'a fait penser au prince Muychkine dans L'Idiot), disciple d'un quasi-saint homme, le starets Zosime. Enfin, il y a le fils illégitime, Smerdiakov, né d'une union avec une fille de rue, jamais reconnu, mais pris dans la maison paternelle comme simple domestique.
La première partie du roman raconte les heurts et malheurs de cette famille haute en couleur, dont les membres ne cessent de s'affronter. Le père impossible prive ses fils de leur héritage maternel et finit par se retrouver rival de son aîné dans le coeur de Grouchengka. C'en est trop. Dimitri éclate, boit une fois de plus et passe la nuit à jurer que, cette fois, il va le tuer. Or, le lendemain, le père est retrouvé assassiné. Dimitri est accusé et jeté en prison.
Le lecteur ne sait pas qui a commis le crime. La seconde partie du roman, entre enquête et procès, va donc permettre de reconstituer les événements, mais surtout d'explorer les relations entre les frères. C'est une plongée dans la psyché humaine, ses passions, son besoin d'idéal, une réflexion sur le sens d'un monde dans dieu (est-ce que tout est alors permis ?), sur la culpabilité, la possibilité du salut, autant de thèmes qui parcourent toute l'oeuvre de Dostoïesvki. Mais autant j'avais jugé cette réflexion pesante dans Crime et Châtiment (j'avais trouvé l'intrigue bien mince et prétexte à une dissertation interminable), autant, portée par de tels personnages, elle est vivante, incarnée et passionnante. Contrairement à ce que j'ai pu lire sur ce fil, ce ne sont pas ces discussions qui m'ont parfois pesé, car on était ici dans des questions existentielles qui faisaient sens et me parlaient. Mais il faut bien avouer qu'il y a certaines longueurs. J'ai été moins enthousiaste devant l'histoire des gamins (Kolia, Illioucha...), dispensable selon moi. Et j'ai sauté des pages lors des péroraisons des avocats, qui ressassent des informations connues ou se lancent dans des considérations psychologiques échevelées. Mais cela mis à part, c'est une oeuvre puissante que j'ai eu grand plaisir à lire.
De mon côté, fini cette nuit, pour l'entrée "roman dont le titre comprend un nom de membre de la famille", Les Frères Karamazov, de Dostoïevski. Est-il nécessaire de présenter ce grand classique ? Fiédor Karamazov est un affreux vieillard, avare, brutal, grossier, libidineux... Il a quatre fils de différentes unions, aux caractères à la fois très différents et très trempés. L'aîné, Dimitri, est celui qui lui ressemble le plus, jouisseur, dissolu et qui partant se heurte le plus violemment à son père. Le cadet, Ivan, est un athée résolu qui ne croit qu'en l'action et rêve de révolution. Le plus jeune, Alexeï, dit Aliocha, est la pureté même, la bonté incarnée (il m'a fait penser au prince Muychkine dans L'Idiot), disciple d'un quasi-saint homme, le starets Zosime. Enfin, il y a le fils illégitime, Smerdiakov, né d'une union avec une fille de rue, jamais reconnu, mais pris dans la maison paternelle comme simple domestique.
La première partie du roman raconte les heurts et malheurs de cette famille haute en couleur, dont les membres ne cessent de s'affronter. Le père impossible prive ses fils de leur héritage maternel et finit par se retrouver rival de son aîné dans le coeur de Grouchengka. C'en est trop. Dimitri éclate, boit une fois de plus et passe la nuit à jurer que, cette fois, il va le tuer. Or, le lendemain, le père est retrouvé assassiné. Dimitri est accusé et jeté en prison.
Le lecteur ne sait pas qui a commis le crime. La seconde partie du roman, entre enquête et procès, va donc permettre de reconstituer les événements, mais surtout d'explorer les relations entre les frères. C'est une plongée dans la psyché humaine, ses passions, son besoin d'idéal, une réflexion sur le sens d'un monde dans dieu (est-ce que tout est alors permis ?), sur la culpabilité, la possibilité du salut, autant de thèmes qui parcourent toute l'oeuvre de Dostoïesvki. Mais autant j'avais jugé cette réflexion pesante dans Crime et Châtiment (j'avais trouvé l'intrigue bien mince et prétexte à une dissertation interminable), autant, portée par de tels personnages, elle est vivante, incarnée et passionnante. Contrairement à ce que j'ai pu lire sur ce fil, ce ne sont pas ces discussions qui m'ont parfois pesé, car on était ici dans des questions existentielles qui faisaient sens et me parlaient. Mais il faut bien avouer qu'il y a certaines longueurs. J'ai été moins enthousiaste devant l'histoire des gamins (Kolia, Illioucha...), dispensable selon moi. Et j'ai sauté des pages lors des péroraisons des avocats, qui ressassent des informations connues ou se lancent dans des considérations psychologiques échevelées. Mais cela mis à part, c'est une oeuvre puissante que j'ai eu grand plaisir à lire.
- lulucastagnetteEmpereur
*Ombre* a écrit:Merci pour vos avis, les filles. Je vais encore attendre un peu avant de prendre une décision.
Si elle a lu sans broncher la fin de la Coupe de feu et la scène du cimetière, ça devrait aller pour la suite.
Tu peux lire en parallèle, oui.
- PointàlaligneExpert
Jenny a écrit:Merci Ombre !
Ça donne envie.
+1 ! On a bien besoin de bonne littérature en ce moment...
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