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- PhyliaNiveau 9
Bonsoir,
J'enseigne dans un collège REP1 où les relations avec l'équipe de direction sont tendues, depuis l'arrivée de la Principale, il y a quatre ans. La semaine dernière, j'ai vécu deux évènements qui m'ont déstabilisée psychologiquement et continuent de me parasiter.
Un matin, je suis arrivée dans la salle où je fais cours et ai trouvé la salle très en désordre. Après m'être renseignée, j'ai appris qu'il y avait eu CA la veille, mais que les collègues avaient rangé en partant. Ne comprenant pas ce qui s'était passé, j'ai été voir la Direction pour leur demander de constater. L'adjointe et la principale ont refusé de venir voir et m'ont dit de faire ranger la salle par les élèves. Je leur ai objecté que cela n'était pas leur rôle, ce à quoi la principale s'est mise à me crier dessus, devant les élèves, en m'intimant d'aller faire cours et en ajoutant que je n'avais pas à discuter avec la Direction. Ne voulant pas laisser les élèves à la charge de la vie scolaire, je les ai fait entrer, mais j'ai eu beaucoup de mal à faire cours toute la matinée.
Le lendemain, la Direction a déboulé dans mon cours : "Commission sécurité !" Pas de bonjour ni d'excuse pour déranger le cours, l'adjointe et la principale se sont mises à explorer la salle, déplaçant tables et chaises qui ne leur paraissaient pas à leur place. Puis elles sont parties aussi soudainement qu'elles étaient arrivées, mais dire au revoir ni s'excuser pour le dérangement... Aussi sous le choc que les élèves suite à cette intrusion, je me suis sentie très mal à l'aise (moi qui insiste tellement sur les règles de savoir-vivre !).
Suite à ces deux évènements, j'ai développé des symptômes somatiques tels que maux de dos, perte de sommeil, idées noires.
J'ai relaté ces incidents dans le cahier du CHSCT, mais je souhaiterais faire remonter ces agissements (qui ne sont pas les seuls que j'ai subis, mais là je sature) au Rectorat. Sauriez-vous me conseiller pour effectuer cette démarche et me dire à qui je dois m'adresser ?
Merci pour vos conseils !
J'enseigne dans un collège REP1 où les relations avec l'équipe de direction sont tendues, depuis l'arrivée de la Principale, il y a quatre ans. La semaine dernière, j'ai vécu deux évènements qui m'ont déstabilisée psychologiquement et continuent de me parasiter.
Un matin, je suis arrivée dans la salle où je fais cours et ai trouvé la salle très en désordre. Après m'être renseignée, j'ai appris qu'il y avait eu CA la veille, mais que les collègues avaient rangé en partant. Ne comprenant pas ce qui s'était passé, j'ai été voir la Direction pour leur demander de constater. L'adjointe et la principale ont refusé de venir voir et m'ont dit de faire ranger la salle par les élèves. Je leur ai objecté que cela n'était pas leur rôle, ce à quoi la principale s'est mise à me crier dessus, devant les élèves, en m'intimant d'aller faire cours et en ajoutant que je n'avais pas à discuter avec la Direction. Ne voulant pas laisser les élèves à la charge de la vie scolaire, je les ai fait entrer, mais j'ai eu beaucoup de mal à faire cours toute la matinée.
Le lendemain, la Direction a déboulé dans mon cours : "Commission sécurité !" Pas de bonjour ni d'excuse pour déranger le cours, l'adjointe et la principale se sont mises à explorer la salle, déplaçant tables et chaises qui ne leur paraissaient pas à leur place. Puis elles sont parties aussi soudainement qu'elles étaient arrivées, mais dire au revoir ni s'excuser pour le dérangement... Aussi sous le choc que les élèves suite à cette intrusion, je me suis sentie très mal à l'aise (moi qui insiste tellement sur les règles de savoir-vivre !).
Suite à ces deux évènements, j'ai développé des symptômes somatiques tels que maux de dos, perte de sommeil, idées noires.
J'ai relaté ces incidents dans le cahier du CHSCT, mais je souhaiterais faire remonter ces agissements (qui ne sont pas les seuls que j'ai subis, mais là je sature) au Rectorat. Sauriez-vous me conseiller pour effectuer cette démarche et me dire à qui je dois m'adresser ?
Merci pour vos conseils !
- ProvenceEnchanteur
Es-tu épaulée par un syndicat? As-tu consulté un médecin?
- SeiferÉrudit
Quelle académie ?
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De tout cimetière naît un champ de fleurs.
- freakfeatherfallNiveau 5
Sur le site Partage on peut faire un rapport (qui sera lisible par toute personne de l'établissement). Lors d'une heure mensuelle syndicale (la première que nous avons demandé cette année pour parler de nos problèmes), un syndiqué nous a affirmé que c'était le seul moyen de faire bouger le rectorat qui sinon fait la sourde oreille (en faisant attention à ne pas nommer les personnes car risque de diffamation :S). En effet, même la venue l'année dernière de la CHSCT n'a eu aucun effet...
Je ne peux être plus précis sur l'endroit où faire ce rapport, désolé, je ne connais pas bien le site Partage.
Bon courage en tout cas !
Je ne peux être plus précis sur l'endroit où faire ce rapport, désolé, je ne connais pas bien le site Partage.
Bon courage en tout cas !
- User20159Esprit éclairé
Salle très en désordre à quel point ?
Euh tes chefs on leur a jamais dit qu'hurler sur un collègue déjà c'est pas tip-top, mais devant élèves je ne ferai pas de commentaires....
Il faut comme l'a dit @Provence se rapprocher d'un syndicat, mais aussi des membres enseignants du CA de ton établissement (si tu as un dialogue avec eux). Si les relations sont globalement tendues, vous avez tout intérêt à faire bloc (même si je suis que dans certains établissements c'est loin d'être le cas )
Se pointer dans la salle de classe d'un enseignant, pour fouiner en plein cours, au fallacieux prétexte de sécurité, c'est d'une incorrection, mais rare... (Même s'ils en ont le droit, c'est leur établissement ).
Bon courage et n'hésite pas à MP. Je suis syndiqué.
Euh tes chefs on leur a jamais dit qu'hurler sur un collègue déjà c'est pas tip-top, mais devant élèves je ne ferai pas de commentaires....
Il faut comme l'a dit @Provence se rapprocher d'un syndicat, mais aussi des membres enseignants du CA de ton établissement (si tu as un dialogue avec eux). Si les relations sont globalement tendues, vous avez tout intérêt à faire bloc (même si je suis que dans certains établissements c'est loin d'être le cas )
Se pointer dans la salle de classe d'un enseignant, pour fouiner en plein cours, au fallacieux prétexte de sécurité, c'est d'une incorrection, mais rare... (Même s'ils en ont le droit, c'est leur établissement ).
Bon courage et n'hésite pas à MP. Je suis syndiqué.
- SeiferÉrudit
Pareil que Ha@x, déchargé et co-secrétaire de mon syndicat, mais à voir si tu es au sein de l'académie de Créteil, auquel cas je passe un appel à cette directrice. Sinon je peux toujours te rediriger.
Cordialement.
Cordialement.
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De tout cimetière naît un champ de fleurs.
- PhyliaNiveau 9
Je vous remercie chacun pour ces premières réponses.
J'ai trouvé la salle dans un désordre inhabituel, même pour un CA : tables contre le mur du tableau avec une table renversée sur l'une d'elle, chaises empilées derrière la porte d'entrée, bureau inaccessible encombré par des tables déplacées (j'ai pris une photo). Par la suite, j'ai appris qu'après le CA, la Direction avait pris l'apéro avec les parents d'élèves...
Je me suis effectivement rapprochée d'un collègue syndiqué et ai prévu d'aller parler à la Principale avec lui (j'ai préparé un écrit à lui lire pour éviter tout dérapage). J'ai également parlé de ces soucis aux collègues qui ont été aussi choqués par la manière dont la Direction a fait irruption "commission sécurité" dans leur cours.
La question du climat scolaire (sous-entendu : les relations avec la Direction) sera abordée à la prochaine heure syndicale. D'ici-là, je voudrais savoir comment faire remonter nos doléances au rectorat ? Faut-il saisir l'Inspecteur de vie scolaire ?
Pour le moment, je n'ai pas consulté de médecin et je prends sur moi. Mais j'ai commencé à regarder les créneaux de consultation de mon centre médical au cas où.
PS : Je ne peux envoyer de mp, mon '"nombre de messages étant insuffisant".
J'ai trouvé la salle dans un désordre inhabituel, même pour un CA : tables contre le mur du tableau avec une table renversée sur l'une d'elle, chaises empilées derrière la porte d'entrée, bureau inaccessible encombré par des tables déplacées (j'ai pris une photo). Par la suite, j'ai appris qu'après le CA, la Direction avait pris l'apéro avec les parents d'élèves...
Je me suis effectivement rapprochée d'un collègue syndiqué et ai prévu d'aller parler à la Principale avec lui (j'ai préparé un écrit à lui lire pour éviter tout dérapage). J'ai également parlé de ces soucis aux collègues qui ont été aussi choqués par la manière dont la Direction a fait irruption "commission sécurité" dans leur cours.
La question du climat scolaire (sous-entendu : les relations avec la Direction) sera abordée à la prochaine heure syndicale. D'ici-là, je voudrais savoir comment faire remonter nos doléances au rectorat ? Faut-il saisir l'Inspecteur de vie scolaire ?
Pour le moment, je n'ai pas consulté de médecin et je prends sur moi. Mais j'ai commencé à regarder les créneaux de consultation de mon centre médical au cas où.
PS : Je ne peux envoyer de mp, mon '"nombre de messages étant insuffisant".
- User20159Esprit éclairé
Phylia a écrit:La question du climat scolaire (sous-entendu : les relations avec la Direction) sera abordée à la prochaine heure syndicale. D'ici-là, je voudrais savoir comment faire remonter nos doléances au rectorat ? Faut-il saisir l'Inspecteur de vie scolaire ?
Ah vous pouvez tout à fait demander une inspection VS ! C'est un peu, parfois (totalement) déclarer la guerre aux chefs (et vos CPE vont mal vous regarder), mais ça se fait complètement.
Seifer a écrit:auquel cas je passe un appel à cette directrice. Sinon je peux toujours te rediriger.
Le coup de fil syndical est souvent négligé mais peut s'avérer d'une rare efficacité pour CDE récalcitrant
- PhyliaNiveau 9
Ha@_x a écrit:Phylia a écrit:La question du climat scolaire (sous-entendu : les relations avec la Direction) sera abordée à la prochaine heure syndicale. D'ici-là, je voudrais savoir comment faire remonter nos doléances au rectorat ? Faut-il saisir l'Inspecteur de vie scolaire ?
Ah vous pouvez tout à fait demander une inspection VS ! C'est un peu, parfois (totalement) déclarer la guerre aux chefs (et vos CPE vont mal vous regarder), mais ça se fait complètement.Seifer a écrit:auquel cas je passe un appel à cette directrice. Sinon je peux toujours te rediriger.
Le coup de fil syndical est souvent négligé mais peut s'avérer d'une rare efficacité pour CDE récalcitrant
Comment demande-t-on une inspection VS ? En quoi consiste l'appel syndical à CDE ? Merci pour votre aide !
- User20159Esprit éclairé
L'inspection vie-scolaire peut être demandée par exemple par des profs'(s'ils sont élus au CA c'est mieux, c'est c.. je sais, mais ça marche comme ça) ou par une organisation syndicale pour un établissement où des dysfonctionnements sont constatés.
L'appel (téléphonique) syndical, c'est tout simplement, le bon bougre, syndicaliste, qui décroche son téléphone, appelle le chef X ou Y pour lui dire qu'il ferait mieux de se souvenir :
- de ses obligations légales
- de son respect des personnels et de leur travail
- car sinon il va assigner et envoyer des recommandés
C'est de la dissuasion, les CDE ont horreur de ça, et souvent ça marche, ils ont peur par dessus-tout de se prendre une révolte dans la tronche, pour ça on les débarque, ça arrive..
L'appel (téléphonique) syndical, c'est tout simplement, le bon bougre, syndicaliste, qui décroche son téléphone, appelle le chef X ou Y pour lui dire qu'il ferait mieux de se souvenir :
- de ses obligations légales
- de son respect des personnels et de leur travail
- car sinon il va assigner et envoyer des recommandés
C'est de la dissuasion, les CDE ont horreur de ça, et souvent ça marche, ils ont peur par dessus-tout de se prendre une révolte dans la tronche, pour ça on les débarque, ça arrive..
- User17095Érudit
Les visites de la commission de sécurité sont annoncées très peu de temps à l'avance, ce sont des extérieurs qui viennent tout vérifier (mais tout, absolument tout, c'est aussi nécessaire qu'horrible), et collent un stress monumental parce que, notamment, ils peuvent du jour au lendemain annoncer "l'établissement n'est pas praticable allez hop vous fermez." Et bien sûr, le responsable désigné d'une impéritie, c'est le CdE.
Donc ils rentrent effectivement dans les salles sans s'annoncer parce que ça fait partie du fonctionnement même de la visite (ils choisissent où ils vont, pour éviter qu'on leur présente un village Potemkine), et la courtoisie devient très secondaire quand on leur trotte après en espérant que ça passe.
Pour le reste, bon la salle en désordre c'est effectivement pas très sympa, mais parfois il arrive qu'on oublie de ranger sur le moment.
Quant à boire un rapide verre après le CA c'est assez habituel, surtout celui d'installation. Les représentants des personnels aussi y participent.
Un détail que je ne comprends pas, tu es allée voir l'équipe de direction avec les élèves ?
Enfin je ne suis pas sûr que ça nécessite de sortir l'arme lourde. Tu as trouvé tout ça très désagréable et c'est bien compréhensible, mais est-ce pour autant une volonté de s'en prendre à toi en particulier ?
Quant à réclamer la visite d'un IPR EVS parce que les tables n'étaient pas rangées... il va falloir davantage pour la justifier. Je pense qu'un rendez-vous pour exprimer ton malaise serait plus approprié, et surtout plus productif pour la suite de l'année - en particulier, parce que les conséquences dans le climat de l'établissement ne seront pas du tout les mêmes, et que les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
Donc ils rentrent effectivement dans les salles sans s'annoncer parce que ça fait partie du fonctionnement même de la visite (ils choisissent où ils vont, pour éviter qu'on leur présente un village Potemkine), et la courtoisie devient très secondaire quand on leur trotte après en espérant que ça passe.
Pour le reste, bon la salle en désordre c'est effectivement pas très sympa, mais parfois il arrive qu'on oublie de ranger sur le moment.
Quant à boire un rapide verre après le CA c'est assez habituel, surtout celui d'installation. Les représentants des personnels aussi y participent.
Un détail que je ne comprends pas, tu es allée voir l'équipe de direction avec les élèves ?
Enfin je ne suis pas sûr que ça nécessite de sortir l'arme lourde. Tu as trouvé tout ça très désagréable et c'est bien compréhensible, mais est-ce pour autant une volonté de s'en prendre à toi en particulier ?
Quant à réclamer la visite d'un IPR EVS parce que les tables n'étaient pas rangées... il va falloir davantage pour la justifier. Je pense qu'un rendez-vous pour exprimer ton malaise serait plus approprié, et surtout plus productif pour la suite de l'année - en particulier, parce que les conséquences dans le climat de l'établissement ne seront pas du tout les mêmes, et que les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
- User20159Esprit éclairé
pogonophile a écrit:Les visites de la commission de sécurité sont annoncées très peu de temps à l'avance, ce sont des extérieurs qui viennent tout vérifier (mais tout, absolument tout, c'est aussi nécessaire qu'horrible), et collent un stress monumental parce que, notamment, ils peuvent du jour au lendemain annoncer "l'établissement n'est pas praticable allez hop vous fermez." Et bien sûr, le responsable désigné d'une impéritie, c'est le CdE.
Donc ils rentrent effectivement dans les salles sans s'annoncer parce que ça fait partie du fonctionnement même de la visite (ils choisissent où ils vont, pour éviter qu'on leur présente un village Potemkine), et la courtoisie devient très secondaire quand on leur trotte après en espérant que ça passe.
Pour le reste, bon la salle en désordre c'est effectivement pas très sympa, mais parfois il arrive qu'on oublie de ranger sur le moment.
Quant à boire un rapide verre après le CA c'est assez habituel, surtout celui d'installation. Les représentants des personnels aussi y participent.
Un détail que je ne comprends pas, tu es allée voir l'équipe de direction avec les élèves ?
Enfin je ne suis pas sûr que ça nécessite de sortir l'arme lourde. Tu as trouvé tout ça très désagréable et c'est bien compréhensible, mais est-ce pour autant une volonté de s'en prendre à toi en particulier ?
Quant à réclamer la visite d'un IPR EVS parce que les tables n'étaient pas rangées... il va falloir davantage pour le justifier.
[ah ben le vlà']
Si tu as bien lu, @pogonophile, selon la collègue, c'est l'équipe de direction qui s'est improvisée commission sécurité,
J'avoue que je suis impatient de lire tes lumières à ce sujet.
- SeiferÉrudit
Ha@_x a écrit:L'inspection vie-scolaire peut être demandée par exemple par des profs'(s'ils sont élus au CA c'est mieux, c'est c.. je sais, mais ça marche comme ça) ou par une organisation syndicale pour un établissement où des dysfonctionnements sont constatés.
L'appel (téléphonique) syndical, c'est tout simplement, le bon bougre, syndicaliste, qui décroche son téléphone, appelle le chef X ou Y pour lui dire qu'il ferait mieux de se souvenir :
- de ses obligations légales
- de son respect des personnels et de leur travail
- car sinon il va assigner et envoyer des recommandés
C'est de la dissuasion, les CDE ont horreur de ça, et souvent ça marche, ils ont peur par dessus-tout de se prendre une révolte dans la tronche, pour ça on les débarque, ça arrive..
Ouaip, et généralement ça change beaucoup de choses dans la manière d'agir du/de la CDE. Les appels ont toujours été cordiaux pour ma part, mais je sais que derrière c'est "faut que je fasse en sorte de ne pas avoir à recevoir de nouveaux appels...".
C'est comme la mairie. Les gens ne connaissent pas le droit, les responsables non plus, donc font n'importe quoi. Le dernier courrier envoyé à la préfète a fait son effet, là où les rapports étaient à peu près cordiaux, depuis cela le maire me déteste viscéralement, mais il respecte davantage la loi.
Les dits moyens de pression ne sont que des moyens de défense - que cela soit au niveau du peuple (politique) ou des travailleurs, travailleuses.
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De tout cimetière naît un champ de fleurs.
- PhyliaNiveau 9
La visite officielle de la commission sécurité nous a été annoncée pour l'après-midi. En revanche, ce n'était pas le cas de l'irruption de l'équipe de direction qui nous a tous surpris et a eu lieu le matin.
Je précise également que les faits de départ sont effectivement bénins (des excuses et un minimum de savoir-vivre auraient suffi pour que je remette la salle en place comme je l'ai déjà fait souvent) et ne sont pas à l'origine de mon mal-être et de ma protestation : ce que je mets en cause, c'est le comportement de la Direction qui se croit tout permis et n'a aucune considération pour notre travail.
Merci Ha@_x pour les précisions : je vais y réfléchir et vous tiens au courant !
Je précise également que les faits de départ sont effectivement bénins (des excuses et un minimum de savoir-vivre auraient suffi pour que je remette la salle en place comme je l'ai déjà fait souvent) et ne sont pas à l'origine de mon mal-être et de ma protestation : ce que je mets en cause, c'est le comportement de la Direction qui se croit tout permis et n'a aucune considération pour notre travail.
Merci Ha@_x pour les précisions : je vais y réfléchir et vous tiens au courant !
- User17095Érudit
Donc en fait, le passage dans la classe correspondait à une dernière vérification avant l'arrivée de la commission de sécurité. Si tu as bien lu, Ha@_x, tu n'y étais pas non plus - mais enfin, cela arrive de mal saisir une situation, ce n'est pas grave.
Effectivement, dire bonjour en entrant aurait pu être de mise.
Il faut néanmoins garder à l'esprit que rentrer dans la salle, ça fait partie du "tout permis" : ce n'est pas l'acte que tu peux reprocher, mais la manière.
Je reste persuadé que tu feras beaucoup mieux d'en parler, accompagnée par un collègue représentant du personnel si tu en ressens le besoin. Qu'en pensent les autres enseignants ?
En effet, aller réclamer une inspection comme si l'établissement était à feu et à sang, en te basant sur ce que tu nous dis (mais il y a peut être autre chose), c'est vouloir attaquer un moustique avec un marteau piqueur : faire beaucoup de dégâts sans atteindre sa cible. Quiconque a un peu plus d'expérience de la vie syndicale que les rodomontades sur un forum te dira que c'est une mauvaise approche.
Effectivement, dire bonjour en entrant aurait pu être de mise.
Il faut néanmoins garder à l'esprit que rentrer dans la salle, ça fait partie du "tout permis" : ce n'est pas l'acte que tu peux reprocher, mais la manière.
Je reste persuadé que tu feras beaucoup mieux d'en parler, accompagnée par un collègue représentant du personnel si tu en ressens le besoin. Qu'en pensent les autres enseignants ?
En effet, aller réclamer une inspection comme si l'établissement était à feu et à sang, en te basant sur ce que tu nous dis (mais il y a peut être autre chose), c'est vouloir attaquer un moustique avec un marteau piqueur : faire beaucoup de dégâts sans atteindre sa cible. Quiconque a un peu plus d'expérience de la vie syndicale que les rodomontades sur un forum te dira que c'est une mauvaise approche.
- SeiferÉrudit
S'il n'y avait que cette histoire, j'aurais dit pareil. En l'occurrence la première fait d'elle une supérieure avec un très fort potentiel harceleur et rendant le travail quotidien bien plus compliqué pour les collègues. Il est fort probable que ce ne soit pas la seule personne à avoir subi ce genre de choses avec elle.
Un recadrage sur sa manière de gérer un établissement ne serait pas un mal pour la santé des collègues. Lui rappeler qu'elle aurait dû suivre les propos de la collègue, quitte à la convoquer plus tard pour en discuter entre adultes, mais pas la mettre en difficulté face à ses élèves. C'est une faute et un manquement à son travail.
Désolé que des syndicats s'en occupent, de la santé des collègues, vu qu'au sein de l'institution tout le monde s'en carre.
Dernier exemple en date du soutien de mon cher rectorat à une victime, témoin de l'attentat du Bataclan :
https://twitter.com/ce_drink/status/1194605541252849664
Un recadrage sur sa manière de gérer un établissement ne serait pas un mal pour la santé des collègues. Lui rappeler qu'elle aurait dû suivre les propos de la collègue, quitte à la convoquer plus tard pour en discuter entre adultes, mais pas la mettre en difficulté face à ses élèves. C'est une faute et un manquement à son travail.
Désolé que des syndicats s'en occupent, de la santé des collègues, vu qu'au sein de l'institution tout le monde s'en carre.
Dernier exemple en date du soutien de mon cher rectorat à une victime, témoin de l'attentat du Bataclan :
https://twitter.com/ce_drink/status/1194605541252849664
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De tout cimetière naît un champ de fleurs.
- User20159Esprit éclairé
pogonophile a écrit:Donc en fait, le passage dans la classe correspondait à une dernière vérification avant l'arrivée de la commission de sécurité. Si tu as bien lu, Ha@_x, tu n'y étais pas non plus - mais enfin, cela arrive de mal saisir une situation, ce n'est pas grave.
Effectivement, dire bonjour en entrant aurait pu être de mise.
Il faut néanmoins garder à l'esprit que rentrer dans la salle, ça fait partie du "tout permis" : ce n'est pas l'acte que tu peux reprocher, mais la manière.
Je reste persuadé que tu feras beaucoup mieux d'en parler, accompagnée par un collègue représentant du personnel si tu en ressens le besoin. Qu'en pensent les autres enseignants ?
En effet, aller réclamer une inspection comme si l'établissement était à feu et à sang, en te basant sur ce que tu nous dis (mais il y a peut être autre chose), c'est vouloir attaquer un moustique avec un marteau piqueur : faire beaucoup de dégâts sans atteindre sa cible. Quiconque a un peu plus d'expérience de la vie syndicale que les rodomontades sur un forum te dira que c'est une mauvaise approche.
Il est magique ce message , merci de ne pas me citer, je n'ai pas exactement émis ce type de propos.
Merci pour la rodomontade syndicale, on se sera reconnus , celle là je la garde en perle de Perdir....
@pogonophile ? Il faut nécessairement attendre que le bahut soit à feu et à sang pour signaler les éventuels problèmes ?
Si on travaillait tous de concert sur le terrain, ça irait mieux déjà. Pas besoin d'IPR-EVS.
Si on évitait les messages condescendants et lapidaires (le cela arrive de mal saisir une situation, ce n'est pas grave en fait partie).
Si je suis souvent (presque toujours en fait ) en désaccord avec toi, ce n'est pas tant sur le fond, mais sur la forme, que je trouve, excuse moi du peu, détestable...
Un collègue en souffrance, même pour ce qui semble relever du détail, ce n'est pas anodin.
#pasdevagues qu'on disait....pas pour rien, manifestement.
- skindiverÉrudit
Il faut peut être faire les choses dans "l'ordre". En parler d'abord avec les principaux interessés avant de demander une inspection de vie scolaire.
Prenons l'exemple de l'enseignant stagiaire qui ne se comporte pas comme il devrait le faire, vous attendez du chef qu'il en discute avec lui pour que ses pratiques évoluent plutot que contacter son IPR en expliquant que cet enseignant ne fait pas l'affaire et qu'il ne faut pas le titulariser.
C'est assez surprenant de voir que lorsqu'il s'agit des personnels de direction il faut tout de suite saisir les inspecteurs/DASEN alors que pour les autres non.
Le bon sens voudrait plutôt qu'on tente d'abord de communiquer et ensuite faire d'autres actions si rien ne bouge.
Prenons l'exemple de l'enseignant stagiaire qui ne se comporte pas comme il devrait le faire, vous attendez du chef qu'il en discute avec lui pour que ses pratiques évoluent plutot que contacter son IPR en expliquant que cet enseignant ne fait pas l'affaire et qu'il ne faut pas le titulariser.
C'est assez surprenant de voir que lorsqu'il s'agit des personnels de direction il faut tout de suite saisir les inspecteurs/DASEN alors que pour les autres non.
Le bon sens voudrait plutôt qu'on tente d'abord de communiquer et ensuite faire d'autres actions si rien ne bouge.
- Une passanteEsprit éclairé
J'avoue que les deux incidents relatés ne me semblent pas non plus nécessiter une réaction excessive.
En lisant le premier, j'ai reconnu la disposition du CA, où on pousse les tables, où on empile les chaises quand on manque de place. Et ce sont les agents qui rangent par la suite, mais là, visiblement le temps a dû manquer. Dans la même situation, j'aurais râlé, demandé aux élèves de m'aider à tout remettre en place et cherché par la suite à savoir ce qui s'était passé. Je ne saisis pas bien pourquoi être allée à la direction pour faire constater.
Des ratés dans un établissement, il y en a, c'est pénible mais pas dramatique.
Quant à la réaction de la direction, peut-être sous tension pour un problème plus important qu'une salle mal rangée, le comportement est très désagréable mais peut peut-être s'expliquer.
Pour la visite surprise, je comprends moins la façon de faire, la politesse élémentaire aurait en effet exigé qu'elles s'expliquent brièvement (même sous tension, dire deux ou trois mots, c'est possible).
Peut-être y a-t-il d'autres éléments dont nous ignorons l'existence, mais je ne vois pas non plus pour l'instant de raison de sortir l'artillerie lourde (d'autant que l'appel syndical peut aussi être totalement contre-productif et exacerber des tensions déjà présentes). Le mieux me semble de rencontrer la direction accompagnée, et d'établir un dialogue sur ces événements. Parfois, la communication arrange beaucoup de choses. Pas toujours, c'est certain. Mais cela vaut le coup d'essayer.
PS : en conflit ouvert avec ma direction, qu'on ne me taxe pas de complaisance
En lisant le premier, j'ai reconnu la disposition du CA, où on pousse les tables, où on empile les chaises quand on manque de place. Et ce sont les agents qui rangent par la suite, mais là, visiblement le temps a dû manquer. Dans la même situation, j'aurais râlé, demandé aux élèves de m'aider à tout remettre en place et cherché par la suite à savoir ce qui s'était passé. Je ne saisis pas bien pourquoi être allée à la direction pour faire constater.
Des ratés dans un établissement, il y en a, c'est pénible mais pas dramatique.
Quant à la réaction de la direction, peut-être sous tension pour un problème plus important qu'une salle mal rangée, le comportement est très désagréable mais peut peut-être s'expliquer.
Pour la visite surprise, je comprends moins la façon de faire, la politesse élémentaire aurait en effet exigé qu'elles s'expliquent brièvement (même sous tension, dire deux ou trois mots, c'est possible).
Peut-être y a-t-il d'autres éléments dont nous ignorons l'existence, mais je ne vois pas non plus pour l'instant de raison de sortir l'artillerie lourde (d'autant que l'appel syndical peut aussi être totalement contre-productif et exacerber des tensions déjà présentes). Le mieux me semble de rencontrer la direction accompagnée, et d'établir un dialogue sur ces événements. Parfois, la communication arrange beaucoup de choses. Pas toujours, c'est certain. Mais cela vaut le coup d'essayer.
PS : en conflit ouvert avec ma direction, qu'on ne me taxe pas de complaisance
- Dadoo33Grand sage
skindiver a écrit:Il faut peut être faire les choses dans "l'ordre". En parler d'abord avec les principaux interessés avant de demander une inspection de vie scolaire.
Prenons l'exemple de l'enseignant stagiaire qui ne se comporte pas comme il devrait le faire, vous attendez du chef qu'il en discute avec lui pour que ses pratiques évoluent plutot que contacter son IPR en expliquant que cet enseignant ne fait pas l'affaire et qu'il ne faut pas le titulariser.
C'est assez surprenant de voir que lorsqu'il s'agit des personnels de direction il faut tout de suite saisir les inspecteurs/DASEN alors que pour les autres non.
Le bon sens voudrait plutôt qu'on tente d'abord de communiquer et ensuite faire d'autres actions si rien ne bouge.
+1 et avec une passante
Dans mon établissement, nous avons eu quelques pbs avec un cde.
La réponse du rectorat a été claire: avant de saisir l’ipr, il faut tout d’abord tenter une médiation.
Par la suite, l’ipr s’est ensuite déplacé pour constater la situation.
Pogonophile ne dit rien de plus.
- PhyliaNiveau 9
Merci à tous pour vos interventions sur ce sujet qui me donnent à réfléchir .
Je précise que j'enseigne depuis plus de quinze ans (j'ai arrêté de compter ! ) et que des CDE, ainsi que des N+1 (j'ai également travaillé hors EN), j'en ai vu plein : en revanche, je n'ai jamais vu ou entendu un supérieur s'adresser aux enseignants ou aux collaborateurs comme le fait notre Principale. J'ajoute que je ne suis pas la seule à subir ce type de comportement qui est récurrent - et imprévisible - et le rectorat en a été informé, dès la première année de son arrivée : dans le courant de cette première année, une médiation a eu lieu au rectorat entre la personne concernée et la principale. Voilà ! C'était pour situer le contexte, si cela peut aider à mieux comprendre la situation dans son ensemble !
Je précise que j'enseigne depuis plus de quinze ans (j'ai arrêté de compter ! ) et que des CDE, ainsi que des N+1 (j'ai également travaillé hors EN), j'en ai vu plein : en revanche, je n'ai jamais vu ou entendu un supérieur s'adresser aux enseignants ou aux collaborateurs comme le fait notre Principale. J'ajoute que je ne suis pas la seule à subir ce type de comportement qui est récurrent - et imprévisible - et le rectorat en a été informé, dès la première année de son arrivée : dans le courant de cette première année, une médiation a eu lieu au rectorat entre la personne concernée et la principale. Voilà ! C'était pour situer le contexte, si cela peut aider à mieux comprendre la situation dans son ensemble !
- ProvenceEnchanteur
S'il y a des problèmes récurrents avec l'équipe de direction, je recommande d'abord de tout noter (j'ai moi-même, une année, compilé tous les incidents au fur et à mesure qu'ils se produisaient), parce qu'on oublie vite. C'est parfois l'accumulation de problèmes en apparence anecdotiques qui peut conduire à un climat de fortes tensions. Ensuite, autant que possible, que l'équipe enseignante soit solidaire. Aborder le sujet en HIS est une bonne initiative.Phylia a écrit:
La question du climat scolaire (sous-entendu : les relations avec la Direction) sera abordée à la prochaine heure syndicale. D'ici-là, je voudrais savoir comment faire remonter nos doléances au rectorat ? Faut-il saisir l'Inspecteur de vie scolaire ?
Mauvaise idée: on s'abîme plus vite qu'on ne croit. Les symptômes que tu décris mériteraient une consultation, ne serait-ce que pour faire le point.Pour le moment, je n'ai pas consulté de médecin et je prends sur moi.
- SeiferÉrudit
Je suis tellement surpris d'avoir raison sur le comportement harceleur de la chef. Ce n'est pas comme si nous, syndicats incompétents, étions capables de repérer ces personnes qui nuisent réellement au quotidien à force de les côtoyer dans divers établissements...
Et d'accord sur le médecin : cela ne veut pas dire que tu demandes un arrêt, mais va au moins voir sur un créneau où tu n'as pas cours si ça te dérange vraiment afin qu'il/elle pose un diagnostique. Parfois cela nous touche et nous affecte plus qu'on ne veut bien le croire.
Et d'accord sur le médecin : cela ne veut pas dire que tu demandes un arrêt, mais va au moins voir sur un créneau où tu n'as pas cours si ça te dérange vraiment afin qu'il/elle pose un diagnostique. Parfois cela nous touche et nous affecte plus qu'on ne veut bien le croire.
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De tout cimetière naît un champ de fleurs.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Devant les élèves (ou pas), il est absolument anormal de se faire crier de dessus — et encore moins par un personnel de direction (qui, étant supérieur hiérarchique, a du pouvoir) que par un collègue (pair)… Et encore moins quand le rectorat en a déjà été averti parce qu'il y avait déjà eu des incidents! Médiation, je veux bien: mais après une ou deux médiations ratées, on passe à quoi? (à la concertation, puis à la remédiation, avant d'envisager une discussion?)…
Bref, @Phylia : ce genre d'incidents n'est pas du tout “normal” et mieux vaudrait consulter un médecin pour lui en parler — car, en réalité, tu te fais crier dessus pour la seule raison que tu t'étonnes que ta salle soit sens dessus dessous = tu te fais agresser. On peut dire ce que l'on veut (en général c'est: “il y a pire comme agression”, donc “ça n'est pas si grave”), ça n'en est pas moins une agression (et ça se voit à l'absence d'excuses et au caractère non exceptionnel de la chose puisque c'est déjà arrivé). Ce genre de choses, c'est déstabilisant et ça peut laisser des traces. Donc “prendre sur soi”, réaction que je peux comprendre évidemment, ça n'est pas une bonne chose et il faut que tu prennes soin de toi, car ça me paraît plus important que bien des choses.
Bref, @Phylia : ce genre d'incidents n'est pas du tout “normal” et mieux vaudrait consulter un médecin pour lui en parler — car, en réalité, tu te fais crier dessus pour la seule raison que tu t'étonnes que ta salle soit sens dessus dessous = tu te fais agresser. On peut dire ce que l'on veut (en général c'est: “il y a pire comme agression”, donc “ça n'est pas si grave”), ça n'en est pas moins une agression (et ça se voit à l'absence d'excuses et au caractère non exceptionnel de la chose puisque c'est déjà arrivé). Ce genre de choses, c'est déstabilisant et ça peut laisser des traces. Donc “prendre sur soi”, réaction que je peux comprendre évidemment, ça n'est pas une bonne chose et il faut que tu prennes soin de toi, car ça me paraît plus important que bien des choses.
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Si tu vales valeo.
- William FosterExpert
skindiver a écrit:Il faut peut être faire les choses dans "l'ordre". En parler d'abord avec les principaux interessés avant de demander une inspection de vie scolaire.
Prenons l'exemple de l'enseignant stagiaire qui ne se comporte pas comme il devrait le faire, vous attendez du chef qu'il en discute avec lui pour que ses pratiques évoluent plutot que contacter son IPR en expliquant que cet enseignant ne fait pas l'affaire et qu'il ne faut pas le titulariser.
C'est assez surprenant de voir que lorsqu'il s'agit des personnels de direction il faut tout de suite saisir les inspecteurs/DASEN alors que pour les autres non.
Le bon sens voudrait plutôt qu'on tente d'abord de communiquer et ensuite faire d'autres actions si rien ne bouge.
Autant je suis d'accord avec toi sur la nécessité de dialogue, autant l'exemple du stagiaire me paraît juste ahurissant.
Il faudrait considérer les CdE comme des débutants néophytes ? C'est un gag ?
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Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
"Opinions are like orgasms : mine matters most and I really don't care if you have one." Sylvia Plath
Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
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