- CassiusNiveau 6
Macron «déconne»-t-il en parlant d’une retraite de 1 200 euros pour les profs ?
Sans aller jusqu'à lire un livre, ce journaliste pourrait se renseigner en allant sur les sites syndicaux ou même sur service-public.fr, en quelques heures il saurait comment sont calculées les retraites actuellement puis une lecture du projet de loi lui permettrait de se faire une idée de la situation. Mais ce n'est pas ce qu'il a appris: pour savoir ce qui se passe on prend toutes ses sources chez celui qui impose cette réforme.
Sans aller jusqu'à lire un livre, ce journaliste pourrait se renseigner en allant sur les sites syndicaux ou même sur service-public.fr, en quelques heures il saurait comment sont calculées les retraites actuellement puis une lecture du projet de loi lui permettrait de se faire une idée de la situation. Mais ce n'est pas ce qu'il a appris: pour savoir ce qui se passe on prend toutes ses sources chez celui qui impose cette réforme.
- gauvain31Empereur
Lefteris a écrit:Le montant de la pension, qui tient compte du niveau, de la durée et de la nature des services accomplis, garantit en fin de carrière à son bénéficiaire des conditions matérielles d’existence en rapport avec la dignité de sa fonction. »
Bref on estime qu'être enseignant n'est plus une fonction digne ......
- mathmaxExpert spécialisé
Cassius a écrit:Macron «déconne»-t-il en parlant d’une retraite de 1 200 euros pour les profs ?
Sans aller jusqu'à lire un livre, ce journaliste pourrait se renseigner en allant sur les sites syndicaux ou même sur service-public.fr, en quelques heures il saurait comment sont calculées les retraites actuellement puis une lecture du projet de loi lui permettrait de se faire une idée de la situation. Mais ce n'est pas ce qu'il a appris: pour savoir ce qui se passe on prend toutes ses sources chez celui qui impose cette réforme.
Je ne comprends pas bien ce que tu reproches à ce journaliste qui a justement pris la peine de vérifier les chiffres.
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- CassiusNiveau 6
mathmax a écrit:Cassius a écrit:Macron «déconne»-t-il en parlant d’une retraite de 1 200 euros pour les profs ?
Sans aller jusqu'à lire un livre, ce journaliste pourrait se renseigner en allant sur les sites syndicaux ou même sur service-public.fr, en quelques heures il saurait comment sont calculées les retraites actuellement puis une lecture du projet de loi lui permettrait de se faire une idée de la situation. Mais ce n'est pas ce qu'il a appris: pour savoir ce qui se passe on prend toutes ses sources chez celui qui impose cette réforme.
Je ne comprends pas bien ce que tu reproches à ce journaliste qui a justement pris la peine de vérifier les chiffres.
Je parle des sources:
Mais selon le dernier bilan social de l’éducation nationale...
Si le boulot était fait depuis le début, on n'assisterait pas à un festival de bobards.
- MirobolandeHabitué du forum
https://blog.francetvinfo.fr/l-instit-humeurs/2019/10/12/salaires-retraite-le-jour-ou-macron-a-enterre-les-espoirs-enseignants.html?fbclid=IwAR1bo4DbzWFzEfhEWrlznpiI_8httOfw8QWhLEZ-O9-YuAprg2rALot33qw
"Dans ce qui ressemble à une partie d’échec, le président a avancé ses pions silencieusement avant de mener une attaque frontale. Il attend sans doute maintenant de voir ce que va jouer son adversaire, c’est-à-dire la réaction du corps enseignant."
"Dans ce qui ressemble à une partie d’échec, le président a avancé ses pions silencieusement avant de mener une attaque frontale. Il attend sans doute maintenant de voir ce que va jouer son adversaire, c’est-à-dire la réaction du corps enseignant."
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Mirobolande a écrit:https://blog.francetvinfo.fr/l-instit-humeurs/2019/10/12/salaires-retraite-le-jour-ou-macron-a-enterre-les-espoirs-enseignants.html?fbclid=IwAR1bo4DbzWFzEfhEWrlznpiI_8httOfw8QWhLEZ-O9-YuAprg2rALot33qw
"Dans ce qui ressemble à une partie d’échec, le président a avancé ses pions silencieusement avant de mener une attaque frontale. Il attend sans doute maintenant de voir ce que va jouer son adversaire, c’est-à-dire la réaction du corps enseignant."
"Oh la la c'est pas sympa ça. Mais bon la grève ça sert à rien."
- CassiusNiveau 6
Salaires, retraite : le jour où Macron a enterré les espoirs enseignants a écrit:Dans la droite ligne du discours présidentiel de Rodez, JM Blanquer a parlé de « droits et de devoirs », « d’obligations réglementaires », de « sujet vacances ».
La feuille de route est claire.
"Droits et devoirs" et "obligations réglementaires" pour continuer à nous retirer des moyens tout en nous demandant de faire plus. Avec comme résultat le constat que nous ne faisons pas notre travail pour pouvoir privatiser. Quand au "sujets vacances", je le vois comme ça et je dois à peine exagérer: ramener nos vacances aux mêmes que les autres fonctionnaires avec l'obligation qu'elles correspondent aux vacances scolaires et pour le reste nous rendre "utiles" quand les élèves seront en vacances.
PS: si vous avez envie de vomir, c'est normal.
- CeladonDemi-dieu
Oui mais le vomissoir est déjà plein.
- DaphnéDemi-dieu
On peut le faire déborder
- Spoiler:
- sur les pieds de Macron tant qu'à faire ! :diable:
- LefterisEsprit sacré
"... et de toute manière c'st un combat perdu d'avance."Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Mirobolande a écrit:https://blog.francetvinfo.fr/l-instit-humeurs/2019/10/12/salaires-retraite-le-jour-ou-macron-a-enterre-les-espoirs-enseignants.html?fbclid=IwAR1bo4DbzWFzEfhEWrlznpiI_8httOfw8QWhLEZ-O9-YuAprg2rALot33qw
"Dans ce qui ressemble à une partie d’échec, le président a avancé ses pions silencieusement avant de mener une attaque frontale. Il attend sans doute maintenant de voir ce que va jouer son adversaire, c’est-à-dire la réaction du corps enseignant."
"Oh la la c'est pas sympa ça. Mais bon la grève ça sert à rien."
Ils sont finalement timorés au gouvernement, malgré leur hargne anti-fonctionnaires, anti-enseignants surtout. Ils auraient pu changer d'entrée le statut des enseignants avant tous les autres et commencer les licenciements secs.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- CassiusNiveau 6
Parler de combat implique d'être prêt à se défendre: je comprends mieux comment des gens se laissent embarquer dans des wagons à bestiaux.
- LefterisEsprit sacré
La métaphore avec le troupeau convient très bien. Regarde un troupeau de moutons : la bétaillère qui en conduit une partie à l'abattoir est là, mais on continue à brouter tranquillement.Cassius a écrit:Parler de combat implique d'être prêt à se défendre: je comprends mieux comment des gens se laissent embarquer dans des wagons à bestiaux.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
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- FenrirFidèle du forum
Le problème c'est que les gens près à combattre se font emporter par le flot des moutons.
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À quoi bon mettre son pédigrée, on est partis pour 40 ans*. ████ ████. * 42, il faut lire 42.
- LefterisEsprit sacré
Ils ne servent surtout plus à rien isolés. Récemment je constatais l'immobilisme, le fait que ce sont toujours les mêmes et pas des plus jeunes qui mouillent la chemise, et une jeune collègue l'air amusé : "bah toi, tu continueras jusqu'à bout à nous défendre...". Vois tout l'implicite que cela véhicule.Fenrir a écrit:Le problème c'est que les gens près à combattre se font emporter par le flot des moutons.
En fait , je n'y crois plus collectivement, c'est fini pour l'EN. Je ne lutte que par pour principe, ainsi que pour certains dossiers individuels.
La fragilisation des enseignants est une des pièces maîtresses du jeu qui se joue, pour réduire les dépenses, détruire les disciplines, instaurer les compétences, en faire un "service à l'entreprise" pas trop coûteux si possible et en partie territorialisé, voire privatisé à terme. "Ils" ne lâcheront plus prise.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Ça, ça dépend des endroits. Chez nous nous sommes trois à lutter (sur 40...), et si je te donne les âges c'est 28, 37 et 40.Lefteris a écrit:Ils ne servent surtout plus à rien isolés. Récemment je constatais l'immobilisme, le fait que ce sont toujours les mêmes et pas des plus jeunes qui mouillent la chemise, et une jeune collègue l'air amusé : "bah toi, tu continueras jusqu'à bout à nous défendre...". Vois tout l'implicite que cela véhicule.Fenrir a écrit:Le problème c'est que les gens près à combattre se font emporter par le flot des moutons.
En fait , je n'y crois plus collectivement, c'est fini pour l'EN. Je ne lutte que par pour principe, ainsi que pour certains dossiers individuels.
La fragilisation des enseignants est une des pièces maîtresses du jeu qui se joue, pour réduire les dépenses, détruire les disciplines, instaurer les compétences, en faire un "service à l'entreprise" pas trop coûteux si possible et en partie territorialisé, voire privatisé à terme. "Ils" ne lâcheront plus prise.
Mes autres collègues soit n'en ont rien à faire (jusqu'à voir un changement, comme avec le PPCR) ou alors une collègue à deux ans de la retraite, à chaque fois que je parle d'un sujet, d'une grève, d'une action, me dit "oh tu sais moi j'ai lutté en mon temps, là je suis à deux ans de la retraite c'est trop de perte financière" (ba oui cocotte mais ça veut dire que tu gagnes plutôt bien, si tu perds beaucoup... et je n'en peux plus d'entendre ça, parce que sa retraite à elle sera "normale", et celle de tous les autres, détestable, amputée de 30-40%). Maintenant je coupe court en disant que je me bats par principe, qu'elle n'a pas à justifier ses choix de lutte devant moi de toute façon, mais que de toute façon vu le manque d'unité nous sommes foutus.
Bref, j'ai 28 ans, j'aime mon travail, mais je n'ai aucun espoir sur l'avenir de l'éducation nationale.
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- LefterisEsprit sacré
Je ne dis pas qu'il n'y a pas de jeunes, il y en a heureusement, mais globalement pas assez, quand on regarde l'ensemble, alors que ça devrait être massif, ultra-majoritaire, et un raz-de-marée dans la rue. Mais aucun espoir dans une profession où il y a 15 à 20 % de syndiqués (UNSA et SGEN inclus), où les élections professionnelles sont boudées laissant le champ libre aux organisations "patronales" pour voter en CTM poir les coups de poignard dans le dos des enseignants. Il est impossible de se relever d'un coup d'une telle passivité , d'une telle méconnaissance des grands enjeux sociaux au centre desquels se trouve l'EN.Fires of Pompeii a écrit:
Ça, ça dépend des endroits. Chez nous nous sommes trois à lutter (sur 40...), et si je te donne les âges c'est 28, 37 et 40.
Mes autres collègues soit n'en ont rien à faire (jusqu'à voir un changement, comme avec le PPCR) ou alors une collègue à deux ans de la retraite, à chaque fois que je parle d'un sujet, d'une grève, d'une action, me dit "oh tu sais moi j'ai lutté en mon temps, là je suis à deux ans de la retraite c'est trop de perte financière" (ba oui cocotte mais ça veut dire que tu gagnes plutôt bien, si tu perds beaucoup... et je n'en peux plus d'entendre ça, parce que sa retraite à elle sera "normale", et celle de tous les autres, détestable, amputée de 30-40%). Maintenant je coupe court en disant que je me bats par principe, qu'elle n'a pas à justifier ses choix de lutte devant moi de toute façon, mais que de toute façon vu le manque d'unité nous sommes foutus.
Bref, j'ai 28 ans, j'aime mon travail, mais je n'ai aucun espoir sur l'avenir de l'éducation nationale.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- CassiusNiveau 6
Fenrir a écrit:Le problème c'est que les gens près à combattre se font emporter par le flot des moutons.
L'embêtant avec les moutons c'est qu'ils reprennent en cœur la désapprobation de leur maître vis-à-vis de tout comportement ou discours jugé marginal voire révolutionnaire.
- Une passanteEsprit éclairé
- CassiusNiveau 6
J'aurai envie de dire "on vous aura prévenu" mais comme c'est parti ils ne se le diront même pas.
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Lefteris a écrit:Je ne dis pas qu'il n'y a pas de jeunes, il y en a heureusement, mais globalement pas assez, quand on regarde l'ensemble, alors que ça devrait être massif, ultra-majoritaire, et un raz-de-marée dans la rue. Mais aucun espoir dans une profession où il y a 15 à 20 % de syndiqués (UNSA et SGEN inclus), où les élections professionnelles sont boudées laissant le champ libre aux organisations "patronales" pour voter en CTM poir les coups de poignard dans le dos des enseignants. Il est impossible de se relever d'un coup d'une telle passivité , d'une telle méconnaissance des grands enjeux sociaux au centre desquels se trouve l'EN.Fires of Pompeii a écrit:
Ça, ça dépend des endroits. Chez nous nous sommes trois à lutter (sur 40...), et si je te donne les âges c'est 28, 37 et 40.
Mes autres collègues soit n'en ont rien à faire (jusqu'à voir un changement, comme avec le PPCR) ou alors une collègue à deux ans de la retraite, à chaque fois que je parle d'un sujet, d'une grève, d'une action, me dit "oh tu sais moi j'ai lutté en mon temps, là je suis à deux ans de la retraite c'est trop de perte financière" (ba oui cocotte mais ça veut dire que tu gagnes plutôt bien, si tu perds beaucoup... et je n'en peux plus d'entendre ça, parce que sa retraite à elle sera "normale", et celle de tous les autres, détestable, amputée de 30-40%). Maintenant je coupe court en disant que je me bats par principe, qu'elle n'a pas à justifier ses choix de lutte devant moi de toute façon, mais que de toute façon vu le manque d'unité nous sommes foutus.
Bref, j'ai 28 ans, j'aime mon travail, mais je n'ai aucun espoir sur l'avenir de l'éducation nationale.
Je suis absolument d'accord avec toi, tu le sais.
Le truc c'est qu'on ne peut même pas dire que le souci soit "localisé" chez les jeunes, en fait c'est pire que ça : la passivité est hyper répandue, dans toutes les catégories d'âge, pour des motifs variés :
- manque d'information des jeunes, de curiosité aussi, dépolitisation (au sens étymologique du terme), et tête dans le sac en début de carrière, accentuée par la pression des INSPE.
- résignation des autres catégories d'âge
- une mentalité assez générale de "chacun pour soi".
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- profs(Niveau 9
J'aime bien aussi cette affiche oui. Mais sur de très nombreux points, certains s'en moquent car même si la situation ne les fait pas sauter au plafond, ils ne sont pas non plus dans une situation difficile.
On réfléchit comme un corps uniforme mais nous ne sommes pas du tout comme cela.
J'avais commencé à écrire des différences entre les enseignants (et qui sont injustes selon moi) mais je sais que cela va partir dans tous les sens donc je préfère les effacer et m'abstenir.
Mais il n'y aura pas de solidarité au sein de la profession tant que ces injustices perdureront.
Nous ne faisons quand même pas tous le même métier. Je comprends à 200% que certains soient totalement découragés, au bord du burn out à cause d'une surcharge de travail énorme, dans une difficulté financière certaine à cause de charges disproportionnées..... mais ce n'est pas le cas de tout le monde. Aujourd'hui, j'ai des collègues qui enseignent la (les) mêmes matières que moi et qui sont dans une situation 100 fois plus difficile (zone géographique, les effectifs .... ..)
On réfléchit comme un corps uniforme mais nous ne sommes pas du tout comme cela.
J'avais commencé à écrire des différences entre les enseignants (et qui sont injustes selon moi) mais je sais que cela va partir dans tous les sens donc je préfère les effacer et m'abstenir.
Mais il n'y aura pas de solidarité au sein de la profession tant que ces injustices perdureront.
Nous ne faisons quand même pas tous le même métier. Je comprends à 200% que certains soient totalement découragés, au bord du burn out à cause d'une surcharge de travail énorme, dans une difficulté financière certaine à cause de charges disproportionnées..... mais ce n'est pas le cas de tout le monde. Aujourd'hui, j'ai des collègues qui enseignent la (les) mêmes matières que moi et qui sont dans une situation 100 fois plus difficile (zone géographique, les effectifs .... ..)
- CassiusNiveau 6
Nous avons abordé les thèmes de résistance, de solidarité. Si nous étions au ministère, on fabriquerait un nouveau dispositif et on refilerait le bébé aux professeurs pour la mise en place et la gestion .
- FenrirFidèle du forum
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- Une passanteEsprit éclairé
Fenrir, je suis totalement d'accord avec toi, que ce soit pour l'attaque personnelle ou la mise en page, j'hésite encore à la faire circuler dans ma salle des profs...
- henrietteMédiateur
Merci d'en revenir au sujet du fil. Pour rappel : pas de politique en dehors du restreint.
Je verrouille ce fil le temps qu'on déplace la digression sur la privatisation de la FDJ dans une autre section du forum.
Je verrouille ce fil le temps qu'on déplace la digression sur la privatisation de la FDJ dans une autre section du forum.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- CassiusNiveau 6
C'est clair que le ton correspond à un coup de blues qui a sacrément dérapé, mais alors comment faire une affiche motivante? Des affiches, des discours argumentés, des documentaires n'ont pas fait bougé grand monde. Alors que faire: continuer à donner son avis, à argumenter, à informer même si on sent bien que la situation des enseignants ne fera que se dégrader sans plus de réactions. J'ai eu pas mal envie de vomir ces derniers temps mais là, j'ai envie de pleurer :triste4: .
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