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- JennyMédiateur
Je ne continuerais pas dans ces conditions. Ca ne s'improvise pas.
Soit c'est une voie qui te tente, dans ce cas, il faut te former un minimum, soit il faut mieux faire autre chose dans ton intérêt et dans celui des élèves.
La charge de travail et le temps de transport vont être difficiles à surmonter d'autant plus qu'on t'a rendu la tâche bien difficile. Ca me paraît difficile à rattraper.
Bon courage à toi en tout cas.
Soit c'est une voie qui te tente, dans ce cas, il faut te former un minimum, soit il faut mieux faire autre chose dans ton intérêt et dans celui des élèves.
La charge de travail et le temps de transport vont être difficiles à surmonter d'autant plus qu'on t'a rendu la tâche bien difficile. Ca me paraît difficile à rattraper.
Bon courage à toi en tout cas.
- marypopNiveau 9
Bonjour à toi.
L'enseignement en eco-gestion et en STMG n'est pas chose aisée, mais j'aimerais moi aussi plus de détails sur ton parcours.
As-tu travaillé dans le privé et si oui sur quel type de poste ? As-tu toi-même un bac STMG ou une formation équivalente ?
Et bien sur, pour quelle raison fais-tu ce métier ?
Courage !
L'enseignement en eco-gestion et en STMG n'est pas chose aisée, mais j'aimerais moi aussi plus de détails sur ton parcours.
As-tu travaillé dans le privé et si oui sur quel type de poste ? As-tu toi-même un bac STMG ou une formation équivalente ?
Et bien sur, pour quelle raison fais-tu ce métier ?
Courage !
- pseudo-intelloSage
Mathador a écrit:Tu as fais cela avec des Terminales. Les stagiaires des autres matières ont presque tous des collégiens ou des Secondes qui sont nettement moins matures et qui n'ont pas APB/Parcoursup comme épée de Damoclès au-dessus d'eux.Ananké a écrit:Je n'ai jamais compris ce conseil que l'on donne aux débutants de mentir sur leur statut. On m'a conseillé de ne pas dire que j'étais stagiaire quand je l'étais. Je n'ai pas appliqué le conseil, je l'ai même dit clairement aux élèves en début d'année pour leur expliquer la venue de plusieurs visiteurs en classes dans l'année. C'est beaucoup plus sain que d'entrer dans une logique de mensonges. Les élèves - comme tous - font plus confiance à qqn de sincère qui assume les choses comme elles sont plutôt que qqn qui cache les trucs sous le tapis ...
Personnellement, j'ai menti ; par omission ,ou en éludant.
Je crois que le brut a fini par venir (nous étions plusieurs stagiaires), mais au bout de plusieurs mois, quand ma légitimité était déjà installée.
- zigmag17Guide spirituel
J'ai encore en mémoire ces mots prononcés par un CdE que je ne connaissais pas mais que je venais saluer car il venait de prendre sa fonction dans le lycée que je quittais définitivement après un burn-out sévère, un arrêt long et une nomination dans un autre lycée: "Les gens comme vous, l'Education nationale ne sait pas quoi en faire".
Trente ans plus tard, les gens comme moi -dont moi- continuent d'exercer et pas trop mal, j'espère. Il s'agissait juste d'une mauvaise adéquation entre ma personnalité et le profil d'élèves avec lesquels je travaillais, à un moment donné, dans un contexte donné, avec l'âge que j'avais (je venais d'avoir le concours). Pourtant j'avais été formée.
Les jugements lapidaires et les conseils définitifs ne sont pas dans ce cas-là d'un grand secours.
La seule chose à faire c'est de poser ses tripes sur la table et se demander si l'on veut viscéralement enseigner, ou non. Si c'est oui, il faut essayer de rebondir avec ses possibilités ( et momentanément solliciter un médecin si besoin). Si c'est non, il faut chercher autre chose. Mais ne jamais écouter que soi-même.
Trente ans plus tard, les gens comme moi -dont moi- continuent d'exercer et pas trop mal, j'espère. Il s'agissait juste d'une mauvaise adéquation entre ma personnalité et le profil d'élèves avec lesquels je travaillais, à un moment donné, dans un contexte donné, avec l'âge que j'avais (je venais d'avoir le concours). Pourtant j'avais été formée.
Les jugements lapidaires et les conseils définitifs ne sont pas dans ce cas-là d'un grand secours.
La seule chose à faire c'est de poser ses tripes sur la table et se demander si l'on veut viscéralement enseigner, ou non. Si c'est oui, il faut essayer de rebondir avec ses possibilités ( et momentanément solliciter un médecin si besoin). Si c'est non, il faut chercher autre chose. Mais ne jamais écouter que soi-même.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
zigmag17 a écrit:J'ai encore en mémoire ces mots prononcés par un CdE que je ne connaissais pas mais que je venais saluer car il venait de prendre sa fonction dans le lycée que je quittais définitivement après un burn-out sévère, un arrêt long et une nomination dans un autre lycée: "Les gens comme vous, l'Education nationale ne sait pas quoi en faire".
Au passage: c'est quand même incroyable qu'on puisse tolérer, dans l'EN, l'existence et les exactions de types capables de tenir de pareils propos Mais quel sale type!
- zigmag17Guide spirituel
J'étais jeune et je ne me rendais pas compte, je croyais que j'étais une fieffée incapable et qu'il détenait la Vérité. Et puis j'ai vieilli...
J'aurais beaucoup aimé savoir ce que cet homme est devenu mais je ne me souviens pas de son nom, hélas ( re - j'ai vieilli )
Mais merci pour ton soutien rétroactif Epekeina!
D'ailleurs, des qui sévissent, de cet acabit, j'en côtoie encore et ce n'est pas glorieux en effet pour l'EN (gens de pouvoir = désespoir).
J'aurais beaucoup aimé savoir ce que cet homme est devenu mais je ne me souviens pas de son nom, hélas ( re - j'ai vieilli )
Mais merci pour ton soutien rétroactif Epekeina!
D'ailleurs, des qui sévissent, de cet acabit, j'en côtoie encore et ce n'est pas glorieux en effet pour l'EN (gens de pouvoir = désespoir).
- MathadorEmpereur
Je ne me souviens pas avoir entendu le moindre formateur conseiller de mentir là-dessus. Le conseil était plutôt de ne rien dire spontanément, de noyer le poisson (« voilà Mme Y qui est une collègue avec qui je collabore, elle viendra à ce titre dans mes cours ») pour que cela ne se sache qu'une fois une relation de travail avec la classe établie.Ananké a écrit:Certes, il n'empêche que se faire griller en train de mentir parce qu'on a voulu se faire passer pour ce qu'on n'est pas est quasi irrattrapable, alors que d'assumer débuter n'a rien de honteux en soi.
_________________
"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Oui, tu as raison: j'en ai croisé “un certain nombre”…… Ils incarnent le déshonneur.
Cdlt
Cdlt
_________________
Si tu vales valeo.
- MathadorEmpereur
pseudo-intello a écrit:Mathador a écrit:Tu as fais cela avec des Terminales. Les stagiaires des autres matières ont presque tous des collégiens ou des Secondes qui sont nettement moins matures et qui n'ont pas APB/Parcoursup comme épée de Damoclès au-dessus d'eux.Ananké a écrit:Je n'ai jamais compris ce conseil que l'on donne aux débutants de mentir sur leur statut. On m'a conseillé de ne pas dire que j'étais stagiaire quand je l'étais. Je n'ai pas appliqué le conseil, je l'ai même dit clairement aux élèves en début d'année pour leur expliquer la venue de plusieurs visiteurs en classes dans l'année. C'est beaucoup plus sain que d'entrer dans une logique de mensonges. Les élèves - comme tous - font plus confiance à qqn de sincère qui assume les choses comme elles sont plutôt que qqn qui cache les trucs sous le tapis ...
Personnellement, j'ai menti ; par omission ,ou en éludant.
Je crois que le brut a fini par venir (nous étions plusieurs stagiaires), mais au bout de plusieurs mois, quand ma légitimité était déjà installée.
Ce n'est pas un mensonge mais un simple reflet de ton VS. Si tu as une classe dans ton service, tu es leur enseignante, stagiaire ou pas. Le problème est plutôt que l'on envoie les stagiaires sur des missions de titulaire dès le premier jour, ce qui est loin d'être systématique dans les autres corps de catégorie A.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- clairette63Niveau 1
bonsoir
je suis professeur d'économie gestion en stmg et bts
plusieurs choses
1/ ça ne s'improvise pas, tout comme chaque métier. Tu dis ne pas avoir voulu faire mercatique mais RH, donc tu as des connaissances en RH. utilise-les. ou alors si tu ne connais ni la mercatique ni la RH pourquoi avoir postulé en économie-gestion? si c'est l'économie ton truc alors il vaut mieux ses, si tu parles bien anglais postule en anglais. l'économie gestion c'est du droit, de la mercatique, des rh, de la comptabilité.
2/ quel est ton parcours ? as-tu une expérience professionnelle, hors EN, si oui valorise la : c'est l'avantage de nos matières :elles sont vivantes, à jour, interactives
3/ le principe DE BASE avec les STMG c'est peu d'écrit, donc dicter ne sert à rien si la phrase fait deux lignes. utilise des vidéos, des jeux pédagogiques (Learning apps, policiers)
4/ inscris toi sur le site le manège réservé aux profs d'éco gestion sur lequel des cours, td et ds sont disponibles
5/ sache qu'en éco-gestion tu seras TOUJOURS avec des stmg, donc ce type d'élèves (je ne parle pas ici des collègues) : si tu veux persévérer il faut t'adapter à eux, car eux ne s'adapteront pas à toi ils n'en sont pas capables
6/ fais les travailler, personnellement j'ai encore du mal, mais les rares fois où ils sont vraiment bien c'est quand ils ont des choses à faire (concrètement) l'an dernier avec les 1ère pour un cours d'économie j'ai fait un jeu type Monopoly avec un 20 à la clef pour la meilleure équipe : topissime.
pour ma part je n'ai pas l'habitude de renoncer, donc j'y retournerais mais avec un "plan d'action" précis, sinon ce n'est pas la peine.
on sent dans ton message que tu as envie d'y aller mais peur. alors je dirais qu'il vaut mieux des regrets que des remords donc j'essaieras pour ne pas me dire que j'ai abandonné sans m'être donné tous les moyens
bon courage
je suis professeur d'économie gestion en stmg et bts
plusieurs choses
1/ ça ne s'improvise pas, tout comme chaque métier. Tu dis ne pas avoir voulu faire mercatique mais RH, donc tu as des connaissances en RH. utilise-les. ou alors si tu ne connais ni la mercatique ni la RH pourquoi avoir postulé en économie-gestion? si c'est l'économie ton truc alors il vaut mieux ses, si tu parles bien anglais postule en anglais. l'économie gestion c'est du droit, de la mercatique, des rh, de la comptabilité.
2/ quel est ton parcours ? as-tu une expérience professionnelle, hors EN, si oui valorise la : c'est l'avantage de nos matières :elles sont vivantes, à jour, interactives
3/ le principe DE BASE avec les STMG c'est peu d'écrit, donc dicter ne sert à rien si la phrase fait deux lignes. utilise des vidéos, des jeux pédagogiques (Learning apps, policiers)
4/ inscris toi sur le site le manège réservé aux profs d'éco gestion sur lequel des cours, td et ds sont disponibles
5/ sache qu'en éco-gestion tu seras TOUJOURS avec des stmg, donc ce type d'élèves (je ne parle pas ici des collègues) : si tu veux persévérer il faut t'adapter à eux, car eux ne s'adapteront pas à toi ils n'en sont pas capables
6/ fais les travailler, personnellement j'ai encore du mal, mais les rares fois où ils sont vraiment bien c'est quand ils ont des choses à faire (concrètement) l'an dernier avec les 1ère pour un cours d'économie j'ai fait un jeu type Monopoly avec un 20 à la clef pour la meilleure équipe : topissime.
pour ma part je n'ai pas l'habitude de renoncer, donc j'y retournerais mais avec un "plan d'action" précis, sinon ce n'est pas la peine.
on sent dans ton message que tu as envie d'y aller mais peur. alors je dirais qu'il vaut mieux des regrets que des remords donc j'essaieras pour ne pas me dire que j'ai abandonné sans m'être donné tous les moyens
bon courage
- DeliaEsprit éclairé
Dis-toi bien un chose : si le poste était libre à la veille de la rentrée, si l'on t'a tendu un piège grossier pour t'y attirer, c'est que tu es indispensable. A eux de faire le nécessaire pour te garder. Tête haute, tu es la plus forte : tu les tiens, ils ne te tiennent pas.
_________________
Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- pseudo-intelloSage
Tu parles d'or.Delia a écrit:Dis-toi bien un chose : si le poste était libre à la veille de la rentrée, si l'on t'a tendu un piège grossier pour t'y attirer, c'est que tu es indispensable. A eux de faire le nécessaire pour te garder. Tête haute, tu es la plus forte : tu les tiens, ils ne te tiennent pas.
- CzarNiveau 9
Bonsoir Abernathy,
Tu as une semaine d'arrêt qui est prescrite par un professionnel de santé. Ce professionnel juge que ton état le nécessite. Quelques jours pour se reposer, et uniquement se reposer puis analyser la situation selon tes envies, tes contraintes... le tout de manière la plus objective possible. (avec une personne proche? ) Et de là prendre une décision.
Si la réunion de recrutement est à l'initiative du rectorat, je le vois mal "donner" ensuite les contacts de remplaçants au privé (et inversement d'ailleurs). Je n'ai croisé aucun collègue contractuel/remplaçant dans l'enseignement catholique qui ait été recruté via le rectorat. Mais le fonctionnement est peut être différent dans d'autres académies.
Tu as une semaine d'arrêt qui est prescrite par un professionnel de santé. Ce professionnel juge que ton état le nécessite. Quelques jours pour se reposer, et uniquement se reposer puis analyser la situation selon tes envies, tes contraintes... le tout de manière la plus objective possible. (avec une personne proche? ) Et de là prendre une décision.
arcturus38 a écrit:[
Petite curiosité personnelle : établissement public ou privé ?
Si la réunion de recrutement est à l'initiative du rectorat, je le vois mal "donner" ensuite les contacts de remplaçants au privé (et inversement d'ailleurs). Je n'ai croisé aucun collègue contractuel/remplaçant dans l'enseignement catholique qui ait été recruté via le rectorat. Mais le fonctionnement est peut être différent dans d'autres académies.
- arcturus38Niveau 5
Czar a écrit:arcturus38 a écrit:[
Petite curiosité personnelle : établissement public ou privé ?
Si la réunion de recrutement est à l'initiative du rectorat, je le vois mal "donner" ensuite les contacts de remplaçants au privé (et inversement d'ailleurs). Je n'ai croisé aucun collègue contractuel/remplaçant dans l'enseignement catholique qui ait été recruté via le rectorat. Mais le fonctionnement est peut être différent dans d'autres académies.
OK, effectivement, je n'avais pas percuté !
C'est l'histoire du beauf qui m'avait amené à me poser la question.
_________________
http://cgt-educ-action-26.ouvaton.org
- arcturus38Niveau 5
epekeina.tes.ousias a écrit:zigmag17 a écrit:J'ai encore en mémoire ces mots prononcés par un CdE que je ne connaissais pas mais que je venais saluer car il venait de prendre sa fonction dans le lycée que je quittais définitivement après un burn-out sévère, un arrêt long et une nomination dans un autre lycée: "Les gens comme vous, l'Education nationale ne sait pas quoi en faire".
Au passage: c'est quand même incroyable qu'on puisse tolérer, dans l'EN, l'existence et les exactions de types capables de tenir de pareils propos Mais quel sale type!
Il y a longtemps que je dis qu'il y en a certain qu'il faudrait empêcher de nuire !
Mais ils savent très bien que "Les gens comme
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http://cgt-educ-action-26.ouvaton.org
- LapradeNiveau 2
Abernathy,
Pourrais-tu t'en sortir physiquement, psychologiquement et financièrement? Dans les trois cas, la réponse est non. Tu vas passé l'année à venir et probablement l'année suivante à combler un tonneau des danaïdes. Plutôt que de t'installer dans une situation qui ne fera que t'enfoncer, je te conseille de partir. Je suis certain qu'il existe d'autres métiers que tu pourras aborder sans te faire tout ce mal. D'ailleurs, une situation où on se réveille dans un état pire que la veille mérite qu'on y réfléchisse.
Bon courage mais surtout sauve-toi.
Pourrais-tu t'en sortir physiquement, psychologiquement et financièrement? Dans les trois cas, la réponse est non. Tu vas passé l'année à venir et probablement l'année suivante à combler un tonneau des danaïdes. Plutôt que de t'installer dans une situation qui ne fera que t'enfoncer, je te conseille de partir. Je suis certain qu'il existe d'autres métiers que tu pourras aborder sans te faire tout ce mal. D'ailleurs, une situation où on se réveille dans un état pire que la veille mérite qu'on y réfléchisse.
Bon courage mais surtout sauve-toi.
- pseudo-intelloSage
Abernathy,la situation eque tu décris est un vrai traquenard, et ce n'est pas pour rien que le rectorat ait été réduit à embaucher des contractuels en 5 minutes fin août.
Je te conseille vraiment d'arrêter les frais, et d'envoyer, pour te défouler, une lettre bien sentie expliquant les causes de ta démission au rectorat et à ton chef d'établissement. Avec tout ce que tu nous as expliqué (en ne retenant que es éléments bien objectifs et tangibles, ceux qu'on ne peut pas ramener à trois : la promesse délirante sur le covoiturage pour te faire dire oui, le temps de transports, le changement de matière, les horaires pourris (+ transport, ça fait trop), et tu n'hésites pas à conclure en disant que tu comprends pourquoi ils n'avaient trouvé personne pour ce poste jusque là.
Les éléments moins faciles à prouver, que les plus alrveillants pourraient essayer de retourner contre toi, tu les expliques dans un mail aux éventuels enseignants avec lesquels tu aurais sympathisé. Ils sont sans doute impliqués dans leur établissement, leur métier, et cela les incitera à faire attention aux contractuels à venir.
Je te conseille vraiment d'arrêter les frais, et d'envoyer, pour te défouler, une lettre bien sentie expliquant les causes de ta démission au rectorat et à ton chef d'établissement. Avec tout ce que tu nous as expliqué (en ne retenant que es éléments bien objectifs et tangibles, ceux qu'on ne peut pas ramener à trois : la promesse délirante sur le covoiturage pour te faire dire oui, le temps de transports, le changement de matière, les horaires pourris (+ transport, ça fait trop), et tu n'hésites pas à conclure en disant que tu comprends pourquoi ils n'avaient trouvé personne pour ce poste jusque là.
Les éléments moins faciles à prouver, que les plus alrveillants pourraient essayer de retourner contre toi, tu les expliques dans un mail aux éventuels enseignants avec lesquels tu aurais sympathisé. Ils sont sans doute impliqués dans leur établissement, leur métier, et cela les incitera à faire attention aux contractuels à venir.
- Dadoo33Grand sage
Ananké a écrit:Certes, il n'empêche que se faire griller en train de mentir parce qu'on a voulu se faire passer pour ce qu'on n'est pas est quasi irrattrapable, alors que d'assumer débuter n'a rien de honteux en soi.
Bah c’est une chose qui se prépare c’est tout ici ce n’est pas le cas.
Par ailleurs, tu as de la chance mais ne fais pas de ton cas une généralité.
Si ce conseil est donné c’est qu’il y a une raison.
Les élèves et les parents peuvent être odieux et méprisants avec les débutants quand ils le découvrent. Au collège ou au lycée et même des Tles.
- Dadoo33Grand sage
Danska a écrit:Au risque d'apporter une note plus négative, je ne vois sincèrement pas comment on peut s'en sortir en cumulant inexpérience totale (ce qui n'est pas une critique, il faut bien commencer un jour), méconnaissance complète de la discipline qu'on enseigne et classes difficiles (mais même une classe "facile" peut devenir infecte face à un enseignant qui ne maîtrise pas du tout son travail). Indépendamment des dysfonctionnements évidents du système scolaire, de l'EN et de cette situation en particulier, le fait est que se lancer dans ces conditions revient à se tirer une balle dans le pied.
Personnellement, @Abernathy - et encore une fois, n'y vois pas une critique, ce n'est pas du tout l'objectif, je pense que tu as intérêt à profiter de cet arrêt d'abord pour te reposer, ensuite pour te poser la question de tes objectifs : veux-tu enseigner par conviction, par intérêt pour ce travail ? Si oui, il vaut mieux prendre le temps de le faire dans de bonnes conditions, c'est-à-dire en étudiant d'abord la discipline concernée et les programmes. Enseigner ne s'improvise pas, et on ne peut pas acquérir sur le tas à la fois la connaissance disciplinaire et les habitudes de gestion de classe.
Est-ce pour une question de salaire ? Si oui, vu la paye d'un contractuel, on doit pouvoir trouver pas mal de petits boulots tout aussi bien payés et dans lesquels tu ne laisseras pas ta santé, au moins le temps de te remettre sur pied.
+1
- ChoubidouhNiveau 8
Avant tout : je te précise que ce qui suit est uniquement si tu souhaites continuer. AUCUN travail ne devrait te mettre dans une situation telle que celle que tu relates. C'est plus ou moins ce que tu vas devoir dire à tes TLes en RHC (le premier thème porte sur la motivation du salarié, la RSE et la QVT...). Demande un arrêt longue durée si c'est financièrement compliqué. Si tu as encore droit au chômage, tu peux demander qu'on te licencie pour insuffisance à l'IPR j'imagine (pour éviter la démission et la perte de l'ARE). Ceci dit, j'étais dans une partie de ta situation voici deux semaines. Je me permets donc de te donner les quelques astuces qui ont solutionné la solution pour moi (au moins en partie) :
1. Je considère que l'EN est en faute, dans le sens ou ils envoient des personnes non formées à la pédago/dans les spé/ aux attentes de la filière devant les élèves. On est des pompiers, on éteint le feu comme on peut. On ne peut pas toujours réussir, mais ce n'est pas de la faute du pompier si le feu est ingérable ou s’il n'y a pas de camion à la caserne...
2. Je prends le temps de reprendre les synthèses des manuels et du manège, et je fais une synthèse "maison". Cela me permet de maitriser le programme "dans les grandes lignes"
3. J'utilise BEAUCOUP le manuel. Il y a beaucoup de lecture dedans, et ils sont TRÈS lents. Ils vont lire/essayer de répondre à la question (exige qu'ils rédigent une réponse), et tu auras 20 min pour préparer ce que tu vas dire quand tu reprendras la parole. Tu as également des ressources "prêtes à l'emploi" sur le manège que tu peux utiliser.
3bis : n'oublie pas que les STMG sont "faibles". Par ex. tu vas répéter un nombre incalculable de fois en RHC que les salariés motivés sont plus productifs : c'est normal. Ils ne retiennent rien et considèrent qu'ils n'ont pas à travailler en dehors du lycée. Conséquence : j'ai fait les heures complémentaires/sup voici deux semaines, ils avaient déjà oublié ce que c'était aujourd'hui. Tu as vraiment peu de choses à enseigner : n'en fais pas trop.
3ter : ils sont calmes quand ils ont quelque chose à faire en général. Il faut toujours les mettre en activité, en essayant de changer toutes les 20 minutes.
4. N'accorde de l'importance aux propos des élèves que si c'est nécessaire. Il faut être "juste", mais ne pas oublier que tu es (plus ou moins) une figure d'autorité. Ta compétence et ton statut n'ont pas à être remis en question, et tu peux éjecter de ta classe quelqu'un qui est insolent vis-à-vis de ça.
5. Perso, je n'ai pas menti : j'ai dit dès le début que j'avais enseigné à la faculté. C'est invérifiable. Pense juste à rajouter une ligne sur ton profil LinkedIn. Les élèves se renseignent de toute façon sur leurs profs, cela ne sert à rien de mentir dans la "société de l'information"
6. Ne te prends pas le chou avec le projet pour l'instant. Tu pourras le travailler aux vacances de la Toussaint ; tout le monde m'a bien précisé qu'on devait démarre en novembre au minimum.
7. L'AP, c'est effectivement "ce que tu veux". Si tu expliques que c'est un temps pour faire les devoirs, ils seront contents (c'est le cas des miens toujours).
8. Enfin, n'hésite pas à m'écrire si tu as besoin de ressources en RHC ou AP. Je commence également, mais je n'ai rien contre partager mes productions et mes séquences pédagos (et les conseils de ma tutrice) si cela peut t'avancer...
9. Dernier point... Moi je précise bien à mes élèves que je suis déjà diplômé, que j'aurai une autre classe l'année prochaine, et que ce n'est pas mon problème s'ils ratent leur bac. Je serai payé quand même. Je rajoute que la seule conséquence de rater le bac, c'est le chômage ou refaire une année, et donc perdre une année d'une vie déjà bien courte. En général, ça met un froid.
Courage...
1. Je considère que l'EN est en faute, dans le sens ou ils envoient des personnes non formées à la pédago/dans les spé/ aux attentes de la filière devant les élèves. On est des pompiers, on éteint le feu comme on peut. On ne peut pas toujours réussir, mais ce n'est pas de la faute du pompier si le feu est ingérable ou s’il n'y a pas de camion à la caserne...
2. Je prends le temps de reprendre les synthèses des manuels et du manège, et je fais une synthèse "maison". Cela me permet de maitriser le programme "dans les grandes lignes"
3. J'utilise BEAUCOUP le manuel. Il y a beaucoup de lecture dedans, et ils sont TRÈS lents. Ils vont lire/essayer de répondre à la question (exige qu'ils rédigent une réponse), et tu auras 20 min pour préparer ce que tu vas dire quand tu reprendras la parole. Tu as également des ressources "prêtes à l'emploi" sur le manège que tu peux utiliser.
3bis : n'oublie pas que les STMG sont "faibles". Par ex. tu vas répéter un nombre incalculable de fois en RHC que les salariés motivés sont plus productifs : c'est normal. Ils ne retiennent rien et considèrent qu'ils n'ont pas à travailler en dehors du lycée. Conséquence : j'ai fait les heures complémentaires/sup voici deux semaines, ils avaient déjà oublié ce que c'était aujourd'hui. Tu as vraiment peu de choses à enseigner : n'en fais pas trop.
3ter : ils sont calmes quand ils ont quelque chose à faire en général. Il faut toujours les mettre en activité, en essayant de changer toutes les 20 minutes.
4. N'accorde de l'importance aux propos des élèves que si c'est nécessaire. Il faut être "juste", mais ne pas oublier que tu es (plus ou moins) une figure d'autorité. Ta compétence et ton statut n'ont pas à être remis en question, et tu peux éjecter de ta classe quelqu'un qui est insolent vis-à-vis de ça.
5. Perso, je n'ai pas menti : j'ai dit dès le début que j'avais enseigné à la faculté. C'est invérifiable. Pense juste à rajouter une ligne sur ton profil LinkedIn. Les élèves se renseignent de toute façon sur leurs profs, cela ne sert à rien de mentir dans la "société de l'information"
6. Ne te prends pas le chou avec le projet pour l'instant. Tu pourras le travailler aux vacances de la Toussaint ; tout le monde m'a bien précisé qu'on devait démarre en novembre au minimum.
7. L'AP, c'est effectivement "ce que tu veux". Si tu expliques que c'est un temps pour faire les devoirs, ils seront contents (c'est le cas des miens toujours).
8. Enfin, n'hésite pas à m'écrire si tu as besoin de ressources en RHC ou AP. Je commence également, mais je n'ai rien contre partager mes productions et mes séquences pédagos (et les conseils de ma tutrice) si cela peut t'avancer...
9. Dernier point... Moi je précise bien à mes élèves que je suis déjà diplômé, que j'aurai une autre classe l'année prochaine, et que ce n'est pas mon problème s'ils ratent leur bac. Je serai payé quand même. Je rajoute que la seule conséquence de rater le bac, c'est le chômage ou refaire une année, et donc perdre une année d'une vie déjà bien courte. En général, ça met un froid.
Courage...
- AbernathyJe viens de m'inscrire !
Bonsoir à tous,
Je tenais d'ores et déjà à tous vous remercier pour vos retours, votre soutien ainsi que vos différents conseils (qu'ils soient d'ordre pratique, pédagogique ou personnel) Ils ont tous beaucoup contribué à me sentir déjà un peu moins seule dans pareille situation.
Pour répondre à l'ensemble de vos questions:
- Il ne s'agit pas d'un établissement privé mais bien d'un établissement public.
- Concernant mon parcours ainsi que mes motivations: je suis juriste de formation, avec une spécialisation en droit social dont l'enseignement incluait, entre autres disciplines, le droit du travail, le droit de la protection sociale et aussi la gestion des ressources humaines. J'ai également bénéficié de certains enseignements en éco durant ma licence même si le droit restait, de fait, prépondérant. J'ai ensuite travaillé, à l'issue de mes études, auprès de cabinets juridiques ainsi qu'en entreprise privée et en juridiction.
Il s'avère que je commençais à guère me plaire dans ce que je faisais et me reconvertir vers l'enseignement me taraudait depuis maintenant deux ans (et y compris au cours de ma formation)... L'eco-gestion était la spécialité qui semblait le plus se rapprocher à la fois de ma formation initiale et de mon cursus professionnel (d'autant plus que j'ai également travaillé dans le domaine des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui fait également partie du programme de RH). De plus j'ai déjà donné des cours d'alphabétisation à titre bénévole et j'en garde un très bon souvenir, bien que j'avais complètement conscience que ça n'avait absolument rien de similaire à ce qui m'attendrait véritablement en tant qu'enseignant.
Bien que toujours un peu sous le coup de la fatigue je suis tout de même plus en forme désormais, j'ai l'impression de disposer d'une vision un peu plus claire et dégagée des choses.
Je l'ai certes très peu expérimenté, mais j'aime l'enseignement et la contribution que l'on peut apporter, éveiller la curiosité de certains, répondre aux interrogations... Même si peu sont d'une attention exemplaire ^^ . Bien entendu je n'ai pas envisagé de me tourner vers cette profession pour des raisons salariales, d'autant plus au regard de la rémunération proposée^^
Néanmoins, et comme l'ont si justement souligné Danska et d'autres contributeurs, tout le contexte, les conditions matérielles conjuguées à mon inexpérience totale font que j'ai tout de même bien du mal à envisager de continuer une année entière dans cet établissement. Choisir de démarrer comme contractuelle avant de tenter le concours n'était pas suffisamment réfléchi de ma part, et encore moins quelque chose de judicieux. J'en mesure toutes les conséquences à présent et peut-être ai-je fait preuve d'une trop grande naïveté, malgré mon expérience professionnelle passée.
J'ai sérieusement envisagé d'envoyer un courrier dès cette semaine ou rectorat ainsi qu'au lycée pour présenter ma démission, mais ne l'ai finalement toujours pas fait. Le lycée m'a contactée cet après-midi afin de leur confirmer que je retournais bien au lycée lundi; par pure conscience professionnelle et dans un ultime bénéfice du doute (et à défaut d'avoir d'autres éléments justificatifs permettant de leur répondre le contraire), je leur ai dit oui, bien qu'il s'agisse peut-être uniquement de reculer pour mieux sauter.
Par ailleurs, un ami professeur de SES m'a filé le contact d'un lycée privé dans la même commune que la mienne, à la recherche aussi d'un prof d'éco gestion; je me dis que ce serait peut-être le moyen d'obtenir une seconde chance dans un contexte un eu moins toxique, après je prends aussi le risque de me confronter une deuxième fois aux mêmes difficultés, peut-être même encore plus grandes, notamment si une personne est recherchée en cours d'année.
En tous les cas je vous tiendrai au jus concernant et encore merci
Je tenais d'ores et déjà à tous vous remercier pour vos retours, votre soutien ainsi que vos différents conseils (qu'ils soient d'ordre pratique, pédagogique ou personnel) Ils ont tous beaucoup contribué à me sentir déjà un peu moins seule dans pareille situation.
Pour répondre à l'ensemble de vos questions:
- Il ne s'agit pas d'un établissement privé mais bien d'un établissement public.
- Concernant mon parcours ainsi que mes motivations: je suis juriste de formation, avec une spécialisation en droit social dont l'enseignement incluait, entre autres disciplines, le droit du travail, le droit de la protection sociale et aussi la gestion des ressources humaines. J'ai également bénéficié de certains enseignements en éco durant ma licence même si le droit restait, de fait, prépondérant. J'ai ensuite travaillé, à l'issue de mes études, auprès de cabinets juridiques ainsi qu'en entreprise privée et en juridiction.
Il s'avère que je commençais à guère me plaire dans ce que je faisais et me reconvertir vers l'enseignement me taraudait depuis maintenant deux ans (et y compris au cours de ma formation)... L'eco-gestion était la spécialité qui semblait le plus se rapprocher à la fois de ma formation initiale et de mon cursus professionnel (d'autant plus que j'ai également travaillé dans le domaine des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui fait également partie du programme de RH). De plus j'ai déjà donné des cours d'alphabétisation à titre bénévole et j'en garde un très bon souvenir, bien que j'avais complètement conscience que ça n'avait absolument rien de similaire à ce qui m'attendrait véritablement en tant qu'enseignant.
Bien que toujours un peu sous le coup de la fatigue je suis tout de même plus en forme désormais, j'ai l'impression de disposer d'une vision un peu plus claire et dégagée des choses.
Je l'ai certes très peu expérimenté, mais j'aime l'enseignement et la contribution que l'on peut apporter, éveiller la curiosité de certains, répondre aux interrogations... Même si peu sont d'une attention exemplaire ^^ . Bien entendu je n'ai pas envisagé de me tourner vers cette profession pour des raisons salariales, d'autant plus au regard de la rémunération proposée^^
Néanmoins, et comme l'ont si justement souligné Danska et d'autres contributeurs, tout le contexte, les conditions matérielles conjuguées à mon inexpérience totale font que j'ai tout de même bien du mal à envisager de continuer une année entière dans cet établissement. Choisir de démarrer comme contractuelle avant de tenter le concours n'était pas suffisamment réfléchi de ma part, et encore moins quelque chose de judicieux. J'en mesure toutes les conséquences à présent et peut-être ai-je fait preuve d'une trop grande naïveté, malgré mon expérience professionnelle passée.
J'ai sérieusement envisagé d'envoyer un courrier dès cette semaine ou rectorat ainsi qu'au lycée pour présenter ma démission, mais ne l'ai finalement toujours pas fait. Le lycée m'a contactée cet après-midi afin de leur confirmer que je retournais bien au lycée lundi; par pure conscience professionnelle et dans un ultime bénéfice du doute (et à défaut d'avoir d'autres éléments justificatifs permettant de leur répondre le contraire), je leur ai dit oui, bien qu'il s'agisse peut-être uniquement de reculer pour mieux sauter.
Par ailleurs, un ami professeur de SES m'a filé le contact d'un lycée privé dans la même commune que la mienne, à la recherche aussi d'un prof d'éco gestion; je me dis que ce serait peut-être le moyen d'obtenir une seconde chance dans un contexte un eu moins toxique, après je prends aussi le risque de me confronter une deuxième fois aux mêmes difficultés, peut-être même encore plus grandes, notamment si une personne est recherchée en cours d'année.
En tous les cas je vous tiendrai au jus concernant et encore merci
- dansesNiveau 9
Si l'enseignement te tente, tu peux également postuler auprès d'écoles de commerce, dans lesquelles ton profil sera un vrai atout. On y est correctement payé et traité, pour ce que j'en sais. De toutes les façons, ce que tu vis actuellement est odieux. N'hésite pas à envoyer des candidatures spontanées.
Bon courage à toi.
Bon courage à toi.
- ZagaraGuide spirituel
On a quand même un peu l'impression que les gens se disent qu'être enseignant, c'est facile, tout le monde peut le faire sans aucune formation, y'a qu'à pointer sa bobine et savoir parler.
Je ne peux que te conseiller de d'abord te former si tu veux devenir enseignante, plutôt que faire des crash tests à l'arrache, qui ne sont ni bénéfiques pour toi, ni pour tes élèves. Enseigner est un métier,et comme c'est un métier fondé sur l'interaction sociale, quand on rate, ça a des effets néfastes pour des personnes. Ce n'est pas juste un dossier incomplet ou un produit raté. La responsabilité implique, à mon sens, de ne pas faire n'importe quoi avec la vie d'autrui.
Je ne peux que te conseiller de d'abord te former si tu veux devenir enseignante, plutôt que faire des crash tests à l'arrache, qui ne sont ni bénéfiques pour toi, ni pour tes élèves. Enseigner est un métier,et comme c'est un métier fondé sur l'interaction sociale, quand on rate, ça a des effets néfastes pour des personnes. Ce n'est pas juste un dossier incomplet ou un produit raté. La responsabilité implique, à mon sens, de ne pas faire n'importe quoi avec la vie d'autrui.
- arcturus38Niveau 5
Zagara a écrit:On a quand même un peu l'impression que les gens se disent qu'être enseignant, c'est facile, tout le monde peut le faire sans aucune formation, y'a qu'à pointer sa bobine et savoir parler.
Je ne peux que te conseiller de d'abord te former si tu veux devenir enseignante, plutôt que faire des crash tests à l'arrache, qui ne sont ni bénéfiques pour toi, ni pour tes élèves. Enseigner est un métier,et comme c'est un métier fondé sur l'interaction sociale, quand on rate, ça a des effets néfastes pour des personnes. Ce n'est pas juste un dossier incomplet ou un produit raté. La responsabilité implique, à mon sens, de ne pas faire n'importe quoi avec la vie d'autrui.
Ouhlala...
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