- User20159Esprit éclairé
wilfried12 a écrit:Vexé pas du tout, c'est juste que tu as du mal interpréter, VinZT parlait de l'analyse en temps que domaine mathématique.
Je me doute bien qu'il y a de l'analyse en maths (même si perso' j'ai pas poussé la chanson très loin lors de ma lointaine scolarité).
Ma réponse à VinZT était plus humoristique qu'autre chose.
- User20159Esprit éclairé
Ajonc35 a écrit:Par contre si je sais qu'il enseigne en "lycée", je ne sais pas si c'est un bon lycée avec un bon public.
Si le lycée c'est le Gymnasium, alors oui ce sont les meilleurs élèves théoriquement. Après ma connaissance du système scolaire allemand date un peu.
- Monsieur_TeslaNiveau 10
VinZT a écrit:Algèbre, géométrie, analyse, probabilités, arithmétique, python, je suis au minimum hexavalent.
Jean MiMi, pour l'augmentation, c'est quand tu veux.
chimie, optique, mécanique, acoustique, électricité, astrophysique, expérimentation dans tous les domaines pré-cités : je suis donc heptavalent
Où sont mes 300 euros ?
_________________
Ce que j'entends je l'oublie.
Ce que le lis je le retiens.
Ce que je fais, je le comprends !
Tchuang Tseu
- User20159Esprit éclairé
Monsieur_Tesla a écrit:Où sont mes 300 euros ?
Par an bien sûr ?
T'inquiètes, tu vas pas tarder à les toucher....
- CzarNiveau 9
Kimberlite a écrit:
En plus, avec l'âge, je découvre qu'ils ont une réduction du nombre d'heures! (Altersermäßigung).
Mon ancien établissement était jumelé avec un Gymansium allemand du centre ville de Munich.
Une collègue allemande proche de la retraire bénéficiait en effet de cette mesure.
Par contre les profs allemands (en tout cas en Bavière ) assurent aussi des missions de surveillances lors des récréations.
- Ajonc35Sage
Si la sélection existe au pays de Goethe, la démographie allemande n'est pas au top, le niveau baisse aussi comme au Japon pour remplir les places. Quel niveau, la baisse? Je pense aussi que selon les länders les lycées reçoivent un public plus ou moins réceptifs.Ha@_x a écrit:Ajonc35 a écrit:Par contre si je sais qu'il enseigne en "lycée", je ne sais pas si c'est un bon lycée avec un bon public.
Si le lycée c'est le Gymnasium, alors oui ce sont les meilleurs élèves théoriquement. Après ma connaissance du système scolaire allemand date un peu.
- KimberliteExpert
Salut Rémi,Remi G a écrit:Mon salaire de septembre : 1481 euros net pour faire la garderie à des gamins dont un nombre croissant ne nous respecte pas (comme leurs parents et comme l'employeur) ou "n'ont pas les codes".
En attendant, j'ai claqué 600 euros ce mois-ci pour me loger à l’hôtel le temps de pouvoir trouver un logement. j'ai même dormi une nuit dans la bagnole. Je perds mon temps à appeler les parents, l'administration m'oblige à mettre des heures de colle "à la carte" en respectant les disponibilités des élèves, j'attends 3 semaines pour avoir un écran d'ordinateur et je me rends compte que mes collègues on perdu tout sens des réalités vu les violences qu'ils doivent subir jour après jour... Sérieux, si j'en avais envie, je pourrais tenir un journal qui rendrait compte au quotidien de l'estime que la société a pour les enseignants!
Au début de mon stage, j'ai logé en foyer de jeunes travailleurs (c'était un studio), ça dépanne, même si ce n'est pas donné.
Il y a aussi les centres d'hébergement pour sportifs voire les cités universitaires qui peuvent dépanner sur ce genre de situation.
Bonne chance,
K.
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- Spoiler:
- jeromebrNiveau 6
Ha@_x a écrit:Kimberlite a écrit: de fait, nous sommes nombreux à être "bivalents" au même titre que les allemands.
Moi je dois être "quadrivalent" : Histoire, Géo, EMC, sécurité routière....
Je fais aussi accessoirement, comme nombre d'entre nous, le flic, le psychologue, l'assistante sociale et je suis conseiller d'orientation à plein temps (et CPE quand le mien est malade), gratuitement bien sûr....
Hormis le fait qu'en Allemagne un "cours" dure 45 minutes. Nous sommes encore une fois confronté à du troll de bas étage, comme dit plus haut.
Quelqu'un qui a une opinion discordante de la majorité est un troll ?
- User20159Esprit éclairé
jeromebr a écrit:Quelqu'un qui a une opinion discordante de la majorité est un troll ?
Non pas nécessairement, mais s'inscrire, saupoudrer un ou deux messages, y dire n'importe quoi, et surtout ne pas réagir par la suite à la discussion, ressemble fortement à un début prometteur de trollage...
Après je suis suspicieux de nature, déformation professionnelle je présume.
- RendashBon génie
jeromebr a écrit:Ha@_x a écrit:Kimberlite a écrit: de fait, nous sommes nombreux à être "bivalents" au même titre que les allemands.
Moi je dois être "quadrivalent" : Histoire, Géo, EMC, sécurité routière....
Je fais aussi accessoirement, comme nombre d'entre nous, le flic, le psychologue, l'assistante sociale et je suis conseiller d'orientation à plein temps (et CPE quand le mien est malade), gratuitement bien sûr....
Hormis le fait qu'en Allemagne un "cours" dure 45 minutes. Nous sommes encore une fois confronté à du troll de bas étage, comme dit plus haut.
Quelqu'un qui a une opinion discordante de la majorité est un troll ?
Une connerie n'est pas une opinion. Lorsqu'il y a des faits, il est en général sage d'en tenir compte.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Flo44Érudit
Pour en remettre une couche sur l'Allemagne : leur système scolaire est très sélectif. Les élèves qui se retrouvent au Gymnasium sur l'équivalent de la 6ème sont ceux dont on est certain qu'ils pourront suivre au lycée (plus sélectif que le nôtre). Les autres ont droit à la Hauptschule (savoirs de base + savoirs pratiques), ou la Realschule (intermédiaire). Ces deux derniers types d'établissement ne mènent pas au baccalauréat, et la majorité des élèves y vont (d'après ce document : http://www.allemagneinfo.com/allemagnelanguesetudes/system_educatif_datei.pdf environ 30% des élèves vont au Gymnasium, et donc se destinent au baccalauréat. rappel : dès la 6ème!)
Autant dire qu'après la primaire, on ne se retrouve donc jamais avec dans la même classe un élève dont le niveau est à peine celui attendu en CE1 avec d'autres qui pourraient être mis directement en 5ème... Cela simplifie (un peu !) la gestion de classe, et même la préparation des cours.
On ne peut donc vraiment pas comparer les conditions d'enseignement dans le secondaire entre la France et l'Allemagne. De plus, les enseignants de Gymnasium et ceux des autres établissements ne sont pas formés de la même manière (je suppose qu'ils n'ont pas non plus le même salaire ni les mêmes conditions d'enseignement)
Autant dire qu'après la primaire, on ne se retrouve donc jamais avec dans la même classe un élève dont le niveau est à peine celui attendu en CE1 avec d'autres qui pourraient être mis directement en 5ème... Cela simplifie (un peu !) la gestion de classe, et même la préparation des cours.
On ne peut donc vraiment pas comparer les conditions d'enseignement dans le secondaire entre la France et l'Allemagne. De plus, les enseignants de Gymnasium et ceux des autres établissements ne sont pas formés de la même manière (je suppose qu'ils n'ont pas non plus le même salaire ni les mêmes conditions d'enseignement)
- CeladonDemi-dieu
Comment l'Allemagne traite-t-elle l'inclusion des élèves handicapés ?
- Remi GNiveau 3
Celadon a écrit:Comment l'Allemagne traite-t-elle l'inclusion des élèves handicapés ?
J'aurais pu te répondre si tu avais employé l’imparfait plutôt que le présent de l'indicatif! :3
- oreHabitué du forum
Quelles sont les conditions de travail pour un professeur qui enseigne en Hauptschule? Même questions pour la Realschule? C'est le bazar?
- CeladonDemi-dieu
Warum ? Tu y as travaillé ?Remi G a écrit:Celadon a écrit:Comment l'Allemagne traite-t-elle l'inclusion des élèves handicapés ?
J'aurais pu te répondre si tu avais employé l’imparfait plutôt que le présent de l'indicatif! :3
Ne te prive pas de me répondre, le passé m'intéresse aussi...
- Maximilien_Niveau 1
Flo44 a écrit:Pour en remettre une couche sur l'Allemagne : leur système scolaire est très sélectif. Les élèves qui se retrouvent au Gymnasium sur l'équivalent de la 6ème sont ceux dont on est certain qu'ils pourront suivre au lycée (plus sélectif que le nôtre). Les autres ont droit à la Hauptschule (savoirs de base + savoirs pratiques), ou la Realschule (intermédiaire). Ces deux derniers types d'établissement ne mènent pas au baccalauréat, et la majorité des élèves y vont (d'après ce document : http://www.allemagneinfo.com/allemagnelanguesetudes/system_educatif_datei.pdf environ 30% des élèves vont au Gymnasium, et donc se destinent au baccalauréat. rappel : dès la 6ème!)
Autant dire qu'après la primaire, on ne se retrouve donc jamais avec dans la même classe un élève dont le niveau est à peine celui attendu en CE1 avec d'autres qui pourraient être mis directement en 5ème... Cela simplifie (un peu !) la gestion de classe, et même la préparation des cours.
On ne peut donc vraiment pas comparer les conditions d'enseignement dans le secondaire entre la France et l'Allemagne. De plus, les enseignants de Gymnasium et ceux des autres établissements ne sont pas formés de la même manière (je suppose qu'ils n'ont pas non plus le même salaire ni les mêmes conditions d'enseignement)
Ce que tu dis est très juste, mais on peut apporter des précisions :
- L'organisation de l'enseignment secondaire ne rélève pas de l'État fédéral, mais des Länder, ce qui crée une situation assez complexe vue de l'extérieur. Par exemple, à Berlin (et dans d'autres Länder aussi, je crois), il n'existe pour le premier cycle de l'enseignement secondaire qu'une Gesamtschule , un collège unique (comme en France, au fait), mais la situation peut-être différente ailleurs avec de Hauptschulen et des Realschulen
- Théoriquement, le lycée (Gymnasium) ne concerne que le second cycle secondaire, mais il est vrai que des Gymnasien ont ouvert des "petites" classes, un peu comme le lycée français, autrefois, avait créé le "petit lycée" (d'où nous viennent des appellations 'dixième", "neuvième", etc. qui n'ont jamais été officielles).
- Sur la formation des maîtres, ceux que je connais ne m'ont jamais parlé d'un cursus différent pour enseigner dans le premier ou le second cycle du secondaire. Pour moi, il s'agit de la même formation.
- Si, bien sûr, on peut comparer les conditions d'enseignement entre la France et l'Allemagne ; ce n'est pas le bout du monde, tout de même !
Cependant, sur la caractère sélectif entièrement assumé du système allemand, je suis tout à fait d'accord, mais il faut souligner que les filières professionnelles et notamment l'apprentissages sont très développées et surtout beaucoup plus respectées en Allemagne qu'en France. À ma connaissance, l'écart de salaire entre un Meister et un employé de bureau qualifié est en faveur du Meister !
Le pragmatisme qui consiste à ne pas vouloir obliger tout le monde à faire des études plutôt longues, mais de respecter et de valoriser le travail manuel, je crois qu'il faut y voir un des facteurs du succès insolent de l'industrie et de l'économie allemandes.
- KimberliteExpert
Ah ah ah... les raisons du succès de l'industrie allemande viennent de l'histoire, pas de la valorisation du travail manuel (pas si bien payé que ça, hein... j'ai covoituré avec un ouvrier yougoslave qui bossait dans une usine allemande, excuse-moi, mais non, ça ne fait pas rêver. Ce type, qui était arrivé ado en Allemagne suite à la guerre, réfléchissait à se payer une formation pour justement ne pas stagner dans un véritable boulot de merde. Seulement, la formation, ben elle était en partie financée par sa boîte, qui y avait un intérêt, mais la boîte lui demandait une somme énorme, pour sa part...).Maximilien_ a écrit:Le pragmatisme qui consiste à ne pas vouloir obliger tout le monde à faire des études plutôt longues, mais de respecter et de valoriser le travail manuel, je crois qu'il faut y voir un des facteurs du succès insolent de l'industrie et de l'économie allemandes.
En France, faut pas dire de conneries non plus: cette histoire des études longues, c'est déjà dans le passé. Les parents ne se laissent plus avoir, les enseignants ne mentent plus (les chefs d'établissement de moins en moins). Ça commence quand même à se savoir que certains métiers manuels sont en déficit et bien payés, alors que de nombreux diplômés n'arrivent plus à se caser, les gens commencent aussi à réaliser que, pour la retraite, c'est pas gagné (donc mieux vaut bosse tôt)... résultat: comme en Allemagne et en Suisse, les études seront bientôt à nouveau uniquement pour ceux qui ont les finances pour (je ne dis pas que ce n'est pas déjà le cas, mais la tendance est supérieure en Allemagne et encore plus en Suisse). Le rêve, quoi...
_________________
- Spoiler:
- CeladonDemi-dieu
Si on est "en retard" pour le coup de bambou du tarif des études, c'est parce que notre idéologie égalitariste nous laisse encore en majorité réticents face à cette indécence galopante qui ne cesse de reproduire et d'approfondir les inégalités liées en partie aux études que l'on fait et donc de plus en plus au milieu dont on est issu. Mais on y vient. Patience.
- Padre P. LucasNiveau 10
Si Natacha Polony œuvre avec justice pour revigorer l'estime envers les enseignants, j'en connais une autre qui sape notre image avec une étonnante efficacité.
Dans Le Monde d'aujourd'hui, Mattea Battaglia nous livre un article A l’école du « grand écart » : le niveau des élèves français est-il si mauvais ? pour préparer l'arrivée des résultats de PISA : "ceux-ci seront sans doute mauvais, mais ce n'est pas si grave". Et de citer un enseignant qui le confirme :
Dans Le Monde d'aujourd'hui, Mattea Battaglia nous livre un article A l’école du « grand écart » : le niveau des élèves français est-il si mauvais ? pour préparer l'arrivée des résultats de PISA : "ceux-ci seront sans doute mauvais, mais ce n'est pas si grave". Et de citer un enseignant qui le confirme :
Il est nécessaire de porter un jugement critique sur le rôle et le sens des évaluations PISA, mais comment voulez-vous que les personnes encore un peu lucides aient encore de l'estime pour nous avec de tels arguments ? Avec de tels "amis", nous n'avons pas besoin d'ennemis.On se focalise sur le lire-écrire-compter, souligne un professeur de collège à Lyon. Sans contester leur importance, n’est-il pas temps de requestionner les compétences au XXIe siècle ? Certains de mes élèves, même à 14 ans, peinent encore sur les divisions, reconnaît-il. Mais ils peuvent me surprendre dans les liens qu’ils tissent entre les disciplines ou dans leur prise de parole.
- EmmaLeyNiveau 2
Padre P. Lucas a écrit:Si Natacha Polony œuvre avec justice pour revigorer l'estime envers les enseignants, j'en connais une autre qui sape notre image avec une étonnante efficacité.
Dans Le Monde d'aujourd'hui, Mattea Battaglia nous livre un article A l’école du « grand écart » : le niveau des élèves français est-il si mauvais ? pour préparer l'arrivée des résultats de PISA : "ceux-ci seront sans doute mauvais, mais ce n'est pas si grave". Et de citer un enseignant qui le confirme :
Il est nécessaire de porter un jugement critique sur le rôle et le sens des évaluations PISA, mais comment voulez-vous que les personnes encore un peu lucides aient encore de l'estime pour nous avec de tels arguments ? Avec de tels "amis", nous n'avons pas besoin d'ennemis.On se focalise sur le lire-écrire-compter, souligne un professeur de collège à Lyon. Sans contester leur importance, n’est-il pas temps de requestionner les compétences au XXIe siècle ? Certains de mes élèves, même à 14 ans, peinent encore sur les divisions, reconnaît-il. Mais ils peuvent me surprendre dans les liens qu’ils tissent entre les disciplines ou dans leur prise de parole.
Affligeant.
"Oui, certes, ces gamins ont seize ans et savent à peine lire ou compter après le nombre trente, mais vous avez vu avec quelle vitesse ils arrivent poster un tweet ou faire une recherche sur Youtube ?" :|
- TiberiusNiveau 8
Aujourd'hui une de mes élèves de troisième a découvert que l'Autriche était un pays, et en plus en Europe près de chez nous.
En revanche, sur Instagram, elle est incollable
En revanche, sur Instagram, elle est incollable
- ZeSandmanFidèle du forum
Mais moi aussi certains élèves me surprennent dans leurs prises de parole : ils parviennent à recréer le vide intersidéral juste en ouvrant la bouche.
_________________
Ce sont les rêves qui donnent au monde sa forme.
- tit871Niveau 7
Padre P. Lucas a écrit:Si Natacha Polony œuvre avec justice pour revigorer l'estime envers les enseignants, j'en connais une autre qui sape notre image avec une étonnante efficacité.
Dans Le Monde d'aujourd'hui, Mattea Battaglia nous livre un article A l’école du « grand écart » : le niveau des élèves français est-il si mauvais ? pour préparer l'arrivée des résultats de PISA : "ceux-ci seront sans doute mauvais, mais ce n'est pas si grave". Et de citer un enseignant qui le confirme :
Il est nécessaire de porter un jugement critique sur le rôle et le sens des évaluations PISA, mais comment voulez-vous que les personnes encore un peu lucides aient encore de l'estime pour nous avec de tels arguments ? Avec de tels "amis", nous n'avons pas besoin d'ennemis.On se focalise sur le lire-écrire-compter, souligne un professeur de collège à Lyon. Sans contester leur importance, n’est-il pas temps de requestionner les compétences au XXIe siècle ? Certains de mes élèves, même à 14 ans, peinent encore sur les divisions, reconnaît-il. Mais ils peuvent me surprendre dans les liens qu’ils tissent entre les disciplines ou dans leur prise de parole.
des profs aussi débiles c'est affligeant!
- CeladonDemi-dieu
En effet, sans savoir lire ni écrire ni compter, tisser des liens entre les disciplines doit se révéler fort productif et surprenant...
- wilfried12Habitué du forum
Parce que les élèves des autres pays qui réussissent mieux les tests pisa ils vivent dans une grotte et n'ont pas les fantastiques autres compétences de nos élèves?
- IlonaHabitué du forum
Hier, par curiosité, je me suis renseignée sur le salaire des enseignants québecois. Converti en euros, il se monte à plus de 2600 euros dés la première année d'enseignement (presque 46 000 CAD par an).
- Nouveaux programmes de 6e (2016) + socles 2015 en histoire géo : ruptures / continuités / articulation entre les cycles : Quelle lisibilité avons-nous ?
- Ne nous plaignons pas, nous avons les vacances !
- Vincent Peillon : "Nous avons à nous poser la question du rapprochement entre les trois filières, professionnelles, technologiques, générales. Il faut rebatir, entre les élèves de France, du commun".
- [Grenoble-stagiaires] A quelle sauce serons-nous mangés ? (des nouvelles de la formation pour les titulaires d'un M2, frais de déplacements etc)
- avons-nous été si formatés par l'IUFM ?
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