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- JohnMédiateur
http://www.leprogres.fr/rhone/2013/11/27/vaulx-en-velin-un-collegien-se-tue-en-chutant-d-un-mur-d-escaladeLe drame s'est déroulé ce mercredi après-midi sur la tour d'escalade, installée dans le quartier du Mas-du-Taureau à Vaulx-en-Velin. Un élève de 11 ans, scolarisé au collège Henri-Barbusse, a fait une chute de 15 à 20 mètres alors qu'il effectuait une descente en rappel.
L'activité, qui se tenait dans le cadre des mercredis sportifs du collège organisés par l’UNSS, était surveillée par un professeur d'éducation physique de l'établissement scolaire.
La jeune victime a été prise en charge dans un état extrêmement grave. Son décès a été constaté à son arrivée à l'hôpital.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- zigotineHabitué du forum
:'(
Pensées aux parents et au collègue.
Pensées aux parents et au collègue.
- GrypheMédiateur
- Mona Lisa KlaxonEsprit éclairé
quelle horreur........ Quel enfer pour le prof d'EPS.... Quelle douleur pour la famille.........
- Ben93Neoprof expérimenté
Oh pu**** !
Courage à la famille et aux collègues de ce collège (qui travaillent vraiment dans un collège difficile).
Courage à la famille et aux collègues de ce collège (qui travaillent vraiment dans un collège difficile).
- OudemiaBon génie
Quelle horreur pour tous !
- ChocolatGuide spirituel
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- NasopiBon génie
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- AudreyOracle
Mes collègues d'EPS en parlaient hier: nous sommes dans l'aca de Lyon et ça secoue tout le monde dans la discipline. Apparemment, l'élève n'avait pas bien passé un "brin" dans le système d'accroche (je n'y connais rien...). Je les ai entendus s'interroger: "Mais comment le gosse a-t-il pu se retrouver dans cette situation?"... Je n'en sais pas plus.
- JohnMédiateur
http://www.lyonmag.com/article/60406/chute-d-escalade-a-vaulx-en-velin-le-collegien-avait-mal-accroche-son-descendeurSelon les premiers éléments de l'enquête, rapportés par le Progrès, l'enfant aurait fait une erreur : il se serait trompé de corde pour accrocher son descendeur juste avant de se lancer dans une descente en rappel. Le parquet a ouvert une enquête pour homicide involontaire.
Une cellule psychologique a été mise en place dans le collège Henri-Barbusse où était scolarisé le jeune garçon tandis que les activités du mur d'escalade ont été suspendues dans l'attente des résultats des investigations.
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- anthraciteNiveau 9
Le procès pour cette triste affaire suit son cours. Connaissant un peu le collègue qui a été très secoué par ce décès, je lui souhaite beaucoup de courage. De même qu'à la famille qui pourra peut-être faire son deuil après le procès.
https://www.lyonmag.com/article/101530/accident-mortel-d-escalade-un-prof-d-eps-devant-la-justice-a-lyon
Ce lundi, le Parquet a réclamé un an et demi d’emprisonnement avec sursis contre le professeur d’éduction sportive jugé responsable de la mort d’un élève du collège Henri-Barbusse.
Depuis, le professeur d’EPS, âgé de 51 ans, a été suspendu un an sans traitement, puis a changé d’établissement. Le Parquet a réclamé 18 mois d’emprisonnement avec sursis, la procureure a aussi requis 20 000 euros d’amende contre l’association sportive du collège organisatrice de l’évènement et jugée responsable du drame.
https://www.lyonmag.com/article/101530/accident-mortel-d-escalade-un-prof-d-eps-devant-la-justice-a-lyon
- anthraciteNiveau 9
France 3 est plus juste :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone/lyon/lyon-18-mois-sursis-requis-contre-professeur-eps-1680036.htmlL'homme qui a passé un an sans traitement a été réaffecté depuis dans un autre établissement.
- MatheodHabitué du forum
D'où on se permet de suspendra un an sans traitement pour un accident qui peut arriver à tout le monde ?
- Philomène87Grand sage
D'après l'article il a été reconnu qu'il avait été négligent sur la sécurité. D'où les 18 mois avec sursis. Après, on n'a que les informations que la presse nous donne.
- User17095Érudit
Le mot "suspension" recouvre plusieurs situations et les articles ne sont pas très clairs.
Je crois probable qu'il ait été suspendu le temps de l'enquête et du jugement, pour déterminer s'il y avait eu mise en danger d'autrui (tribunal) suite à une faute grave (règlement, peut-être conseil de discipline même si il n'en est pas question dans l'article).
Je crois probable qu'il ait été suspendu le temps de l'enquête et du jugement, pour déterminer s'il y avait eu mise en danger d'autrui (tribunal) suite à une faute grave (règlement, peut-être conseil de discipline même si il n'en est pas question dans l'article).
"On" se doit de suspendre tant qu'on n'a pas fait la vérification que c'est effectivement un "accident qui peut arriver à tout le monde", et non pas une faute grave qui a mis en danger - et ici provoqué une mort. Je crois que ton indignation est mal placée.Matheod a écrit:D'où on se permet de suspendra un an sans traitement pour un accident qui peut arriver à tout le monde ?
- MatheodHabitué du forum
Dans ce cas là on peut suspendre avec traitement ? C'est la présomption d’innocence.
- User17095Érudit
La suspension à titre conservatoire, qui dure quelques mois (je ne sais plus combien mais certainement pas un an), se fait avec le traitement mais sans certaines indemnités type ISOE.
Une fois n'est pas coutume, je suppose que les auteurs des articles emploient des termes hors de propos.
Une fois n'est pas coutume, je suppose que les auteurs des articles emploient des termes hors de propos.
- anthraciteNiveau 9
Je me permets de répondre pour ce que je sais : il y a bien eu une commission disciplinaire où une sanction d'un an de suspension (sans traitement donc) a été décidée. Je n'ai pas d'infos directes sur ce qui a motivé la décision, donc je suppose qu'il y avait des raisons. De même, si le parquet a requis une peine, je suppose (j'espère) que des fautes/négligences ont été relevées. De nombreux collègues de ce collège ont cotisé à une cagnotte pour assurer un petit revenu au professeur suspendu car en effet tout le monde a interpréter les faits comme un accident et que le professeur était connu de longue date et investi. A l'issue de cette année de suspension, le collègue a été nommé ailleurs alors qu'il avait fini toute l'année scolaire de l'accident + 1 an de service (je pense que le rectorat a attendu des conclusions de l'enquête de police avant la commission) + 1 an suspendu, donc la cohorte d'élèves de la même année que l'élève décédé quittait le collège, et sa nomination ailleurs a été mal comprise/acceptée par certains collègues du collège. Je n'ai pour ma part pas d'opinion sur la question (je ne connais pas la demande de la famille qui habitait toujours le quartier et dont les autres enfants étaient dans le secteur de ce même collège par exemple). En tout cas c'est une affaire compliquée pour tous.
J'ai moi aussi une question : qu'est-ce que c'est que cette association qui gérerait l'UNSS ? Ce n'est pas le collège qui propose l'UNSS ? Pourtant le prof fait bien ça sur ses heures de service. L'association, qui la gère (président par exemple) ? C'est séparé de l'établissement scolaire ? L'assurance, ce n'est pas celle du collège ? Dans mon lycée, la cotisation est de mémoire de 15 euros en seconde et 20/25 euros en première/terminales (je crois à cause de compétitions). 20 000 euros, en regard, ça fait pas mal de cotisations.
Et pour les "clubs", nous sommes assurés comment ? Je pense notamment aux olympiades de chimie que certains profs assurent bénévolement le mercredi après-midi, et où les manipulations sont un peu plus risquées qu'en cours classique (et j'ai déjà vu 4 accidents en TP de chimie dans ma carrière, dont un dans mon cours). On ne serait pas couvert comme en cours classique ?
Le prof aurait-il été mieux "protégé" si l'accident était arrivé pendant une heure de cours à l'emploi du temps élèves plutôt qu'à l'UNSS ?
J'ai moi aussi une question : qu'est-ce que c'est que cette association qui gérerait l'UNSS ? Ce n'est pas le collège qui propose l'UNSS ? Pourtant le prof fait bien ça sur ses heures de service. L'association, qui la gère (président par exemple) ? C'est séparé de l'établissement scolaire ? L'assurance, ce n'est pas celle du collège ? Dans mon lycée, la cotisation est de mémoire de 15 euros en seconde et 20/25 euros en première/terminales (je crois à cause de compétitions). 20 000 euros, en regard, ça fait pas mal de cotisations.
Et pour les "clubs", nous sommes assurés comment ? Je pense notamment aux olympiades de chimie que certains profs assurent bénévolement le mercredi après-midi, et où les manipulations sont un peu plus risquées qu'en cours classique (et j'ai déjà vu 4 accidents en TP de chimie dans ma carrière, dont un dans mon cours). On ne serait pas couvert comme en cours classique ?
Le prof aurait-il été mieux "protégé" si l'accident était arrivé pendant une heure de cours à l'emploi du temps élèves plutôt qu'à l'UNSS ?
- User17095Érudit
Dans ce cas, le terme exact n'est pas suspension mais exclusion temporaire (du coup, sans traitement).
La présomption d'innocence vaut pour la suspension à titre conservatoire (maintien du traitement) mais plus pour la sanction.
Ce qu'on appelle habituellement UNSS et qui, au niveau de l'établissement s'appelle AS, a un statut particulier. En effet, c'est une association loi 1901 donc une entité juridique, mais elle est liée à l'EPLE, donc le CdE est automatiquement président. Les enseignants d'EPS lui doivent une partie de leur service (3h sur les 20 d'un certifié, je ne sais plus pour un agrégé).
Elle est une entité et a sa propre trésorerie, donc peut être attaquée pour ce qui relève de ses activités, indépendamment de l'EPLE, contrairement aux "clubs" ordinaires.
La protection juridique de l'enseignant est la même, ça reste un agent de l'Etat.
L'affaire est effectivement très compliquée, je crois qu'on rentre dans le cadre infernal de pas mal d'activités, qui sont particulièrement réglementées par des procédures de sécurité drastiques, et où on ne peut rien faire si on fait tout comme il faut.
En guise de parallèle, de nombreux établissements sont dans de vieux locaux, absolument pas aux normes, et chaque visite de sécurité est un moment d'effroi, "pourrons-nous ouvrir demain matin ?" On joue gros chaque jour.
La présomption d'innocence vaut pour la suspension à titre conservatoire (maintien du traitement) mais plus pour la sanction.
Ce qu'on appelle habituellement UNSS et qui, au niveau de l'établissement s'appelle AS, a un statut particulier. En effet, c'est une association loi 1901 donc une entité juridique, mais elle est liée à l'EPLE, donc le CdE est automatiquement président. Les enseignants d'EPS lui doivent une partie de leur service (3h sur les 20 d'un certifié, je ne sais plus pour un agrégé).
Elle est une entité et a sa propre trésorerie, donc peut être attaquée pour ce qui relève de ses activités, indépendamment de l'EPLE, contrairement aux "clubs" ordinaires.
La protection juridique de l'enseignant est la même, ça reste un agent de l'Etat.
L'affaire est effectivement très compliquée, je crois qu'on rentre dans le cadre infernal de pas mal d'activités, qui sont particulièrement réglementées par des procédures de sécurité drastiques, et où on ne peut rien faire si on fait tout comme il faut.
En guise de parallèle, de nombreux établissements sont dans de vieux locaux, absolument pas aux normes, et chaque visite de sécurité est un moment d'effroi, "pourrons-nous ouvrir demain matin ?" On joue gros chaque jour.
- RendashBon génie
Une suspension d'un an sans traitement ? J'ignorais que c'était possible.
Que sont censés faire les gens pour bouffer durant cette année ? Ou bien l'idée est qu'il crèvent de faim ou se foutent en l'air ?
Que sont censés faire les gens pour bouffer durant cette année ? Ou bien l'idée est qu'il crèvent de faim ou se foutent en l'air ?
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Philomène87Grand sage
Ont-ils au moins le droit d'avoir un autre emploi, exceptionnellement ? Le non cumul s'applique-t-il, dans ce cas ? Le bon sens dirait que non, mais avec l'EN il faut s'attendre à tout.
- User17095Érudit
Je pense que quand tu es suspendu un an ou deux, la menace de radiation si tu trouves un autre emploi, elle est très abstraite...
- RendashBon génie
Abstrait, au sens marxiste ou hégélien du terme ?
Philomène, je ne vois pas comment on pourrait reprocher à une personne d'essayer de ne pas crever de faim, même à l'EN
Philomène, je ne vois pas comment on pourrait reprocher à une personne d'essayer de ne pas crever de faim, même à l'EN
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- William FosterExpert
Rendash a écrit:Philomène, je ne vois pas comment on pourrait reprocher à une personne d'essayer de ne pas crever de faim, même à l'EN
Chaque fois que quelqu'un prononce ce genre de phrase, quelque part un haut responsable de l'EN le prend comme un défi.
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Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
"Opinions are like orgasms : mine matters most and I really don't care if you have one." Sylvia Plath
Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
- PofekkoNiveau 7
Je cite Audrey: "Mes collègues d'EPS en parlaient hier: nous sommes dans l'aca de Lyon et ça secoue tout le monde dans la discipline. Apparemment, l'élève n'avait pas bien passé un "brin" dans le système d'accroche (je n'y connais rien...). Je les ai entendus s'interroger: "Mais comment le gosse a-t-il pu se retrouver dans cette situation?"..."
A priori, si le collègue a été suspendu sans traitement, c'est que des questions se posent. Un collègue reste a priori sans traitement 1 an, mais un enfant est mort!
Il y a quelques années, un collègue TZR en salle des profs m'a raconté une histoire similaire le concernant. L'élève avait chuté et s'était cassé le bassin. Pompier, police, GAV, dépôt de plainte des parents.
Logique ou suis-je le seul à le penser?
Or, l'enquête menée a montré que le gamin avait volontairement coupé la "corde de vie" (je ne connais pas le terme technique). Le collègue a pu reprendre son activité. MAIS, il était de SA responsabilité de vérifier que le "brin" était bien dans le mousqueton (c'est qu'il m'avait alors dit). Il avait alors demandé à refaire une formation escalade et me parlait, juste 20 min, avant son premier cours d'escalade depuis l'accident.
Dans le cas lyonnais du topic, s'il s'avère que le brin n'était pas dans le mousqueton (j'utilise le conditionnel de précaution), alors l'enseignant aurait dû le voir lors de sa vérification.
Dans ce cas PRECIS, ce ne serait donc pas un accident, mais une défaillance pro qui aurait provoqué ce décès. Alors, un an de suspension, il s'en sortirait plutôt très bien.
A priori, si le collègue a été suspendu sans traitement, c'est que des questions se posent. Un collègue reste a priori sans traitement 1 an, mais un enfant est mort!
Il y a quelques années, un collègue TZR en salle des profs m'a raconté une histoire similaire le concernant. L'élève avait chuté et s'était cassé le bassin. Pompier, police, GAV, dépôt de plainte des parents.
Logique ou suis-je le seul à le penser?
Or, l'enquête menée a montré que le gamin avait volontairement coupé la "corde de vie" (je ne connais pas le terme technique). Le collègue a pu reprendre son activité. MAIS, il était de SA responsabilité de vérifier que le "brin" était bien dans le mousqueton (c'est qu'il m'avait alors dit). Il avait alors demandé à refaire une formation escalade et me parlait, juste 20 min, avant son premier cours d'escalade depuis l'accident.
Dans le cas lyonnais du topic, s'il s'avère que le brin n'était pas dans le mousqueton (j'utilise le conditionnel de précaution), alors l'enseignant aurait dû le voir lors de sa vérification.
Dans ce cas PRECIS, ce ne serait donc pas un accident, mais une défaillance pro qui aurait provoqué ce décès. Alors, un an de suspension, il s'en sortirait plutôt très bien.
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