- Ajonc35Sage
J'etais deja maman, donc aujourd'hui que dire? J'ai vécu ce moment comme un merveilleux moment. Alors que c'était l'heure du repas, nous sommes restés scotchés devant les écrans. On n'avait pas encore les actualités en boucle, mais on n'a pas décollé de l'info pendant tout le week end. Par contre dans mes souvenirs c'etait un vendredi et là je me suis trompée. Aujourd'hui quand je parle de cet évènement aux élèves ce sont ces images qui me reviennent avec en prime Rotropovich et son violoncelle. La foule, l'accueildes Berlinois de l'ouest, les embrassades, etc ... merveilleux.
- numéro6Niveau 6
[/quote] Je me rappelle que j'étais en seconde et que, personnellement, je ne m'y attendais pas du tout. Je pensais naïvement que la Guerre froide et le monde coupé en deux seraient éternels. L’espèce d'enthousiasme qui entourait l'évènement était aussi très contagieux.[/quote]
Moi aussi, j'étais en seconde et je crois qu'en toute sincérité personne ne s'y attendait. Certes, quelques-uns avaient pu prédire la fin du communisme mais de là à dire que cela allait se passer à cet endroit et à ce moment précis, non.
Moi aussi, j'étais en seconde et je crois qu'en toute sincérité personne ne s'y attendait. Certes, quelques-uns avaient pu prédire la fin du communisme mais de là à dire que cela allait se passer à cet endroit et à ce moment précis, non.
- ZagaraGuide spirituel
J'étais pas née donc ça n'existe pas puisque ma personne est la mesure du temps et de l'espace.
- Cléopatra2Guide spirituel
J'étais petite, et j'ai le souvenir que mon père m'avait expliqué ça lors d'une balade en voiture (il devait me déposer quelque part). Lui il ne s'en rappelle pas du tout! J'ai aussi un vague souvenir qu'on regardait ça à la télé.
Mais en tout cas ça m'a marquée, c'est mon premier souvenir "politique". Pour dire, je ne me rappelle pas de ce qu'on pouvait bien faire en classe pour le bicentenaire (et pourtant on faisait des trucs).
Je me rappelle aussi vers la même époque demander à mon père ce que voulait dire URSS parce que je ne me rappelais jamais socialiste soviétique.
Mais en tout cas ça m'a marquée, c'est mon premier souvenir "politique". Pour dire, je ne me rappelle pas de ce qu'on pouvait bien faire en classe pour le bicentenaire (et pourtant on faisait des trucs).
Je me rappelle aussi vers la même époque demander à mon père ce que voulait dire URSS parce que je ne me rappelais jamais socialiste soviétique.
- Cléopatra2Guide spirituel
Olympias a écrit:Tant pis. Ils finiront pendant que les autres entameront autre chose. Le lycée ce n'est pas un self service.Cléopatra2 a écrit:Olympias a écrit:Cléopâtra, quand je fais un plan de travail c'est chaque élève sa feuille de route et son travail. Mais là on n'a pas de manuel papier...ni les fameux PC...bref merci V. Pecresse. Donc on bricole et je déteste ça. Le manuel permet de prévoir des ex. différents selon les élèves et de modifier des consignes.
Oui, mais je prévois par exemple 3 heures en classe. J'ai au moins 5 ou 6 élèves qui n'auront pas les 3 heures dans chaque classe. Tu fais comment dans ces cas-là?
LÀ tu as un exemple avec le programme de géographe de l'an dernier.
Hélas, leurs parents croient bien que c'est à la carte, et rien n'est fait pour réduire l'absentéisme.
Le truc c'est qu'après je dois gérer leurs revendications : j'étais pas là, j'ai pas eu les documents, j'ai pas pu lire sur pronotes, j'étais malade blablabla, ça me met dans une colère folle dès le début du cours.
Ca plus les exigences : "Mon DS, vous le rendez quand, j'étais pas là hier!".
Merci pour l'exemple! Comment tu corriges? Correction personnalisée? Et ensuite comment faisais-tu ta reprise?
J'ai plusieurs pistes en tête et l'échéance s'approche
- Isis39Enchanteur
titus06 a écrit:
J'en profite pour rebondir et demander a celles et ceux qui ont vécu en direct cet évènement (qui a 30 ans ce soir), comment l'ont il vécu et qu'en avaient-ils pensé?
Je me rappelle que j'étais en seconde et que, personnellement, je ne m'y attendais pas du tout. Je pensais naïvement que la Guerre froide et le monde coupé en deux seraient éternels. L’espèce d'enthousiasme qui entourait l'évènement était aussi très contagieux.
J'étais étudiante en histoire et je me souviens que j'ai pleuré en entendant la nouvelle. Et ensuite un immense sentiment de bonheur et d'espoir.
On vivait tellement dans cette crainte d'un conflit nucléaire.
- Marie LaetitiaBon génie
Merci. Bon, j'aimerais bien, j'aurais aimé récupérer le doc d'Arte parce que j'aime bien le principe d'étudier un événement à partir d'un document, durant tout un chapitre et, à la fin, les élèves doivent me refaire l'explication complète. L'émission était parfaite pour ça.Isis39 a écrit:Une petite vidéo courte et claire sur le mur de Berlin.
https://education.francetv.fr/matiere/epoque-contemporaine/seconde/video/la-chute-du-mur-de-berlin
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Fesseur ProGuide spirituel
Merci.Isis39 a écrit:Une petite vidéo courte et claire sur le mur de Berlin.
https://education.francetv.fr/matiere/epoque-contemporaine/seconde/video/la-chute-du-mur-de-berlin
C'est court et clair.
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Pourvu que ça dure...
- Petit poisNiveau 9
A propos de la chute du mur, je peux vous donner mes souvenirs. J'avais passé une partie de la nuit devant la télévision, consciente que je vivais sans doute un moment historique majeur. Le monde communiste s'écroulait et, avec lui, la vision d'un monde bipolaire. Je suis passée d'un sentiment de crainte devant la foule massée devant le mur et la possible inflexion de l'URSS, à une grande joie devant cette même foule joyeuse et soulagée.
Le lendemain, j'avais une classe de Cinquième : nous avions passé toute l'heure sur ce thème. J'avais demandé aux élèves de mettre le journal du jour sur le dessus de leur armoire dans leur chambre, pour en garder une trace. Des années plus tard, certains m'ont raconté qu'ils avaient retrouvé ce journal en déménageant de chez leurs parents ! Les années suivantes, les lycéens qui revenaient de l'échange avec l'Allemagne rapportaient à l'école un morceau du mur ! c'était devenu LE souvenir incontournable du voyage en Allemagne !
Le lendemain, j'avais une classe de Cinquième : nous avions passé toute l'heure sur ce thème. J'avais demandé aux élèves de mettre le journal du jour sur le dessus de leur armoire dans leur chambre, pour en garder une trace. Des années plus tard, certains m'ont raconté qu'ils avaient retrouvé ce journal en déménageant de chez leurs parents ! Les années suivantes, les lycéens qui revenaient de l'échange avec l'Allemagne rapportaient à l'école un morceau du mur ! c'était devenu LE souvenir incontournable du voyage en Allemagne !
- Laure21HGNiveau 8
Comme toi Isis, étudiante en histoire, j'ai pleuré devant ma télé le lendemain en voyant les images aux infos, tout était tellement incroyable... (même si il y avait eu des prémices pendant l'été).Isis39 a écrit:titus06 a écrit:
J'en profite pour rebondir et demander a celles et ceux qui ont vécu en direct cet évènement (qui a 30 ans ce soir), comment l'ont il vécu et qu'en avaient-ils pensé?
Je me rappelle que j'étais en seconde et que, personnellement, je ne m'y attendais pas du tout. Je pensais naïvement que la Guerre froide et le monde coupé en deux seraient éternels. L’espèce d'enthousiasme qui entourait l'évènement était aussi très contagieux.
J'étais étudiante en histoire et je me souviens que j'ai pleuré en entendant la nouvelle. Et ensuite un immense sentiment de bonheur et d'espoir.
On vivait tellement dans cette crainte d'un conflit nucléaire.
je me souviens aussi des images en boucle sur la chaine télé LA 5 de tous les évènements qui ont suivi.
- VanGogh59Expert spécialisé
A propos du mur, j'ignore si vous le savez mais un fragment assez important est exposé devant le parlement européen de Bruxelles. L'an dernier nous avons fait la commission mais j'ai insisté pour passer devant le Parlement non pour le bâtiment mais pour permettre aux élèves de voir ce fragment chargé (d'une lourde) Histoire.
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"Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles" Oscar Wilde
- tschaiNiveau 7
A l'époque jeune professeur, j'étais confronté au programme de 4e qui imposait de choisir un pays du bloc de l'Est en géo. Dans le collège nous avions choisi la RDA. Comme le Mur, nous laissâmes tomber!
- OlympiasProphète
Souvenir de mon programme de 4e (comme élève) : RFA/ RDA aucune distance critique.
- sookieGrand sage
Étudiante aussi mais déjà mariée, avec mon mari, on a vécu cela devant la télé, avec le sentiment que pour la première fois on vivait un événement historique en direct. (Trop petite pour me souvenir des premiers pas sur la lune). L’Histoire se faisait devant nous.
J’ai le souvenir du grand-père de mon mari qui nous annonçait une nouvelle invasion de l’Allemagne à grands coups de « ils vont nous refoutent sur la g****** »
Et j’ai un souvenir réel, non du mur mais du rideau de fer. J’ai participé au début des années 80 à une sorte de camp d’ados à Hambourg, avec des jeunes de tous les pays d’Europe. On faisait quelques heures de travail dans un un cimetière militaire et de nombreuses visites dont une à un poste de frontière entre les deux Allemagne. J’avais été assez marquée par les barbelés, miradors et soldats est-allemands qui nous observaient à la jumelle.
J’ai le souvenir du grand-père de mon mari qui nous annonçait une nouvelle invasion de l’Allemagne à grands coups de « ils vont nous refoutent sur la g****** »
Et j’ai un souvenir réel, non du mur mais du rideau de fer. J’ai participé au début des années 80 à une sorte de camp d’ados à Hambourg, avec des jeunes de tous les pays d’Europe. On faisait quelques heures de travail dans un un cimetière militaire et de nombreuses visites dont une à un poste de frontière entre les deux Allemagne. J’avais été assez marquée par les barbelés, miradors et soldats est-allemands qui nous observaient à la jumelle.
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On est belle et on ne se tait pas, on n'est jamais trop vieille pour quoique ce soit
- titus06Habitué du forum
Isis39 a écrit:titus06 a écrit:
J'en profite pour rebondir et demander a celles et ceux qui ont vécu en direct cet évènement (qui a 30 ans ce soir), comment l'ont il vécu et qu'en avaient-ils pensé?
Je me rappelle que j'étais en seconde et que, personnellement, je ne m'y attendais pas du tout. Je pensais naïvement que la Guerre froide et le monde coupé en deux seraient éternels. L’espèce d'enthousiasme qui entourait l'évènement était aussi très contagieux.
J'étais étudiante en histoire et je me souviens que j'ai pleuré en entendant la nouvelle. Et ensuite un immense sentiment de bonheur et d'espoir.
On vivait tellement dans cette crainte d'un conflit nucléaire.
C'est marrant, je n'ai jamais ressenti cette crainte. En fait, lorsque j'ai réellement pris conscience du monde qui m'entourait, Gorbachev était arrivé au pouvoir. Jamais un dirigeant sovietique n'avait été aussi populaire en Occident. Ce qu'on ignorait, c'etait son impopularité en URSS, qui se révéla vraiment entre la chute du mur et la dislocation de l'Union Soviétique, au moment où des reportages commencaient à se faire librement là bas.
- OlympiasProphète
https://www.aphg.fr/L-empire-romain-et-ses-frontieres-par-Patrice-Faure-MCF-Universite-Lyon-III
- OlympiasProphète
- CondorcetOracle
Et pour ceux qui ne pourraient s'y rendre, un entretien accordé par l'auteur à la chaîne Youtube Storia Voce :
- RendashBon génie
Olympias a écrit:https://www.aphg.fr/L-empire-romain-et-ses-frontieres-par-Patrice-Faure-MCF-Universite-Lyon-III
MONSIEUR Patrice Faure
J'ai gardé un excellent souvenir de ses cours, très clairs, très riches, et bien structurés.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- OlympiasProphète
Rappel spécial Picards : notre journée d'étude de géo c'est jeudi ! https://www.aphg-picardie.fr/journées-d-études/
- OlympiasProphète
Communiqué sur le projet de réforme des concours
https://www.aphg.fr/Alerte-sur-la-reforme-projetee-du-CAPES?var_mode=calcul
https://www.aphg.fr/Alerte-sur-la-reforme-projetee-du-CAPES?var_mode=calcul
- DerMaxHabitué du forum
Est-ce que quelqu'un aurait sous la main le Discours de Xi Jinping à Davos du 17 janvier 2017? je n'arrive pas à le trouver soit en texte intégral soit en texte coupé mais uniquement des extraits cités ici et là par les journalistes. Merci
- numéro6Niveau 6
Bonjour,
Tu trouveras ton bonheur ici :
http://rakotoarison.over-blog.com/article-srb-20170117-discours-xi-davos.html
In English of course !
Tu trouveras ton bonheur ici :
http://rakotoarison.over-blog.com/article-srb-20170117-discours-xi-davos.html
In English of course !
- Prof d'histoireNiveau 1
Gui7863 a écrit:Je constate exactement les mêmes choses avec mes collégiens. Le littoral est aussi un terme qu'ils ne maîtrisent toujours pas en 4e alors qu'ils l'ont vu en 6e voire même au primaire. J'en suis encore à leur expliquer, pour certains, la différence entre un continent et un État.
Vous avez tout à fait raison de souligner que les difficultés croissantes en français ont un impact dans notre matière. Ne serait-ce que lire correctement un document, mes élèves de 5e ont d'énormes difficultés. Je les vois lire en posant le doigt sur le texte et en butant sur les mots dès qu'il y a plus de 2 syllabes. Un contrôle sur l'empire carolingien, sur 28 élèves, 8 n'ont pas fait la petite rédaction de fin de contrôle sur l'administration de l'empire par Charlemagne (vue en cours, il ne fallait que réciter la leçon...). 10 ont rendu un travail indigent de 3 lignes.
Les consignes ne sont pas comprises : j'ai passé 10 minutes à expliquer ce que j'attendais d'eux, le travail qu'il devait faire à partir du manuel sur le schisme de 1054. J'ai fait noté dans l'agenda en vérifiant que tous notaient correctement le travail à faire. Je l'ai mis aussi sur l'ENT. Résultats : 3 élèves ont fait une activité sur l'islam...
Quelques suggestions, si je puis me permettre, à partir de ma faible expérience.
Je ne sais pas de quelle manière les élèves s'approprient la notion de littoral dans ta séance (je sais qu'ils devraient se l'être appropriés en sixième). Mais, pour ma part, j'essaie de partir du plus concret pour remonter vers cette notion, et ça peut ne pas prendre trop de temps, même en remédiation en quatrième. On parle beaucoup d'aménagements industriels et portuaires, d'aménagements touristiques, mais je suis effaré que les caractéristiques naturelles d'un littoral ne servent pas de préalable. Un littoral, c'est d'abord la zone de contact entre la terre et la mer, côte sableuse, côte rocheuse, falaises, et j'en passe ! Des photographies, partir de leur expérience du littoral (mes élèves d'origine algérienne m'ont parlé de côtes où l'on voyait des roches, d'autres plein de sable, on est en plein dans la notion !!), leur permettent d'enraciner cette notion. Sinon, la notion, pour eux, restera flou.
Je préfère ne pas trop me lamenter sur les non acquis de mes élèves. Je ne suis pas focalisé sur leur passé, mais j'essaie de me projeter dans l'avenir avec l'espérance au corps !
Oui un document, c'est difficile pour eux de l'analyser parce qu'ils ne savent pas le lire, même en quatrième. Pour ma part, pour faire de la remédiation sur la lecture de document, je commence par leur demander de lire dans leur tête ou en murmurant le texte. Je suis prêt à ce que ça prenne du temps. Premier objectif : lire tout le texte et en extraire le thème. Ensuite, une lecture de ma part, lente et à voix haute, avec un arrêt à chaque phrase, et des reformulations (par les élèves, bien entendu). C'est le temps de l'explicitation du vocabulaire. Une fois que tout le texte est lu de cette manière entièrement et que les élèves s'en sont appropriés le sens, le texte est caché. Ils en écrivent (ce qu'ils en ont compris). Ce n'est pas une formule magique, rien que le premier temps de lecture silencieuse est long, fastidieux, réclame ma présence constante pour répondre aux besoins. Je préfère que ça prenne une séance, et qu'ils soient fiers d'avoir pu comprendre un texte d'Emmanuel Kant super dur donnant une explication sur les Lumières, plutôt que j'enchaîne les leçons comme s'ils étaient experts en lecture !
- Cléopatra2Guide spirituel
Certes, mais quand on a ça en terminale générale, c'est problématique. Et le programme ne prend pas ce temps en compte.
- Dadoo33Grand sage
Cléopatra2 a écrit:Certes, mais quand on a ça en terminale générale, c'est problématique. Et le programme ne prend pas ce temps en compte.
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