- Shere KhanNiveau 10
Le problème, c'est que les fautes d'orthographe, et des graves, ça devient monnaie courante dans les bulletins. Oui, le corps enseignant y perd en crédibilité. Signaler aux collègues de se corriger ? C'est chronophage. J'ai la main et je le fais. Je suis professeur de Lettres depuis des années, avec tous les avantages que cela donne, j'en sais évidemment beaucoup plus que lorsque j'ai commencé à enseigner, et je sais que je ne me trompe pas quand je corrige les erreurs des autres. Est-ce inadmissible d'enlever les fautes ? De mon point de vue, non. Envoyer un bulletin où une faute énorme d'un collègue se trouve imprimée me paraît à moitié sympa. C'est lui ou elle qui va passer pour un(e) illettré(e). Tant pis. Du reste, le chef d'établissement veille à ce que le PP se transforme en correcteur d'orthographe pour les autres, et supervise de toute façon. Cela ne concerne que l'orthographe, et ne me choque pas. La crédibilité de la profession est une affaire collective. S'il m'arrivait d'écrire une bourde, je serais reconnaissant au PP de la rectifier au lieu de la laisser partir comme cela. Ma susceptibilité s'en remettra, je préfère un bulletin irréprochable au lieu des parents. Imaginez qu'ils l'envoient à l'I.P.R. ?
- V.SullivanNiveau 4
Aliceinwonderland a écrit:Quand les collègues ne sont plus respectables, que faire Provence ? Et je pense que ça ne va pas s'arranger.
Provence a écrit:Corriger leurs bulletins ne les rendra pas plus respectables.
V.Sullivan a écrit:Corriger les appréciations d'autrui ne les rendra pas plus attentifs, et d'ailleurs ce n'était pas le but de la manœuvre.
Tu peux remplacer le "ce n'était pas le but de la manœuvre" par "ce n'était pas le but de les éduquer". Plutôt que d'exiger des explications sur un ton professoral imbuvable, il eût été opportun de relire la consigne.
Ce qui amène donc à :
Beniamino Massimo a écrit:Tout à fait d'accord avec V. Sullivan, évidemment.
Provence, V. Sullivan dit justement qu'il n'est pas là pour « éduquer les collègues »
@Shere Khan : Entièrement d'accord avec toi.
- Shere KhanNiveau 10
A propos de faute de frappe, comment fait-on pour se corriger si on s'en aperçoit après relecture ? Lorsque je veux revenir sur une maladresse, ça me publie un deuxième message, sans effacer le doublon, et si je sais compter, ça en fait deux (je sais compter jusqu'à dix... ). On peut envoyer un message à la corbeille ? Et si oui, comment ? Merci à tous et à toutes.
_________________
Les socialistes, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît..
Un éléphant (républicain…) ça Trump énormément (celle-là, j'en suis très fier)
- ProvenceEnchanteur
Dissimulons l'état des choses ? Dans quel but?Shere Khan a écrit:Le problème, c'est que les fautes d'orthographe, et des graves, ça devient monnaie courante dans les bulletins. Oui, le corps enseignant y perd en crédibilité.
Certes. On peut aussi laisser les fautes en l'état.Signaler aux collègues de se corriger ? C'est chronophage.
C'est le problème des logiciels actuels qui donnent un pouvoir qui n'existait pas auparavant.J'ai la main et je le fais.
Tous les PP ne sont pas professeurs de lettres.Je suis professeur de Lettres depuis des années, avec tous les avantages que cela donne, j'en sais évidemment beaucoup plus que lorsque j'ai commencé à enseigner, et je sais que je ne me trompe pas quand je corrige les erreurs des autres.
Le CDE de mon collège étant en délicatesse avec l’orthographe, il vaut mieux qu'il ne supervise rien...Du reste, le chef d'établissement veille à ce que le PP se transforme en correcteur d'orthographe pour les autres, et supervise de toute façon.
Qu'est-ce que cela changerait?Imaginez qu'ils l'envoient à l'I.P.R. ?
- ProvenceEnchanteur
Tu cliques sur le stylo, en haut à droite.Shere Khan a écrit:A propos de faute de frappe, comment fait-on pour se corriger si on s'en aperçoit après relecture ? Lorsque je veux revenir sur une maladresse, ça me publie un deuxième message, sans effacer le doublon, et si je sais compter, ça en fait deux (je sais compter jusqu'à dix... ). On peut envoyer un message à la corbeille ? Et si oui, comment ? Merci à tous et à toutes.
- RendashBon génie
Shere Khan a écrit:Du reste, le chef d'établissement veille à ce que le PP se transforme en correcteur d'orthographe pour les autres, et supervise de toute façon.
Comment ça, il "veille à ce que le PP se transforme en correcteur" ? Que le chef corrige les fautes, ça le regarde, c'est lui qui signe le bulletin (et encore, il devrait se contenter de les signaler, lui aussi. Parce que l'orthographe, ce n'est pas le dada de certains CDE.). Mais que le PP le fasse parce que ChefChef le demande, ça frise le ridicule. Et ça entre en plein dans le caporalisme, soit dit en passant.
Shere Khan a écrit: Je suis professeur de Lettres depuis des années, avec tous les avantages que cela donne, j'en sais évidemment beaucoup plus que lorsque j'ai commencé à enseigner, et je sais que je ne me trompe pas quand je corrige les erreurs des autres.
Voire. Si le fait d'enseigner les lettres suffisait à garantir contre toutes les erreurs, ça se saurait. Le sagouin qui a corrigé mal à propos une de mes appréciations prétendait enseigner les lettres, lui aussi. Je crois qu'il ne s'y amusera plus. :lol:
Et quid des PP qui n'enseignent pas les lettres, alors ?
Shere Khan a écrit:Imaginez qu'ils l'envoient à l'I.P.R. ?
Et après ? Sans compter que certains IPR eux-mêmes ne se gênent pas pour envoyer des mails professionnels truffés de fautes.
Et l'institution a déjà perdu sa crédibilité en recrutant des demi-illettrés ; il serait peut-être temps de cesser de vouloir coller la poussière sous le tapis.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- frimoussette77Guide spirituel
Oui, il n'y a qu'à lire les messages et les commentaires envoyés par le professeur de français de mon fils. :triste4:Shere Khan a écrit: Je suis professeur de Lettres depuis des années, avec tous les avantages que cela donne, j'en sais évidemment beaucoup plus que lorsque j'ai commencé à enseigner, et je sais que je ne me trompe pas quand je corrige les erreurs des autres.
Voire. Si le fait d'enseigner les lettres suffisait à garantir contre toutes les erreurs, ça se saurait. Le sagouin qui a corrigé mal à propos une de mes appréciations prétendait enseigner les lettres, lui aussi. Je crois qu'il ne s'y amusera plus. :lol:
Et quid des PP qui n'enseignent pas les lettres, alors ?
- MaellerpÉrudit
Depuis deux ans nous n'avons plus la main sur les appréciations des collègues. Avant je corrigeais coquilles et/ou fautes en le signalant gentiment aux concernés. Maintenant j'avoue que cela m'arrange: j'envoie un mail aux personnes concernées en leur demandant de se relire. Et s'ils ne ne font pas eh bien tant pis pour eux, ce n'est plus mon problème.
- Melyne5Fidèle du forum
Shere Khan a écrit:Le problème, c'est que les fautes d'orthographe, et des graves, ça devient monnaie courante dans les bulletins
Les fautes d'orthographe, il y a longtemps que c'est monnaie courante chez-nous. Quand j''etais encore PP , avant la réforme, et qu'il n'y en avait que 3 ou 4 max , je les signalais aux collègues; aujourd'hui je ne le ferais plus d'autant que deviennent de plus en plus courantes les fautes de syntaxe : usage erroné des prépositions, "malgré que", temps incorrect, oubli de mots...comme si on ne se relisait pas... comme nos élèves en fait!
Ne serais-tu pas gêné de modifier une phrase syntaxiquement incorrecte et inintelligible au risque d'en modifier le sens ?Shere Khan a écrit:Je suis professeur de Lettres depuis des années, avec tous les avantages que cela donne, j'en sais évidemment beaucoup plus que lorsque j'ai commencé à enseigner, et je sais que je ne me trompe pas quand je corrige les erreurs des autres.
Et que dire des power point présentés aux parents à diverses occasions (orientation, projets, voyages...), validés par cdes et truffés de fautes ?
- CeladonDemi-dieu
Se relire c'est bien, se corriger c'est mieux et ce n'est pas toujours le cas même après relecture...Maellerp a écrit:Depuis deux ans nous n'avons plus la main sur les appréciations des collègues. Avant je corrigeais coquilles et/ou fautes en le signalant gentiment aux concernés. Maintenant j'avoue que cela m'arrange: j'envoie un mail aux personnes concernées en leur demandant de se relire. Et s'ils ne ne font pas eh bien tant pis pour eux, ce n'est plus mon problème.
- ProtonExpert
Il faudrait pourtant bien une formation en orthographe dans la validation du CAPES, au lieu des débilités "pédagogiques" qu'il faut mettre en oeuvre pour satisfaire l'institution.
De même que le vocabulaire à employer pour s'adresser à un élève mériterait bien d'être l'objet d'un cours dans les ex-IUFM ...
J'ai une collègue qui écrit des "LOL" ou des "WTF" dans les copies par exemple. Trouvez-vous cela normal ? Oh je suis sûr qu'il y aura bien quelqu'un pour dire que c'est un moyen de se mettre au niveau de l'apprenant pour faire passer un message.
Désolé mais il y a un moment où il faut arrêter d'avaler des couleuvres et voir la réalité.
De même que le vocabulaire à employer pour s'adresser à un élève mériterait bien d'être l'objet d'un cours dans les ex-IUFM ...
J'ai une collègue qui écrit des "LOL" ou des "WTF" dans les copies par exemple. Trouvez-vous cela normal ? Oh je suis sûr qu'il y aura bien quelqu'un pour dire que c'est un moyen de se mettre au niveau de l'apprenant pour faire passer un message.
Désolé mais il y a un moment où il faut arrêter d'avaler des couleuvres et voir la réalité.
- HocamSage
En ce qui me concerne, je ne modifie pas les termes (sauf un prénom erroné...) ou la syntaxe d'une appréciation, aussi maladroite soit-elle. Nous parlons encore une fois de corriger les fautes de surface, les coquilles évidentes et les fautes d'orthographe proprement dites (qui ne modifient pas la prononciation). Je ne touche pas aux « élève peu participative », « résultats en progression » ou « motricité à accentuer », même si je trouve ces formulations regrettables. Je me contente de changements cosmétiques. Un peu comme un serveur qui, sans modifier le plat dans sa composition, essuierait une goutte de sauce sur le rebord de l'assiette laissée par inadvertance par le cuisinier avant de l'apporter au client. Au premier trimestre, dans une classe de mon collège, il y avait un « Sellant » à la place du prénom « Selman » sur un bulletin (ne me demandez pas pourquoi Sellant) : je trouve très gênant que le professeur concerné n'ait pas corrigé de lui-même ou que le PP ou le CDE n'ait pas envoyé de message pour l'inviter gentiment à le faire — bien plus gênant que si le PP avait corrigé directement, ce que personne n'aurait sans doute remarqué au passage... De mon côté, j'ai corrigé « Bilel » en « Adam » chez une collègue qui a mis ses appréciations la veille du conseil, et tout le monde s'en porte mieux.
Qu'un CDE se permette de changer la formulation, avec ou sans message au professeur concerné, est une tout autre histoire, comme l'écrivait egomet précédemment.
Qu'un CDE se permette de changer la formulation, avec ou sans message au professeur concerné, est une tout autre histoire, comme l'écrivait egomet précédemment.
- KirthNiveau 9
Je corrige lorsque j'en trouve, ce qui est assez rare dans mon établissement, mais surtout lorsque je suis sûr de moi. Ce sont souvent des étourderies et non de réelles erreurs.
Cependant, j'en profite pour vous demander conseil (particulièrement aux collègues de Lettres mais pas seulement), ma cheffe m'a fait la morale en conseil puisque j'ai voulu insérer une espace avant un point d'exclamation. Elle m'a expliqué qu'il n'y en avait pas, et qu'en tant que relectrice, autrefois, dans une maison d'édition célèbre, elle était bien au courant. Je n'ai pas insisté.
Cependant, j'en profite pour vous demander conseil (particulièrement aux collègues de Lettres mais pas seulement), ma cheffe m'a fait la morale en conseil puisque j'ai voulu insérer une espace avant un point d'exclamation. Elle m'a expliqué qu'il n'y en avait pas, et qu'en tant que relectrice, autrefois, dans une maison d'édition célèbre, elle était bien au courant. Je n'ai pas insisté.
- Thalia de GMédiateur
Cet autrefois est bien lointain. Je confirme, il faut une espace http://j.poitou.free.fr/pro/html/typ/resume.htmlKirth a écrit:Je corrige lorsque j'en trouve, ce qui est assez rare dans mon établissement, mais surtout lorsque je suis sûr de moi. Ce sont souvent des étourderies et non de réelles erreurs.
Cependant, j'en profite pour vous demander conseil (particulièrement aux collègues de Lettres mais pas seulement), ma cheffe m'a fait la morale en conseil puisque j'ai voulu insérer une espace avant un point d'exclamation. Elle m'a expliqué qu'il n'y en avait pas, et qu'en tant que relectrice, autrefois, dans une maison d'édition célèbre, elle était bien au courant. Je n'ai pas insisté.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- HocamSage
Espace insécable avant tous les signes de ponctuation double, c'est un classique des règles de l'Imprimerie nationale... Peut-être voulait-elle dire que ce n'est pas l'espace habituelle qu'on obtient avec la barre du clavier, mais c'est de toute façon hors de propos en plein conseil de classe.Kirth a écrit:
Cependant, j'en profite pour vous demander conseil (particulièrement aux collègues de Lettres mais pas seulement), ma cheffe m'a fait la morale en conseil puisque j'ai voulu insérer une espace avant un point d'exclamation. Elle m'a expliqué qu'il n'y en avait pas, et qu'en tant que relectrice, autrefois, dans une maison d'édition célèbre, elle était bien au courant. Je n'ai pas insisté.
- LaverdureEmpereur
Pour cette histoire d'espace, je me suis aperçu que, sur Word notamment, quand j'écris en anglais, le logiciel accepte l'absence d'espace avant mais pas quand j'écris en français. Il n'y a donc qu'un espace après en anglais et un avant/un après en français ?
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- KirthNiveau 9
Laverdure a écrit:Pour cette histoire d'espace, je me suis aperçu que, sur Word notamment, quand j'écris en anglais, le logiciel accepte l'absence d'espace avant mais pas quand j'écris en français. Il n'y a donc qu'un espace après en anglais et un avant/un après en français ?
Oui, c'est bien ce que j'avais en tête également !
- DanskaProphète
Et ça me perturbe toujours beaucoup quand je lis un bouquin en anglais
- TardisNiveau 9
En tant qu'anglophone je risque de faire des fautes de genre aussi bien que d'orthographe. En réalité je fais très peu de fautes parce que : 1. Je remplis les bulletins longtemps en avance pendant mes heures de trou et je les relis/modifies plusieurs fois : 2. Il y a un 'spellcheck' sur Pronote : et 3. J'écris plus ou moins la même chose pour la plupart des élèves.
J'ai sûrement fais une faute ici !!
J'ai sûrement fais une faute ici !!
- Shere KhanNiveau 10
Provence a écrit:Dissimulons l'état des choses ? Dans quel but?Shere Khan a écrit:Le problème, c'est que les fautes d'orthographe, et des graves, ça devient monnaie courante dans les bulletins. Oui, le corps enseignant y perd en crédibilité.
Dans celui que j'ai indiqué plus haut ?
Certes. On peut aussi laisser les fautes en l'état.Signaler aux collègues de se corriger ? C'est chronophage.
Désolé, je préfère être sympa.
C'est le problème des logiciels actuels qui donnent un pouvoir qui n'existait pas auparavant.J'ai la main et je le fais.
Tous les PP ne sont pas professeurs de lettres.Je suis professeur de Lettres depuis des années, avec tous les avantages que cela donne, j'en sais évidemment beaucoup plus que lorsque j'ai commencé à enseigner, et je sais que je ne me trompe pas quand je corrige les erreurs des autres.
Mais moi, je le suis, alors je le fais.
Le CDE de mon collège étant en délicatesse avec l’orthographe, il vaut mieux qu'il ne supervise rien...Du reste, le chef d'établissement veille à ce que le PP se transforme en correcteur d'orthographe pour les autres, et supervise de toute façon.
Le mien, non.
Qu'est-ce que cela changerait?Imaginez qu'ils l'envoient à l'I.P.R. ?
Une possibilité supplémentaire d'enquiquiner le collègue. Les I.P.R font assez régner la terreur, et se défendre, c'est le pot de terre contre le pot de fer.
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Les socialistes, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît..
Un éléphant (républicain…) ça Trump énormément (celle-là, j'en suis très fier)
- cléliaFidèle du forum
Shere Khan a écrit: Les I.P.R font assez régner la terreur.
Euh... non ! A part quand on est stagiaire, inutile de trembler devant les IPR. Et je trouve important de rappeler aux collègues (surtout jeunes) que ces gens n'ont pas ce pouvoir- là !
_________________
Il voyagea.
Il connut la mélancolie des paquebots, les froids réveils sous la tente, l’étourdissement des paysages et des ruines, l’amertume des sympathies interrompues.
Il revint.
Il fréquenta le monde, et il eut d’autres amours, encore.
- DhaiphiGrand sage
clélia a écrit: ces gens n'ont pas ce pouvoir- là !
D'autant plus qu'ils ne sont pas votre supérieur hiérarchique, si j'ai bien suivi.
_________________
De toutes les écoles que j’ai fréquentées, c’est l’école buissonnière qui m’a paru la meilleure.
[Anatole France]
J'aime les regretteurs d'hier qui voudraient changer le sens des rivières et retrouver dans la lumière la beauté d'Ava Gardner.
[Alain Souchon]
- ProvenceEnchanteur
clélia a écrit:Shere Khan a écrit: Les I.P.R font assez régner la terreur.
Euh... non ! A part quand on est stagiaire, inutile de trembler devant les IPR. Et je trouve important de rappeler aux collègues (surtout jeunes) que ces gens n'ont pas ce pouvoir- là !
Tout à fait.
- Philomène87Grand sage
Provence a écrit:clélia a écrit:Shere Khan a écrit: Les I.P.R font assez régner la terreur.
Euh... non ! A part quand on est stagiaire, inutile de trembler devant les IPR. Et je trouve important de rappeler aux collègues (surtout jeunes) que ces gens n'ont pas ce pouvoir- là !
Tout à fait.
Et même si... Après tout, que les collègues mauvais en orthographe assument leur ignorance.
Le véritable scandale, c'est de confier un métier pareil à des gens qui font des fautes d'orthographe et qui n'ont pas la capacité de jugement nécessaire pour se dire qu'il serait peut-être important de se relire après avoir écrit sur un document comme le bulletin. Même si pour certains c'est plus qu'un problème de relecture.
J'ai deux collègues qui font systématiquement des fautes. D'orthographe et d'étourderie. Quand je peux corriger, je le fais, parce que, même si c'est leur problème a priori, il est vrai que des parents déjà un peu frustrés contre l'école pourraient s'en servir pour faire des généralités. Mais parfois je ne peux pas (ou je ne trouve plus où cliquer), alors je laisse et tant pis.
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