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- BalthazaardVénérable
Delia a écrit:... un nouveau monde rigoureusement semblable à l'ancien... Le remède est connu :
Devant toi, misère sauvage,
Devant toi, pesant esclavage,
L’insurgé se dresse
Le fusil chargé.
On est trop politiquement corrects pour ça, on condamnerait celui qui tient le fusil! Rien qu'à voir les commentaires sur les gilets jaunes....
- gauvain31Empereur
C'était du 1000ème degré Balthazaard . Mais j'avoue que j'aimerais parfois sonder l'âme d'un IPR : qu'est-ce qu'il pense réellement de son métier? D'ailleurs, pense-t-il ? Quelle a été sa réelle motivation pour faire ce job ?
- BalthazaardVénérable
gauvain31 a écrit:C'était du 1000ème degré Balthazaard . Mais j'avoue que j'aimerais parfois sonder l'âme d'un IPR : qu'est-ce qu'il pense réellement de son métier? D'ailleurs, pense-t-il ? Quelle a été sa réelle motivation pour faire ce job ?
Rassure toi, je l'ai pris plutôt pour de l'humour un peu désespéré. Je t'avoue que le coup de l'IPR m'a tenté à une époque, il y a 20 ans, en pensant que tout compte fait j'arriverais bien à avaler et faire avaler quelques couleuvres, mais là (et je redeviens sérieux) je n'aurais jamais pensé à ce qu'il adviendrait aujourd’hui, ce ne sont plus des couleuvres mais des pythons. Je crois que si j'avais fait partie des (un) happy few de l'époque, je serais encore plus aigri et désespéré qu'aujourd'hui. Je n'arrive pas à concevoir le niveau de veulerie qu'il faut pour sortir certains discours; le carriérisme, la vanité, le désir de puissance..? même cela, pour moi, n'est pas suffisant pour fournir une explication.
- gauvain31Empereur
Je suis entièrement d'accord avec toi ; j'ai fait le même constat que toi; vouloir faire le métier d'IPR ou même de CDE il y a 20 ans pouvait se concevoir (envie de gérer une équipe , envie de faire bouger les lignes et d'améliorer le système à son échelle pour les plus intègres). Mais en 2019 (et plus encore avec le PPCR) quelles motivations réelles peuvent pousser des personnes à embrasser la carrière de CDE ou d'IPR ? Franchement je ne vois plus un quelconque avantage. Le salaire ? Je ne pense pas :lol: Le pouvoir? Il n'y en a plus . Ma proviseure adjointe a même avoué à ma collègue en aparté de regretter d'avoir choisi ce métier. Et c'est une femme qui a toute sa tête et qui est trèès compétente en plus d'avoir de qualités humaines.
Humainement, je ne conçois même pas que ces deux métiers d'encadrement puisse encore s'envisager pour des gens qui ont été enseignants. Le conflit de valeur entre l'idéal républicain, l'intérêt des élèves et la façon dont est traité l'EN par les technocrates devient un gouffre.
Humainement, je ne conçois même pas que ces deux métiers d'encadrement puisse encore s'envisager pour des gens qui ont été enseignants. Le conflit de valeur entre l'idéal républicain, l'intérêt des élèves et la façon dont est traité l'EN par les technocrates devient un gouffre.
- Pourquoi 3,14159Expert
Le mien : ne plus être en présence d'élèves, le fric ( ) et "le prestige" de la fonction lors des repas de famille.gauvain31 a écrit:C'était du 1000ème degré Balthazaard . Mais j'avoue que j'aimerais parfois sonder l'âme d'un IPR : qu'est-ce qu'il pense réellement de son métier ? D'ailleurs, pense-t-il ? Quelle a été sa réelle motivation pour faire ce job ?
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"Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité. " (Albert Einstein).
- LefterisEsprit sacré
En ce moment, leur préoccupation est d'obtenir les échelles lettres C et D. Eux peuvent, vu leur utilité, revendiquer une juste compensation de leur labeur. Pour la populace, qui fait silence lors de leurs interventions, c'est déplacé et mesquin de penser à ses avancements et émoluments. L' UNSA des IEN fustige même les enseignants du primaire qui bloquent les évaluations.gauvain31 a écrit:C'était du 1000ème degré Balthazaard . Mais j'avoue que j'aimerais parfois sonder l'âme d'un IPR : qu'est-ce qu'il pense réellement de son métier? D'ailleurs, pense-t-il ? Quelle a été sa réelle motivation pour faire ce job ?
Le monde managérial, c'est ça : on écrase la plus grande partie des salariés. Parmi ces salariés, on en promeut quelques uns garde-chiourmes sur des critères de "choix" ( sans rien de plus que les autres, sur pseudo-concours ou dossiers de conformité et de capacité de soumission. Au cas où un rebelle apparaîtrait, on verrouille par un statut imposant la soumission totale) et on les favorise, quel que soit le régime. L'idéologie est celle du privé, celle du "chef" , où les super-cadres les mieux payés sont ceux qui ont réduit les coûts et mis au pas les troupes.
Et comme ça, tout passe avec l'aide de quelques avantages. Les IPR ont trouvé très bien la réforme NVB comme ils trouvent très bien la réforme Blanquer. Les CDE ne défendent pas plus les personnels contre la réforme du lycée qu'ils ne l'ont fait contre la réforme du collège.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- MathadorEmpereur
gauvain31 a écrit:Ilona a écrit:Je crois que l'Educnat va regretter la mise en place de la rupture conventionnelle, elle va perdre des gens indispensables à son fonctionnement.
J'attends avec impatience le premier bilan catastrophé qui sera fait de cette réforme dans un ou deux ans
Fermeture de la 2nde professionnelle; pour faire fonctionner le LEP avec ceux qui restent.... Ne restera plus que la 1ère et la Terminale pro... et après on va obliger ,avec une dégradation du statut, les professeurs du lycée général à aller prêter main forte aux collègues du LEP.....
C'est déjà possible.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- LefterisEsprit sacré
Trop bien... Je comprends ! Ils ont massacré ma discipline au collège et au lycée pour que je puisse l’enseigner au LP ! Le discours permanent sur les "inégalités", la "mobilité" des fonctionnaires, je le comprends, tout s'éclaire. Dire qu'on les accusait bêtement d'être des réseauteurs carriéristes au service de la société marchande...Mathador a écrit:gauvain31 a écrit:Ilona a écrit:Je crois que l'Educnat va regretter la mise en place de la rupture conventionnelle, elle va perdre des gens indispensables à son fonctionnement.
J'attends avec impatience le premier bilan catastrophé qui sera fait de cette réforme dans un ou deux ans
Fermeture de la 2nde professionnelle; pour faire fonctionner le LEP avec ceux qui restent.... Ne restera plus que la 1ère et la Terminale pro... et après on va obliger ,avec une dégradation du statut, les professeurs du lycée général à aller prêter main forte aux collègues du LEP.....
C'est déjà possible.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- gauvain31Empereur
Mathador a écrit:gauvain31 a écrit:Ilona a écrit:Je crois que l'Educnat va regretter la mise en place de la rupture conventionnelle, elle va perdre des gens indispensables à son fonctionnement.
J'attends avec impatience le premier bilan catastrophé qui sera fait de cette réforme dans un ou deux ans
Fermeture de la 2nde professionnelle; pour faire fonctionner le LEP avec ceux qui restent.... Ne restera plus que la 1ère et la Terminale pro... et après on va obliger ,avec une dégradation du statut, les professeurs du lycée général à aller prêter main forte aux collègues du LEP.....
C'est déjà possible.
Je le sais, que c'est possible... mais pas encore obligatoire ^^
- JacqGuide spirituel
gauvain31 a écrit:Ilona a écrit:Je crois que l'Educnat va regretter la mise en place de la rupture conventionnelle, elle va perdre des gens indispensables à son fonctionnement.
J'attends avec impatience le premier bilan catastrophé qui sera fait de cette réforme dans un ou deux ans
Fermeture de la 2nde professionnelle; pour faire fonctionner le LEP avec ceux qui restent.... Ne restera plus que la 1ère et la Terminale pro... et après on va obliger ,avec une dégradation du statut, les professeurs du lycée général à aller prêter main forte aux collègues du LEP.....
Puis transformation des LEP en GCA "grand centres d'apprentissage" . Avec réduction des heures d'enseignement général (et professionnel ). Tiens je devrais convoiter un poste au MEN moi , ça me ferait une belle reconversion . Désormais les co******* de l'EN, je ne les subirai plus , je les ferai. Et ça, ça change toutAiôn a écrit:Gouvernement voyou, favorable à la suppression des règles justes parce qu'il s'en exonère personnellement, et qui te matraque si tu réponds !
Oui dans Le Monde d'aujourd'hui il y a un article très intéressant sur les conseillers de Macron, qui témoigne de l'individu qu'il est au quotidien et qui avouent que le président lui-même ne supporte pas les règlements, les contraintes....
Ce que tu décris est déjà en train de se mettre en place, mais comme les suppressions de postes se font essentiellement en LP (sauf cette année, avec seulement le déploiement de la seconde pro, le gros des fermetures arrivera après) ce seront plutôt les PLP qui seront envoyés vers d'autres établissements (primaires ou secondaires). La réduction des heures d'enseignement général est déjà en place (division par deux des heures de lettres histoire ou d'art appliqués en CAP, perte de 50% en lettres histoire en dix ans, un élève de LP aura moins d'heures en trois ans qu'en BEP deux ans il y a dix ans).
Balthazaard a écrit:gauvain31 a écrit:C'était du 1000ème degré Balthazaard . Mais j'avoue que j'aimerais parfois sonder l'âme d'un IPR : qu'est-ce qu'il pense réellement de son métier? D'ailleurs, pense-t-il ? Quelle a été sa réelle motivation pour faire ce job ?
Rassure toi, je l'ai pris plutôt pour de l'humour un peu désespéré. Je t'avoue que le coup de l'IPR m'a tenté à une époque, il y a 20 ans, en pensant que tout compte fait j'arriverai bien à avaler et faire avaler quelques couleuvres, mais là (et je redeviens sérieux) je n'aurais jamais pensé à ce qu'il adviendrait aujour'dhui, ce ne sont plus des couleuvres mais des pythons. Je crois que si j'avais fait partie des (un) happy few de l'époque, je serai encore plus aigri et désespéré qu'aujourd'hui. Je n'arrive pas à concevoir le niveau de veulerie qu'il faut pour sortir certains discours, le carriérisme, la vanité, le désir de puissance..? même cela, pour moi, n'est pas suffisant pour fournir une explication.
Dans l'esprit d'un IPR il n'y a rien, sauf son ego et ses objectifs de carrière personnelle. Pour leur petite carrière personnelle ces gens ont renoncé à tout honneur, toute honnêteté. Pour s'en sortir il faut se fondre dans le moule du stalinisme libéral de l'EN. Qu'ils méprisent la base, les enseignants, ok, c'est le cas pour beaucoup, mais le pire c'est qu'ils méprisent totalement les intérêts réels des élèves.
Dernièrement, après une réunion houleuse, une collègue (faisant fonction pour cet IPR) braillait en SdP que l'on devait respect à l'IPR et au ministre ! Je n'ai aucun respect pour cette personne. Je dois plus de respect aux élèves, aux agents d'entretien qui font que tous les jours je peux entrer dans une salle propre où mes élèves se sentent bien que pour ces grimpions infectes que sont les IPR qui font tout pour détruire mes conditions de travail et détruire les conditions de travail et d'enseignement des mes élèves. Nos objectifs divergent (et comme disait Desproges, "dix verges, c'est énorme") : notre objectif est que nos élèves réussissent et donc que nous puissions enseigner correctement ; leur objectif n'est plus celui de l'EN et "d'élever" les élèves mais de SE servir, de SE nourrir sur la bête mourante en servant leur carrière personnelle.
Non, il n'y a plus rien dans l'esprit d'un IPR sauf lui, lui et encore lui.
Ce sont nos têtes qui tombent pourtant...
- VicomteDeValmontGrand sage
Si certains ont envie de lire l'étude d'impact de cette loi: http://www.assemblee-nationale.fr/15/pdf/projets/pl1802-ei.pdf
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Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- JacqGuide spirituel
Lefteris a écrit:En ce moment, leur préoccupation est d'obtenir les échelles lettres C et D. Eux peuvent, vu leur utilité, revendiquer une juste compensation de leur labeur. [...]gauvain31 a écrit:C'était du 1000ème degré Balthazaard . Mais j'avoue que j'aimerais parfois sonder l'âme d'un IPR : qu'est-ce qu'il pense réellement de son métier? D'ailleurs, pense-t-il ? Quelle a été sa réelle motivation pour faire ce job ?
Leur labeur ? Lequel ? Les nôtres refusent d'inspecter ou de visiter les contractuels (ces sous agents ne méritent sans doute pas leur déplacement), ne viennent même plus pour les corrections du BEP ou du Bac (avant ils venaient pour les consignes communes, mais n'osent plus venir tellement ces consignes sont aberrantes, laissant des chargés de fonction se faire massacrer par la masse des enseignants en colère - la piétaille volontaire au front à la place de ces lâches gradés mais en retrait). Dernièrement inspecté, je demande après l'entretien à mon IPR s'il veut passer en SdP prendre un café ou manger à la cantine et là l'IPR me dit : "oh mais vous savez, cela fait bien longtemps que nous ne mangeons plus". Là j'ai versé une larme, j'ai cru être dans les Misérables. Mon pauvre IPR n'a plus le temps de manger ! Quelle abnégation. Durant la journée j'étais sa seule visite...
Par contre je regrette le départ à la retraite d'un de mes actuels IPR, une "personne humaine" encore. Le pire c'est lorsque je vois une collègue actuelle, qui va être titularisée cette année, et qui se rêve déjà CdE puis IPR.... Cela me fait peur. Ces gens-là n'ont plus rien d'humain.
- MathadorEmpereur
gauvain31 a écrit:Mathador a écrit:gauvain31 a écrit:Ilona a écrit:Je crois que l'Educnat va regretter la mise en place de la rupture conventionnelle, elle va perdre des gens indispensables à son fonctionnement.
J'attends avec impatience le premier bilan catastrophé qui sera fait de cette réforme dans un ou deux ans
Fermeture de la 2nde professionnelle; pour faire fonctionner le LEP avec ceux qui restent.... Ne restera plus que la 1ère et la Terminale pro... et après on va obliger ,avec une dégradation du statut, les professeurs du lycée général à aller prêter main forte aux collègues du LEP.....
C'est déjà possible.
Je le sais, que c'est possible... mais pas encore obligatoire ^^
Cela pourrait se faire sur simple décision du recteur. Le statut des agrégés dit par exemple:
donc pas de problème pour les envoyer en LP (après tout on ne se gêne pas pour les envoyer au collège…). Dans l'académie de Créteil des postes d'espagnol en LP sont inclus dans le mouvement intra des certifiés et agrégés d'espagnol.Ils assurent leur service dans les classes préparatoires aux grandes écoles, dans les classes de lycée, dans des établissements de formation et, exceptionnellement, dans les classes de collège.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- JacqGuide spirituel
Mathador a écrit:gauvain31 a écrit:Mathador a écrit:gauvain31 a écrit:
Fermeture de la 2nde professionnelle; pour faire fonctionner le LEP avec ceux qui restent.... Ne restera plus que la 1ère et la Terminale pro... et après on va obliger ,avec une dégradation du statut, les professeurs du lycée général à aller prêter main forte aux collègues du LEP.....
C'est déjà possible.
Je le sais, que c'est possible... mais pas encore obligatoire ^^
Cela pourrait se faire sur simple décision du recteur. Le statut des agrégés dit par exemple:
donc pas de problème pour les envoyer en LP (après tout on ne se gêne pas pour les envoyer au collège…). Dans l'académie de Créteil des postes d'espagnol en LP sont inclus dans le mouvement intra des certifiés et agrégés d'espagnol.Ils assurent leur service dans les classes préparatoires aux grandes écoles, dans les classes de lycée, dans des établissements de formation et, exceptionnellement, dans les classes de collège.
Mais vous rêvez, il n'y aura pas de place en LP, c'est l'inverse qui se passe, des plans de reconversions des PLP en direction du primaire et du secondaire "classique", pas l'inverse... Le cas des LV2 et un cas particulier.
- CathEnchanteur
Jacques a (toujours) raison.
- VicomteDeValmontGrand sage
- Prof75Niveau 5
Oui. Avec la suppression des GA, et la réforme, on va vite se retrouver en surnombre sur les établissements. Alors on en fait quoi des profs de lettres-histoire ? On leur demande de se déporter vers les collèges et écoles primaires.
ET encore...certains doivent passer un concours interne ! On prend n'importe quel contractuel sans expérience, mais un PLP, vous savez...ces sous-profs, il doivent prouver leurs compétences !
ET encore...certains doivent passer un concours interne ! On prend n'importe quel contractuel sans expérience, mais un PLP, vous savez...ces sous-profs, il doivent prouver leurs compétences !
- nonorenoNiveau 9
Amendements adoptés par le Sénat :
Droit de regard du CDE sur la nomination d'un enseignant (c'est la fin des mutations)... Adopté par le sénat, reste à voir si la majorité LREM va valider ces **** ; le règne des courtisans pour obtenir un poste :
http://www.senat.fr/amendements/2018-2019/571/Amdt_202.html
Et évidemment, l'annualisation du temps de travail, histoire de faire rattraper (de fait) les jours fériés :
http://www.senat.fr/amendements/2018-2019/571/Amdt_203.html
Source : http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2019/06/21062019Article636966997421257141.aspx
Droit de regard du CDE sur la nomination d'un enseignant (c'est la fin des mutations)... Adopté par le sénat, reste à voir si la majorité LREM va valider ces **** ; le règne des courtisans pour obtenir un poste :
http://www.senat.fr/amendements/2018-2019/571/Amdt_202.html
Et évidemment, l'annualisation du temps de travail, histoire de faire rattraper (de fait) les jours fériés :
http://www.senat.fr/amendements/2018-2019/571/Amdt_203.html
Source : http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2019/06/21062019Article636966997421257141.aspx
- HocamSage
On en parlait ici : PJL fonction publique
- nonorenoNiveau 9
Merci, je n'avais pas vu.
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- Le contenu de l’avant-projet de loi de réforme de la fonction publique
- [Café Péda] Fonction publique : Le projet de loi dynamite les droits des fonctionnaires
- Séance publique : Vincent Peillon défend son projet de loi de refondation de l'école devant la commission Education de l'Assemblée nationale.
- Les mises à jour du site "Vive la vie moderne !" de Luigi B.
- L'Express : ce que dit le projet de loi sur l'école - Lien vers le projet de loi en 49 pages !
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