- nitescenceÉrudit
Dans Le superbe Orénoque, Jules Verne utilise le mot : "espilla" dont je ne trouve la définition nulle part, pas plus dans le Grand Robert que dans le TLF.
"la rive le long de laquelle on pourrait se haler au moyen de l'espilla"
"lorsque la berge devenait impraticable, on portait l'espilla à une quarantaine de mètres"
"la rive le long de laquelle on pourrait se haler au moyen de l'espilla"
"lorsque la berge devenait impraticable, on portait l'espilla à une quarantaine de mètres"
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Mordre. Mordre d'abord. Mordre ensuite. Mordre en souriant et sourire en mordant. (avec l'aimable autorisation de Cripure, notre dieu à tous)
- Blan6ineÉrudit
Je n'ai pas de référence académique à te proposer mais je viens, par curiosité, de faire une recherche sur le mot avec Google ; dans le chapitre V du Superbe Orénoque, tel qu'il est présenté ici, une définition est donnée au sein de la narration :
La cordelle, c’est l’espilla, câble léger, fait de ces fibres très élastiques du palmier chiquichiqui, d’une longueur de cent pieds environ, et auquel sa légèreté permet de flotter à la surface de l’eau. On le porte sur la rive, on l’accroche à quelque tronc ou à quelque racine, et on se hale du bord.
- nitescenceÉrudit
Je suis un âne ! Merci.
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