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- Alegato.Niveau 7
Bonjour, alors que le mouvement des gilets jaunes s'étend, les organisations syndicales représentant les enseignants me semblent bien silencieuses. Pourquoi ne pas appeler à rejoindre un mouvement qui se bat pour améliorer le pourvoir d'achat ?
Il me semble que chez les enseignants les revendications ne manquent pas : gel du PPCR, gel du point d'indice depuis presque 10 ans, hausse de la CSG non compensée, salaires très inférieurs à la moyenne de l'OCDE ... pour ne prendre que les revendications sur la carrière et le salaire.
Comme les gilets jaunes, beaucoup d'enseignants ont du mal à joindre les 2 bouts avec leur salaire d'enseignant.
Il me semble que chez les enseignants les revendications ne manquent pas : gel du PPCR, gel du point d'indice depuis presque 10 ans, hausse de la CSG non compensée, salaires très inférieurs à la moyenne de l'OCDE ... pour ne prendre que les revendications sur la carrière et le salaire.
Comme les gilets jaunes, beaucoup d'enseignants ont du mal à joindre les 2 bouts avec leur salaire d'enseignant.
- TiberiusNiveau 8
Comment se fait-il que les enseignants ne rejoignent pas le mouvement (ou au moins le soutenir dans sa partie non violente je précise)?
Les revendications sur le pouvoir d'achat nous touchent fortement avec le gel du point d'indice depuis 2010.
Tous les corps de métiers (avocats, infirmières, pompiers, routiers etc..) réclament une amélioration légitime de leur pouvoir d'achat mais je n'ai pas entendu dans les médias les enseignants (ou les syndicats enseignants) faire de même.
A croire que nous sommes satisfaits de nos conditions de travail...
Les revendications sur le pouvoir d'achat nous touchent fortement avec le gel du point d'indice depuis 2010.
Tous les corps de métiers (avocats, infirmières, pompiers, routiers etc..) réclament une amélioration légitime de leur pouvoir d'achat mais je n'ai pas entendu dans les médias les enseignants (ou les syndicats enseignants) faire de même.
A croire que nous sommes satisfaits de nos conditions de travail...
- CeladonDemi-dieu
Pourtant Mediapart semble dire que la contestation gagne le monde éducatif... L'article est réservé aux abonnés mais le titre est explicite.
https://www.mediapart.fr/journal/france/051218/pourquoi-le-monde-educatif-entre-dans-la-contestation
https://www.mediapart.fr/journal/france/051218/pourquoi-le-monde-educatif-entre-dans-la-contestation
- User22526Niveau 3
Et le ministre nous rappelle à nos devoirs d'auxiliaires de police, ce qui témoigne d'une certaine fébrilité de sa part (mail reçu ce matin via la liste de diffusion de l'EN).
(...) C’est pourquoi, au regard du degré de violence qui émaille certaines manifestations, il est indispensable d’appeler à la sérénité, au calme et au respect des personnes et des biens. C’est une exigence démocratique au cœur de notre école.
Dans ces circonstances, j’en appelle à la responsabilité de chacun et à un discours de sérénité adressé aux élèves. (...)
- JacqGuide spirituel
La responsabilité de notre ministre c'est de saccager la formation professionnelle des élèves des classes populaires dont une partie des parents porte des G Jaunes.
Sa responsabilité serait d'assumer ses actes qui passent inaperçus en raison du silence coupable des médias.
Sa responsabilité serait d'assumer ses actes qui passent inaperçus en raison du silence coupable des médias.
- Pourquoi 3,14159Expert
Je dirais juste l'achever, car il a bien été commencé le saccage lors des deux derniers quinquennats.Jacq a écrit:La responsabilité de notre ministre c'est de saccager la formation professionnelle des élèves des classes populaires dont une partie des parents porte des G Jaunes.
Silencieux, les médias, à propos du ministre de l'EN !? Au contraire, ils sont dithyrambiques !Jacq a écrit:Sa responsabilité serait d'assumer ses actes qui passent inaperçus en raison du silence coupable des médias.
- User22526Niveau 3
Je n'arrive d'ailleurs pas à m'expliquer le degré de consensus qui règne autour de ce personnage, ancien bras droit de Luc Chatel à la tête de la DGSCO...
- klaus2Habitué du forum
J'avoue ne pas bien comprendre le souhait d'abandon du nouveau bac exprimé par les élèves : il sera plus simple, plus clair, moins lourd, moins centralisé, moins cher (je crois qu'il coûte aujourd'hui un milliard ?)— renonçant aux prétentions encyclopédiques des 7 ou 8 matières examinées, se rapprochant du bac allemand.
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Eine andere Sprache zu können, ist wie eine zweite Seele zu besitzen.“ – Karl der Große. "Parler une autre langue, c'est comme posséder une seconde âme" (Charlemagne)
- thomashawkNiveau 2
Appel à la responsabilité des enseignants... Il me semble qu'il y aurait des choses à dire sur la culpabilisation permanente des personnels enseignants, les abus de la hiérarchie (et cette culpabilisation n'est-elle pas un abus permanent ?) Tout un système à changer.
- CasparProphète
klaus2 a écrit:J'avoue ne pas bien comprendre le souhait d'abandon du nouveau bac exprimé par les élèves : il sera plus simple, plus clair, moins lourd, moins centralisé, moins cher (je crois qu'il coûte aujourd'hui un milliard ?)— renonçant aux prétentions encyclopédiques des 7 ou 8 matières examinées, se rapprochant du bac allemand.
Oui enfin l'abandon d'une des trois spécialités en première au mois d'avril (c'est la reconquête du mois de juin à l'envers), les épreuves de LV et autres au mois de janvier en terminale ( je pense que ça ne va pas être facile de les tenir jusqu'à la fin de l'année - sarcasm inside), les problèmes d'emploi du temps et de choix des spécialités qui vont se poser, la reproduction des filières par le choix desdites spécialités, les spécialités à l'intitulé ronflant qui vont faire appel à des profs de disciplines différentes (philo ou lettres, HG ou SES...), le choix de la LLCE qui se limitera au mieux à deux langues par établissement, le fait que nous allons passer beaucoup de temps en interne à organiser les épreuves de contrôle continu et à les corriger. Financièrement nous allons y perdre aussi: plus de rémunération pour les oraux ou la correction des copies...bref, il y a quand même pas mal de choses à redire sur cette réforme
- Pourquoi 3,14159Expert
Mais nous sommes responsables, nous ! Tellement responsables que quand on cherche un coupable c'est toujours le professeur qui est désigné, jamais sa hiérarchie…thomashawk a écrit:Appel à la responsabilité des enseignants... Il me semble qu'il y aurait des choses à dire sur la culpabilisation permanente des personnels enseignants, les abus de la hiérarchie (et cette culpabilisation n'est-elle pas un abus permanent ?) Tout un système à changer.
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"Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité. " (Albert Einstein).
- User22526Niveau 3
Peu importe le nouveau ou l'ancien bac... De même qu'importe peu, au fond, la hausse de six centimes sur le diésel sous prétexte de transition écologique.
Dans l’Éducation comme ailleurs, c'est la structure-même du système, percluse sous l'effet de ses contradictions, qui tourne à vide pour se faire croire à elle-même qu'elle a encore prise sur le réel. Le bac, comme le gazoil, peut être (ou pas) l'étincelle qui mettra le feu aux poudres et fera trembler les clivages artificiels qui nous bloquent. Si ce n'est pas cela, ce sera autre chose.
Quant aux syndicats, co-gestionnaires de ce système, il ne faut pas compter sur eux pour remettre en question le fromage dont ils se gavent depuis des décennies.
Dans l’Éducation comme ailleurs, c'est la structure-même du système, percluse sous l'effet de ses contradictions, qui tourne à vide pour se faire croire à elle-même qu'elle a encore prise sur le réel. Le bac, comme le gazoil, peut être (ou pas) l'étincelle qui mettra le feu aux poudres et fera trembler les clivages artificiels qui nous bloquent. Si ce n'est pas cela, ce sera autre chose.
Quant aux syndicats, co-gestionnaires de ce système, il ne faut pas compter sur eux pour remettre en question le fromage dont ils se gavent depuis des décennies.
- MalagaModérateur
Message préventif de la modération : merci de bien vous en tenir au sujet de ce topic, c'est-à-dire les gilets jaunes et les enseignants. Si le topic devait partir dans des considérations politiques plus générales, nous nous verrions dans l'obligation de le fermer pour ne pas faire doublon avec l'autre topic sur les gilets jaunes. Merci.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- CasparProphète
Benoît Girard a écrit:Peu importe le nouveau ou l'ancien bac... De même qu'importe peu, au fond, la hausse de six centimes sur le diésel sous prétexte de transition écologique.
Dans l’Éducation comme ailleurs, c'est la structure-même du système, percluse sous l'effet de ses contradictions, qui tourne à vide pour se faire croire à elle-même qu'elle a encore prise sur le réel. Le bac, comme le gazoil, peut être (ou pas) l'étincelle qui mettra le feu aux poudres et fera trembler les clivages artificiels qui nous bloquent. Si ce n'est pas cela, ce sera autre chose.
Quant aux syndicats, co-gestionnaires de ce système, il ne faut pas compter sur eux pour remettre en question le fromage dont ils se gavent depuis des décennies.
Euh non, pas d'accord...Trop tard ou presque pour réagir de toute façon.
- CleroliDoyen
Plus simple ?klaus2 a écrit:J'avoue ne pas bien comprendre le souhait d'abandon du nouveau bac exprimé par les élèves : il sera plus simple, plus clair, moins lourd, moins centralisé, moins cher (je crois qu'il coûte aujourd'hui un milliard ?)— renonçant aux prétentions encyclopédiques des 7 ou 8 matières examinées, se rapprochant du bac allemand.
Juste un extrait pour te convaincre que la simplicité et la fin du bachotage ne sont pas pour demain :
La suite ici.Service public a écrit: Le contrôle continu
Le contrôle continu compte pour 40 % de la note finale (dont 10 % avec les bulletins scolaires) : il reposera sur des épreuves communes organisées au cours des années de première et de terminale qui porteront sur les disciplines étudiées par l'élève. Afin de garantir l'égalité entre les candidats et les établissements scolaires, « une banque nationale numérique de sujets » sera mise en place, les copies anonymisées seront corrigées par d'autres professeurs que ceux de l'élève et une harmonisation sera assurée.
Ajout : "À titre indicatif, ces épreuves communes pourront avoir lieu en janvier et avril de l'année de première, puis en décembre de l'année de terminale. L'organisation relèvera des établissements." (site du ministère). Génial, non ? On remplace le bac par plusieurs épreuves successives .... faut juste m'expliquer où est la simplicité
Moins cher, peut-être car je sens qu'on va nous demander de corriger ces copies pendant les périodes de vacances et sans indemnité (après tout le ministère aurait tort de se gêner face à une profession qui râle mais qui ne bouge pas).
- CleroliDoyen
Je ne désespère pas de mon côté.Caspar a écrit:Benoît Girard a écrit:Peu importe le nouveau ou l'ancien bac... De même qu'importe peu, au fond, la hausse de six centimes sur le diésel sous prétexte de transition écologique.
Dans l’Éducation comme ailleurs, c'est la structure-même du système, percluse sous l'effet de ses contradictions, qui tourne à vide pour se faire croire à elle-même qu'elle a encore prise sur le réel. Le bac, comme le gazoil, peut être (ou pas) l'étincelle qui mettra le feu aux poudres et fera trembler les clivages artificiels qui nous bloquent. Si ce n'est pas cela, ce sera autre chose.
Quant aux syndicats, co-gestionnaires de ce système, il ne faut pas compter sur eux pour remettre en question le fromage dont ils se gavent depuis des décennies.
Euh non, pas d'accord...Trop tard ou presque pour réagir de toute façon.
- thomashawkNiveau 2
Bon alors pour s'en tenir au sujet : les enseignants et les gilets jaunes. Il me semble que les revendications de fond portées par les gilets jaunes (pouvoir du peuple, pour le peuple, refus des représentants) rejoignent cette question de la hiérarchie bureaucratique et de la culpabilisation des enseignants (jamais soutenus, toujours en première ligne et dans un contexte de violence et d'insécurité larvée croissantes).
- gauvain31Empereur
Caspar a écrit:Benoît Girard a écrit:Peu importe le nouveau ou l'ancien bac... De même qu'importe peu, au fond, la hausse de six centimes sur le diésel sous prétexte de transition écologique.
Dans l’Éducation comme ailleurs, c'est la structure-même du système, percluse sous l'effet de ses contradictions, qui tourne à vide pour se faire croire à elle-même qu'elle a encore prise sur le réel. Le bac, comme le gazoil, peut être (ou pas) l'étincelle qui mettra le feu aux poudres et fera trembler les clivages artificiels qui nous bloquent. Si ce n'est pas cela, ce sera autre chose.
Quant aux syndicats, co-gestionnaires de ce système, il ne faut pas compter sur eux pour remettre en question le fromage dont ils se gavent depuis des décennies.
Euh non, pas d'accord...Trop tard ou presque pour réagir de toute façon.
Je ne sais pas Caspar s'il est trop tard, tout va dépendre des revendications des élèves qui bloquent les lycées aujourd'hui. Car nous, enseignants, on ne nous écoute plus. Le problème , si je prends le cas de Toulouse et de ce que j'en tends de la part des élèves, est que les revendications sont parfois flous (c'est le cas de mon lycée) tandis que dans d'autres lycées, plus organisés les revendications sont plus précises. Revendiquer la suppression du contrôle continu de façon unanime et claire pourrait faire flancher Blanquer par exemple en scandant par exemple dans les manifs "non au bac local". La plupart des élèves (et leur parents) n'ont pas tous pris connaissance des projets du bac , car il y a en fait 3 réformes d'un coup : la réforme des programmes, la réforme du baccalauréat (avec intégration du contrôle continu) et la réforme de l’organisation du cursus des lycéens. Quand "l'ennemi" est protéiforme, il est difficile de le désigner , en encore plus par de jeunes esprits pas encore assez informés.
Donc, faut-il une convergence avec les gilets jaunes? Question très difficile: s'y joindre se serait amplifier le mouvement , mais aussi se fondre dans une multitude d'autres revendications, faisant perdre la clarté du message que veulent faire passer les lycéens (et les enseignants) sur la réforme du bac. C'est à double tranchant
Seule certitude: Monsieur le ministre de l’Éducation doit commencer à s'inquiéter
- CleroliDoyen
Ces inquiétudes, je les ai entendues, exprimées par les parents délégués, dans chacun des conseils de 2de auxquels j'ai assistés. Parents et élèves commencent à comprendre que rien n'est organisé et qu'ils vont payer les pots cassés de décisions motivées par des raisons économiques.gauvain31 a écrit:[ La plupart des élèves (et leur parents) n'ont pas tous pris connaissance des projets du bac , car il y a en fait 3 réformes d'un coup : la réforme des programmes, la réforme du baccalauréat (avec intégration du contrôle continu) et la réforme de l’organisation du cursus des lycéens. Quand "l'ennemi" est protéiforme, il est difficile de le désigner , en encore plus par de jeunes esprits pas encore assez infirmé.
- nounoursNiveau 6
De toute manière, moins d'impôts et moins de taxes ce sont les revendications principales des gilets jaunes. Il est évident que ce sont les fonctionnaires et en particulier les professeurs qui paieront l'addition.
Dans ce contexte, que les professeurs s'agrègent au mouvement c'est juste creuser sa tombe plus rapidement.
Dans ce contexte, que les professeurs s'agrègent au mouvement c'est juste creuser sa tombe plus rapidement.
- CleroliDoyen
Moins d'impôts et de taxes ou plus de justice fiscale ? j'entends plutôt la deuxième demande.nounours a écrit:De toute manière, moins d'impôts et moins de taxes ce sont les revendications principales des gilets jaunes. Il est évident que ce sont les fonctionnaires et en particulier les professeurs qui paieront l'addition.
Dans ce contexte, que les professeurs s'agrègent au mouvement c'est juste creuser sa tombe plus rapidement.
- User22526Niveau 3
Le "moins d'impôts, moins de taxes" n'est que l'écume de la vague, le déclencheur de quelque chose de bien plus profond qui couve dans les entrailles de la société et qui transcende toutes nos déterminations personnelles.
- gauvain31Empereur
Benoît Girard a écrit:Le "moins d'impôts, moins de taxes" n'est que l'écume de la vague, le déclencheur de quelque chose de bien plus profond qui couve dans les entrailles de la société et qui transcende toutes nos déterminations personnelles.
Je suis entièrement d'accord: c'est la sensation de perdre sa dignité et son humanité à travers de choix politiques depuis des années qui ne nous considèrent plus comme des citoyens mais comme des packs "coûts/recettes" sans âme qu'il faut gérer pour honorer le budget de l'année en cours.
C'est cette déshumanisation qui rend violent: je vois ce mouvement des gilets jaunes comme le mouvement des derniers de cordées qui crient aux premiers de cordée qu'il ne faut pas lâcher la corde car ils n'ont pas envie de tomber dans le ravin. L'énergie du désespoir est quelque chose qu'il ne faut jamais prendre à la légère. Jamais.
- Pourquoi 3,14159Expert
Personnellement je suis partagé. Je comprends le ras le bol des GJ, je suis dans le même état d'esprit. Par contre le résultat de ce mouvement va se retourner forcement contre ce que je suis : je suis solvable, je suis fonctionnaire.
Donc l'après mouvement sera forcement douloureux pour ce que je suis. On en reparle plus tard…
Donc l'après mouvement sera forcement douloureux pour ce que je suis. On en reparle plus tard…
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"Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité. " (Albert Einstein).
- ElaïnaDevin
klaus2 a écrit:J'avoue ne pas bien comprendre le souhait d'abandon du nouveau bac exprimé par les élèves : il sera plus simple, plus clair, moins lourd, moins centralisé, moins cher (je crois qu'il coûte aujourd'hui un milliard ?)— renonçant aux prétentions encyclopédiques des 7 ou 8 matières examinées, se rapprochant du bac allemand.
C'est vrai que c'est quand même une honte de demander un savoir étendu à plusieurs domaines. Tout le monde sait bien que la culture ça sert à rien, limite ça nuit à la productivité.
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
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- Lettre ouverte des Gilets Jaunes
- Après les "gilets jaunes" et les "gyros bleus"... les "stylos rouges" !
- Après les "gilets jaunes" et les "gyros bleus"... les "stylos rouges" !
- Rythmes scolaires : les Gilets jaunes oseront-ils perturber les départs en vacances ?
- Rythmes scolaires : Manifestation nationale des gilets jaunes le 15 mars 2014.
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