- ernyaFidèle du forum
Bonjour à tous,
Je ne supporte plus le thème du voyage en poésie donc j'aimerais changer. Je pensais tenter un GT sur la poésie et l'héroïsme en classe de cinquième. Connaissez-vous des poèmes sur ce thème ?
Je pensais à "Après la bataille" de Hugo, peut-être aussi à une bonne traduction en vers de La Chanson de Roland (mais je la cherche encore). Bref, des poèmes plutôt épiques pour pouvoir travailler sur le registre épique (hyperboles, superlatifs etc). J
Auriez-vous des suggestions ?
Je ne supporte plus le thème du voyage en poésie donc j'aimerais changer. Je pensais tenter un GT sur la poésie et l'héroïsme en classe de cinquième. Connaissez-vous des poèmes sur ce thème ?
Je pensais à "Après la bataille" de Hugo, peut-être aussi à une bonne traduction en vers de La Chanson de Roland (mais je la cherche encore). Bref, des poèmes plutôt épiques pour pouvoir travailler sur le registre épique (hyperboles, superlatifs etc). J
Auriez-vous des suggestions ?
- Beckett80000Niveau 5
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- henrietteMédiateur
Quelques idées comme ça (difficile sans savoir exactement ce que tu entends montrer de l'héroïsme à travers ce GT) :
Chant funèbre en l'honneur de Du Guesclin, Eustache Deschamps
Un extrait de Symphonie héroïque, Albert Samain
Ou un extrait de L'expiation d'Hugo (peut-être la section V ?) : https://paroles2chansons.lemonde.fr/auteur-victor-hugo/poeme-l-expiation.html
Idée de texte à mettre en regard de La Chanson de Roland, cet extrait du Cid, acte IV, 3
Éventuellement autour d'un héros des Mille et Une Nuits (Sindbad), le poème Dans le verger... de Francis Jammes
Chant funèbre en l'honneur de Du Guesclin, Eustache Deschamps
- Spoiler:
- Epée d'honneur et arbre de vaillance,
Cœur de lion épris de hardiesse,
La fleur des preux et la gloire de France,
Victorieux et hardi combattant,
Sage en vos actes et bien entreprenant,
Souverain homme de guerre,
Vainqueur de gens et conquérant de terre,
Le plus vaillant qui jamais fût en vie,
Chacun pour vous doit de noir se vêtir
Pleurez, pleurez, fleur de chevalerie.
O Bretagne, pleure ton espérance,
Normandie, fais son enterrement,
Guyenne aussi et Auvergne avance-toi
Et Languedoc, recherche ses actions.
Picardie, Champagne, et Occident
Doivent pour pleurer aller chercher
Les Tragédiens, ou la nymphe Aréthuse
Qui fut convertie en eau par ses pleurs
Afin qu`à tous de sa mort le cœur se serre;
Pleurez, pleurez, fleur de chevalerie.
Hé! homme d'armes, gardez le souvenir
De votre père, dont vous étiez l'enfant;
Le bon Bertrand qui tant eut de puissance,
Qui vous aimait si amoureusement
Guesclin est mort ; priez dévotement
Qu'il puisse gagner le paradis;
Celui qui n'en fait deuil ni ne prie se trompe.
Car du monde est la lumière partie :
De tout honneur il était sauvegarde :
Pleurez, pleurez, fleur de chevalerie.
Un extrait de Symphonie héroïque, Albert Samain
- Spoiler:
- Nous sommes les Puissants - soldat, rhapsode ou mage,
Nous naissons pour l’orgueil de voir, dompteurs altiers,
Les siècles asservis se coucher à nos pieds ;
Et c’est nous qui forgeons, surhumains ouvriers,
Tour à tour, la vieille âme humaine à notre image.
Nous sommes les Puissants exécrés ou bénis,
Fronts nimbés d’auréole ou brûlés d’anathème.
Le sort nous a marqués pour un destin suprême,
Et graves nous allons, pleins du vertige blême
Qui trouble l’âme au bord des songes infinis.
La terre est découpée au tranchant de nos glaives.
Nous formulons le Verbe en des rythmes sacrés.
Enfants rêveurs, parmi des souffles inspirés,
Nous grandissons pour des essors démesurés,
Et l’Épopée Humaine est faite avec nos rêves.
Nous annonçons sur les sommets les temps nouveaux,
Chaque soleil jailli des clartés éternelles
Réfléchit sa première aurore en nos prunelles ;
Et l’Oiseau du Futur, en frémissant des ailes,
Couve ses oeufs sacrés au fond de nos cerveaux.
Sans faute, au jour marqué, nous traversons la terre.
Prophètes et césars, passants mystérieux,
Le monde s’agenouille aux éclairs de nos yeux ;
Et nous marchons, n’ayant d’autre ami sous les cieux
Que l’ombre qui nous suit, à jamais solitaire.
La coupe où le troupeau boit des félicités,
Nous l’avons rejetée, à l’aube, déjà vide.
Il faut d’autres nectars à notre soif splendide.
Les chars sont attelés... et le monde livide
Va frissonner devant nos chevaux emportés !
Toute la terre à nous ! ... Les pourpres militaires,
La gloire chevauchée entre les glaives nus,
La foi jaillie au coeur des peuples ingénus,
Les délirantes fleurs des soleils inconnus,
Et les grands bois du songe aux nerveuses panthères,
Toute la terre à nous ! Le vin, l’encens, le miel,
Les vaisseaux d’or vidés sur les tables croulantes,
Les sanglots inouïs des cordes ruisselantes...
Toute la terre à nous ! Ô nos lèvres brûlantes,
Qu’est-ce encor pour ceux-là qui boiraient tout un ciel ?
Nous sommes les coureurs d’aventures sublimes ;
Quand la fortune, un soir, nous tombe sous la main,
Nous la renversons, nue, au fossé du chemin ;
Et, calme en ses mépris du plat bétail humain,
Notre orgueil magnifique absout nos larges crimes.
Nous respirons la flamme, et vivons des combats.
Le fer, le feu, le sang pleuvant en rouges gouttes,
Rien n’arrête, un seul jour, nos âmes sur leurs routes.
Notre foi cuirassée insulte aux mauvais doutes ;
Et quand le but ardent flambe à nos yeux, là-bas,
Ivres, les poings noués aux crins de la Chimère,
Nous roulons des galops stridents et furibonds...
Et si, parfois, trop d’infini lasse nos bonds,
Alors, les reins cassés, un jour, nous retombons,
Et rien jamais n’est plus grand que notre misère !
LES GUERRIERS
Nous sommes les condors dont le monde est la proie.
Nous allons dans le vent, les ongles étirés,
Emportant des lambeaux d’empires déchirés,
Et la rougeur des grands assauts désespérés
Seule en nos sombres yeux allume un peu de joie.
Nos chevaux écumants soufflent de la terreur.
Nous avons le sauvage orgueil des capitaines ;
Et nous voulons, chargés de conquêtes lointaines,
Voir devant nous pressés des peuples par centaines,
Sur qui nous étendons un geste d’empereur.
LES ROIS
Nos robes vont traînant sur des fronts prosternés.
Au rythme lent des grands encensoirs qu’on balance
Sous des coupoles d’or nous rêvons en silence.
Des tigres allongés gardent notre indolence.
Tout tremble, et nous régnons, graves et couronnés.
Au fond de nos palais de jaspe et de porphyre
Nous avons des milliers d’esclaves à genoux,
Que nous faisons mourir d’un geste, sans courroux,
Pour plaire à des enfants dont les yeux nous sont doux,
Et qui se couchent, nus, avec un long sourire.
L’oeil de notre terreur est ouvert en tout lieu.
La hache des bourreaux s’use aux têtes coupées ;
Et sur les nations de vertige frappées,
Terribles, nous brillons ainsi que des épées
Qu’au fond des cieux cruels tiendrait la main d’un dieu !
LES APÔTRES
Nous proclamons aux vents du ciel la délivrance.
Quand veuve de ses dieux morts par sa trahison,
L’âme appelle aux barreaux de fer de sa prison,
On entend notre voix derrière l’horizon,
Et nous apparaissons grands comme l’Espérance.
La haine des tyrans s’acharne à nous frapper.
Nous parlons : sur nos pas grondent les multitudes,
Nous faisons ruisseler l’or des béatitudes ;
Et nous allons mourir au fond des solitudes,
Seuls avec les lions que nos yeux font ramper.
LES POÈTES
Nous allons, promenant nos songes par le monde,
Ivres de visions et ruisselants d’aveux.
Le vent de l’infini souffle dans nos cheveux.
Inspirés nous chantons ; et sous nos doigts nerveux
L’âme humaine s’éveille et résonne, profonde.
Notre Rêve immobile enfante l’Action.
C’est nous qui fiançons en rites grandioses
Le mystère du verbe au mystère des choses ;
Et sous nos fronts taillés pour les apothéoses
Germe, palpite et souffre une création.
Nous volons au delà des astres entassés
Baigner dans l’azur vierge une aile familière ;
Nous en redescendons, la flamme à la paupière ;
Et cette foule, où nous versons de la lumière,
Redevient de la nuit, quand nous sommes passés.
Penchés sur la douleur et sur l’amour, sans trêve,
Nous changeons les sanglots du monde en diamants.
Nos coeurs passionnés sont des trépieds fumants,
Et des siècles passés, vastes écroulements,
Rien ne reste que la splendeur de notre rêve.
*
**
Nous sommes les Puissants exécrés ou bénis.
Mais notre race antique est à présent lassée,
Et la terre est bien vieille, et vieille la pensée.
Les cieux trop bas ont fait l’âme rapetissée,
Et l’air manque aux aiglons étouffant dans leurs nids.
Le monde qui portait nos vastes destinées
Sombre, vaisseau perdu qu’affole un désarroi.
Tous les feux sont éteints au vieux port de la Foi.
Nul ne croit plus au ciel qui faisait croire en soi...
Ô vent de deuil sur les âmes déracinées !
On dirait qu’un grand mort dans l’ombre est étendu,
Autour duquel en choeur pleurent les agonies.
Le temps n’est plus de nos superbes tyrannies.
Les glaives sont rouillés : les légendes finies...
Et dans les bois déserts le cor sonne, éperdu !
Le cor sonne pour la suprême chevauchée
Des Chasseurs d’Idéal au galop fulgurant.
Ô solitude, en ton silence dévorant,
L’écho seul a hurlé l’appel désespérant
Sous la lune, dans les branches effarouchée ! ...
Voici venir le vol augural des corbeaux,
Des corbeaux dépeceurs sinistres des vieux mondes.
Tout l’avenir est noir de leurs ailes immondes...
La mer monte d’en bas avec des voix profondes,
Qui demain passera par-dessus nos tombeaux.
Et plus tard, sur la mer plate des âges calmes,
Seuls parfois, pris d’un mal étrange à définir,
Des enfants tout à coup pâliront de sentir
Leur grand coeur visité par un grand souvenir,
Et mourront du regret héroïque des palmes.
Ou un extrait de L'expiation d'Hugo (peut-être la section V ?) : https://paroles2chansons.lemonde.fr/auteur-victor-hugo/poeme-l-expiation.html
- Spoiler:
- V
Le nom grandit quand l’homme tombe ;
Jamais rien de tel n’avait lui.
Calme, il écoutait dans sa tombe
La terre qui parlait de lui.
La terre disait : « La victoire
A suivi cet homme en tous lieux.
Jamais tu n’as vu, sombre histoire,
Un passant plus prodigieux !
» Gloire au maître qui dort sous l’herbe !
Gloire à ce grand audacieux !
Nous l’avons vu gravir, superbe,
Les premiers échelons des cieux !
» Il envoyait, âme acharnée,
Prenant Moscou, prenant Madrid,
Lutter contre la destinée
Tous les rêves de son esprit.
» À chaque instant, rentrant en lice,
Cet homme aux gigantesques pas
Proposait quelque grand caprice
À Dieu, qui n’y consentait pas.
» Il n’était presque plus un homme.
Il disait, grave et rayonnant,
En regardant fixement Rome
C’est moi qui règne maintenant !
» Il voulait, héros et symbole,
Pontife et roi, phare et volcan,
Faire du Louvre un Capitole
Et de Saint-Cloud un Vatican.
» César, il eût dit à Pompée :
« Sois fier d’être mon lieutenant ! »
On voyait luire son épée
Au fond d’un nuage tonnant.
» Il voulait, dans les frénésies
De ses vastes ambitions,
Faire devant ses fantaisies
Agenouiller les nations,
» Ainsi qu’en une urne profonde,
Mêler races, langues, esprits,
Répandre Paris sur le monde,
Enfermer le monde en Paris !
» Comme Cyrus dans Babylone,
Il voulait sous sa large main
Ne faire du monde qu’un trône
Et qu’un peuple du genre humain,
» Et bâtir, malgré les huées,
Un tel empire sous son nom,
Que Jéhovah dans les nuées
Fût jaloux de Napoléon ! »
Idée de texte à mettre en regard de La Chanson de Roland, cet extrait du Cid, acte IV, 3
- Spoiler:
- Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt renfort
Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port,
Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,
Les plus épouvantés reprenaient leur courage!
J'en cache les deux tiers, aussitôt qu'arrivés,
Dans le fond des vaisseaux qui lors furent trouvés;
Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,
Brûlant d'impatience autour de moi demeure,
Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit,
Passe une bonne part d'une si belle nuit.
Par mon commandement la garde en fait de même,
Et se tenant cachée, aide à mon stratagème;
Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous
L'ordre qu'on me voit suivre et que je donne à tous.
Cette obscure clarté qui tombe des étoiles
Enfin avec le flux nous fait voir trente voiles;
L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort
Les Mores et la mer montent jusque au port.
On les laisse passer; tout leur paraît tranquille:
Point de soldats au port, point aux murs de la ville.
Notre profond silence abusant leurs esprits,
Ils n'osent plus douter de nous avoir surpris;
Ils abordent sans peur, ils ancrent, ils descendent,
Et courent se livrer aux mains qui les attendent.
Nous nous levons alors, et tous en même temps
Poussons jusque au ciel mille cris éclatants.
Les nôtres, à ces cris, de nos vaisseaux répondent;
Ils paraissent armés, les Mores se confondent,
L'épouvante les prend à demi descendus;
Avant que de combattre, ils s'estiment perdus
Éventuellement autour d'un héros des Mille et Une Nuits (Sindbad), le poème Dans le verger... de Francis Jammes
- Spoiler:
Dans le Verger où sont les arbres de lumière,
La pulpe des fruits lourds pleure ses larmes d’or,
Et l’immense Bagdad s’alanguit et s’endort
Sous le ciel étouffant qui bleuit la rivière.
Il est deux heures. Les palais silencieux
Ont des repas au fond des grandes salles froides
Et Sindbad le marin, sous les tentures roides,
Passe l’alcarazas d’un air sentencieux.
Mangeant l’agneau rôti, puis les pâtes d’amandes,
Tous laissent fuir la vie en écoutant pleuvoir
Les seaux d’eau qu’au seuil blanc jette un esclave noir.
Les passants curieux lui posent des demandes.
C’est Sindbad le marin qui donne un grand repas !
C’est Sindbad, l’avisé marin dont l’opulence
Est renommée et que l’on écoute en silence.
Sa galère était belle et s’en allait là-bas !
Il sent bon, le camphre et les rares arômes.
Sa tête est parfumée et son nez aquilin
Tombe railleusement sur sa barbe de lin :
Il a la connaissance et le savoir des hommes.
Il parle, et le soleil oblique sur Bagdad
Jette une braise immense où s’endorment les palmes,
Et les convives, tous judicieux et calmes,
Écoutent gravement ce que leur dit Sindbad.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- ernyaFidèle du forum
Merci beaucoup pour tes suggestions, Henriette ! Je pense que ça va bien m'aider
Pour le moment cette idée de séquence est très floue donc je ne saurais vraiment t'en dire beaucoup plus. J'aimerais la faire après un GT plus classique sur la figure du héros d'Achille à Superman en passant par les chevaliers. Tes textes vont pouvoir me donner du grain à moudre.
Pour le moment cette idée de séquence est très floue donc je ne saurais vraiment t'en dire beaucoup plus. J'aimerais la faire après un GT plus classique sur la figure du héros d'Achille à Superman en passant par les chevaliers. Tes textes vont pouvoir me donner du grain à moudre.
- sandGuide spirituel
Pour les héros : Heureux qui comme Ulysse, Joachin Du Bellay
- ernyaFidèle du forum
J'aimerais trouver des poèmes plus épiques, qui mettent davantage en valeur l'action d'un héros.sand a écrit:Pour les héros : Heureux qui comme Ulysse, Joachin Du Bellay
- SphinxProphète
Regarde peut-être chez Leconte de Lisle :
Poèmes barbares
Poèmes antiques
Poèmes barbares
Poèmes antiques
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- archebocEsprit éclairé
"Heureux qui comme Ulysse", peut-être pas, mais "Heureux ceux qui sont morts pour la terre charnelle", de Péguy.
Et naturellement, Victor Hugo. Aux suggestions précédentes, j'ajoute
- "Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie", célébrant les morts des trois glorieuses.
- Aymerillot, dans la légende des siècles.
Et naturellement, Victor Hugo. Aux suggestions précédentes, j'ajoute
- "Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie", célébrant les morts des trois glorieuses.
- Aymerillot, dans la légende des siècles.
- henrietteMédiateur
Oui, Aymerillot est en plus très intéressant en regard de la Chanson de Roland !
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