- User17095Érudit
Patience et raison a écrit:J'en connais deux qui changeront de poste en septembre, quoiqu'il en soit. Probablement pour être "recasés" au rectorat, d'ailleurs, hélas.
C'est probable mais le "hélas" me paraît déplacé.
De deux choses l'une :
- soit ils ont effectivement fait ça et ils seront probablement virés (faut pas croire, un perdir et un gestionnaire se dégagent beaucoup plus facilement qu'un enseignant)
- soit ils ne l'ont pas fait, mais ça va être très compliqué d'exercer, et une mission hors établissement c'est peut-être préférable
- Philomène87Grand sage
"Virés", tu veux dire, "révoqués", carrément ? Enfin, ça ne me paraît pas de trop s'ils ont vraiment commis cette agression, mais c'est tellement rare comme sanction dans la Fonction publique...
- User17095Érudit
Chaque année, il en part, pour des histoires de harcèlement sexuel, de sous-loc de logement de fonction, etc.
C'est plus courant que dans d'autre corps, parce que les protections sont moindres. Il y a peu de recours, et peu de défense quand les faits sont avérés - la solidarité professionnelle est très limitée quand ça touche à l'éthique.
Soit c'est la révocation, soit c'est la retraite un peu plus tôt que prévu...
C'est plus courant que dans d'autre corps, parce que les protections sont moindres. Il y a peu de recours, et peu de défense quand les faits sont avérés - la solidarité professionnelle est très limitée quand ça touche à l'éthique.
Soit c'est la révocation, soit c'est la retraite un peu plus tôt que prévu...
- Philomène87Grand sage
Merci pour ces précisions.
De toutes façons, là, ils risquent des choses au pénal aussi.
De toutes façons, là, ils risquent des choses au pénal aussi.
- HonchampDoyen
Dans la série "Histoire de chefs":
J'ai eu un proviseur qui a été rétrogradé pour "gestion de fait".
Visiblement, il avait fait des tripatouillages financiers dont son établissement d'avant (collège de Marseille), on n'a jamais su quoi précisément .
Il été nommé dans mon lycée d'alors, en région Centre.
Un jour, le proviseur adjoint est venu annoncer en salle des profs que le proviseur était mis à pied par décision conservatoire, et qu'il assurait l"intérim. Mais le rectorat n'avait donné aucune raison. Les pires horreurs ont couru en ville.
Son affaire marseillaise l'avait en fait rattrapé. Il a été rétrogradé principal-adjoint dans les Pyrénées Orientales.
J'ai connu aussi une principale rétrogradée principale-adjointe (mais dans un département convoité de la région), également pour des raisons de gestion financière.
Mon chef actuel a été convoqué au rectorat il y a 2 ans pour conflit avec la nouvelles gestionnaire, les 2 s'accusaient mutuellement de mauvaise gestion, ils en venaient presque aux mains, et il n'en menait pas large quand il nous a annoncé son entrevue au rectorat (évidemment, il cherchait notre éventuel appui).
Finalement, il est toujours là, il a retrouvé sa superbe, et même plus, et elle a été nommée...à l'inspection académique du département !
Bref, les voies de l'Ed.Nat sont parfois impénétrables !
J'ai eu un proviseur qui a été rétrogradé pour "gestion de fait".
Visiblement, il avait fait des tripatouillages financiers dont son établissement d'avant (collège de Marseille), on n'a jamais su quoi précisément .
Il été nommé dans mon lycée d'alors, en région Centre.
Un jour, le proviseur adjoint est venu annoncer en salle des profs que le proviseur était mis à pied par décision conservatoire, et qu'il assurait l"intérim. Mais le rectorat n'avait donné aucune raison. Les pires horreurs ont couru en ville.
Son affaire marseillaise l'avait en fait rattrapé. Il a été rétrogradé principal-adjoint dans les Pyrénées Orientales.
J'ai connu aussi une principale rétrogradée principale-adjointe (mais dans un département convoité de la région), également pour des raisons de gestion financière.
Mon chef actuel a été convoqué au rectorat il y a 2 ans pour conflit avec la nouvelles gestionnaire, les 2 s'accusaient mutuellement de mauvaise gestion, ils en venaient presque aux mains, et il n'en menait pas large quand il nous a annoncé son entrevue au rectorat (évidemment, il cherchait notre éventuel appui).
Finalement, il est toujours là, il a retrouvé sa superbe, et même plus, et elle a été nommée...à l'inspection académique du département !
Bref, les voies de l'Ed.Nat sont parfois impénétrables !
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- PseudoDemi-dieu
pogonophile a écrit:Chaque année, il en part, pour des histoires de harcèlement sexuel, de sous-loc de logement de fonction, etc.
C'est plus courant que dans d'autre corps, parce que les protections sont moindres. Il y a peu de recours, et peu de défense quand les faits sont avérés - la solidarité professionnelle est très limitée quand ça touche à l'éthique.
Soit c'est la révocation, soit c'est la retraite un peu plus tôt que prévu...
Il faut quand même y aller, parce que j'ai croisé quelques CDE assez rocambolesques, depuis l'alcoolique notoire au Don Juan quinquagénaire avouant à la télé avoir vécu quelques histoires avec des filles de l'age de ses élèves et utilisant les services du secrétariat pour envoyer ses poèmes d'amour par fax, et si certains ont écopé d'une affectation assez peu souhaitée, pour rester polie, je n'en connais pas qui se sont vu remercié.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- User17095Érudit
Pseudo a écrit:
Il faut quand même y aller, parce que j'ai croisé quelques CDE assez rocambolesques, depuis l'alcoolique notoire au Don Juan quinquagénaire avouant à la télé avoir vécu quelques histoires avec des filles de l'age de ses élèves et utilisant les services du secrétariat pour envoyer ses poèmes d'amour par fax, et si certains ont écopé d'une affectation assez peu souhaitée, pour rester polie, je n'en connais pas qui se sont vu remercié.
C'est probablement très variable selon les académies : bizarrement, il y a peu de données nationales publiées...
- BabaretteDoyen
pogonophile a écrit:Chaque année, il en part, pour des histoires de harcèlement sexuel, de sous-loc de logement de fonction, etc.
C'est plus courant que dans d'autre corps, parce que les protections sont moindres. Il y a peu de recours, et peu de défense quand les faits sont avérés - la solidarité professionnelle est très limitée quand ça touche à l'éthique.
Soit c'est la révocation, soit c'est la retraite un peu plus tôt que prévu...
Le départ à la retraite anticipé me paraît être une sanction bien légère.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- MathadorEmpereur
Babarette a écrit:pogonophile a écrit:Chaque année, il en part, pour des histoires de harcèlement sexuel, de sous-loc de logement de fonction, etc.
C'est plus courant que dans d'autre corps, parce que les protections sont moindres. Il y a peu de recours, et peu de défense quand les faits sont avérés - la solidarité professionnelle est très limitée quand ça touche à l'éthique.
Soit c'est la révocation, soit c'est la retraite un peu plus tôt que prévu...
Le départ à la retraite anticipé me paraît être une sanction bien légère.
La sanction s'appelle « mise à la retraite d'office ». Cela entraîne une radiation des cadres avec calcul immédiat des droits à retraite, mais la pension continue de n'être versée que si l'âge normal a été atteint. Autrement dit, si j'ai bien compris c'est comme un licenciement mais en plus favorable au niveau de la retraite.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- BabaretteDoyen
Ah, oui, c'est "mise à la retraite d'office" l'intitulé, c'est vrai.
L'existence de cette sanction m'étonne et me semble inégalitaire. Si on est coupable de fautes vraiment graves à 30 ans, on est révoqué, si c'est à 58, on est mis à la retraite d'office. Ca a tendance à me déranger.
L'existence de cette sanction m'étonne et me semble inégalitaire. Si on est coupable de fautes vraiment graves à 30 ans, on est révoqué, si c'est à 58, on est mis à la retraite d'office. Ca a tendance à me déranger.
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:lecteur:
- Philomène87Grand sage
Attendez, si la plainte aboutit (j'espère...), il y aura pire qu'une mise à la retraite d'office.
- VerduretteModérateur
Honchamp a écrit: Bref, les voies de l'Ed.Nat sont parfois impénétrables !
Hum. :dehors2:
- BabaretteDoyen
Philomène87 a écrit:Attendez, si la plainte aboutit (j'espère...), il y aura pire qu'une mise à la retraite d'office.
Bien sûr, et encore heureux! Il n'empêche que je trouve que la sanction est inappropriée.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- LilypimsGrand sage
Philomène87 a écrit:Thalia de G a écrit:Inutile de répondre désormais à Cristaline qui a quitté le forum à l'insu de son plein gré.
Mince, ça devenait amusant.
Ca faisait longtemps qu'on n'avait pas eu un petit troll...
Ça ne m'a pas fait rire du tout. Je ne comprends pas que quelqu'un (à qui on confie des élèves, en plus) puisse encourager par des propos pareils de tels comportements. Je suis sidérée.
_________________
...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- Philomène87Grand sage
Lilypims a écrit:Philomène87 a écrit:Thalia de G a écrit:Inutile de répondre désormais à Cristaline qui a quitté le forum à l'insu de son plein gré.
Mince, ça devenait amusant.
Ca faisait longtemps qu'on n'avait pas eu un petit troll...
Ça ne m'a pas fait rire du tout. Je ne comprends pas que quelqu'un (à qui on confie des élèves, en plus) puisse encourager par des propos pareils de tels comportements. Je suis sidérée.
Je ne sais pas si Cristaline pensait vraiment ce qu'elle écrivait. En parallèle, elle rencontrait une opposition à d'autres propos sur un autre fil et je pense que ça l'a énervée et encouragée à aller à contre-courant. Quitte à affirmer des choses aussi puantes qu'ici-même.
- RendashBon génie
Voilà que ça va encore être ma faute :pleurs:
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Philomène87Grand sage
Rendash a écrit:Voilà que ça va encore être ma faute :pleurs:
Meuh nooooooooon !
- DanskaProphète
Je pense qu'on peut arrêter de parler de Cristaline, elle ne peut plus nous répondre de toute façon, quelles que soient ses motivations réelles.
Edit : @Rendash : bah, en cherchant bien...
Edit : @Rendash : bah, en cherchant bien...
- gauvain31Empereur
Rendash a écrit:Voilà que ça va encore être ma faute :pleurs:
- Patience et raisonFidèle du forum
Pogonophile, le "hélas" marque mon ras-le-bol d'accueillir au rectorat les personnels dont le travail habituel s'exerce en EPLE mais qu'il "faut planquer" loin des élèves et membres de la communauté éducative. Typiquement, mon service a déjà accueilli un accusé d'harcèlement (et c'est allé jusque devant les tribunaux), un "bi-polaire"... en moins de 5 ans.
En tant que parent d'élève, je comprends la logique mais cela me semble surtout illustrer les carences de gestion des personnels dans notre beau ministère.
En tant que parent d'élève, je comprends la logique mais cela me semble surtout illustrer les carences de gestion des personnels dans notre beau ministère.
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Scio me nihil scire
Ambassadeur de Sparte à Byzance.
« Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, entre le maître et le serviteur, c'est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit » — Henri Lacordaire
« Quand le droit bavarde, le citoyen ne lui prête plus qu'une oreille distraite » — Rapport du Conseil d'État de 1991, De la sécurité juridique.
"Alors n’oubliez pas : si vous voulez vraiment être productifs, apprenez à travailler avec des outils qui font gagner du temps au lieu de tout refaire à la main. Mais si votre passion, c’est de ne surtout pas utiliser de livres déjà complets, et de réécrire votre propre truc à chaque fois parce que « Je préfère utiliser mes propres outils et je n’arrive pas à utiliser ceux des autres« , alors félicitations :
Vous êtes bons pour rejoindre l’Éducation Nationale française." Odieux ***.
- HonchampDoyen
Patience et raison a écrit:Pogonophile, le "hélas" marque mon ras-le-bol d'accueillir au rectorat les personnels dont le travail habituel s'exerce en EPLE mais qu'il "faut planquer" loin des élèves et membres de la communauté éducative. Typiquement, mon service a déjà accueilli un accusé d'harcèlement (et c'est allé jusque devant les tribunaux), un "bi-polaire"... en moins de 5 ans.
En tant que parent d'élève, je comprends la logique mais cela me semble surtout illustrer les carences de gestion des personnels dans notre beau ministère.
Et bien voilà, cela confirme ce que je disais de la gestionnaire d'il y a 2 ans ! A l'IA !
Comme celle d'il y a 6/7 ans !
Sachant que je suis dans un collège qui a des problèmes de gestion quasiment depuis 15 ans, avec rotation des gestionnaires, titulaires exfiltrés et remplacés par des contractuelles (dont une qui avait un BTS de secrétariat), et donc, surtout depuis le changement de majorité au Conseil Départemental, des relations difficiles.
Je vous passe les détails sur les problèmes à propos des contrats aidés. Dont une bénéficiaire qui avait falsifié ses papiers et n'aurait pas dû en être : cela n'a pas été reproché au collège (tout le monde peut se faire avoir) , mais de n'avoir pas su se faire aider de la cellule juridique du rectorat, de n'avoir pas fait les démarches en justice qui s'imposaient.
Le président du Conseil Départemental tient mon collège pour un collège de rigolos..(Ironie inside).
Relations difficiles...
Nous avons eu quelqu'un de carré, pas facile, mais carré, qui avait choisi de devenir gestionnaire car "il aimait les chiffres", il n'était pas sur ce poste par hasard, lui. Mais au bout de 3 ans, il a eu sa mut' pour l'académie de Lyon.
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- LilypimsGrand sage
Danska a écrit:Je pense qu'on peut arrêter de parler de Cristaline, elle ne peut plus nous répondre de toute façon, quelles que soient ses motivations réelles.
Cristaline m'importe peu. C'est aux victimes et aux futures victimes qui peuvent lire ses propos que je pense.
EDIT. Je ne cherche nullement à relancer la discussion sur elle ; je ne fais que préciser le sens de mon intervention.
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- User17095Érudit
Patience et raison a écrit:Pogonophile, le "hélas" marque mon ras-le-bol d'accueillir au rectorat les personnels dont le travail habituel s'exerce en EPLE mais qu'il "faut planquer" loin des élèves et membres de la communauté éducative. Typiquement, mon service a déjà accueilli un accusé d'harcèlement (et c'est allé jusque devant les tribunaux), un "bi-polaire"... en moins de 5 ans.
En tant que parent d'élève, je comprends la logique mais cela me semble surtout illustrer les carences de gestion des personnels dans notre beau ministère.
Je peux comprendre, j'ai le souci au quotidien chaque année avec un ou deux profs qui font des dégâts pas possibles, et lorsque je demande "mais y a pas un endroit où le mettre au rectorat", la réponse est invariablement "déjà il veut pas et on compte pas se coltiner les syndicats là-dessus, et de toute façon on déborde de gens qu'on ne peut plus mettre en établissement."
Alors on les case dans un autre à la rentrée suivante. Et puis un troisième, et un quatrième...
- anthraciteNiveau 9
Alors ça, ça me dérange. Tout le monde peut être victime de fausses accusations, surtout quand on s'occupe de mineurs, qu'on soit chef, prof ou agent.- soit ils ne l'ont pas fait, mais ça va être très compliqué d'exercer, et une mission hors établissement c'est peut-être préférable
Si la personne est blanchie de ces accusations, il me semblerait normal qu'elle n'ait pas en plus à subir une mise au placard administrative (sauf si c'est sa demande d'avoir un poste tranquille pour se reconstruire). Et je parle dans le cas général, pas forcément pour cette affaire en particulier.
- User17095Érudit
anthracite a écrit:
Alors ça, ça me dérange. Tout le monde peut être victime de fausses accusations, surtout quand on s'occupe de mineurs, qu'on soit chef, prof ou agent.
Si la personne est blanchie de ces accusations, il me semblerait normal qu'elle n'ait pas en plus à subir une mise au placard administrative (sauf si c'est sa demande d'avoir un poste tranquille pour se reconstruire). Et je parle dans le cas général, pas forcément pour cette affaire en particulier.
Cela me dérange aussi, il ne s'agit pas de justice ou d'injustice, mais de possibilité d'exercer.
Les journaux ont la délicatesse de ne pas les nommer, mais il n'y a qu'un principal et qu'un gestionnaire dans ce collège donc ça prendra trois secondes pour les identifier : même s'ils étaient blanchis, leurs carrières seront forcément difficile, la rumeur les précédera où qu'ils aillent.
C'est déjà presque impossible pour un enseignant de se faire oublier dans un cas pareil, alors là, avec les journaux qui s'en mêlent...
- cubeNiveau 8
A supposer qu'il y en ait un, j'ai une petite pensée pour le principal adjoint de l'établissement... le pauvre se retrouve sans doute tout seul pour gérer une crise majeure tout en continuant de faire tourner le collège à une période de l'année où on ne chôme pas. J'imagine ma tête à sa place si on venait m'annoncer un matin que mon chef et le gestionnaire ont fait un truc pareil et que c'est à moi de me dem*der pour gérer les personnels outrés, les parents inquiets et prévenir le rectorat.
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