- NestyaEsprit sacré
Pourriez-vous m'aider à trouver des sujets d'exposés pour ma séquence sur l'Antiquité? Je pensais à:
-un dieu/une déesse
-Achille
-la guerre de Troie
-Titans et géants
-les monstres
-la navigation
-Athènes et ses activités
-les amours de Zeus
-Jason et la Toison d'or
-les 12 travaux d'Hercule
D'autres idées? Que pensez-vous des sujets ci-dessus?
Merci
-un dieu/une déesse
-Achille
-la guerre de Troie
-Titans et géants
-les monstres
-la navigation
-Athènes et ses activités
-les amours de Zeus
-Jason et la Toison d'or
-les 12 travaux d'Hercule
D'autres idées? Que pensez-vous des sujets ci-dessus?
Merci
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- MermozFidèle du forum
Orphée et Eurydice (qui plaît tjs aux jeunes filles)
les supplices des enfers
Pygmalion (on peut faire bcp d'intertextualité autour de ce mythe)
Thésée
Persée....
en fait y'en a plein!!! Tu as des contraintes quelconques?
les supplices des enfers
Pygmalion (on peut faire bcp d'intertextualité autour de ce mythe)
Thésée
Persée....
en fait y'en a plein!!! Tu as des contraintes quelconques?
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De même que Louis Pasteur inventa la pasteurisation, c'est à Jean-Pierre Démoral que nous devons la démoralisation, et je dis bravo. Jean-Pierre Démoral commença humblement ses expériences sur sa logeuse, Mme Brouchard, qu'il démoralisa le 12 Septembre 1847.
Concierge : Y fait beau.
Démoral : Ca va pas durer.
Concierge : Je suis démoralisée.
- MSFidèle du forum
Les muses?
Les divinités infernales ( Harpies...)?
Les divinités infernales ( Harpies...)?
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Pas de deuxième année d'IUFM!
- Reine MargotDemi-dieu
Moi je fais:
- Hercule
- jason et les argonautes
- Helène et Paris
-Achille
- Ulysse
- Persée et la Méduse
-Oedipe
- Hercule
- jason et les argonautes
- Helène et Paris
-Achille
- Ulysse
- Persée et la Méduse
-Oedipe
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- ionion381Niveau 6
je pense qu'il faut te restreindre à un thème Nestya, parce que là ça va partir dans tous les sens. Soit les dieux et les déesses, soit les héros et les monstres...
- Reine MargotDemi-dieu
Oui, moi je suis partie sur les héros, parce que le panthéon est généralement fait en histoire...
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- NestyaEsprit sacré
J'ai 3 classes de 6e. Je crois donc que je ferai les dieux et déesses dans une classe, les héros et les monstres dans une autre et la vie dans la Grèce de l'Antiquité dans une troisième classe.
Merci pour vos idées.
Merci pour vos idées.
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- Melle ShrekHabitué du forum
Nestya a écrit:J'ai 3 classes de 6e. Je crois donc que je ferai les dieux et déesses dans une classe, les héros et les monstres dans une autre et la vie dans la Grèce de l'Antiquité dans une troisième classe.
Merci pour vos idées.
Idem pour moi... je crois que je vais (pas du tout) honteusement pomper ton idée d'exposés Nestya :lol: :lol: :lol:
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http://lescapricesdefanfan.com
http://minifanfan.kazeo.com
https://www.facebook.com/Lescapricesdefanfan
- doctor whoDoyen
Je m'étais demandé, au cas où j'avais des sixième, si on ne pouvait pas leur proposer d'incarner un dieu ou un héros grec, en leur faisant faire leur portrait tout en le jouant (déguisements et accessoires autorisés). C'est faisable ou pas? (et accessoirement, intéressant ou pas?)
- NestyaEsprit sacré
Melle Shrek a écrit:Nestya a écrit:J'ai 3 classes de 6e. Je crois donc que je ferai les dieux et déesses dans une classe, les héros et les monstres dans une autre et la vie dans la Grèce de l'Antiquité dans une troisième classe.
Merci pour vos idées.
Idem pour moi... je crois que je vais (pas du tout) honteusement pomper ton idée d'exposés Nestya :lol: :lol: :lol:
Mais je t'en prie.
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- V.MarchaisEmpereur
Bonjour,
Quelques idées en vrac :
- héros maudits : Tantale, Sisyphe, Atrée, Ixion, Les Danaïdes ;
- héros métamorphosés : Narcisse, Hyacinthe, Daphné, Pyrame et Thisbée, Thiton, Arachné, Pygmalion (enfin sa statue), Actéon, Io, Lycaon, Perdrix, Scylla... (à compléter à l'aide d'un dictionnaire de la mythologie.)
- Les dieux du Panthéon (amours de Zeus, guerre des dieux et avènement des Olympiens, amours d'Aphrodite, aventures d'Apollon...) ;
- Les héros de la guerre de Troie : Thétis et Pelée, Cassandre, Priam, Hector, Achille, Agamemnon, Clitemnestre, Electre, Oreste, Pâris, Hélène, Laocoon...
- grandes figures de la mythologie : Oedipe, Orphée, Jason, Médée, Thésée, Hercule, Prométhée, Icare, Phoebus, Bellérophon, Persée...
- le monde des Enfers : Hadès, Déméter et Perséphone, Pythô, la pythie, Les Parques, les Erynies, Cerbère, Charon...
- monstres mythologiques : Méduse, les Centaures (en particulier Nexus), Charybde et Scylla, Pégase et tous ceux qui hantent les travaux d'Hercule.
Quelques idées en vrac :
- héros maudits : Tantale, Sisyphe, Atrée, Ixion, Les Danaïdes ;
- héros métamorphosés : Narcisse, Hyacinthe, Daphné, Pyrame et Thisbée, Thiton, Arachné, Pygmalion (enfin sa statue), Actéon, Io, Lycaon, Perdrix, Scylla... (à compléter à l'aide d'un dictionnaire de la mythologie.)
- Les dieux du Panthéon (amours de Zeus, guerre des dieux et avènement des Olympiens, amours d'Aphrodite, aventures d'Apollon...) ;
- Les héros de la guerre de Troie : Thétis et Pelée, Cassandre, Priam, Hector, Achille, Agamemnon, Clitemnestre, Electre, Oreste, Pâris, Hélène, Laocoon...
- grandes figures de la mythologie : Oedipe, Orphée, Jason, Médée, Thésée, Hercule, Prométhée, Icare, Phoebus, Bellérophon, Persée...
- le monde des Enfers : Hadès, Déméter et Perséphone, Pythô, la pythie, Les Parques, les Erynies, Cerbère, Charon...
- monstres mythologiques : Méduse, les Centaures (en particulier Nexus), Charybde et Scylla, Pégase et tous ceux qui hantent les travaux d'Hercule.
- V.MarchaisEmpereur
doctor who a écrit:Je m'étais demandé, au cas où j'avais des sixième, si on ne pouvait pas leur proposer d'incarner un dieu ou un héros grec, en leur faisant faire leur portrait tout en le jouant (déguisements et accessoires autorisés). C'est faisable ou pas? (et accessoirement, intéressant ou pas?)
Bonjour,
Pour que ça marche, il me semble qu'il faut resserrer le sujet, pour créer de l'unité. Quel genre de scène imaginez-vous ? De petites saynettes à tour de rôle ? Un spectacle plus complet ?
Une expérience à partager : il y a quelques années, dans le cadre d'une liaison CM2-6e sur le thème de la mythologie, j'ai fait travailler mes élèves sur le monde des Enfers : exposés, recherches sur la topographie (il y a même des cartes des Enfers sur le net !), lecture d'extraits de Virgile, Homère, Ovide, de récits de grands mythes comme Déméter et Perséphone (que l'on peut mettre en relation avec la deuxième partie de La Belle au Bois dormant, autre récit saisonnier)... Et tout cela a donné lieu à un "tableau vivant" : une visite guidée des Enfers mise en scène par les élèves, certains interprétant des personnages mythologiques, d'autres des âmes, l'un le guide - la Pythie of course - avec récitation de petits textes écrits par les élèves (résumé des mythes, descriptions des lieux, de personnages comme Charon, Cerbère, dialogues d'invention...). Tous les élèves ont un rôle dans le spectacle, ils écrivent, cherchent, récitent. La représentation crée de l'émulation et tous ses sont beaucoup investis. Leurs trouvailles pour les costumes, avec nos moyens si limités, étaient fabuleuses. Une idée à transposer dans le domaine qui vous intéressera.
- doctor whoDoyen
Belle expérience ! Mais ce type d'activité, qui me rebute assez à cause de la somme de travail et d'organisation qu'elle exige, me pose toujours problème. Je comprend aisément l'utilité du "thème" pour construire un cours : il donne un objet compréhensible et concret à l'intelligence des élèves, il peut être distrayant ou amusant (c'est le cas ici). Mais quand les élèves auront étudié les Enfers, longuement si j'en juge par la cohérence des leçons et des exercices, aisni que par les prolongements scéniques de ce travail, ne seront-ils pas passé à côté de l'Olympe ? et de la Terre et ses héros ? Bref, le thème ne restreint-il pas l'étendue de la culture au profit de sa profondeur. Cette remarque vaut aussi pour des séquences de sixième du type "Le loup dans tous ses états".
- V.MarchaisEmpereur
Je crois que c'est une question d'organisation. Il n'y a qu'à feuilleter Terre des Lettres pour comprendre que les élèves ne sont pas passés à côté de "la Terre et ses héros" : c'est le coeur de notre réflexion sur les textes, en classe. Mais dans le cadre d'un projet précis, une autre approche, complémentaire, a son intérêt : elle marque les élèves profondément, leur laisse des souvenirs, donc des connaissances. Les exposés et les travaux d'écritures sont faits à la maison - il y a jusque là seulement quelques séances de correction et de mise en commun ; ensuite nous consacrons une semaine pleine (enfin, nos six heures de cours plus une demi-journée pour la rencontre) à la mise en scène et au spectacle. Je trouve que ça en vaut la peine.
L'an dernier, avec une classe particulièrement agitée, j'ai monté Gargantua à la scène. Ca a été incroyable. Les élèves ont ri comme pas possible, ils avaient très envie de montrer leur travail, ils savaient que j'annulerais tout s'ils ne bossaient pas sérieusement : il fallait les voir réciter presque trop pieusement : "
Aux uns, il
écrabouillait la cervelle, à d'autres, il brisait bras et jambes, à d'autres,
il démettait les vertèbres du cou, à d'autres, il disloquait les reins,
effondrait le nez, pochait les yeux, fendait les mâchoires, enfonçait les dents
dans la gueule, défonçait les omoplates, meurtrissait les jambes, déboitait les
fémurs, débezillait les membres. […] A d’autres, il perçait le boyau du cul à
travers les couilles. Croyez bien que c’était le plus horrible spectacle qu’on
ait jamais vu." Qu'est-ce que c'était drôle ! Ca nous a pris du temps, là, pour le coup (une heure par semaine à partir de mars) : comme il a fallu remâcher les textes ! Mais les élèves ont vraiment savouré la langue de Rabelais mieux que par de longues analyses et saisi l'enjeu du texte. Là aussi, je crois que ça en valait la peine. Mes élèves si agités, que j'avais tant de mal à mettre au travail, ont donné le meilleur d'eux-mêmes, tant et si bien que nous décidé de jouer toute l'année, en 4e (cette année), du théâtre classique. Bon, cette fois, nous avons obtenu une heure et demi en plus chaque semaine pour la mise en scène. Mais parvenir à cela : des élèves volontaires pour faire du français une heure et demi en plus par semaine, surtout ceux-là, c'était une vraie gageure, et c'est possible quand nous sommes capables de sortir un peu des sentiers battus.
Cela n'a pas grand chose à voir avec ces chapitres purement thématiques que je honnis autant que vous parce qu'ils n'ont généralement aucune problématique littéraire. Jouer, mettre en scène, c'est très riche. Interpréter est un mot qui dit bien ce qu'il veut dire : on est obligé de faire l'effort de comprendre, de donner un sens et une intention au texte pour bien jouer.
L'an dernier, avec une classe particulièrement agitée, j'ai monté Gargantua à la scène. Ca a été incroyable. Les élèves ont ri comme pas possible, ils avaient très envie de montrer leur travail, ils savaient que j'annulerais tout s'ils ne bossaient pas sérieusement : il fallait les voir réciter presque trop pieusement : "
Aux uns, il
écrabouillait la cervelle, à d'autres, il brisait bras et jambes, à d'autres,
il démettait les vertèbres du cou, à d'autres, il disloquait les reins,
effondrait le nez, pochait les yeux, fendait les mâchoires, enfonçait les dents
dans la gueule, défonçait les omoplates, meurtrissait les jambes, déboitait les
fémurs, débezillait les membres. […] A d’autres, il perçait le boyau du cul à
travers les couilles. Croyez bien que c’était le plus horrible spectacle qu’on
ait jamais vu." Qu'est-ce que c'était drôle ! Ca nous a pris du temps, là, pour le coup (une heure par semaine à partir de mars) : comme il a fallu remâcher les textes ! Mais les élèves ont vraiment savouré la langue de Rabelais mieux que par de longues analyses et saisi l'enjeu du texte. Là aussi, je crois que ça en valait la peine. Mes élèves si agités, que j'avais tant de mal à mettre au travail, ont donné le meilleur d'eux-mêmes, tant et si bien que nous décidé de jouer toute l'année, en 4e (cette année), du théâtre classique. Bon, cette fois, nous avons obtenu une heure et demi en plus chaque semaine pour la mise en scène. Mais parvenir à cela : des élèves volontaires pour faire du français une heure et demi en plus par semaine, surtout ceux-là, c'était une vraie gageure, et c'est possible quand nous sommes capables de sortir un peu des sentiers battus.
Cela n'a pas grand chose à voir avec ces chapitres purement thématiques que je honnis autant que vous parce qu'ils n'ont généralement aucune problématique littéraire. Jouer, mettre en scène, c'est très riche. Interpréter est un mot qui dit bien ce qu'il veut dire : on est obligé de faire l'effort de comprendre, de donner un sens et une intention au texte pour bien jouer.
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