Postes de résidents AEFE 2018 : on se soutient !

Des EEMCP2 que je connais (et j'en connais quand même pas mal), un seul a obtenu satisfaction... C'est assez dur à vivre. On rebondira, mais là on traverse une phase de désillusion, après avoir vraiment beaucoup donné.

La difficulté de trouver un poste fixe en lettres modernes après 30 ans de carrière... arrête Mamba, ça fait super peur!!!

Les collègues diront « Wow » l’espace de 5 minutes et hop retour à la la normale.
Ça se passe très bien avec mes collègues mais effectivement beaucoup font carrière dans l’établissement.
Inconcevable pour moi.
Et pour l’EN je ne suis qu’un Numen.

Big Ben j’attends une réponse en local pour Tokyo. La secrétaire m’a parlé du 20 pour la réponse. Si le poste passe en comm car SV. 🤨

Merci Isa7575, je ne sais pas si on doit s'attendre à un entretien avant la commission ou non…

Aucune idée. Ce sera la surprise 😂 A ce stade j’accepte tous les cas de figure

Je partage vos sentiments. Comment rester encore pour ma part 25 ans dans le même établissement ? Quand je suis arrivé il y a six ans, le cpe a affirmé aux nouveaux venus : "C'est un établissement qu'on ne quitte pas ..." J'en ai frémi ...
Personnellement, je compte réaménager mes finances pour pouvoir postuler à un poste de résident l'année prochaine ...

Je suis également stupéfait du sort réservé à nos pauvres eemcp2 ...

Dans la zone Océan Indien, ils n'ont conservé que EEMCP2 pour un second poste, or nous étions nombreux !

Anywhere a écrit:Je partage vos sentiments. Comment rester encore pour ma part 25 ans dans le même établissement ? Quand je suis arrivé il y a six ans, le cpe a affirmé aux nouveaux venus : "C'est un établissement qu'on ne quitte pas ..." J'en ai frémi ...
Personnellement, je compte réaménager mes finances pour pouvoir postuler à un poste de résident l'année prochaine ...

Je suis également stupéfait du sort réservé à nos pauvres eemcp2 ...

Pareil, je suis en plein dans ce questionnement... Nous d'autant que notre grande rentre en 2nde, c'est un peu notre chant du cygne, on part maintenant ou plus... Et parfois, l'idée de passer 25 ans dans le même établissement, ça me fait horreur même si j'y suis bien...


Je vais peut-être jeter un pavé dans la mare mais je me rends compte en pesant tous les pour et contre pour tel ou tel pays c'est cette question des enseignants dans les lycées français qui ne sont pas "issus" de l'éducation nationale. Je crois voir que dans certains, leur part est importante. Loin de moi l'idée de dire que point de salut et point de bon prof qui ne soit pas sorti des rangs de l'Education Nationale, mais en tant que parent qui est potentiellement dans la posture de pouvoir y inscrire ses enfants, ça me questionne beaucoup... Est-ce que cela s'en ressent en terme de niveau ? Car j'ai pour échanger avec une personne qui est dans établissement qui fonctionne avec des résidents, la part des profs non "profs" à la base est importante et je dois admettre que cela m'inquiète quand même, là, c'est en tant que parent que je parle...
Des avis ?

Moi non plus je ne peux pas rester au même endroit trop longtemps... Ce qui est souvent mal compris par mes collègues, surtout dans une région où beaucoup de monde a envie de vivre... Une de mes collègues m'a dit une fois "ça va mieux, ça t'est passé, ton idée de partir à l'étranger?" Moi c'est rester toute sa vie au même endroit que je n'arrive pas à comprendre! :-) Mais ce sentiment de vivre autant d'expériences sans que cela apporte quelque chose dans le cadre professionnel me semble très injuste...

Isidoria a écrit:Des EEMCP2 que je connais (et j'en connais quand même pas mal), un seul a obtenu satisfaction... C'est assez dur à vivre. On rebondira, mais là on traverse une phase de désillusion, après avoir vraiment beaucoup donné.

Je trouve aussi que c'est difficile de faire la part des choses et d'admettre que ces refus, ou ces mauvais classements, sont quand même surtout le résultat des suppressions de postes de cette année scolaire (et puis ça ne va pas s'arranger pour les années à venir). Cette année les candidatures en résident ont pris la forme d'un jeu de chaises musicales à 250 participants pour 4 chaises, dont 3 sont déjà occupées. Mais j'ai beau le savoir et me le répéter, pour le moment ça ne passe pas !
Quant au besoin de bouger et de changer régulièrement, je suis bien d'accord !

BigBen a écrit:Salut à tous,

Merci pour vos discussions passionnantes, que je lis depuis plusieurs mois sans intervenir… Jusqu'à aujourd'hui !
Je voulais savoir si des gens parmi vous avaient postulé pour Tokyo cette année, en résident ou local. Vu que la commission est passée et que nous n'avons pas eu de nouvelles, je pense que c'est mort pour le poste de résident, mais quid des postes locaux ? Y a-t-il des entretiens préalables, ou serons-nous tenus au courant uniquement après la réunion du 19 mars ?

Merci d'avance si vous avez des tuyaux, et bonne chance pour ceux qui espèrent encore !

Nous avons reçu un mail du lycée de Tokyo, classés 10ème.

Je raconte aussi ma petite expérience. Je suis rentrée en France après 23 années d'etranger et d'outremer dans ma ville de naissance et en lycée. Donc dans de très bonnes conditions, pourrait on dire. Aucune considération de toute mon expérience dont un contrat d'expatriee en lycée français en dernier posté. On n'avait même pas mon dossier au lycée. Le jour de la pré rentrée, ai du suivre une réunion des nouveaux ou on nous expliquait de bien remplir le cahier de textes et le cahier d'absence. J'ai compris tout de suite que malgré tout, malgré mes problèmes de santé qui m'avaient obligée à revenir, je ferais tout pour repartir. Même si ce n'est pas des plus prudent, je n'ai qu'une vie et sans être malheureuse près des miens, je ne suis pas heureuse. Ce n'est pas ma vie. Personne ne me comprend, tant pis.

Je pense que sur ce forum fitness tu as des oreilles compréhensives.

Moi, j'en avais rêvé toute ma carrière, bien qu'elle est commencée tard puisque j'ai commencé dans l'industrie pendant 15 ans... Quand j'ai passé le concours il y a 8 ans, une de mes grandes motivations était de penser qu'avec ce métier je pourrai expérimenter de nouvelles choses ailleurs. Je suis aussi dans un lycée super sympa avec une équipe soudée (LP) car des élèves plutôt difficiles et quand j'ai annoncé que je partais, je suis devenue l'ovni... Mais en partie grâce à vous les nombreux globe-trotters et au récit de vos expériences, je sais que je fais le bon choix, même si cela ne va pas être simple... Rester 25ans dans le même bahut, jusqu'à peut être la retraite, c'est pour moi comme "mourir un peu", c'est inconcevable... Après 8 ans, c'est déjà dur, alors 25..... Vous lire, me rassure, je ne suis pas la seule ovni , même si l'avenir AEFE semble bien obscur avec toutes ces suppressions... Je me dis que vu mon âge et mon échelon cela risque d'être la seule expérience....

julianna7 a écrit:

BigBen a écrit:Salut à tous,

Merci pour vos discussions passionnantes, que je lis depuis plusieurs mois sans intervenir… Jusqu'à aujourd'hui !
Je voulais savoir si des gens parmi vous avaient postulé pour Tokyo cette année, en résident ou local. Vu que la commission est passée et que nous n'avons pas eu de nouvelles, je pense que c'est mort pour le poste de résident, mais quid des postes locaux ? Y a-t-il des entretiens préalables, ou serons-nous tenus au courant uniquement après la réunion du 19 mars ?

Merci d'avance si vous avez des tuyaux, et bonne chance pour ceux qui espèrent encore !

Nous avons reçu un mail du lycée de Tokyo, classés 10ème.

Merci Julianna. Si ce n'est pas trop indiscret, sur quel poste avez-vous postulé ? Nous sur celui de Maths mais apparemment il y avait un TNR sur place…

En fait, ce qui est étrange, c'est de constater que partir est un peu considéré comme une trahison par les collègues... Je regrette bcp d'avoir évoqué ce désir et d'avoir montré ma joie à être classée 1ère sur un poste: les collègues ont tout de suite assimilé ça à un manque de lucidité de ma part : je ne me rendais pas compte de ce que j'allais perdre, comment j'allais faire quand je reviendrais, mais pourquoi partir alors que c'est un bahut si chouette ? Et je passe sur les remarques perfides qui s'interrogent clairement sur les critères de la sélection... alors que je n'ai pas la chance d'être pistonnée ... Comme vous, il m'est difficile d'envisager de rester trop longtemps au même endroit et ce n'est pas pour autant de la prétention ou un manque de clairvoyance sur les qualités de l'établissement... J'ai besoin de bouger, de vivre autre chose, de faire des rencontres, de partager des projets professionnels ... ce qui est bcp plus facile à l'étranger qu'en France... Ici, les projets menés sont souvent associés à des moyens de se faire-valoir à moindre frais en exploitant les élèves... C'est un peu décourageant.

BigBen a écrit:

julianna7 a écrit:

BigBen a écrit:Salut à tous,

Merci pour vos discussions passionnantes, que je lis depuis plusieurs mois sans intervenir… Jusqu'à aujourd'hui !
Je voulais savoir si des gens parmi vous avaient postulé pour Tokyo cette année, en résident ou local. Vu que la commission est passée et que nous n'avons pas eu de nouvelles, je pense que c'est mort pour le poste de résident, mais quid des postes locaux ? Y a-t-il des entretiens préalables, ou serons-nous tenus au courant uniquement après la réunion du 19 mars ?

Merci d'avance si vous avez des tuyaux, et bonne chance pour ceux qui espèrent encore !

Nous avons reçu un mail du lycée de Tokyo, classés 10ème.

Merci Julianna. Si ce n'est pas trop indiscret, sur quel poste avez-vous postulé ? Nous sur celui de Maths mais apparemment il y avait un TNR sur place…

Nous avons postulé en lettres et histoire géographie. Mon mari a été convoqué aux entretiens expatriés, il a une solide expérience de formateur donc on s'attendait à un meilleur classement. En réalité, les dés sont pipés : on postule pour se faire plaisir mais il n'y pas de poste...

julianna7 a écrit:

BigBen a écrit:

julianna7 a écrit:

BigBen a écrit:Salut à tous,

Merci pour vos discussions passionnantes, que je lis depuis plusieurs mois sans intervenir… Jusqu'à aujourd'hui !
Je voulais savoir si des gens parmi vous avaient postulé pour Tokyo cette année, en résident ou local. Vu que la commission est passée et que nous n'avons pas eu de nouvelles, je pense que c'est mort pour le poste de résident, mais quid des postes locaux ? Y a-t-il des entretiens préalables, ou serons-nous tenus au courant uniquement après la réunion du 19 mars ?

Merci d'avance si vous avez des tuyaux, et bonne chance pour ceux qui espèrent encore !

Nous avons reçu un mail du lycée de Tokyo, classés 10ème.

Merci Julianna. Si ce n'est pas trop indiscret, sur quel poste avez-vous postulé ? Nous sur celui de Maths mais apparemment il y avait un TNR sur place…

Nous avons postulé en lettres et histoire géographie. Mon mari a été convoqué aux entretiens expatriés, il a une solide expérience de formateur donc on s'attendait à un meilleur classement. En réalité, les dés sont pipés : on postule pour se faire plaisir mais il n'y pas de poste...

C'est sûr que pour obtenir un poste de résident sans être sur place, il faut avoir un gros coup de bol ! Ca nous est arrivé dans le passé (pour Londres º_º), mais pas cette fois ! Croisons les doigts pour les contrats locaux…
Vous avez eu votre classement via les syndicats ou via le lycée ?

Je n’ai pas voulu passer le concours après ma licence. J’avais déjà l’envie de bouger.
Alors je suis partie. Plusieurs années.
J’ai tout de même passé le concours plus tard. Il fallait bien.
J’ai réussi alors que j’étais en poste à l’étranger justement. Retour en France obligatoire.
Si le retour fut bien accepté au début, il le fut de moins en moins avec le temps. 10 ans déjà.

Personnellement je ne me préoccupe pas de ce que pense (penseront plutôt car peu sont au courant) mes collègues si je pars. 7eme rentrée sur un poste en or que j’ai obtenu par chance, mais c’est déjà largement au dessus de la limite. Je trouve que 5 ans sur le même poste c’est bien. A l’étranger si on se plait vraiment où on est peut être plus ? Aucune idée.

vale7071 a écrit:En fait, ce qui est étrange, c'est de constater que partir est un peu considéré comme une trahison par les collègues...  Je regrette bcp d'avoir évoqué ce désir et d'avoir montré ma joie à être classée 1ère sur un poste: les collègues ont tout de suite assimilé ça à un manque de lucidité de ma part : je ne me rendais pas compte de ce que j'allais perdre, comment j'allais faire quand je reviendrais, mais pourquoi partir alors que c'est un bahut si chouette ? Et je passe sur les remarques perfides qui s'interrogent clairement sur les critères de la sélection... alors que je n'ai pas la chance d'être pistonnée ... Comme vous, il m'est difficile d'envisager de rester trop longtemps au même endroit et ce n'est pas pour autant de la prétention ou un manque de clairvoyance sur les qualités de l'établissement... J'ai besoin de bouger, de vivre autre chose, de faire des rencontres, de partager des projets professionnels ... ce qui est bcp plus facile à l'étranger qu'en France... Ici, les projets menés sont souvent associés à des moyens de se faire-valoir à moindre frais en exploitant les élèves... C'est un peu décourageant.

Discours fréquent chez ceux qui auraient bien aimé franchir le pas et partir, n'ont pas eu le courage de le faire et voudraient bien que leur frilosité soit justifiée par la tienne.

BigBen, on a eu les résultats par le lycée.

Je souffre bcp de la mentalité des collègues "installés" de mon collège qui, pour bcp, se posent en "membres fondateurs" de l'établissement et dont tu ne peux pas te distinguer sans t'exposer à une critique assez âpre... C'est un état d'esprit assez lourd à vivre au jour le jour...

Ici, les projets menés sont souvent associés à des moyens de se faire-valoir à moindre frais en exploitant les élèves... C'est un peu décourageant.

Ne pas croire que ce genre de cas de figure ou de mentalité ne se retrouve pas à l'étranger, bien au contraire... A nuancer selon les équipes et les établissements, mais dans ceux où je suis passée, tout était loin d'être tout rose, surtout chez les collègues qui n'avaient connu qu'un seul établissement et étaient trop frileux pour aller voir ailleurs (ou y trouvaient la soupe trop bonne malgré un net ras le bol du bahut, du pays ou des deux...). Rien de pire qu'en France mais il vaut mieux s'y attendre et les voir venir pour faciliter sa propre intégration.

Concernant les non-titulaires et le niveau dans les établissements, là aussi c'est très variable selon les bahuts, mais bien souvent, c'est le collège qui est le maillon faible, les résidents étant souvent concentrés aux charnières du primaire pour les PE et au lycée pour le secondaire. Au vu des CSP des familles, on peut s'attendre à un niveau général un peu boosté mais ça n'est pas toujours le cas. S'attendre aussi à une évaluation très (trop ?) positive, à juste titre ou non, mais qui peut constituer un vrai atout pour l'accès à des filières sélectives après le bac.

Mamba a écrit:Isidoria j'en suis exactement au même point que toi et ton image est bien trouvée ! Je suis carrément déprimée surtout quand je vois la difficulté d'obtenir un poste fixe au bout de 30 ans de carrière...

@Mamba : tu parles à l'étranger ou en France ? je n'ai pas bien compris.

Anywhere a écrit:Je partage vos sentiments. Comment rester encore pour ma part 25 ans dans le même établissement ? Quand je suis arrivé il y a six ans, le cpe a affirmé aux nouveaux venus : "C'est un établissement qu'on ne quitte pas ..." J'en ai frémi ...
Personnellement, je compte réaménager mes finances pour pouvoir postuler à un poste de résident l'année prochaine ...
..

C'est à dire @Anywhere, pourquoi cela ? C'est un établissement où il fait bon vivre ? Où salaires sympas ?

J'ai pour ma part beaucoup réfléchi aussi. Je suis PE spécialisée et je n'ai que 8 ans d'ancienneté dans l'EN. Je fais pas mal d'heures sup comme en prison ou avec mes élèves d'atelier relais en extérieur, j'ai des HSA aussi; je suis en REP+; et je gagne quasi 1000€ de / mois que des collègues plus anciens qui ont eu le Concours avant moi et qui sont en maternelle ou primaire. C'est énorme !
Pourtant, quitter l'établissement malgré cette place "en or" (quoi que, en REP+ avec des élèves très durs, c'est en or sans être e or, les semaines on les sent sacrément passer je vous le dis !!! ) dans le sens de l'aménagement des matières que j'enseigne (je fais uniquement les langues, ce qui est quasi impossible en collège, c'est souvent des profs de langue qui ont les SEGPA et pas des PE mais je suis habilitée) et de la liberté de mon EDT (c'est moi qui le fais en gros grâce à l'atelier relais) etc, ben ça ne m'a pas empêché de considérer la chose et de me lancer ! L'argent et une place dans un établissement c'est quoi ? ça compte oui mais c'est pas figé, et va ça vient, tout dépend où on met le curseur pour soi, j'ai pas envie de passer ma vie quelque part parce que j'ai peur de vivre autre chose qui sera sûrement magique et incroyable !!!

vale7071 a écrit:En fait, ce qui est étrange, c'est de constater que partir est un peu considéré comme une trahison par les collègues...  Je regrette bcp d'avoir évoqué ce désir et d'avoir montré ma joie à être classée 1ère sur un poste: les collègues ont tout de suite assimilé ça à un manque de lucidité de ma part : je ne me rendais pas compte de ce que j'allais perdre, comment j'allais faire quand je reviendrais, mais pourquoi partir alors que c'est un bahut si chouette ? Et je passe sur les remarques perfides qui s'interrogent clairement sur les critères de la sélection... alors que je n'ai pas la chance d'être pistonnée ... Comme vous, il m'est difficile d'envisager de rester trop longtemps au même endroit et ce n'est pas pour autant de la prétention ou un manque de clairvoyance sur les qualités de l'établissement... J'ai besoin de bouger, de vivre autre chose, de faire des rencontres, de partager des projets professionnels ... ce qui est bcp plus facile à l'étranger qu'en France... Ici, les projets menés sont souvent associés à des moyens de se faire-valoir à moindre frais en exploitant les élèves... C'est un peu décourageant.

Tu as tout dit pour le faire-valoir... Je connais ça aussi dans mon établissement.
@Vale7071 ce qui est rigolo c'est de voir que les gens parlent avec leur propre filtre, sans se soucier de ce qui a pu toi te pousser à partir. Ils s'en fichent en fait, la preuve, ils te mettent en garde contre ce qui LEUR fait peur à EUX, contre ce qui EUX les met dans un immobilisme total.. Tu leur as jamais demandé leur avis et ils te le donnent, pourquoi ? Si tu as fait ça, c'est que tu en avais envie non ? Je serai toujours dépitée de voir l'énergie que mettent ces personnes à tenter de convaincre/ faire changer d'avis d'autres sur des choses qui ne les concernent aucunement !!!! :choc:
Quant aux critères de "sélection" et le fait qu'ils soient sceptiques, ça me fait bien rire, la jalousie et le jugement dans toute sa splendeur, ça me fait toujours sourire qu'il puisse y avoir aussi peu de recul chez des ADULTES !

Bonjour à tous, un grand merci pour vos commentaires qui m'ont fait du bien. Je suis prise à Fianarentsoa à Madagascar, j'attends mercredi pour accepter le poste, avec l'espoir d'une dernière petite chance que le poste de Majunga soit libéré... mais bon... je crois que je serai plus certainement dans les terres qu'en bord de mer...

Félicitations!

Merci Nautie, je suis vraiment contente, l'aventure familiale va commencer, j'ai hâte!!!