- User9242Niveau 5
Bonsoir.
Plus qu'un hiatus, c'est surtout un insigne déficit de cohérence qui caractérise l'attitude de certains des caciques de la chose éducative. C'est ce qui semble transparaître, si l'on en croit le café pédagogique, à travers la participation annuelle de notre ministre au colloque de la lutte contre la constante macabre.
http://www.cafepedagogique.net/searchcenter/Pages/Results.aspx?k=blanquer%20constante%20macabre
En effet, alors que sa rhétorique médiatique avait laissé entendre que l'un de ses objectifs consiste à éradiquer le pédagogisme https://blogs.mediapart.fr/paul-devin/blog/300517/en-finir-avec-le-pedagogisme,
le voilà apporter son soutien au mouvement de André Antibi, qui n'est rien d'autre qu'un des avatars du pédagogisme.http://www.cafepedagogique.net/searchcenter/Pages/Results.aspx?k=blanquer%20constante%20macabre
Colloque Antibi : JM Blanquer chez les pédagogues Jean-Michel Blanquer s'est longuement invité au colloque organisé par le Mouvement contre la constante macabre (MCLCM), créé par André Antibi. Une présence qui n'est pas une surprise pour le Mouvement, car JM Blanquer participe à son colloque tous les ans. Mais qui pourrait l'être pour certains partisans du ministre. Jean-Michel Blanquer a notamment annoncé la création d'un conseil scientifique sur l'évaluation en lien avec une plus forte présence des évaluations internationales au ministère. Il a laissé entendre que "de grands principes nationaux" sur l'évaluation pourraient être énoncés. a écrit:
En effet, alors que sa rhétorique médiatique avait laissé entendre que l'un de ses objectifs consiste à éradiquer le pédagogisme https://blogs.mediapart.fr/paul-devin/blog/300517/en-finir-avec-le-pedagogisme,
- JPhMMDemi-dieu
Antibi.
Le macabre constant ?
Le macabre constant ?
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- William FosterExpert
Tu ne l'as jamais entendu mettre le feu à un amphi avec sa guitare ? Ou vu faire cours de 2h en n'étant dans l'amphi que 14 minutes ? Ça n'a rien de macabre, c'est de la magie !JPhMM a écrit:Antibi.
Le macabre constant ?
_________________
Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
"Opinions are like orgasms : mine matters most and I really don't care if you have one." Sylvia Plath
Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
- JPhMMDemi-dieu
J'ai eu entre les mains un Antibi 2nde, cela m'a guéri de toute envie de le côtoyer.
A l'IREM de Toulouse, ils ont eu Antibi , à l'IREM de Bordeaux on a eu Terracher .
Tout est dit.
A l'IREM de Toulouse, ils ont eu Antibi , à l'IREM de Bordeaux on a eu Terracher .
Tout est dit.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Thalia de GMédiateur
Les liens ne sont pas cliquables. L'explication ici https://www.neoprofs.org/t113204-1001-conseils-pour-bien-poster-sur-neo#4190926
Merci d'éditer et de rajouter un extrait de l'article https://www.neoprofs.org/t113204-1001-conseils-pour-bien-poster-sur-neo#4186114
Merci d'éditer et de rajouter un extrait de l'article https://www.neoprofs.org/t113204-1001-conseils-pour-bien-poster-sur-neo#4186114
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- CeladonDemi-dieu
Le voilà vêtu pour l'hiver.
(...)
http://www.telerama.fr/monde/monsieur-le-ministre-de-leducation-promet...-et-moi-jen-ai-un-peu-assez,n5394385.php
(...)
La suite ici :Personnellement je les trouve très bien les enseignants de mes enfants. Compétents, motivés, bienveillants même ! Je trouve qu’ils font vraiment leur possible pour enseigner les bases aux enfants, malgré – oui, malgré – les perpétuelles injonctions ministérielles à faire ci et ça et encore ça en plus ou pourquoi pas ça et tenez du code informatique… et de l’histoire de l’art… et des sciences expérimentales, et… et le temps de lecture se réduit comme peau de chagrin. Pour les élèves dont les parents n’ont pas de culture de la lecture, ne lisent pas d’histoires à leurs enfants, ne les incitent pas à lire, c’est une catastrophe.
http://www.telerama.fr/monde/monsieur-le-ministre-de-leducation-promet...-et-moi-jen-ai-un-peu-assez,n5394385.php
- VerduretteModérateur
Tous propos auxquels je ne puis que souscrire.
- ChocolatGuide spirituel
Antibi et ses bourdieuseries, je n'en peux vraiment plus !
Les promesses du ministre, je n'en peux plus non plus !
Mais Lucie Martin qui cite Jean d'Ormesson, j'aime bien :
« Tout semble se déglinguer de partout. Sa langue surtout, son bien le plus précieux, qui brillait de mille feux et régnait sur l'Europe qui régnait sur le monde, se défait de jour en jour. Confucius le savait déjà à l'époque de Platon et de Sophocle : il faut prendre garde aux mots. Une langue qui faiblit, c'est un pays qui vacille. »
(Je dirai malgré tout que cette vie fut belle, 2016)
Les promesses du ministre, je n'en peux plus non plus !
Mais Lucie Martin qui cite Jean d'Ormesson, j'aime bien :
« Tout semble se déglinguer de partout. Sa langue surtout, son bien le plus précieux, qui brillait de mille feux et régnait sur l'Europe qui régnait sur le monde, se défait de jour en jour. Confucius le savait déjà à l'époque de Platon et de Sophocle : il faut prendre garde aux mots. Une langue qui faiblit, c'est un pays qui vacille. »
(Je dirai malgré tout que cette vie fut belle, 2016)
_________________
- ben2510Expert spécialisé
Sois gentil de ne pas confondre Antibi et Bourdieu, merci.
_________________
On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- User9242Niveau 5
Voici un bref aperçu de ce que j'ai naguère exprimé à propos de ce marchand d'orviétan :
" Des interrogations
Eu égard à ce qui précède, il appert donc que « l'évaluation par contrat de confiance », étant loin de prétendre à une réelle évaluation des compétences, ne cadre finalement pas avec l'esprit des programmes et du socle commun, qui reposent justement sur la notion de compétence. Et, à ce titre, la trouvaille d'André Antibi ne peut que difficilement cohabiter avec cette grande ambition affichée de l'école qui veut doter les élèves d'un esprit critique et d'une autonomie intellectuelle. Il en résulte que l'étonnement de la voir bénéficier d'un soutien institutionnel n'en est que plus grand. Comment l'institution peut-elle donc promouvoir ce qui est difficilement conciliable avec ses objectifs et son ambition ? Pourquoi veut-elle encourager un mécanisme d'évaluation qui disqualifie ouvertement une notion qui lui est chère : la compétence ? S'agit-il d'un brouillage sémantique savamment entretenu autour de ce concept, en évitant d'institutionnaliser une fois pour toutes son acception conventionnelle, admise par des chercheurs sérieux, de la trempe d'un Bernard Rey, pourtant souvent écouté des instances officielles, ou le culte de l'innovation est d'une puissance telle que l'engouement aveugle qu'il provoque pousse à accueillir le premier saltimbanque venu en deus ex machina, pourvu que sa trouvaille, même spécieusement estampillée “novatrice”, laisse poindre l'apparence de l'originalité dans le paysage des ordinaires ?
Cet antagonisme entre « l'évaluation par contrat de confiance » et les objectifs institutionnels serait-il le prix que l'institution aurait accepté de payer pour lui accorder son onction ? Il est vrai que, pour elle, le jeu en vaudrait la chandelle. Et pour cause : la trouvaille d'André Antibi fournirait un insigne subterfuge pour masquer l'échec scolaire. Alors, on n'est pas à une contradiction près ?
Si, d'ordinaire, l'on entend par échec scolaire l'échec dans les apprentissages, qu'est-ce qui empêcherait après tout de l'entendre également comme l'échec d'une politique éducative, d'autant plus que le premier peut, à certains égards, être corrélé au second ? Alors, tout ce qui peut cacher « cette misère que l'on ne saurait voir » est-il systématiquement le bienvenu ? N'allez donc pas chercher les origines de l'échec scolaire dans une politique éducative faite de méthodes pédagogiques douteuses, de l'hétérogénéité des élèves, situation générée par la suppression du redoublement et par le collège unique tel qu'il a été mis en place. Vous risquez d'être voué aux gémonies. Comment oseriez-vous jeter le discrédit sur une trouvaille, au prétexte qu'elle serait antinomique vis-à-vis de la grande ambition de l'école qui voudrait pourvoir les élèves d'un esprit critique et d'une autonomie intellectuelle, alors qu'elle permet d'atteindre un objectif double : masquer l'échec scolaire et passer sous les fourches caudines les enseignants en les rendant responsables de celui-ci ? Évertuez-vous à trouver quelque chose qui puisse masquer tout échec à l'école et vous voilà béatifié par la vulgate des progressistes, qui s'empressera de vous qualifier de phénix du monde de l'éducation !" "
La totalité de la réflexion se trouve ici :
http://www.laviemoderne.net/grandes-autopsies/158-l-insoutenable-legerete-de-l-innovationisme
ou ici :
https://antipedagog.wordpress.com/2017/10/31/linsoutenable-legerete-de-linnovationisme-1-ou-lincompatibilite-de-lalternative-a-la-constante-macabre-avec-lambition-de-leco/
Bien à vous.
" Des interrogations
Eu égard à ce qui précède, il appert donc que « l'évaluation par contrat de confiance », étant loin de prétendre à une réelle évaluation des compétences, ne cadre finalement pas avec l'esprit des programmes et du socle commun, qui reposent justement sur la notion de compétence. Et, à ce titre, la trouvaille d'André Antibi ne peut que difficilement cohabiter avec cette grande ambition affichée de l'école qui veut doter les élèves d'un esprit critique et d'une autonomie intellectuelle. Il en résulte que l'étonnement de la voir bénéficier d'un soutien institutionnel n'en est que plus grand. Comment l'institution peut-elle donc promouvoir ce qui est difficilement conciliable avec ses objectifs et son ambition ? Pourquoi veut-elle encourager un mécanisme d'évaluation qui disqualifie ouvertement une notion qui lui est chère : la compétence ? S'agit-il d'un brouillage sémantique savamment entretenu autour de ce concept, en évitant d'institutionnaliser une fois pour toutes son acception conventionnelle, admise par des chercheurs sérieux, de la trempe d'un Bernard Rey, pourtant souvent écouté des instances officielles, ou le culte de l'innovation est d'une puissance telle que l'engouement aveugle qu'il provoque pousse à accueillir le premier saltimbanque venu en deus ex machina, pourvu que sa trouvaille, même spécieusement estampillée “novatrice”, laisse poindre l'apparence de l'originalité dans le paysage des ordinaires ?
Cet antagonisme entre « l'évaluation par contrat de confiance » et les objectifs institutionnels serait-il le prix que l'institution aurait accepté de payer pour lui accorder son onction ? Il est vrai que, pour elle, le jeu en vaudrait la chandelle. Et pour cause : la trouvaille d'André Antibi fournirait un insigne subterfuge pour masquer l'échec scolaire. Alors, on n'est pas à une contradiction près ?
Si, d'ordinaire, l'on entend par échec scolaire l'échec dans les apprentissages, qu'est-ce qui empêcherait après tout de l'entendre également comme l'échec d'une politique éducative, d'autant plus que le premier peut, à certains égards, être corrélé au second ? Alors, tout ce qui peut cacher « cette misère que l'on ne saurait voir » est-il systématiquement le bienvenu ? N'allez donc pas chercher les origines de l'échec scolaire dans une politique éducative faite de méthodes pédagogiques douteuses, de l'hétérogénéité des élèves, situation générée par la suppression du redoublement et par le collège unique tel qu'il a été mis en place. Vous risquez d'être voué aux gémonies. Comment oseriez-vous jeter le discrédit sur une trouvaille, au prétexte qu'elle serait antinomique vis-à-vis de la grande ambition de l'école qui voudrait pourvoir les élèves d'un esprit critique et d'une autonomie intellectuelle, alors qu'elle permet d'atteindre un objectif double : masquer l'échec scolaire et passer sous les fourches caudines les enseignants en les rendant responsables de celui-ci ? Évertuez-vous à trouver quelque chose qui puisse masquer tout échec à l'école et vous voilà béatifié par la vulgate des progressistes, qui s'empressera de vous qualifier de phénix du monde de l'éducation !" "
La totalité de la réflexion se trouve ici :
http://www.laviemoderne.net/grandes-autopsies/158-l-insoutenable-legerete-de-l-innovationisme
ou ici :
https://antipedagog.wordpress.com/2017/10/31/linsoutenable-legerete-de-linnovationisme-1-ou-lincompatibilite-de-lalternative-a-la-constante-macabre-avec-lambition-de-leco/
Bien à vous.
- ChocolatGuide spirituel
ben2510 a écrit:Sois gentil de ne pas confondre Antibi et Bourdieu, merci.
Oh mais je ne les confonds pas, je les trouve très complémentaires !
Presque toutes les aberrations des politiques éducatives des trente dernières années trouvent leur origine et leur justification dans les idées et les concepts de Bourdieu.
_________________
- CeladonDemi-dieu
https://blog.causeur.fr/bonnetdane/ascenseur-social-mon-cul-dirait-zazie-a-propos-de-faux-depart-de-marion-messina-002004.html
Un bouquin que je vais m'empresser de commander.
Un bouquin que je vais m'empresser de commander.
Oui, mais justement, se dit Aurélie, c’est la faute à Grenoble, cette ville où Stendhal n’a plus jamais mis les pieds après l’avoir quittée à 18 ans — ce trou grisâtre entouré de jolies montagnes où, comme elle dit, seuls quelques privilégiés partent chausser leurs skis (un ancien élève qui a réussi l’IEP de Lyon me confiait il y a peu qu’il était hors de question, si l’on voulait s’intégrer au sein de l’Ecole, de ne pas participer aux week-ends organisés à Chamrousse, et que faire du ski était au fond un critère d’amission non écrit mais réel).
Alors, elle « monte » à Paris. Paris, ville fictive, comme je l’ai déjà raconté ici, où 2 millions de privilégiés — susceptibles de payer les loyers déments de la capitale — croisent les 10 millions de miséreux qui viennent chaque jour les servir. Aurélie décroche ainsi une kyrielle de petits boulots enrichissants (pot de fleurs dans le hall d’entrée d’une grande entreprise, par exemple). Les jeunes qu’elle croise sont « dans la majorité des cas fils d’ingénieurs, de médecins ou de militaires, originaires des Yvelines ou de la province acceptable pour un Parisien : Haute-Savoie, côte atlantique, arrière-pays provençal, Bretagne côtière, Normandie reliée à la capitale en une heure. » À l’intérieur de la « France périphérique » de Christophe Guilluy, il y a des réserves de Parisiens d’adoption — Chamonix (ne pas prononcer le x, malheureux !), La Baule, le Luberon (et non pas Lubéron, ignare !), Deauville — ou Saint-Nom-la-Bretèche. Des îlots de privilégiés en puissance, qui tôt ou tard feront de Paris leur capitale d’élection où, comme le constate Aurélie, « ils n’ont pas à travailler à la sortie des cours et trouvent des stages avec une insolente facilité ». Jamais la mutation d’une élite républicaine en oligarchie démocratique en reproduction permanente n’a été si lumineusement exposée. Et rarement l’escroquerie du système universitaire, qui feint de dispenser des « compétences » à tous — faute de transmettre de vrais savoirs et une vraie culture — alors qu’elle est là pour sélectionner les héritiers, n’a été aussi suavement décrite : « Elle rencontrait des ingénieurs stupides, des étudiants d’IUFM illettrés, fiers d’avoir atteint un niveau d’instruction élevé sans rougir de leur manque de curiosité et d’ouverture d’esprit. »
- ben2510Expert spécialisé
IL faut une lecture bien particulière de Bourdieu pour affirmer une telle chose.Chocolat a écrit:ben2510 a écrit:Sois gentil de ne pas confondre Antibi et Bourdieu, merci.
Oh mais je ne les confonds pas, je les trouve très complémentaires !
Presque toutes les aberrations des politiques éducatives des trente dernières années trouvent leur origine et leur justification dans les idées et les concepts de Bourdieu.
_________________
On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- JPhMMDemi-dieu
A mon avis, si Bourdieu lisait toutes les conneries qui sont écrites en son nom, il se suiciderait.Chocolat a écrit:ben2510 a écrit:Sois gentil de ne pas confondre Antibi et Bourdieu, merci.
Oh mais je ne les confonds pas, je les trouve très complémentaires !
Presque toutes les aberrations des politiques éducatives des trente dernières années trouvent leur origine et leur justification dans les idées et les concepts de Bourdieu.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Le pédagogisme en HG
- Emmanuel Protin, vice-président du Snalc Créteil, affirme que "le pédagogisme" est coupable du meurtre de Fabienne Terral-Calmès. Le Snalc national condame ce "dérapage".
- Causeur et Debout la République : "Les nouvelles ÉSPÉ feront du pédagogisme à haute dose".
- Après avoir conquis le primaire et le secondaire, le pédagogisme arrive dans l'enseignement supérieur.
- Edito de J.Julliard dans Marianne : "L'école française est dominée par un pédagogisme compassionnel et une parentocratie démagogique"
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum