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- slynopHabitué du forum
https://actu.fr/normandie/caen_14118/ni-cours-ni-programme-bienvenue-nouvelle-ecole-democratique-caen_12939621.html
L'école où l'on enseigne est donc une école dictatoriale, si on comprend bien.
Voici un lien qui développe plus cette idée d'école démocratique.
http://www.slate.fr/story/116317/ecoles-democratiques-cours-programmes
"Imaginez une école où il n’y a pas d’exercices de mathématiques et de français exigés. Où il n’y a ni cours, ni programmes imposés. Une école où les enfants sont libres de faire ce qu’ils veulent, comme ils l’entendent. C’est le projet de l’école démocratique de Caen (Calvados), qui devrait ouvrir courant 2018 dans l’espace Yvonne Guégan, au 22 rue Géo Lefèvre, près de la rue Caponière".
L'école où l'on enseigne est donc une école dictatoriale, si on comprend bien.
Voici un lien qui développe plus cette idée d'école démocratique.
http://www.slate.fr/story/116317/ecoles-democratiques-cours-programmes
- e-WandererGrand sage
:fou: :KO3:
Et c'est pareil à la cantine, ils mangent ce qu'ils veulent ? frites, glaces et gâteaux ?
Et c'est pareil à la cantine, ils mangent ce qu'ils veulent ? frites, glaces et gâteaux ?
- ZagaraGuide spirituel
C'est un dévoiement des idées de Freinet, non ?
Une sorte de mutation cancéreuse de la pédagogie coopérative démocratique.
Une sorte de mutation cancéreuse de la pédagogie coopérative démocratique.
- ElyasEsprit sacré
Zagara a écrit:C'est un dévoiement des idées de Freinet, non ?
Une sorte de mutation cancéreuse de la pédagogie coopérative démocratique.
Non, ce n'est pas du Freinet (le travail est au coeur de la pédagogie Freinet ce qui n'est pas le cas des écoles démocratiques) mais plutôt de la philosophie du fondateur de la Summerhill school.
- InvitéInvité
En tout cas on dirait que cela se rattache aussi à ceci :
http://www.sociocratie-france.fr/2015/02/retour-sur-une-experience-d-utilisation-de-la-methode-sociocratique-pour-developper-un-projet-d-innovation-sociale.html
http://www.sociocratie-france.fr/2015/02/retour-sur-une-experience-d-utilisation-de-la-methode-sociocratique-pour-developper-un-projet-d-innovation-sociale.html
- ycombeMonarque
Summerhill dont le bilan est plutôt catastrophique: de mémoire, si les anciens élèves en gardent plutôt un bon souvenir, ils se sont retrouvés sans diplômes dans des métiers cantonnés à des tâches d'exécution simples.Elyas a écrit:Zagara a écrit:C'est un dévoiement des idées de Freinet, non ?
Une sorte de mutation cancéreuse de la pédagogie coopérative démocratique.
Non, ce n'est pas du Freinet (le travail est au coeur de la pédagogie Freinet ce qui n'est pas le cas des écoles démocratiques) mais plutôt de la philosophie du fondateur de la Summerhill school.
Bref on joue avec l'avenir social des enfants au nom d'une utopie et ça, c'est pas bien.
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Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- roxanneOracle
Je ne pense pas que ça fera le plein. C'est assez marrant d'ailleurs à lire quand on sort du post "parents d'enfants de maternelle et de primaire" et des débats qui y ont cours...
- JEMSGrand Maître
ycombe a écrit:Summerhill dont le bilan est plutôt catastrophique: de mémoire, si les anciens élèves en gardent plutôt un bon souvenir, ils se sont retrouvés sans diplômes dans des métiers cantonnés à des tâches d'exécution simples.Elyas a écrit:Zagara a écrit:C'est un dévoiement des idées de Freinet, non ?
Une sorte de mutation cancéreuse de la pédagogie coopérative démocratique.
Non, ce n'est pas du Freinet (le travail est au coeur de la pédagogie Freinet ce qui n'est pas le cas des écoles démocratiques) mais plutôt de la philosophie du fondateur de la Summerhill school.
Bref on joue avec l'avenir social des enfants au nom d'une utopie et ça, c'est pas bien.
C'est déjà le cas avec le lycée professionnel actuel mais je m'égare un peu.
Ce qui me choque c'est cette volonté d'abandonner toute idée de labeur et d'effort... il ne faut plus de contraintes, il faut plus de libertés, ne pas brusquer le "jeune adulte de demain".
- DalvaVénérable
Ce n'est pas nouveau, comme lubie : à la fin des années 90, on nous présentait l'école libertaire à la fac, sur le même principe (et dans la même zone géographique, si je me souviens bien).slynop a écrit:https://actu.fr/normandie/caen_14118/ni-cours-ni-programme-bienvenue-nouvelle-ecole-democratique-caen_12939621.html
"Imaginez une école où il n’y a pas d’exercices de mathématiques et de français exigés. Où il n’y a ni cours, ni programmes imposés. Une école où les enfants sont libres de faire ce qu’ils veulent, comme ils l’entendent. C’est le projet de l’école démocratique de Caen (Calvados), qui devrait ouvrir courant 2018 dans l’espace Yvonne Guégan, au 22 rue Géo Lefèvre, près de la rue Caponière".
L'école où l'on enseigne est donc une école dictatoriale, si on comprend bien.
Voici un lien qui développe plus cette idée d'école démocratique.
http://www.slate.fr/story/116317/ecoles-democratiques-cours-programmes
Trois de mes cousins ont été élevés comme ça par leurs parents. Ben ce n'est pas particulièrement concluant, pour l'exemple que j'en ai, et le problème est bien pire qu'un boulot peu rémunérateur.
Quoi qu'il en soit, ce qui est décrit là n'a rien à voir avec une école démocratique. L'école démocratique a déjà ses penseurs, notamment avec Nico Hirtt et l'APED :
http://www.skolo.org
Rien à voir avec l'absence d'efforts et la liberté totale.
- VerduretteModérateur
C'est exactement le principe de l'école Montessori réellement mise en oeuvre. L'enfant choisit le domaine dans lequel il veut travailler, suivant sa curiosité et son appétit d'apprendre. Peut-être qu'un jour il ne fera que des maths, et passera le jour suivant dans les atlas ... L'ennui, c'est que ce type d'apprentissage requiert un matériel pédagogique énorme et surtout la présence de nombreux adultes, c'est juste inapplicable à l'école publique. Enfin, c'est plus adapté aux premières années d'apprentissage qu'aux années CM-collège, a fortiori au lycée.
Et pour que l'enfant fasse sienne l'envie de "bien se nourrir" intellectuellement, encore faut-il que le menu soit ambitieux.
Pas sûr non plus que l'idéologie rousseauiste consistant à penser que l'enfant va tout faire "bien" de lui-même soit réaliste. Il y aura aussi ceux qui ne feront strictement ...rien.
Un minimum de contraintes me semble utile pour apprendre à vivre en société, hors même de l'école.
Certains fils récents ont évoqué la lecture, certains enfants sont prêts à 4 ans, d'autres seulement à 7, il n'empêche que tous sont obligés de le faire à 6 ans, et c'est dommage. Si on y réfléchit, d'ailleurs, le principe des cycles proposés en 1989 n'a jamais été appliqué comme il aurait dû l'être, en regroupant les enfants par niveau, quel que soit leur âge. Au lieu de cela, on les regroupe par âge, en multipliant les niveaux, ce qui est ingérable pour les enseignants.
En revanche je réfute le nom d'école démocratique. Cela pourrait convenir à une école où les élèves voteraient en début de journée le programme à mettre en œuvre (ça me paraît farfelu, mais ce serait démocratique...). Là, c'est plutôt une école de la liberté individuelle totale. Ce qui n'a absolument rien de démocratique.
Et pour que l'enfant fasse sienne l'envie de "bien se nourrir" intellectuellement, encore faut-il que le menu soit ambitieux.
Pas sûr non plus que l'idéologie rousseauiste consistant à penser que l'enfant va tout faire "bien" de lui-même soit réaliste. Il y aura aussi ceux qui ne feront strictement ...rien.
Un minimum de contraintes me semble utile pour apprendre à vivre en société, hors même de l'école.
Certains fils récents ont évoqué la lecture, certains enfants sont prêts à 4 ans, d'autres seulement à 7, il n'empêche que tous sont obligés de le faire à 6 ans, et c'est dommage. Si on y réfléchit, d'ailleurs, le principe des cycles proposés en 1989 n'a jamais été appliqué comme il aurait dû l'être, en regroupant les enfants par niveau, quel que soit leur âge. Au lieu de cela, on les regroupe par âge, en multipliant les niveaux, ce qui est ingérable pour les enseignants.
En revanche je réfute le nom d'école démocratique. Cela pourrait convenir à une école où les élèves voteraient en début de journée le programme à mettre en œuvre (ça me paraît farfelu, mais ce serait démocratique...). Là, c'est plutôt une école de la liberté individuelle totale. Ce qui n'a absolument rien de démocratique.
- stenchMonarque
Verdurette a écrit:
En revanche je réfute le nom d'école démocratique. Cela pourrait convenir à une école où les élèves voteraient en début de journée le programme à mettre en œuvre (ça me paraît farfelu, mais ce serait démocratique...).
C'est le cas par exemple au Lycée Autogéré de Paris. Les programmes ne sont certes pas votés (le lycée présente ses élèves au bac et doit bien se "plier" à un programme") mais pour le reste c'est le cas.
http://www.l-a-p.org/
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"Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend." Yannis Youlountas
"Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis."
- ZagaraGuide spirituel
Le jeune chômeur de demain plutôt.JEMS a écrit:ycombe a écrit:Summerhill dont le bilan est plutôt catastrophique: de mémoire, si les anciens élèves en gardent plutôt un bon souvenir, ils se sont retrouvés sans diplômes dans des métiers cantonnés à des tâches d'exécution simples.Elyas a écrit:Zagara a écrit:C'est un dévoiement des idées de Freinet, non ?
Une sorte de mutation cancéreuse de la pédagogie coopérative démocratique.
Non, ce n'est pas du Freinet (le travail est au coeur de la pédagogie Freinet ce qui n'est pas le cas des écoles démocratiques) mais plutôt de la philosophie du fondateur de la Summerhill school.
Bref on joue avec l'avenir social des enfants au nom d'une utopie et ça, c'est pas bien.
C'est déjà le cas avec le lycée professionnel actuel mais je m'égare un peu.
Ce qui me choque c'est cette volonté d'abandonner toute idée de labeur et d'effort... il ne faut plus de contraintes, il faut plus de libertés, ne pas brusquer le "jeune adulte de demain".
Parce que je ne vois pas quel patron se risquerait à embaucher un type élevé dans la paresse et le refus de l'autorité alors qu'il peut, pour le même prix, embaucher quelqu'un qui a le goût de l'effort et qui ne remet pas chaque ordre en cause.
- ElyasEsprit sacré
Zagara a écrit:Le jeune chômeur de demain plutôt.JEMS a écrit:ycombe a écrit:Summerhill dont le bilan est plutôt catastrophique: de mémoire, si les anciens élèves en gardent plutôt un bon souvenir, ils se sont retrouvés sans diplômes dans des métiers cantonnés à des tâches d'exécution simples.Elyas a écrit:
Non, ce n'est pas du Freinet (le travail est au coeur de la pédagogie Freinet ce qui n'est pas le cas des écoles démocratiques) mais plutôt de la philosophie du fondateur de la Summerhill school.
Bref on joue avec l'avenir social des enfants au nom d'une utopie et ça, c'est pas bien.
C'est déjà le cas avec le lycée professionnel actuel mais je m'égare un peu.
Ce qui me choque c'est cette volonté d'abandonner toute idée de labeur et d'effort... il ne faut plus de contraintes, il faut plus de libertés, ne pas brusquer le "jeune adulte de demain".
Parce que je ne vois pas quel patron se risquerait à embaucher un type élevé dans la paresse alors qu'il peut, pour le même prix, embaucher quelqu'un de dur à la tâche et qui a le goût de l'effort.
En même temps, depuis qu'on a mis l'employabilité comme objectif politique de l'école (ce qui n'apparaît pas textuellement dans les cadres réglementaires de nos missions) et non l'émancipation de l'individu, les résultats d'employabilité ont baissé.
- ZagaraGuide spirituel
C'est pas l'inverse ? Parce que le chômage augmente (pas à cause de l'école mais à cause de la financiarisation, de la capacité à délocaliser sans coût, de la mécanisation) on rend l'école responsable de l'employabilité. Il serait tabou de dire que ce sont les politiques des entreprises qui sont responsables du chômage structurel, donc on cherche d'autres acteurs à "responsabiliser" pour tenter de corriger le chômage.
On dit "oui il y a du chômage mais on va rendre les jeunes plus employables en adaptant l'école au marché du travail". Plus le chômage s'implante, plus l'école est rendue responsable de le corriger. Objectif perdu d'avance puisque ce sont des effets de structures extérieurs à l'école et bien plus profonds qui sont responsables du chômage structurel (en premier lieu la libre circulation des capitaux financiers).
On dit "oui il y a du chômage mais on va rendre les jeunes plus employables en adaptant l'école au marché du travail". Plus le chômage s'implante, plus l'école est rendue responsable de le corriger. Objectif perdu d'avance puisque ce sont des effets de structures extérieurs à l'école et bien plus profonds qui sont responsables du chômage structurel (en premier lieu la libre circulation des capitaux financiers).
- AnaxagoreGuide spirituel
Cela ressemble à la dictature des imbéciles cette idée fumeuse.
_________________
"De même que notre esprit devient plus fort grâce à la communication avec les esprits vigoureux et raisonnables, de même on ne peut pas dire combien il s'abâtardit par le commerce continuel et la fréquentation que nous avons des esprits bas et maladifs." Montaigne
"Woland fit un signe de la main, et Jérusalem s'éteignit."
"On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la philosophie allume le sien." Sade
- ElyasEsprit sacré
Zagara a écrit:C'est pas l'inverse ? Parce que le chômage augmente (pas à cause de l'école mais à cause de la financiarisation, de la capacité à délocaliser sans coût, de la mécanisation) on rend l'école responsable de l'employabilité. Il serait tabou de dire que ce sont les politiques des entreprises qui sont responsables du chômage structurel, donc on cherche d'autres acteurs à "responsabiliser" pour tenter de corriger le chômage.
On dit "oui il y a du chômage mais on va rendre les jeunes plus employables en adaptant l'école au marché du travail". Plus le chômage s'implante, plus l'école est rendue responsable de le corriger. Objectif perdu d'avance puisque ce sont des effets de structures extérieurs à l'école et bien plus profonds qui sont responsables du chômage structurel (en premier lieu la libre circulation des capitaux financiers).
Je suis tout à fait d'accord. On fait de l'école la responsable de tous les maux et on lui demande de sauver la France alors que ce n'est pas son rôle d'être un messie salvateur.
- slynopHabitué du forum
Anaxagore a écrit:Cela ressemble à la dictature des imbéciles cette idée fumeuse.
Très souvent, dès qu'on accole le mot "démocratique" à quelque chose, ça en prend souvent la direction opposée, comme la DDR de Honecker,par exemple, mais je m'égare.
- EuthyphronNiveau 6
Un enfant "libre de faire ce qu'il veut", la première chose qu'il fait, c'est de ne pas aller à l'école!
- AnaxagoreGuide spirituel
Euthyphron a écrit:Un enfant "libre de faire ce qu'il veut", la première chose qu'il fait, c'est de ne pas aller à l'école!
L'île aux plaisirs de Pinocchio.
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"De même que notre esprit devient plus fort grâce à la communication avec les esprits vigoureux et raisonnables, de même on ne peut pas dire combien il s'abâtardit par le commerce continuel et la fréquentation que nous avons des esprits bas et maladifs." Montaigne
"Woland fit un signe de la main, et Jérusalem s'éteignit."
"On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la philosophie allume le sien." Sade
- mytilusNiveau 5
Bah quoi ? Moi aussi, ma classe est un espace démocratique, dans lequel toutes les décisions sont soumises au vote. Et comme j'obéis aux lois de la république, le corps électoral est constitué de tous les citoyens âgés de plus de 18 ans. L'avantage d'enseigner au collège, les élèves atteignent rarement cet age.
Plus sérieusement, ce système se concentre seulement sur l'individu et non sur des décisions communes. En quoi est-ce démocratique ? Pour moi, c'est plutôt une "école anarchique".
Plus sérieusement, ce système se concentre seulement sur l'individu et non sur des décisions communes. En quoi est-ce démocratique ? Pour moi, c'est plutôt une "école anarchique".
- JPhMMDemi-dieu
De ne pas aller à la selle.Euthyphron a écrit:Un enfant "libre de faire ce qu'il veut", la première chose qu'il fait, c'est de ne pas aller à l'école!
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- stenchMonarque
JPhMM a écrit:De ne pas aller à la selle.Euthyphron a écrit:Un enfant "libre de faire ce qu'il veut", la première chose qu'il fait, c'est de ne pas aller à l'école!
Tu m'apprends un truc. Je pensais que les enfants aimaient bien le poney.
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"Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend." Yannis Youlountas
"Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis."
- slynopHabitué du forum
Quand j'ai rapidement évoqué en cours la Révolution Industrielle et le travail d'enfants dans les mines, j'en ai plusieurs qui m'ont dit, mi-sérieux mi-provocateurs, qu'ils préfèreraient travailler dans les mines que de devoir être en classe, au moins ils seraient libres.
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"C'est pas moi qu'explique mal, c'est les autres qui sont cons !", Perceval dans Kaamelot.
- JPhMMDemi-dieu
:lol:stench a écrit:JPhMM a écrit:De ne pas aller à la selle.Euthyphron a écrit:Un enfant "libre de faire ce qu'il veut", la première chose qu'il fait, c'est de ne pas aller à l'école!
Tu m'apprends un truc. Je pensais que les enfants aimaient bien le poney.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Ramanujan974Érudit
slynop a écrit:Anaxagore a écrit:Cela ressemble à la dictature des imbéciles cette idée fumeuse.
Très souvent, dès qu'on accole le mot "démocratique" à quelque chose, ça en prend souvent la direction opposée, comme la DDR de Honecker,par exemple, mais je m'égare.
Oui, ou dans le "démocratique" de la Corée du Nord, alias RDPC : République Démocratique et Populaire de Corée
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