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- JaneBNeoprof expérimenté
Cléopâtre a écrit:oldschool77 a écrit:Mais j'ai aussi révisé mes attentes vis-à-vis du boulot : plus question de chercher à se sentir utile et épanoui, par contre il me faut un environnement respectueux de chacun et des horaires de travail définis.
En tous cas je ne vois pas comment j'aurais pu concilier des démarches, entretiens, révisions, avec l'activité harassante du professeur de langue vivante. Il faut se donner un objectif clair, du temps et y mettre son énergie malgré les incertitudes.
Oui, je ne m'illusionne pas.
C'est tout à fait ça. J'ai l'impression d'avoir été mal comprise ici. Ma décision est déjà prise, mon projet est clair, et je ne manque pas de motivation. Mais pour moi, cette profession épuisante, voilà pourquoi j'ai du mal à gérer les deux. Sans doute que le stress et le fait d'aller au travail avec des pieds de plomb chaque matin n'aide pas.
Peut être que je suis tout simplement nulle aussi Je sais que d'autres trouvent que c'est "plutôt cool" (je cite...) ou encore que nous sommes bien payés "pour ce que nous faisons" (je cite toujours).
Dans tous les cas, il me faut une solution pour prendre de la distance l'année prochaine. Et les demandes se font tôt.
Merci oldschool77 pour tes précisions!
Je te comprends tout à fait. Je vis la même chose que toi. Ce métier demande une énergie folle, je trouve.
- LefterisEsprit sacré
Mais oui, ôte-toi de l'esprit l'idée romantique et chateaubrianesque que tu souffres plus . Tu ne peux pas savoir ce qu'éprouvent plein de gens qui ne disent mot. Maintenant, lance toi, mais enlève le frein...Cléopâtre a écrit:
Haha , c'est vrai, c'est sans doute tout le monde! Précision: j'ai intégré l'idée que je dois partir. J'ai mis du temps à l'intégrer (deux, trois ans) mais c'est fait.
Evidemment, personne n'aime rater un concours, mais les concours administratifs sont justement très différents de l'agreg, ntamment en lettres où il faut pratiquement tout recommencer. Les savoirs sont cumulatifs (note de synthèse, questions juridiques) , et ce que tu as fait n'est pas perdu pour le concours suivant, voire un autre concours ayant des caractéristiques proches. Ceux qui ont réussi te le diront.Oui, je cherche à ne pas avoir le cerveau parasité. La peur de rater un concours est bien là mais elle ne me paralyse pas et je pense qu'on ne perd jamais son temps quand on apprend de nouvelles choses.
Non seulement ça ne nuit pas, mais ça apporte quelque chose. Entre une heure à faire un tableau de progression de une heure à s'imprégner tranquillement d'une relecture d'un texte, d'une nou velle lecture, d'une préface savante, , qu'est-ce qui est le plus utile à l'exercice de ton art ? (Question rhétorique).Mais je vois ici que d'autres ont réussi à mettre de la distance avec toutes les tâches que nous avons alors je dois pouvoir le faire aussi! Peu de prép, peu d'éval', peu de "prises de tête inutiles" et le reste du temps en bibli. J'imprime.
Moi, mais pas dans le bons sens. Je connaissais pas Néo... Et objectivement ma situation est une des meilleures possibles. Mais je contemple avec effroi le naufrage autour de moi.Ici, on trouve des exemples de reconversion et de gens qui ont préparé autre chose. Avec succès.
[/quote]
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- CléopâtreNiveau 4
Lefteris a écrit: Maintenant, lance toi, mais enlève le frein...
Chef oui chef!
Moi, mais pas dans le bons sens. Je connaissais pas Néo... . Et objectivement ma situation est une des meilleures possibles. Mais je contemple avec effroi le naufrage autour de moi.
Non... Toi, mais dans l'autre sens! C'était le bon sens pour toi puisque ta situation te plaît
Il y en a qui sont bien dans ce métier et ce n'est pas moi qui chercherais à les en dégoûter juste parce que je m'y sens mal moi-même! Au contraire!
- CatherineDeneuveNiveau 4
Mais je vois ici que d'autres ont réussi à mettre de la distance avec toutes les tâches que nous avons alors je dois pouvoir le faire aussi! Peu de prép, peu d'éval', peu de "prises de tête inutiles" et le reste du temps en bibli. J'imprime.
Non seulement ça ne nuit pas, mais ça apporte quelque chose. Entre une heure à faire un tableau de progression de une heure à s'imprégner tranquillement d'une relecture d'un texte, d'une nouvelle lecture, d'une préface savante, qu'est-ce qui est le plus utile à l'exercice de ton art ? (Question rhétorique).
Cet état d'esprit est tout à fait le mien ! Mais maintenant j'ai appris à ne plus le dire à haute voix (avant je le disais à qui voulait l'entendre car j'assumais mon je-m'en-foutisme) car si on ne passe pas sa vie à faire des tableaux de prep', à cocher des petites croix pour les compétences, à planifier sa progression, à monter 6 ou 7 projets, on passe pour un "mauvais prof".
Perso, je fais tout ce que les bons profs consciencieux n'ont pas le temps de faire : je lis des romans, je lis la presse, je vais au musée, je pars à l'étranger à chaque fois qu'on a des congés, je regarde des films d'auteur, je couds, je peins, je tricote, j'écris et je passe très peu de temps dans mes prep' Et franchement, je ne trouve pas que mes cours soient plus nuls que les autres.
Alors, voilà, je prône le laisser-aller Mais est-ce peut-être plus simple dans ma matière (arts) qui n'est pas fondamentale et dont la responsabilité pèse moins ?
- LefterisEsprit sacré
Pas tant que ça, j'ai passé le premier concours à ma portée pour fuir une certaine situation, mais je n'ai pas réussi à repartir en sens inverse . Disons que ce n'est pas parce que je suis "bien" dans le métier, mais son inintérêt est pour moi compensé par la proximité domiciliaire, le fait d'être quasiment en bout d'échelle indiciaire etc. Mais je vois la situation de beaucoup autour de moi (qui n'ont pas ces compensations), la dégradation fulgurante , ce qui se prépare , et franchement je ne me vois pas conseiller ce métier. En plus je cherche toujours moi-même un détachement, même si les chances sont infimes, ce serait donc malhonnête de ma part.Cléopâtre a écrit:Lefteris a écrit: Maintenant, lance toi, mais enlève le frein...
Chef oui chef!
Moi, mais pas dans le bons sens. Je connaissais pas Néo... . Et objectivement ma situation est une des meilleures possibles. Mais je contemple avec effroi le naufrage autour de moi.
Non... Toi, mais dans l'autre sens! C'était le bon sens pour toi puisque ta situation te plaît
Il y en a qui sont bien dans ce métier et ce n'est pas moi qui chercherais à les en dégoûter juste parce que je m'y sens mal moi-même! Au contraire!
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- CléopâtreNiveau 4
CatherineDeneuve a écrit: Alors, voilà, je prône le laisser-aller Mais est-ce peut-être plus simple dans ma matière (arts) qui n'est pas fondamentale et dont la responsabilité pèse moins ?
L'état d'esprit de quelqu'un qui a le sens des priorités et qui sait se ménager en prévision des années à venir!
Et oui, il vaut mieux se taire, c'est bien connu!
Lefteris a écrit: Pas tant que ça, j'ai passé le premier concours à ma portée pour fuir une certaine situation, mais je n'ai pas réussi à repartir en sens inverse . Disons que ce n'est pas parce que je suis "bien" dans le métier, mais son inintérêt est pour moi compensé par la proximité domiciliaire, le fait d'être quasiment en bout d'échelle indiciaire etc. Mais je vois la situation de beaucoup autour de moi (qui n'ont pas ces compensations), la dégradation fulgurante , ce qui se prépare , et franchement je ne me vois pas conseiller ce métier. En plus je cherche toujours moi-même un détachement, même si les chances sont infimes, ce serait donc malhonnête de ma part.
Tu as voulu retrouver ton ancien poste mais tu n'as pas pu? Heureusement que tu t'y retrouves en effet. Et tu recherches un détachement où si ce n'est pas trop indiscret?
- LefterisEsprit sacré
Une première fois quand j'étais encore stagiaire, mais la situation n'a pas pu s'arranger, donc j'ai pris mon poste. Il y a quelque temps par détachement, mais refusé. Je cherche soit dans un autre ministère, pour la formation d'adultes, ou alors ayant un rapport avec mon ancien métier (mais là je ne dis pas, ce serait comme si je donnais ma carte d'identité ). Mais les difficultés sont innombrables : les détachements se font de grille indicaire équivalente (donc ça limite), il y a l'âge qui avance, beaucoup de postes sont pris dans les faits au moment de leur parution, etc.Cléopâtre a écrit:Lefteris a écrit: Pas tant que ça, j'ai passé le premier concours à ma portée pour fuir une certaine situation, mais je n'ai pas réussi à repartir en sens inverse . Disons que ce n'est pas parce que je suis "bien" dans le métier, mais son inintérêt est pour moi compensé par la proximité domiciliaire, le fait d'être quasiment en bout d'échelle indiciaire etc. Mais je vois la situation de beaucoup autour de moi (qui n'ont pas ces compensations), la dégradation fulgurante , ce qui se prépare , et franchement je ne me vois pas conseiller ce métier. En plus je cherche toujours moi-même un détachement, même si les chances sont infimes, ce serait donc malhonnête de ma part.
Tu as voulu retrouver ton ancien poste mais tu n'as pas pu? Heureusement que tu t'y retrouves en effet. Et tu recherches un détachement où si ce n'est pas trop indiscret?
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- CléopâtreNiveau 4
Lefteris a écrit:
Une première fois quand j'étais encore stagiaire, mais la situation n'a pas pu s'arranger, donc j'ai pris mon poste. Il y a quelque temps par détachement, mais refusé. Je cherche soit dans un autre ministère, pour la formation d'adultes, ou alors ayant un rapport avec mon ancien métier (mais là je ne dis pas, ce serait comme si je donnais ma carte d'identité ). Mais les difficultés sont innombrables : les détachements se font de grille indicaire équivalente (donc ça limite), il y a l'âge qui avance, beaucoup de postes sont pris dans les faits au moment de leur parution, etc.
Haha, oui, je comprends tout à fait!
Et il est vrai qu'il faut ouvrir l’œil! Il y a enseignement et enseignement! Tout le monde n'est pas en collège... Il y a des endroits moins "fous" (le problème étant qu'ils sont vite repérés et accaparés^^)!
En tout cas, merci encore pour tes paroles encourageantes!
- LizbethNiveau 1
Bonjour à toutes et à tous,
Je reviens vers vous avec des nouvelles, j'espère que mon témoignage servira à montrer qu'il y a bien une vie en dehors de l'Education Nationale, et que ce n'est pas parce qu'on nous habitue à une remise en question incessante qui nous pousse petit à petit vers le bas (c'était mon ressenti en tout cas) qu'on n'est pas capable de réussir en dehors de ce système.
Après mon burn out, j'ai décidé de postuler dans le privé, sans y croire vraiment je vous avoue. J'ai toujours été une très bonne élève, plutôt impliquée, plutôt sûre de moi, pourtant depuis mon entrée à l'EN il y a 5 ans je n'ai fait que perdre confiance en moi. Eh bien, au bout de 3 entretiens je me suis vue proposer un CDI dans une boîte qui a l'air vraiment chouette à côté de chez moi (fini les 2h30 de trajets par jour)!!! Je passe de l'enseignement des langues au commerce international (où j'aurai l'occasion de pratiquer les langues étrangères bien plus qu'en cours), avec un contrat de 35 heures par semaine, mes soirées, mes weekends, et plein de nouvelles choses à apprendre! Je suis tellement enthousiaste, ça fait un bien fou de tomber sur des gens qui vous disent clairement "on a envie de vous former pour vous faire progresser". Quand je repense à quel point j'ai dû me débrouiller toute seule pendant mon année de stage, avec une tutrice tout simplement horrible qui prenait du plaisir à me voir échouer, je me demande bien pourquoi je n'ai pas eu le courage de franchir le pas plus tôt. Du coup j'ai envoyé ma lettre de démission au Rectorat, et je ne regrette pas du tout ma décision.
Voilà, après il s'agit de mon expérience, une parmi d'autres, je tenais tout simplement à la partager avec vous, en espérant que ça puisse servir à quelqu'un!
Je reviens vers vous avec des nouvelles, j'espère que mon témoignage servira à montrer qu'il y a bien une vie en dehors de l'Education Nationale, et que ce n'est pas parce qu'on nous habitue à une remise en question incessante qui nous pousse petit à petit vers le bas (c'était mon ressenti en tout cas) qu'on n'est pas capable de réussir en dehors de ce système.
Après mon burn out, j'ai décidé de postuler dans le privé, sans y croire vraiment je vous avoue. J'ai toujours été une très bonne élève, plutôt impliquée, plutôt sûre de moi, pourtant depuis mon entrée à l'EN il y a 5 ans je n'ai fait que perdre confiance en moi. Eh bien, au bout de 3 entretiens je me suis vue proposer un CDI dans une boîte qui a l'air vraiment chouette à côté de chez moi (fini les 2h30 de trajets par jour)!!! Je passe de l'enseignement des langues au commerce international (où j'aurai l'occasion de pratiquer les langues étrangères bien plus qu'en cours), avec un contrat de 35 heures par semaine, mes soirées, mes weekends, et plein de nouvelles choses à apprendre! Je suis tellement enthousiaste, ça fait un bien fou de tomber sur des gens qui vous disent clairement "on a envie de vous former pour vous faire progresser". Quand je repense à quel point j'ai dû me débrouiller toute seule pendant mon année de stage, avec une tutrice tout simplement horrible qui prenait du plaisir à me voir échouer, je me demande bien pourquoi je n'ai pas eu le courage de franchir le pas plus tôt. Du coup j'ai envoyé ma lettre de démission au Rectorat, et je ne regrette pas du tout ma décision.
Voilà, après il s'agit de mon expérience, une parmi d'autres, je tenais tout simplement à la partager avec vous, en espérant que ça puisse servir à quelqu'un!
- musaNeoprof expérimenté
Merci Lizbeth, ton témoignage ne me servira pas directement (je suis vieille et je ne pratique pas les langues étrangères :| ), mais il fait plaisir à lire!
- VicomteDeValmontGrand sage
Lizbeth a écrit:Bonjour à toutes et à tous,
Je reviens vers vous avec des nouvelles, j'espère que mon témoignage servira à montrer qu'il y a bien une vie en dehors de l'Education Nationale, et que ce n'est pas parce qu'on nous habitue à une remise en question incessante qui nous pousse petit à petit vers le bas (c'était mon ressenti en tout cas) qu'on n'est pas capable de réussir en dehors de ce système.
Après mon burn out, j'ai décidé de postuler dans le privé, sans y croire vraiment je vous avoue. J'ai toujours été une très bonne élève, plutôt impliquée, plutôt sûre de moi, pourtant depuis mon entrée à l'EN il y a 5 ans je n'ai fait que perdre confiance en moi. Eh bien, au bout de 3 entretiens je me suis vue proposer un CDI dans une boîte qui a l'air vraiment chouette à côté de chez moi (fini les 2h30 de trajets par jour)!!! Je passe de l'enseignement des langues au commerce international (où j'aurai l'occasion de pratiquer les langues étrangères bien plus qu'en cours), avec un contrat de 35 heures par semaine, mes soirées, mes weekends, et plein de nouvelles choses à apprendre! Je suis tellement enthousiaste, ça fait un bien fou de tomber sur des gens qui vous disent clairement "on a envie de vous former pour vous faire progresser". Quand je repense à quel point j'ai dû me débrouiller toute seule pendant mon année de stage, avec une tutrice tout simplement horrible qui prenait du plaisir à me voir échouer, je me demande bien pourquoi je n'ai pas eu le courage de franchir le pas plus tôt. Du coup j'ai envoyé ma lettre de démission au Rectorat, et je ne regrette pas du tout ma décision.
Voilà, après il s'agit de mon expérience, une parmi d'autres, je tenais tout simplement à la partager avec vous, en espérant que ça puisse servir à quelqu'un!
Du point de vue salaire ça va donner quoi si ce n'est pas indiscret?
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Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- LizbethNiveau 1
Avec le treizième mois, et sans compter les primes, je vais toucher comme dans l'EN (j'étais en début de carrière par contre, certifiée à l'échelon 5). D'après ce que j'ai compris, c'est aussi parce que je n'ai pas de véritable expérience / formation dans le commerce, autrement le salaire aurait pu être un peu plus élevé au départ.
- User19866Expert
Et est-ce que tu pourrais nous donner l'intitulé de ton poste, sans donner de détails qui te rendrait facilement identifiable ? Je pense à des titres comme "assistante marketing", "assistante commerciale", "chargée de projets", par exemple. (Je suis peut-être complètement à côté de la plaque, pardon si c'est le cas ! ) C'est super en tout cas ; c'est une nouvelle vie qui commence !
- LizbethNiveau 1
Pas du tout! L'intitulé c'est "assistant commercial bilingue"
- User28384Niveau 8
Vraiment rès heureux pour toi, Lizbteh . Tous mes voeux pour cette nouvelle carrière !
- ritta68Niveau 8
Tous mes vœux..de nouvelle vie.
Tiens nous au courant de ta nouvelle vie
Tiens nous au courant de ta nouvelle vie
- AlabamaHabitué du forum
Quelle belle nouvelle ! Je te souhaite plein de bonheur dans ce nouveau job ! (et comme je t'envie !!)
- RabelaisVénérable
Je suis de loin : félicitations !!
Ça fait plaisir à lire !
Ça fait plaisir à lire !
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- PseudoDemi-dieu
Bravo ! Tous mes vœux de réussite dans ton nouveau job !
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- LefterisEsprit sacré
Bravo, bonne chance.
Preuve supplémentaire qu'il ne faut pas trop attendre : quand on est jeune, on a un avenir et des gens peuvent miser sur vous on peut encore trouver l'équivalent salarial, si l'on perd on a le temps de remonter, parfois on peut se permettre de déménager.
Preuve supplémentaire qu'il ne faut pas trop attendre : quand on est jeune, on a un avenir et des gens peuvent miser sur vous on peut encore trouver l'équivalent salarial, si l'on perd on a le temps de remonter, parfois on peut se permettre de déménager.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- CasparProphète
Oui, je crois qu'après quarante ans ce genre de reconversion doit devenir vraiment difficile (une entreprise embaucherait-elle un quadra- ou quinquagénaire débutant dans ce genre de travail ? J'en doute...).
- koubNiveau 4
Quand vous parlez de concours tout en continuant à enseigner, parlez-vous de concours externes uniquement ? Je ne suis pas très bien renseigné mais je suppose qu'un concours interne n'est possible que dans son propre ministère...
- VicomteDeValmontGrand sage
Les concours internes de la fonction publique sont ouverts à tous les fonctionnaires après une certaine ancienneté.
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- koubNiveau 4
Merci...
Mais passer un nouveau concours (fonction publique d'Etat) ne vous condamne-t-il pas (encore) à une mutation bien lointaine ?
Mais passer un nouveau concours (fonction publique d'Etat) ne vous condamne-t-il pas (encore) à une mutation bien lointaine ?
- littleJulieNiveau 10
Pas forcément, tout dépend du concours et du reclassement dans le nouveau corps.koub a écrit:Merci...
Mais passer un nouveau concours (fonction publique d'Etat) ne vous condamne-t-il pas (encore) à une mutation bien lointaine ?
Ex prof à l'échelon 8, j'ai passé le concours de contrôleur des finances (catégorie B) : reclassée échelon 13, je pouvais sans problème rgagner ma région d'origine à l'issue de la formation.
J'ai enchaîné avec le concours d'inspecteur (catégorie A) : bien que reclassée à l'échelon 8, le retour est moins assuré et je mise beaucoup sur le rapprochement de conjoint.
Ça fait partie des paramètres à étudier quand on choisit de s'inscrire à un concours de la fonction publique. Un petit tour sur les sites des syndicats donne un aperçu du mouvement.
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