- ElyasEsprit sacré
Une émission parle de l'espace de la classe (5 mn d'émission) avec une vision très axée sur le numérique avec le label du futur :
- ZagaraGuide spirituel
T'en penses quoi ?
C'est assez caricatural non ?
C'est assez caricatural non ?
- FeuchtwangerNiveau 9
En 2050 je ferai du homoschooling à mes petits-enfants et aux enfants du voisin pour essayer de sauver un maximum de gens.
- ZagaraGuide spirituel
En 2050 on sera revenu au papier-crayon parce que filer des tablettes à chaque gamin et avoir "des écrans sur les murs" a un tel coût énergétique et pèse si lourd sur les ressources, que ce sera un luxe fortement réglementé dans une société post-changement climatique contrainte à la sobriété. D'ici là, on aura certainement aussi quantifié les effets délétères du tout écran sur la structuration mentale des enfants de moins de 6 ans, et ils seront donc interdits en classe pour raisons sanitaires.
C'est évident que cette capsule essaye de faire passer pour un avenir désirable la dernière lubie pédagogique. C'est de la publicité.
C'est évident que cette capsule essaye de faire passer pour un avenir désirable la dernière lubie pédagogique. C'est de la publicité.
- FeuchtwangerNiveau 9
Un aspect très intéressant de la capsule : la rupture du continum espace/temps séparant travail du repos. Les élèves travaillent (ou devrais-je plutôt dire accomplissent les activités qui sont attendues d'eux) dans les toilettes et indiquent ne plus vraiment savoir quand le travail commence et quand il s'arrête.
Ils seront donc prêts pour un marché du travail flexible et pour les nouveaux modes de management qui reposent sur l'intéressement et la contrainte auto-suggérée.
Par ailleurs, on note la disparition de l'autorité qui permet aux élèves de se construire, en opposition, en dialogue ou en coopération avec elle. Du coup, leur travail est déstructurée en tâches parcellaires (sans logique d'ensemble) ce qui correspond aux attentes du capitalisme du XXIème siècle (qui veut une main d'oeuvre incapable de saisir les conséquences en bout de chaîne de ses actions).
Ils seront donc prêts pour un marché du travail flexible et pour les nouveaux modes de management qui reposent sur l'intéressement et la contrainte auto-suggérée.
Par ailleurs, on note la disparition de l'autorité qui permet aux élèves de se construire, en opposition, en dialogue ou en coopération avec elle. Du coup, leur travail est déstructurée en tâches parcellaires (sans logique d'ensemble) ce qui correspond aux attentes du capitalisme du XXIème siècle (qui veut une main d'oeuvre incapable de saisir les conséquences en bout de chaîne de ses actions).
- ElyasEsprit sacré
Zagara a écrit:T'en penses quoi ?
C'est assez caricatural non ?
Le côté "L'avenir est le numérique" est ultra-caricatural. Cette proposition ne vise qu'à créer un marché sur le court terme et pas pour 2050.
Après, la question de la géographie de la classe est intéressante mais délégitimée ici par le numérique et le TINA induit par le rétrofutur mis en place dans l'introduction du reportage (oui, j'assume le terme rétrofutur ).
Personnellement, je rêve d'établissements avec des salles spécialisées en plus des salles de sciences, de musique et d'arts plastiques (pour un cours magistral, pour des expériences, pour de la coopération, pour de la fabrication, pour de la recherche) mais ce n'est pas ce qui est présenté.
- ProtonExpert
C'est de la science fiction ! C'est un peu comme le rêve de voitures volantes en l'an 2000 ... :aaq:
De toute façon d'ici 2050 il n'y aura plus d'argent pour tous ces gadgets.
Edit: le multi-touch, les photos et les vidéos, voilà l'avenir de l'Education ! Youhou ! Ou pas !
De toute façon d'ici 2050 il n'y aura plus d'argent pour tous ces gadgets.
Edit: le multi-touch, les photos et les vidéos, voilà l'avenir de l'Education ! Youhou ! Ou pas !
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