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- IsidoriaDoyen
Non j'ai dit que ces trois pays étaient très chers. Très demandé, Buenos Aires l'est sans aucun doute, Rio aussi. On fait souvent de chouettes découvertes en tentant un pays moins touristique ou connu.
- angelikeNiveau 3
Tarter a écrit:Ok je lirai ça !merci encore isidoria. Tu disais, sur d'autres conversations que l'argentine le Chili et le Brésil je crois étaient très demandés mais y a t il des pays accessibles en Amérique du Sud ou centrale ? Et y a t il des pays qu'il faut éviter car la vie locale y est difficile ? On n'est pas du tout des personnes compliquées et exigeantes mais le fait d'avoir des enfants fait réfléchir et loin des pays concernés on se laisse vite influencer par des idées reçues des personnes qui nous entourent... mais toi, vous d'ailleurs, y êtes au quotidien donc j'ai plus envie d'avoir votre ressenti !
Pour illustrer ton propos, nous ne sommes pas dans un pays très attractif...Quand on a lu les infos sur le site du MAE, oups, ça m'a fait flipper...Et puis j'ai échangé longuement avec des collègues en poste déjà là-bas et ils m'ont convaincue que ça valait le coup de tenter l'expérience. Et on ne regrette pas. Mais effectivement, il faut être assez ouvert d'esprit.
Ah et on a 2 jeunes enfants également. Tu peux poser des questions sur le post, je peux y répondre (sauf si c'est vraiment trop perso )
- TarterNiveau 1
C'est exactement ce que je pense 😉 Merci !
- TarterNiveau 1
Avez vous mis longtemps pour obtenir un poste tous les deux ? Êtes vous juste partis avec ton poste de résident ? Trouve t on facilement un contrat local sur place ? Est ce qu'il y a du mouvement dans les postes ou est ce que c'est assez bouché maintenant en Amérique centrale ou du Sud ? Parliez vous hyper Bien espagnol au début ?
Et dans quel pays êtes vous ? Y a t des pays que tu ne nous conseilles pas ?
Oula désolée ça fait beaucoup de questions 😬 Mais ça fait vraiment rêver et c'est tellement différent je pense de notre quotidien...
les conditions de travail sont elles agréables ? A t on des moyens dans les écoles ?
Et dans quel pays êtes vous ? Y a t des pays que tu ne nous conseilles pas ?
Oula désolée ça fait beaucoup de questions 😬 Mais ça fait vraiment rêver et c'est tellement différent je pense de notre quotidien...
les conditions de travail sont elles agréables ? A t on des moyens dans les écoles ?
- Isa7575Niveau 5
Le Venezuela est très compliqué je pense. La situation était deja tres mauvaise quand j'y étais il y a 15 ans.
Niveau sécurité , il y a des choses simples à respecter, faire preuve de bon sens. Le gros souci actuel, c'est l'inflation, les restrictions et les pénuries de produits de vie courante.
J'ai vu que l'ISVL était assez haute pour cette destination mais pas sûre que cela suffise. En local on oublie !
Niveau sécurité , il y a des choses simples à respecter, faire preuve de bon sens. Le gros souci actuel, c'est l'inflation, les restrictions et les pénuries de produits de vie courante.
J'ai vu que l'ISVL était assez haute pour cette destination mais pas sûre que cela suffise. En local on oublie !
- Isa7575Niveau 5
Bonsoir,
J'ai commencé à fouiller les sites de lycées pour dénicher des postes et je vois qu'en local, les dates de commissions sont très aléatoires.
Du coup c'est compliqué si on a reçu (et accepté) autre offre ailleurs (oui bon je rêve là mais c'est pour le principe).
On fait comment dans ce cas ? Quand on accepté un poste on fait une croix sur tout ce qui est en attente ? On peut changer d'avis ? (Mum j'imagine que les formalités s'enchaînent vite !)
Plus un établissement donne sa réponse tôt, plus il a de chances que le rang 1 dise oui. C'est bien ça ? Finalement le planning des commissions privilégie les offres de postes résidents.
Si une candidature en local m'intéresse plus qu'un poste résident, c'est dommage je trouve mais rien n'est idéal.
J'ai commencé à fouiller les sites de lycées pour dénicher des postes et je vois qu'en local, les dates de commissions sont très aléatoires.
Du coup c'est compliqué si on a reçu (et accepté) autre offre ailleurs (oui bon je rêve là mais c'est pour le principe).
On fait comment dans ce cas ? Quand on accepté un poste on fait une croix sur tout ce qui est en attente ? On peut changer d'avis ? (Mum j'imagine que les formalités s'enchaînent vite !)
Plus un établissement donne sa réponse tôt, plus il a de chances que le rang 1 dise oui. C'est bien ça ? Finalement le planning des commissions privilégie les offres de postes résidents.
Si une candidature en local m'intéresse plus qu'un poste résident, c'est dommage je trouve mais rien n'est idéal.
- MehitabelVénérable
Les désistements ne sont pas rares du côté des candidats. Donc tu peux accepter un local et ensuite si tu as un poste de résident l'accepter aussi. Mais, 1/ ce n'est pas correct et l'école s'en souviendra, voire fera tourner ton nom dans la zone (ça, c'est du vu de mes propres yeux, pas une vague rumeur, donc ça PEUT arriver) 2/ si tu demandes un local, ce sera en dispo, tu auras donc déjà demandé une dispo. Pas dit que ton académie t'accepte ensuite le détachement, pour une autre école en plus, en gros, tu lances une procédure, mais tu l'annules et tu en relances une autre, bof
Premiers arrivés, premiers servis. C'est pour ça que l'AFLEC par exemple recrute très tôt entre novembre et janvier leur recrutement est bouclé, il propose du local avec détachement, et ils veulent avoir le choix, donc c'est bien avant les commissions résidents. C'est un pari gagnant pour ceux qui veulent partir à tous prix et qui sont ainsi assurés d'avoir un poste, et presque toujours un détachement car demandé très tôt.
Si on regarde les dates des CCPLA, on voit que les pays qui ont des gros problèmes de recrutement ou bien ceux qui n'en ont pas du tout font leur commission au plus tôt.
Bon courage dans toutes ces démarches.
Premiers arrivés, premiers servis. C'est pour ça que l'AFLEC par exemple recrute très tôt entre novembre et janvier leur recrutement est bouclé, il propose du local avec détachement, et ils veulent avoir le choix, donc c'est bien avant les commissions résidents. C'est un pari gagnant pour ceux qui veulent partir à tous prix et qui sont ainsi assurés d'avoir un poste, et presque toujours un détachement car demandé très tôt.
Si on regarde les dates des CCPLA, on voit que les pays qui ont des gros problèmes de recrutement ou bien ceux qui n'en ont pas du tout font leur commission au plus tôt.
Bon courage dans toutes ces démarches.
- Isa7575Niveau 5
Merci pour ce retour, je vais essayer de faire la part des choses, selon les disponibilités. Essayer de ne pas m'enflammer pour des destinations qui ne sont pas vraiment dans mes plans.
J'ai envie de (re)partir c'est sûr mais je dois bien réfléchir à ce que cela implique.
J'ai envie de (re)partir c'est sûr mais je dois bien réfléchir à ce que cela implique.
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PE au Canada - Certifiée en documentation - En dispo - Candidatures 2022 Berlin et Athènes
- nautieHabitué du forum
Surtout bien réfléchir aux finances, surtout s'il y a un crédit en France.. . Il vaut mieux surévaluer les dépenses que le contraire. Penser à toutes les dépenses en France et voir ce qu'elles deviennent à l'étranger; y rajouter celles qui n'existent pas en France (Sécu, billets d'avion annuel, retraite...). Penser aussi aux impôts qui se calculent à n-1. Bref, y'a pas que l'argent dans la vie, mais lors d'une expatriation, c'est quand même une donnée majeure!!
- Isa7575Niveau 5
Beaucoup de personnes insistent sur l'aspect financier, avertissent, etc... On a même droit à des "rêve pas c'est pas la belle vie".
Bien sûr que cette question financière est centrale mais je le sais déjà car j'ai vécu pas mal d'années à l'étranger, travaillé en local dans des conditions pas toujours exceptionnelles.
Pour moi la réflexion est ailleurs.
Mes conditions actuelles ne sont pas exceptionnelles non plus (impossibilité de me loger décemment en RP suite à un changement de situation familiale). Une mutation académique ? Bof pas vraiment envie.
On peut aussi accepter de sacrifier momentanément certaines choses dans un projet d'expatriation (un ou deux ans de retraite par exemple). On ne part pas forcément pour faire fortune, heureusement pour nous J'ai quand même droit à des remarques de ce type dans mon entourage.
On ne part pas non plus pour trouver le paradis.
L'expérience d'un ailleurs me manque beaucoup et je crois que retenter l'aventure s'impose à moi comme une évidence. Il faut maintenant que l'on veuille de moi
Bien sûr que cette question financière est centrale mais je le sais déjà car j'ai vécu pas mal d'années à l'étranger, travaillé en local dans des conditions pas toujours exceptionnelles.
Pour moi la réflexion est ailleurs.
Mes conditions actuelles ne sont pas exceptionnelles non plus (impossibilité de me loger décemment en RP suite à un changement de situation familiale). Une mutation académique ? Bof pas vraiment envie.
On peut aussi accepter de sacrifier momentanément certaines choses dans un projet d'expatriation (un ou deux ans de retraite par exemple). On ne part pas forcément pour faire fortune, heureusement pour nous J'ai quand même droit à des remarques de ce type dans mon entourage.
On ne part pas non plus pour trouver le paradis.
L'expérience d'un ailleurs me manque beaucoup et je crois que retenter l'aventure s'impose à moi comme une évidence. Il faut maintenant que l'on veuille de moi
- MehitabelVénérable
En fait, l'aspect financier quand on est seul est presque totalement secondaire, j'ai vécu dans 5 pays différents entre 2002 et 2010, mes deux valises, ma malle et moi, ma foi, on a connu de bonnes conditions, parfois des minables (800 euros par mois, pas de vacances, des horaires débiles), mais tout seul, on s'en fiche. En fait l'aspect financier, je me le suis pris en pleine poire lors de notre dernière expatriation, deux enfants, un déménagement, des frais de scolarité, un appart à trouver/payer une caution pour 4 personnes, la voiture idoine (je n'avais pas de voiture en vivant seule), l'assurance maladie (je n'en avais pas non plus quand j'étais seule), les galères de garde nounou/crèche. Bref, je restais un an quelque part, dans un petit meublé, pas de téléphone, de télé, de jouets, de livres, rien à transporter. Mais avec un conjoint et deux enfants, c'est pas la même envergure, du tout. Et oui, là, j'ai vu que déménager à l'étranger, ça coûtait cher
Alors effectivement, si notre motivation première c'était de faire de l'argent, et bien on aurait quitté l'enseignement depuis longtemps, parce que même à l'étranger, et bien on vit quand même avec un salaire d'enseignants. Pour moi, ma motivation première, c'étaient des conditions de travail décentes, je les ai. Mais il faut aussi dire que partir en famille ça COUTE avant de toucher quoi que se soit, car il faut tout avancer, ce qui n'est pas le cas quand on part tout seul, ou bien dans une bien moindre mesure.
Alors effectivement, si notre motivation première c'était de faire de l'argent, et bien on aurait quitté l'enseignement depuis longtemps, parce que même à l'étranger, et bien on vit quand même avec un salaire d'enseignants. Pour moi, ma motivation première, c'étaient des conditions de travail décentes, je les ai. Mais il faut aussi dire que partir en famille ça COUTE avant de toucher quoi que se soit, car il faut tout avancer, ce qui n'est pas le cas quand on part tout seul, ou bien dans une bien moindre mesure.
- Isa7575Niveau 5
Chaque situation est particulière.
J'ai commencé les démarches concrètes en local, je vais voir s'il en ressort quelque chose. Je n'ai aucune idée des chances d'aboutissement mais il n'y a qu'une façon de le savoir. Wait and see.
J'ai commencé les démarches concrètes en local, je vais voir s'il en ressort quelque chose. Je n'ai aucune idée des chances d'aboutissement mais il n'y a qu'une façon de le savoir. Wait and see.
- nautieHabitué du forum
Isa7575 a écrit:Beaucoup de personnes insistent sur l'aspect financier, avertissent, etc... On a même droit à des "rêve pas c'est pas la belle vie".
Bien sûr que cette question financière est centrale mais je le sais déjà car j'ai vécu pas mal d'années à l'étranger, travaillé en local dans des conditions pas toujours exceptionnelles.
Pour moi la réflexion est ailleurs.
Mes conditions actuelles ne sont pas exceptionnelles non plus (impossibilité de me loger décemment en RP suite à un changement de situation familiale). Une mutation académique ? Bof pas vraiment envie.
On peut aussi accepter de sacrifier momentanément certaines choses dans un projet d'expatriation (un ou deux ans de retraite par exemple). On ne part pas forcément pour faire fortune, heureusement pour nous J'ai quand même droit à des remarques de ce type dans mon entourage.
On ne part pas non plus pour trouver le paradis.
L'expérience d'un ailleurs me manque beaucoup et je crois que retenter l'aventure s'impose à moi comme une évidence. Il faut maintenant que l'on veuille de moi
Je ne parle pas de faire fortune ou de trouver un paradis, juste d'éviter les galères financières en famille quand on s'installe à l'étranger. Après, chacun voit midi à sa porte...
Perso, je ne suis pas partie pour "tirer le diable par la queue". S'installer sans se soucier de la fin du mois m'a demandé les reins solides. C'est sans regret, mon côté monk m'avait permis d'anticiper presque tout... Et maintenant que la rentrée est passée, je commence à y voir clair dans mon budget.
Mais je ne faisais que partager mon expérience... L'argent reste souvent le nerf de la guerre, tout le reste est facile!!
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