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- jeanneÉrudit
Dans mon collège nous avons choisi de travailler deux oeuvres d'art par niveau, avec des approches différentes en arts plastiques, histoire-géo et français. Ca n'a pas été évident de se mettre d'accord sur le choix des oeuvres et pour certaines d'entre elles je bloque un peu, et je ne sais pas comment les exploiter en français. Auriez-vous des idées ?
5ème : le mois de mars dans les très riches heures du Duc de Berry
4ème : L'Angélus de Millet
3ème : une photo du Débarquement de Normandie de Capa
Supermarket lady de Duane Hanson
Normalement les élèves auront ainsi un cahier commun Histoire des arts, avec des activités différentes selon les matières. Et vous, comment allez-vous travailler ça ?
5ème : le mois de mars dans les très riches heures du Duc de Berry
4ème : L'Angélus de Millet
3ème : une photo du Débarquement de Normandie de Capa
Supermarket lady de Duane Hanson
Normalement les élèves auront ainsi un cahier commun Histoire des arts, avec des activités différentes selon les matières. Et vous, comment allez-vous travailler ça ?
- bibliominisNiveau 8
Supermarket lady de Duane Hanson
Je compte l'exploiter sur le thème de la surconsommation (caddie plein et femme obèse) et tu peux leur demander de définir l'hyperréalisme à partir de cette scultpure.
Je ne compte pas leur dire que c'est une sculpture. Ils vont peut-être croire que c'est une photo qui a été prise ?
Dans mon établisement, malheureusement, rien n'a été fait avant les vacances (aucune réunion). Donc on s'organisera après la rentrée des vacances.
Je compte l'exploiter sur le thème de la surconsommation (caddie plein et femme obèse) et tu peux leur demander de définir l'hyperréalisme à partir de cette scultpure.
Je ne compte pas leur dire que c'est une sculpture. Ils vont peut-être croire que c'est une photo qui a été prise ?
Dans mon établisement, malheureusement, rien n'a été fait avant les vacances (aucune réunion). Donc on s'organisera après la rentrée des vacances.
- bibliominisNiveau 8
L'angélus de Millet pourrait coller avec Maupassant, aux champs ?
Maupassant donne une image réaliste. Peut-être que Millet donne une belle image de la vie rurale ?
Le débarquement de Normandie me semble correspondre davantage au programme d'histoire.
Pour le Français, il y a des films, des caricatures sur Hitler en cannibale, des toiles qui peignent l'horreur de la guerre(Guernica).
Maupassant donne une image réaliste. Peut-être que Millet donne une belle image de la vie rurale ?
Le débarquement de Normandie me semble correspondre davantage au programme d'histoire.
Pour le Français, il y a des films, des caricatures sur Hitler en cannibale, des toiles qui peignent l'horreur de la guerre(Guernica).
- DicloniaExpert
jeanne a écrit:Dans mon collège nous avons choisi de travailler deux oeuvres d'art par niveau, avec des approches différentes en arts plastiques, histoire-géo et français. Ca n'a pas été évident de se mettre d'accord sur le choix des oeuvres et pour certaines d'entre elles je bloque un peu, et je ne sais pas comment les exploiter en français. Auriez-vous des idées ?
5ème : le mois de mars dans les très riches heures du Duc de Berry
4ème : L'Angélus de Millet
3ème : une photo du Débarquement de Normandie de Capa
Supermarket lady de Duane Hanson
Normalement les élèves auront ainsi un cahier commun Histoire des arts, avec des activités différentes selon les matières. Et vous, comment allez-vous travailler ça ?
C'est le grande question que je me pose depuis hier...
L'idée du cahier, j'aime beaucoup !
- bibliominisNiveau 8
Le cahier est obligatoire : c'est dans les IO.
- DicloniaExpert
bibliominis a écrit:Le cahier est obligatoire : c'est dans les IO.
ah ben, bien ! je ne l'ai pas vu !
j'ai du lire trop vite ! j'y retourne de ce pas !
Doublement merci dans ce cas !
- bibliominisNiveau 8
L'image que j'ai de supermarket lady fait 439 x 450. Si tu as mieux, je serai intéressée contre bon service.
- bibliominisNiveau 8
Voici deux bonnes adresses :
http://crdp.ac-amiens.fr/ingedoc/carte_ressources/trh.htm
http://medieval.mrugala.net/Enluminures/Tres%20Riches%20Heures%20du%20Duc%20de%20Berry/Tres%20Riches%20Heures%20du%20Duc%20de%20Berry%20(fr).htm[/url
J'ai une préférence pour la première. Clique sur calendrier (chaque mois est commenté avec précision).
Il y a un souci avec la 2e adresse. Désolée.
http://crdp.ac-amiens.fr/ingedoc/carte_ressources/trh.htm
http://medieval.mrugala.net/Enluminures/Tres%20Riches%20Heures%20du%20Duc%20de%20Berry/Tres%20Riches%20Heures%20du%20Duc%20de%20Berry%20(fr).htm[/url
J'ai une préférence pour la première. Clique sur calendrier (chaque mois est commenté avec précision).
Il y a un souci avec la 2e adresse. Désolée.
- VincaNiveau 5
Je ne comprends pas une chose : lorsqu'on étudiera une image avec les élèves, il faudra que ceux-ci notent ce qu'ils ont découvert dans un autre cahier que celui de français ???
- bibliominisNiveau 8
Si tu étudies une oeuvre d'art dans le cadre de l'histoire des arts, la séance devra être dans le cahier commun à toutes les matières. Le cahier est censé survivre 4 ans !
- JohnMédiateur
En Hda, Daniel recommande cet ouvrage :
Je pourrai vous dire ce qu'il vaut dans quelques semaines (après l'avoir lu moi-même).
Je pourrai vous dire ce qu'il vaut dans quelques semaines (après l'avoir lu moi-même).
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- VincaNiveau 5
Si je comprends bien, ça signifie qu'on n'aura plus aucune séance de lecture de l'image dans le cahier de français ? Ca me paraît incroyable...
- arriaNiveau 10
bibliominis a écrit:Si tu étudies une oeuvre d'art dans le cadre de l'histoire des arts, la séance devra être dans le cahier commun à toutes les matières. Le cahier est censé survivre 4 ans !
quand je pense que les miens ne sont même pas fichus de garder un cahier un an!
- jeanneÉrudit
Bibliominis, je n'ai pas encore de reproduction des oeuvres, la prof d'arts plastiques doit s'en charger. Si j'ai du nouveau à la rentrée, je te le dirai. Merci beaucoup pour les liens que tu me donnes, ça a l'air très intéressant.
En effet le cahier est préconisé dans les IO. Chez nous, il restera sûrement au collège pour être sûr que les élèves ne le perdent pas. Ce sera d'ailleurs un porte-vues. On ne mettra dedans que ce qui concerne les oeuvres que l'on va étudier en commun. Les études d'autres oeuvres seront dans le cahier de français.
En effet le cahier est préconisé dans les IO. Chez nous, il restera sûrement au collège pour être sûr que les élèves ne le perdent pas. Ce sera d'ailleurs un porte-vues. On ne mettra dedans que ce qui concerne les oeuvres que l'on va étudier en commun. Les études d'autres oeuvres seront dans le cahier de français.
- bibliominisNiveau 8
Le porte-vues est une bonne idée. Si leur cours est sale (j'en connais beaucoup qui écrivent comme des cochons), on pourra leur demander de l'écrire au propre.
Attention Vinca, il y a l'étude de l'image (qui est dans le classeur de français) et les leçons Histoire des arts. En plus de l'étude de l'image que l'on faisait déjà, on ajoute l'histoire des arts.
Je copie-colle :
3. La lecture de l’image
L’image, fixe ou mobile, constitue, pour l’enseignement en général
et celui du français en particulier, une ressource précieuse à plus
d’un titre : en fournissant à l’élève des représentations du monde
présent et passé, elle contribue efficacement à la constitution de sa
culture et de son imaginaire ; elle favorise l’expression des émotions
et du jugement personnel ; elle peut en outre consolider
l’apprentissage de méthodes d’analyse. Selon les préconisations du
socle commun de connaissances et de compétences (pilier 5), « une
connaissance d’oeuvre cinématographiques majeures du patrimoine
français, européen et mondial » est encouragée.
Dans une démarche comparable à la lecture des textes, l’image est
analysée en tant que langage. Il importe de faire percevoir aux
élèves, confrontés chaque jour à une abondance d’images variées,
que celles-ci sont des représentations porteuses de sens et que
souvent leur visée peut être explicitée. Face à l’image, comme face
au texte, les élèves doivent apprendre à s’interroger sur ce qu’ils
voient et à observer l’image avant d’en parler. On pourra alors les
amener à passer d’une approche intuitive à une interprétation
raisonnée en les initiant progressivement à quelques notions
d’analyse.
De la Sixième à la Troisième, l’approche de l’image est toujours
mise en relation avec des pratiques de lecture, d’écriture ou d’oral.
La lecture de l’image a sa place en préparation, accompagnement,
prolongement des textes et domaines abordés durant l’année. Elle
permet également un accès à l’histoire des arts.
V. L’histoire des arts
Le professeur de français collabore à l’enseignement de l’histoire
des arts avec sa compétence propre. Il n’a pas besoin pour cela d’une
formation spécifique. Il suivra ses goûts, se fondera sur sa culture
personnelle, avec le souci constant d’enrichir celle de ses élèves.
L’histoire des arts entretient en effet de nombreuses correspondances
avec l’étude des textes. Son enseignement éclaire et facilite la lecture
et la compréhension de certaines oeuvres littéraires car il propose des
approches spécifiques en ce qui concerne les fonctions, les formes et
les genres de ces oeuvres. Au cours de l’année, certains textes sont
donc choisis de préférence à d’autres en raison de leur source
artistique, pour les échos et prolongements artistiques qu’ils
éveillent, et enfin pour le pouvoir de création poétique ou littéraire
qu’ils recèlent ou initient.
Afin de favoriser le travail interdisciplinaire, l’organisation de
l’enseignement de l’histoire des arts (auquel il convient de se
rapporter) s’articule autour de grands domaines et de thématiques
qui constituent des points de rencontre et de convergence de
plusieurs disciplines à la fois.
Les domaines « arts du langage » et « arts du spectacle vivant » sont
très fréquemment privilégiés tout au long de l’apprentissage de
l’élève : l’intitulé « arts du langage » est une notion transversale qui
fait l’objet d’une étude approfondie et régulière pour toutes les
oeuvres littéraires ; d’autre part, la classe de français se prête
particulièrement à l’étude du domaine « arts du spectacle vivant »,
puisqu’elle favorise la mise en voix et la mise en gestes de textes à
des fins artistiques. Choisir des textes dramatiques permet ainsi
d’initier les élèves à des esthétiques variées, à différentes formes
théâtrales et surtout au jeu d’acteur. De plus, l’étude d’une pièce de
théâtre offre à la fois l’occasion de s’intéresser aux conditions de
représentation au temps de sa création et de travailler sur les
techniques qui renouvellent l’interprétation de l’oeuvre théâtrale. Le
domaine « arts de l’espace » est alors exploré.
L’enseignement de l’histoire des arts est progressif au fil des cycles
et des classes. Partant d’exemples simples et suggestifs pour l’élève,
cette initiation va s’enrichissant sans se perdre dans une complexité
inutile. La progression chronologique est souplement reliée aux
programmes d’histoire car une large marge d’autonomie et de liberté
pédagogique est laissée au professeur en fonction de la maturité de
ses élèves et de ses objectifs. C’est en effet cette liberté qui facilitera
le travail en équipe au sein de l’établissement et la réalisation d’un
projet commun qui fasse sens pour l’élève.
A l’issue de la classe de Troisième, l’élève doit être capable de situer
une oeuvre littéraire dans un contexte historique et culturel,
enracinant ainsi la littérature dans son environnement esthétique. Il
est apte à percevoir les échos et les correspondances que des oeuvres
entretiennent entre elles à une époque donnée. Il peut également
élaborer des corrélations, tisser autour d’une oeuvre, d’un auteur,
d’un thème ou d’un genre littéraire, un réseau de connaissances
spécifiques à une époque et définir des caractéristiques communes à
travers les temps, concernant une thématique ou un domaine
artistique particulier.
En outre, la fréquentation régulière d’oeuvres artistiques permet à
l’élève d’exprimer des émotions et d’émettre un jugement personnel.
Il prend l’habitude de dire ce qu’il voit, ce qu’il entend, ce qu’il
ressent avant de passer à l’analyse et à l’interprétation. Il acquiert un
vocabulaire technique simple mais approprié aux domaines et aux
thématiques artistiques. Il adopte ainsi une démarche de plus en plus
autonome, approfondissant sa connaissance du monde et de soi.
Prenant en compte la dimension esthétique d’une oeuvre littéraire,
l’élève développe son goût pour la musicalité et la puissance
émotionnelle de la langue et, par la lecture d’oeuvres littéraires, il
enrichit sa connaissance de l’histoire des arts.
Attention Vinca, il y a l'étude de l'image (qui est dans le classeur de français) et les leçons Histoire des arts. En plus de l'étude de l'image que l'on faisait déjà, on ajoute l'histoire des arts.
Je copie-colle :
3. La lecture de l’image
L’image, fixe ou mobile, constitue, pour l’enseignement en général
et celui du français en particulier, une ressource précieuse à plus
d’un titre : en fournissant à l’élève des représentations du monde
présent et passé, elle contribue efficacement à la constitution de sa
culture et de son imaginaire ; elle favorise l’expression des émotions
et du jugement personnel ; elle peut en outre consolider
l’apprentissage de méthodes d’analyse. Selon les préconisations du
socle commun de connaissances et de compétences (pilier 5), « une
connaissance d’oeuvre cinématographiques majeures du patrimoine
français, européen et mondial » est encouragée.
Dans une démarche comparable à la lecture des textes, l’image est
analysée en tant que langage. Il importe de faire percevoir aux
élèves, confrontés chaque jour à une abondance d’images variées,
que celles-ci sont des représentations porteuses de sens et que
souvent leur visée peut être explicitée. Face à l’image, comme face
au texte, les élèves doivent apprendre à s’interroger sur ce qu’ils
voient et à observer l’image avant d’en parler. On pourra alors les
amener à passer d’une approche intuitive à une interprétation
raisonnée en les initiant progressivement à quelques notions
d’analyse.
De la Sixième à la Troisième, l’approche de l’image est toujours
mise en relation avec des pratiques de lecture, d’écriture ou d’oral.
La lecture de l’image a sa place en préparation, accompagnement,
prolongement des textes et domaines abordés durant l’année. Elle
permet également un accès à l’histoire des arts.
V. L’histoire des arts
Le professeur de français collabore à l’enseignement de l’histoire
des arts avec sa compétence propre. Il n’a pas besoin pour cela d’une
formation spécifique. Il suivra ses goûts, se fondera sur sa culture
personnelle, avec le souci constant d’enrichir celle de ses élèves.
L’histoire des arts entretient en effet de nombreuses correspondances
avec l’étude des textes. Son enseignement éclaire et facilite la lecture
et la compréhension de certaines oeuvres littéraires car il propose des
approches spécifiques en ce qui concerne les fonctions, les formes et
les genres de ces oeuvres. Au cours de l’année, certains textes sont
donc choisis de préférence à d’autres en raison de leur source
artistique, pour les échos et prolongements artistiques qu’ils
éveillent, et enfin pour le pouvoir de création poétique ou littéraire
qu’ils recèlent ou initient.
Afin de favoriser le travail interdisciplinaire, l’organisation de
l’enseignement de l’histoire des arts (auquel il convient de se
rapporter) s’articule autour de grands domaines et de thématiques
qui constituent des points de rencontre et de convergence de
plusieurs disciplines à la fois.
Les domaines « arts du langage » et « arts du spectacle vivant » sont
très fréquemment privilégiés tout au long de l’apprentissage de
l’élève : l’intitulé « arts du langage » est une notion transversale qui
fait l’objet d’une étude approfondie et régulière pour toutes les
oeuvres littéraires ; d’autre part, la classe de français se prête
particulièrement à l’étude du domaine « arts du spectacle vivant »,
puisqu’elle favorise la mise en voix et la mise en gestes de textes à
des fins artistiques. Choisir des textes dramatiques permet ainsi
d’initier les élèves à des esthétiques variées, à différentes formes
théâtrales et surtout au jeu d’acteur. De plus, l’étude d’une pièce de
théâtre offre à la fois l’occasion de s’intéresser aux conditions de
représentation au temps de sa création et de travailler sur les
techniques qui renouvellent l’interprétation de l’oeuvre théâtrale. Le
domaine « arts de l’espace » est alors exploré.
L’enseignement de l’histoire des arts est progressif au fil des cycles
et des classes. Partant d’exemples simples et suggestifs pour l’élève,
cette initiation va s’enrichissant sans se perdre dans une complexité
inutile. La progression chronologique est souplement reliée aux
programmes d’histoire car une large marge d’autonomie et de liberté
pédagogique est laissée au professeur en fonction de la maturité de
ses élèves et de ses objectifs. C’est en effet cette liberté qui facilitera
le travail en équipe au sein de l’établissement et la réalisation d’un
projet commun qui fasse sens pour l’élève.
A l’issue de la classe de Troisième, l’élève doit être capable de situer
une oeuvre littéraire dans un contexte historique et culturel,
enracinant ainsi la littérature dans son environnement esthétique. Il
est apte à percevoir les échos et les correspondances que des oeuvres
entretiennent entre elles à une époque donnée. Il peut également
élaborer des corrélations, tisser autour d’une oeuvre, d’un auteur,
d’un thème ou d’un genre littéraire, un réseau de connaissances
spécifiques à une époque et définir des caractéristiques communes à
travers les temps, concernant une thématique ou un domaine
artistique particulier.
En outre, la fréquentation régulière d’oeuvres artistiques permet à
l’élève d’exprimer des émotions et d’émettre un jugement personnel.
Il prend l’habitude de dire ce qu’il voit, ce qu’il entend, ce qu’il
ressent avant de passer à l’analyse et à l’interprétation. Il acquiert un
vocabulaire technique simple mais approprié aux domaines et aux
thématiques artistiques. Il adopte ainsi une démarche de plus en plus
autonome, approfondissant sa connaissance du monde et de soi.
Prenant en compte la dimension esthétique d’une oeuvre littéraire,
l’élève développe son goût pour la musicalité et la puissance
émotionnelle de la langue et, par la lecture d’oeuvres littéraires, il
enrichit sa connaissance de l’histoire des arts.
- VincaNiveau 5
Je suis désolée, mais je ne comprends pas bien la différence entre histoire de l'art et étude de l'image. Si j'ai bien lu les différents domaines à exploiter, on retrouve parfois des études de l'image que l'on faisait.
Autre question : Que doit contenir le cahier d'Histoire de l'art ? Les reproductions des oeuvres ? Des synthèses sur leurs études ? Qui coordonne l'organisation de ce cahier ?
Là je vous avoue franchement que je suis perdue..
Autre question : Que doit contenir le cahier d'Histoire de l'art ? Les reproductions des oeuvres ? Des synthèses sur leurs études ? Qui coordonne l'organisation de ce cahier ?
Là je vous avoue franchement que je suis perdue..
- bibliominisNiveau 8
Je n'ai rien lu indiquant que le cahier devait contenir des reproductions des oeuvres. En couleur cela coûterait une fortune. Pourquoi pas une photocopie en noir et lanc pour rappeler à l'élève l'oeuvre étudiée ?
- InvitéInvité
Une idée comme une autre : dans la mesure où il faut les préparer au B2I, pourquoi ne pas leur faire étudier la reproduction de l'oeuvre sur support informatique. Ils créent leur dossier "Histoire de l'art", y copient-collent les images (reproductions) étudiées, valident au passage 2 ou 3 items du B2I.
Et dans le cahier, ils écrivent les références des sites, le cours, etc...(Pourquoi pas un journal de bord ? Ou des rédactions en rapport avec les oeuvres ? Ou des recherches : un questionnaire avec des adresses de sites donné par le professeur, et des réponses données par l'élève...). Le cahier est ensuite ramassé (noté ?) par le professeur.
Et dans le cahier, ils écrivent les références des sites, le cours, etc...(Pourquoi pas un journal de bord ? Ou des rédactions en rapport avec les oeuvres ? Ou des recherches : un questionnaire avec des adresses de sites donné par le professeur, et des réponses données par l'élève...). Le cahier est ensuite ramassé (noté ?) par le professeur.
- OrnellaDoyen
ah bon?????? :shock:bibliominis a écrit:Le cahier est obligatoire : c'est dans les IO.
- hermioneHabitué du forum
c'est la 1ère fois que j'entends parler de ce cahier???????????
_________________
Il faut toujours un coup de folie pour bâtir un destin.
Marguerite Yourcenar
- Lula qui n'est plus làNiveau 9
Mais si un tel changement (je pense au cahier complété par les professeurs de différentes matières) doit se mettre en place et compter dans l'évaluation, dites-vous bien que le chef d'établissement sera tenu d'en impulser la mise en oeuvre. J'imagine qu'il sera prévu au moins une réunion, un conseil d'établissement pour se concerter à ce sujet. Ou alors, c'est encore une annonce qui va retomber comme du flan !
_________________
"We're all in the gutter, but some of us look at the stars", Oscar Wilde
- JulianneHabitué du forum
J'espère que mon CDE va nous en parler à la Rentrée si ce fameux oral a lieu dans l'année en troisième ...
- bibliominisNiveau 8
Je cite les I.O. Histoires des arts :[size=12][size=12]IV. Suivi, évaluation et validation
Suivi
A chacun des trois niveaux (École, Collège, Lycée),
l’élève garde mémoire de son parcours dans un
cahier personnel d’histoire des arts”A cette
occasion, il met en oeuvre ses compétences dans le
domaine des TICE, utilise diverses technologies
numériques et consulte les nombreux sites consacrés
aux arts. Illustré, annoté et commenté par lui, ce
cahier personnel est visé par le (ou les) professeur(s)
ayant assuré l’enseignement de l’histoire des arts. Il
permet le dialogue entre l’élève et les enseignants et
les différents enseignants eux-mêmes.
Pour l’élève, il matérialise de façon claire, continue
et personnelle, le parcours suivi en histoire des arts
tout au long de la scolarité. (page 5)
Suivi
A chacun des trois niveaux (École, Collège, Lycée),
l’élève garde mémoire de son parcours dans un
cahier personnel d’histoire des arts”A cette
occasion, il met en oeuvre ses compétences dans le
domaine des TICE, utilise diverses technologies
numériques et consulte les nombreux sites consacrés
aux arts. Illustré, annoté et commenté par lui, ce
cahier personnel est visé par le (ou les) professeur(s)
ayant assuré l’enseignement de l’histoire des arts. Il
permet le dialogue entre l’élève et les enseignants et
les différents enseignants eux-mêmes.
Pour l’élève, il matérialise de façon claire, continue
et personnelle, le parcours suivi en histoire des arts
tout au long de la scolarité. (page 5)
- Lula qui n'est plus làNiveau 9
adel a écrit:J'espère que mon CDE va nous en parler à la Rentrée si ce fameux oral a lieu dans l'année en troisième ...
Si cela fait partie des nouveaux programmes, ça ne devrait pas être dans l'année, ce sera décalé quand les 6e de 2009-2010 passeront le brevet.
_________________
"We're all in the gutter, but some of us look at the stars", Oscar Wilde
- kensingtonEsprit éclairé
Mais ces programmes d'histoire des arts entrent en vigueur à la rentrée à TOUS les niveaux. La circulaire de rentrée indique bien que l'épreuve d'histoire des arts au brevet est prévue pour la session 2010.
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