- Xenon124Je viens de m'inscrire !
Bonjour,
Je me présente: je suis actuellement étudiant en M2 recherche en biologie plutôt du côté médical. Je me rends compte de jour en jour que la mentalité ""published or "perished"" de la recherche médicale ne me convient pas, les publications en anglais sur des sujets hyper-pointus(du genre: sortir un article entier sur une protéine) en suivant les exigences des éditeurs ne m'éclatent pas, trop de copinages, trop de concurrences pour avoir le meilleur score que les autres avec la peur constante de se retrouver en bas du classement publié régulièrement (classement qui est accessible à tout le monde) , bref c'est la guerre constante entre collègues et je ne pense pas supporter ça toute ma vie. Je n'ai "même pas encore vraiment essayé" mais le simple fait qu'on me le présente comme tel me rebute.
Donner des "cours"(ou plutôt des "conférences") à des inconnus , servir de "petites-mains" aux labos de recherche pendant 3/4 ans avec la peur constante d' être éjecté par la suite, enchaîner des années de post-doc à l'étranger, toujours se battre pour être placé premier auteur et attendre au moins la trentaine pour être titularisé, sont des choses qui ne m'enchantent pas non plus.
Ce dont j'ai envie c'est d'enseigner à des étudiants que je connais, en lycée générale et technologique de préférence(car je suppose qu'il y a moins de problèmes de discipline), rédiger des exercices, préparer les élèves à l'obtention d'un diplôme. Je ne recherche ni la gloire, ni la reconnaissance, ni un salaire mirobolant. Je veux juste enseigner dans un contexte/monde(ce terme est peut-être plus approprié que le premier) différent de celui qui est dépeint dans le paragraphe ci-dessus.
Une dernière chose: j'ai cru comprendre après diverses discussions que corriger des copies était un calvaire pour beaucoup de profs mais je pense que j'adorerai ça.
Je souhaiterai donc passer le CAPET de biotech-génie bio afin de devenir prof de biotech-génie biologique au lycée.
Cependant, j'aimerai poser quelques questions aux profs qui enseignent cette discipline concernant leur ressenti sur leur profession afin de dissiper mes derniers doutes avant de me lancer dans la préparation du CAPET: (D'ailleurs, j'ai vu les conseils que vous avez donné dans une autre discussion sur le forum concernant les livres les plus adaptés pour réussir ce CAPET, et je trouve ça vachement cool de votre part ):
1) Si c'était à refaire: est-ce que, vous repasseriez votre CAPET et/ou votre agreg , ou est-ce vous choisiriez une autre voie? (la question la plus importante à mes yeux )
2) Est-ce que les élèves des filières technologiques(STL/ST2S) sont turbulents ? Faites-vous beaucoup de discipline? Pensez-vous avoir un public moins difficile que celui d'un prof qui enseigne au collège ou en lycée pro? (il y a trois question, mais elles attendent à peu près la même réponse).
3) Quelle est la partie de votre travail que vous appréciez le plus? Celle que vous appréciez moins?
Je vous remercie d'avance pour vos futures réponses.
Et encore Merci, d'avoir pris le temps de me lire.
Je me présente: je suis actuellement étudiant en M2 recherche en biologie plutôt du côté médical. Je me rends compte de jour en jour que la mentalité ""published or "perished"" de la recherche médicale ne me convient pas, les publications en anglais sur des sujets hyper-pointus(du genre: sortir un article entier sur une protéine) en suivant les exigences des éditeurs ne m'éclatent pas, trop de copinages, trop de concurrences pour avoir le meilleur score que les autres avec la peur constante de se retrouver en bas du classement publié régulièrement (classement qui est accessible à tout le monde) , bref c'est la guerre constante entre collègues et je ne pense pas supporter ça toute ma vie. Je n'ai "même pas encore vraiment essayé" mais le simple fait qu'on me le présente comme tel me rebute.
Donner des "cours"(ou plutôt des "conférences") à des inconnus , servir de "petites-mains" aux labos de recherche pendant 3/4 ans avec la peur constante d' être éjecté par la suite, enchaîner des années de post-doc à l'étranger, toujours se battre pour être placé premier auteur et attendre au moins la trentaine pour être titularisé, sont des choses qui ne m'enchantent pas non plus.
Ce dont j'ai envie c'est d'enseigner à des étudiants que je connais, en lycée générale et technologique de préférence(car je suppose qu'il y a moins de problèmes de discipline), rédiger des exercices, préparer les élèves à l'obtention d'un diplôme. Je ne recherche ni la gloire, ni la reconnaissance, ni un salaire mirobolant. Je veux juste enseigner dans un contexte/monde(ce terme est peut-être plus approprié que le premier) différent de celui qui est dépeint dans le paragraphe ci-dessus.
Une dernière chose: j'ai cru comprendre après diverses discussions que corriger des copies était un calvaire pour beaucoup de profs mais je pense que j'adorerai ça.
Je souhaiterai donc passer le CAPET de biotech-génie bio afin de devenir prof de biotech-génie biologique au lycée.
Cependant, j'aimerai poser quelques questions aux profs qui enseignent cette discipline concernant leur ressenti sur leur profession afin de dissiper mes derniers doutes avant de me lancer dans la préparation du CAPET: (D'ailleurs, j'ai vu les conseils que vous avez donné dans une autre discussion sur le forum concernant les livres les plus adaptés pour réussir ce CAPET, et je trouve ça vachement cool de votre part ):
1) Si c'était à refaire: est-ce que, vous repasseriez votre CAPET et/ou votre agreg , ou est-ce vous choisiriez une autre voie? (la question la plus importante à mes yeux )
2) Est-ce que les élèves des filières technologiques(STL/ST2S) sont turbulents ? Faites-vous beaucoup de discipline? Pensez-vous avoir un public moins difficile que celui d'un prof qui enseigne au collège ou en lycée pro? (il y a trois question, mais elles attendent à peu près la même réponse).
3) Quelle est la partie de votre travail que vous appréciez le plus? Celle que vous appréciez moins?
Je vous remercie d'avance pour vos futures réponses.
Et encore Merci, d'avoir pris le temps de me lire.
- User20401Vénérable
Salut ! Bienvenu ici, on n'est pas nombreux de la matière.
Alors, pour répondre à tes questions.
1) Oui, pour le travail. Je me régale dans mon boulot. J'adore le contact avec les élèves (la plupart du temps) et le fond de ce qu'on enseigne (microbio, biochimie, physio). Bon, gros bémol pour ma part en ce qui concerne les mutations : notre matière a un mouvement assez bouché et à mon avis, ça va empirer…
2) La plupart du temps, on a des élèves plutôt cool. STL, ils sont vraiment très tranquilles. ST2S, il y a un peu plus de bavardages et d'insolences, mais rien de bien méchant… Le plus difficile, ça peut être les enseignements d'exploration en seconde, selon le lycée : certains acceptent tout le monde et on peut donc avoir des élèves plus difficiles/pas motivés (mais c'est 1h30 par semaine donc pas des élèves qu'on voit beaucoup).
3) J'apprécie les cours face aux élèves, et la préparation (qui oblige à se maintenir au niveau intellectuellement).
Je déteste les copies. Je ne veux pas te décevoir mais je doute que tu apprécies, une fois le premier paquet corrigé… Il me tardait aussi de corriger mes premières copies. Après ma première classe à 35, j'ai vite déchanté !
N'hésite pas, si tu as d'autres questions.
Alors, pour répondre à tes questions.
1) Oui, pour le travail. Je me régale dans mon boulot. J'adore le contact avec les élèves (la plupart du temps) et le fond de ce qu'on enseigne (microbio, biochimie, physio). Bon, gros bémol pour ma part en ce qui concerne les mutations : notre matière a un mouvement assez bouché et à mon avis, ça va empirer…
2) La plupart du temps, on a des élèves plutôt cool. STL, ils sont vraiment très tranquilles. ST2S, il y a un peu plus de bavardages et d'insolences, mais rien de bien méchant… Le plus difficile, ça peut être les enseignements d'exploration en seconde, selon le lycée : certains acceptent tout le monde et on peut donc avoir des élèves plus difficiles/pas motivés (mais c'est 1h30 par semaine donc pas des élèves qu'on voit beaucoup).
3) J'apprécie les cours face aux élèves, et la préparation (qui oblige à se maintenir au niveau intellectuellement).
Je déteste les copies. Je ne veux pas te décevoir mais je doute que tu apprécies, une fois le premier paquet corrigé… Il me tardait aussi de corriger mes premières copies. Après ma première classe à 35, j'ai vite déchanté !
N'hésite pas, si tu as d'autres questions.
- Xenon124Je viens de m'inscrire !
Merci beaucoup cycile pour ta réponse , elle me conforte dans mon choix .
Quand tu dis que c'est bouché au niveau des mutations: ça veut dire que lorsqu'on réussit le CAPET, on est envoyé quasi-systématiquement dans les ZEP essentiellement sur Paris, et on est certain d'y rester un (très) long moment? Même si on demande un rapprochement de conjoint?
Quand tu dis que c'est bouché au niveau des mutations: ça veut dire que lorsqu'on réussit le CAPET, on est envoyé quasi-systématiquement dans les ZEP essentiellement sur Paris, et on est certain d'y rester un (très) long moment? Même si on demande un rapprochement de conjoint?
- User20401Vénérable
Zep non puisqu'il n'y a plus de lycées éducation prioritaire (pour plus d'info : "touche pas à ma zep").
Par contre, risques de se retrouver à Amiens, Créteil, ou Versailles. Si tu passes le concours l'année prochaine, tu seras un peu plus âgé que la moyenne donc tu pourras avoir une académie un peu moins horrible. Le rapprochement de conjoints ne suffit pas toujours : je suis à Amiens depuis 2 ans, et je n'ai toujours pas ma mut' pour Toulouse pour la rentrée en rapprochement de conjoints… Ceci dit, Lyon est un peu moins bouchée que Toulouse en général. Mais c'est tellement instable dans notre matière (peu de mouvement) qu'il vaut mieux se préparer à ce risque, quitte à avoir une bonne surprise ensuite.
Par contre, risques de se retrouver à Amiens, Créteil, ou Versailles. Si tu passes le concours l'année prochaine, tu seras un peu plus âgé que la moyenne donc tu pourras avoir une académie un peu moins horrible. Le rapprochement de conjoints ne suffit pas toujours : je suis à Amiens depuis 2 ans, et je n'ai toujours pas ma mut' pour Toulouse pour la rentrée en rapprochement de conjoints… Ceci dit, Lyon est un peu moins bouchée que Toulouse en général. Mais c'est tellement instable dans notre matière (peu de mouvement) qu'il vaut mieux se préparer à ce risque, quitte à avoir une bonne surprise ensuite.
- Xenon124Je viens de m'inscrire !
Ok ça marche. Je ne savais pas pour les Zep.
De toute façon, je me prépare mentalement à la possibilité d'être envoyé loin de chez moi. ^^
Les petites villes sont les plus demandées du coup? Pour les jeunes admis au CAPET, il ne reste que des grosses agglomérations(Amiens, Créteil, Versailles )?
Autre sujet : Comment est l'ambiance entre profs dans les lycées dans lesquels tu es allée ?
Je sais par exemple que dans certains lycées, les agrégés mangent à une table différente des certifiés. C'est courant comme pratique?
Merci encore pour tes réponses qui me sont d'une grande aide.
De toute façon, je me prépare mentalement à la possibilité d'être envoyé loin de chez moi. ^^
Les petites villes sont les plus demandées du coup? Pour les jeunes admis au CAPET, il ne reste que des grosses agglomérations(Amiens, Créteil, Versailles )?
Autre sujet : Comment est l'ambiance entre profs dans les lycées dans lesquels tu es allée ?
Je sais par exemple que dans certains lycées, les agrégés mangent à une table différente des certifiés. C'est courant comme pratique?
Merci encore pour tes réponses qui me sont d'une grande aide.
- User20401Vénérable
Aors, quand je parle de Amiens, Créteil, Versailles, je parle des académies. En gros, pour être affecté, ça se fait en deux temps. Il faut d'abord être affecté dans une académie puis tu "choisis" (ou pas) une ville dans l'académie. Donc je parle de l'académie d'Amiens, Créteil et Versailles. Pas des villes. Après, au sein de ces académies, les zones les plus proches de paris sont souvent les plus demandées. Mais notre matière étant toute petite, tout ce que je te dis peut changer très très vite.
Pour l'ambiance, c'est une ambiance de travail : des moments sympathiques, et aussi des engueulades ou des personnes en conflit. Mais je n'ai jamais vu (j'en suis à 4 établissements) de séparation agrégé/certifié. Je pense que c'est exceptionnel, ce que tu décris (voire même une légende urbaine).
Dans notre matière, l'ambiance varie énormément selon que tu enseignes en ST2S (en général, tu es seul ou avec un autre collègue de la matière sur le lycée) ou en STL (où les équipes sont plus grosses : entre 3 et 8 ou 9).
Et puis, pour les relations pro, il ne faut pas oublier les techniciens de labo. Ils préparent les TP et peuvent être d'une aide précieuse si on les traite avec respect. Ils connaissent souvent plein de choses (des détails techniques qui font réussir ou rater une manip'). Souvent, ils se prennent moins la tête que les profs. J'adore passer du temps au labo pour papoter de tout et de rien (j'y suis souvent bien mieux qu'en salle des profs).
Ah, et sans vouloir te faire peur : attention à ce qu'on peut lire ici et là : notre concours reste très sélectif (environ 10% de présents aux écrits admis in fine). C'est tout à fait faisable, mais il faut le bosser (d'où l'intérêt d'être "sûr" de ton choix).
Avec plaisir pour le réponses, si je peux aider un (peut-être) futur collègue.
Pour l'ambiance, c'est une ambiance de travail : des moments sympathiques, et aussi des engueulades ou des personnes en conflit. Mais je n'ai jamais vu (j'en suis à 4 établissements) de séparation agrégé/certifié. Je pense que c'est exceptionnel, ce que tu décris (voire même une légende urbaine).
Dans notre matière, l'ambiance varie énormément selon que tu enseignes en ST2S (en général, tu es seul ou avec un autre collègue de la matière sur le lycée) ou en STL (où les équipes sont plus grosses : entre 3 et 8 ou 9).
Et puis, pour les relations pro, il ne faut pas oublier les techniciens de labo. Ils préparent les TP et peuvent être d'une aide précieuse si on les traite avec respect. Ils connaissent souvent plein de choses (des détails techniques qui font réussir ou rater une manip'). Souvent, ils se prennent moins la tête que les profs. J'adore passer du temps au labo pour papoter de tout et de rien (j'y suis souvent bien mieux qu'en salle des profs).
Ah, et sans vouloir te faire peur : attention à ce qu'on peut lire ici et là : notre concours reste très sélectif (environ 10% de présents aux écrits admis in fine). C'est tout à fait faisable, mais il faut le bosser (d'où l'intérêt d'être "sûr" de ton choix).
Avec plaisir pour le réponses, si je peux aider un (peut-être) futur collègue.
- Xenon124Je viens de m'inscrire !
Cicyle a écrit:Aors, quand je parle de Amiens, Créteil, Versailles, je parle des académies.
Ah ok. Autant pour moi. ^^
Lorsque j'ai mis "Paris" dans mon second message, c'était une métonymie qui désignait "l'Ile-de-France" ou plutôt "Paris et ses alentours"(donc Amiens pourrait presque être comptée dedans). Je viens de la province; je ne connais pas du tout la région parisienne, et si je pouvais éviter d'y aller, ça ne me déplairait pas.
Ce que je voulais savoir c'est s'il y avait des places dans des académies de province ou si on se retrouvait quasi-obligatoirement(=pour la grande majorité des admis) vers "Paris"(et ses alentours) après l'obtention du CAPET.
Cicyle a écrit: Mais je n'ai jamais vu (j'en suis à 4 établissements) de séparation agrégé/certifié. Je pense que c'est exceptionnel, ce que tu décris (voire même une légende urbaine).
C'est fort possible. :blague:
On pourrait même dire qu'il s'agit d'une légende "rurale" dans mon cas :aaq: .
Cicyle a écrit:Ah, et sans vouloir te faire peur : attention à ce qu'on peut lire ici et là : notre concours reste très sélectif (environ 10% de présents aux écrits admis in fine). C'est tout à fait faisable, mais il faut le bosser (d'où l'intérêt d'être "sûr" de ton choix).
Je sais qu'il est très sélectif. S'il y a bien une chose que j'ai regardée avant de poster ici, ce sont bien le programme du CAPET de biotech et les résultats^^.
Si je voulais juste enseigner à tout prix peu importe la matière, le plus raisonnable/stratégique aurait été de choisir de me préparer aux CAPES de maths ou de français (les langues, ce n'est pas mon point fort donc on oublie) qui ont des taux de réussite qui avoisinent les 60% avec des admis qui ont des notes assez basses. Mais je n'aimerais ni enseigner ces matières, ni corriger des copies de français ou de maths toute ma vie car ce ne sont pas les disciplines qui me passionnent. J'imagine qu' au bout d'un moment, je dépérirai .
Sinon, je pensais aussi au CAPES de SVT qui a un taux de réussite(présents/admis) vers 26%(le double de celui du CAPET de biotechno) et un programme plus restreint. (programmes: collèges, lycées + 8 thèmes niveau universitaire dont 2 qui sont renouvelés chaque année) mais si je l'ai, j'aurais de grandes chances d'atterrir dans un collège :| .
Cicyle a écrit:Avec plaisir pour le réponses, si je peux aider un (peut-être) futur collègue. Wink
Je t'en suis très reconnaissant.
- User20401Vénérable
Pour le choix du concours, même raisonnement ici (et en prime, j'aime pas les cailloux ! ).
Pour le mouvement, honnêtement, je ne peux pas te dire, ça varie beaucoup trop d'une année sur l'autre dans la matière. Et puis en ce moment, je suis trop aigrie contre le système du mouvement donc je ne serais pas objective…
Cette année, je regarde pour Lyon, et je vois que pour un débutant, il ne pouvait pas rester, même pacsé… Mais comme je l'ai dit, ça varie. Il y a deux ans, un débutant pacsé pouvait rester et l'an dernier, il fallait 2 ans de séparation. Bref, imprévisible dans notre matière donc il faut se préparer au pire. Après, la plupart du temps, on peut avoir Orleans, qui est souvent peu demandée dans notre matière.
Pour le mouvement, honnêtement, je ne peux pas te dire, ça varie beaucoup trop d'une année sur l'autre dans la matière. Et puis en ce moment, je suis trop aigrie contre le système du mouvement donc je ne serais pas objective…
Cette année, je regarde pour Lyon, et je vois que pour un débutant, il ne pouvait pas rester, même pacsé… Mais comme je l'ai dit, ça varie. Il y a deux ans, un débutant pacsé pouvait rester et l'an dernier, il fallait 2 ans de séparation. Bref, imprévisible dans notre matière donc il faut se préparer au pire. Après, la plupart du temps, on peut avoir Orleans, qui est souvent peu demandée dans notre matière.
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