- sevedeenNiveau 1
Bonjour à tous, je suis nouvelle sur ce forum.
j'aurais besoin de deux éclaircissements sur une situation fort désagréable:
je suis TZR lettres modernes et suis actuellement en poste de "courte durée" sur un poste de lettres classiques dans un collège (15h dont 8 heures de latin); la collègue que je remplace devait revenir le 21 janvier et, de prolongation en prolongation, cette collègue, vacataire en congé maternité, n'a toujours pas repris. Fin janvier, j'avais appris sa prolongation le vendredi soir à 17h pour le lundi matin, après avoir fait des pieds et des mains toute la semaine pour savoir ce qu'il allait en être. J'ai terminé , ou du moins, je pensais avoir terminé mon remplacement le vendredi des vacances, je donne congé à tout le monde, et hier soir, dimanche, la collègue m'appelle à 18h30 pour me dire qu'elle s'est fait prolonger de deux semaines (le médecin lui avait donné une semaine, elle en a demandé deux, qu'elle a obtenues, m'a-t-elle dit pour être sûre qu'elle serait remplacée.
Ce matin, coup de fil du collège à 8h30: je dois être présente aujourd'hui! J'ai téléphoné à la DPE, pour lui expliquer que ce type de remplacement (en lettres classiques au lieu de modernes) n'était pas dans mes compétences,que je pensais en avoir terminé de ce cauchemar car je suis une calamité pour les latinistes et que je souffre de préparer des cours ineptes, sans envergure, peu passionnants: elle me fait comprendre qu'il fallait refuser dès le départ et que là, je ne peux plus! Sauf que le remplacement n'était que de 3 mois, initialement. Je précise que j'ai attendu plus d'un mois un remplacement et que j'ai accepté celui-ci pour éviter d'être sur plusieurs établissements loin de chez moi et que je pensais, benoitement, que ce serait une expérience moins difficile et surtout de courte durée. Ma zone est grande, je suis à une extrémité, la peur d'être bien plus éloignée a fait son sale boulot et j'ai accepté ce remplacement. Très mauvais calcul, inutile de me le rappeler. Je me suis fait bien des illusions , et j'ai l'impression d'avoir mis la main dans un piège à loups!
J'appelle ce matin la chef d'établissement pour lui dire que je vais donc travailler mes cours aujourd'hui et être absente du collège: elle me fait comprendre qu'elle devrait me faire une retenue sur salaire car je ne suis pas venue aujourd'hui!!!
Donc:
- existe-t-il un délai pour une prolongation de poste quand on est TZR? Car je n'avais aucune nouvelle en 15jours de vacances ! Et je sais que les fameuses 48h (légales?) ne s'appliquent pas ici.
- ne peut-on plus refuser un remplacement de L Classiques en cours? je suis donc à la merci de la collègue et de son médecin complaisant qui lui octroie à la demande des congés .
Merci de vos témoignages, car je pense ne pas être la seule à avoir connu pareilles déconvenues!
j'aurais besoin de deux éclaircissements sur une situation fort désagréable:
je suis TZR lettres modernes et suis actuellement en poste de "courte durée" sur un poste de lettres classiques dans un collège (15h dont 8 heures de latin); la collègue que je remplace devait revenir le 21 janvier et, de prolongation en prolongation, cette collègue, vacataire en congé maternité, n'a toujours pas repris. Fin janvier, j'avais appris sa prolongation le vendredi soir à 17h pour le lundi matin, après avoir fait des pieds et des mains toute la semaine pour savoir ce qu'il allait en être. J'ai terminé , ou du moins, je pensais avoir terminé mon remplacement le vendredi des vacances, je donne congé à tout le monde, et hier soir, dimanche, la collègue m'appelle à 18h30 pour me dire qu'elle s'est fait prolonger de deux semaines (le médecin lui avait donné une semaine, elle en a demandé deux, qu'elle a obtenues, m'a-t-elle dit pour être sûre qu'elle serait remplacée.
Ce matin, coup de fil du collège à 8h30: je dois être présente aujourd'hui! J'ai téléphoné à la DPE, pour lui expliquer que ce type de remplacement (en lettres classiques au lieu de modernes) n'était pas dans mes compétences,que je pensais en avoir terminé de ce cauchemar car je suis une calamité pour les latinistes et que je souffre de préparer des cours ineptes, sans envergure, peu passionnants: elle me fait comprendre qu'il fallait refuser dès le départ et que là, je ne peux plus! Sauf que le remplacement n'était que de 3 mois, initialement. Je précise que j'ai attendu plus d'un mois un remplacement et que j'ai accepté celui-ci pour éviter d'être sur plusieurs établissements loin de chez moi et que je pensais, benoitement, que ce serait une expérience moins difficile et surtout de courte durée. Ma zone est grande, je suis à une extrémité, la peur d'être bien plus éloignée a fait son sale boulot et j'ai accepté ce remplacement. Très mauvais calcul, inutile de me le rappeler. Je me suis fait bien des illusions , et j'ai l'impression d'avoir mis la main dans un piège à loups!
J'appelle ce matin la chef d'établissement pour lui dire que je vais donc travailler mes cours aujourd'hui et être absente du collège: elle me fait comprendre qu'elle devrait me faire une retenue sur salaire car je ne suis pas venue aujourd'hui!!!
Donc:
- existe-t-il un délai pour une prolongation de poste quand on est TZR? Car je n'avais aucune nouvelle en 15jours de vacances ! Et je sais que les fameuses 48h (légales?) ne s'appliquent pas ici.
- ne peut-on plus refuser un remplacement de L Classiques en cours? je suis donc à la merci de la collègue et de son médecin complaisant qui lui octroie à la demande des congés .
Merci de vos témoignages, car je pense ne pas être la seule à avoir connu pareilles déconvenues!
- VicomteDeValmontGrand sage
Tu aurais dû refuser dès le départ de remplacer en LC. Maintenant, je suppose que tu es syndiquée étant TZR, je t'invite donc à te rapprocher de ton syndicat.
_________________
Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- User24373Neoprof expérimenté
VicomteDeValmont a écrit:Tu aurais dû refuser dès le départ de remplacer en LC. Maintenant, je suppose que tu es syndiquée étant TZR, je t'invite donc à te rapprocher de ton syndicat.
Ce genre de commentaire n'apporte pas grand-chose...
Je te conseille également de te rapprocher de ton syndicat.
- OudemiaBon génie
Je ne sais pas si les LM ont encore la possibilité de refuser l'enseignement de LCA, en tout cas tu as fait ce que tu as pu pour l'éviter.
Pour la prolongation surprise, ton ordre de mission mentionnait-il une date ? Sinon, vois avec un syndicat en effet, ne pas avoir un délai quand on ne pensait pas reprendre ne serait pas normal (mais tant de choses ne le sont plus...).
Pour la prolongation surprise, ton ordre de mission mentionnait-il une date ? Sinon, vois avec un syndicat en effet, ne pas avoir un délai quand on ne pensait pas reprendre ne serait pas normal (mais tant de choses ne le sont plus...).
- PlutarqueNiveau 10
sevedeen a écrit:Ce matin, coup de fil du collège à 8h30: je dois être présente aujourd'hui! (...) J'appelle ce matin la chef d'établissement pour lui dire que je vais donc travailler mes cours aujourd'hui et être absente du collège: elle me fait comprendre qu'elle devrait me faire une retenue sur salaire car je ne suis pas venue aujourd'hui!!!
Indépendamment de la question LM/LC, prévenir quelqu'un à 8h30 le jour même pour l'informer d'une prolongation et exiger sa présence sous peine d'une retenue de salaire est absolument inacceptable. A voir ce que disent les textes exactement, mais pour moi ça sent le TA direct, il ne faut pas se laisser marcher sur les pieds. Courage.
- laMissSage
Plutarque a écrit:prévenir quelqu'un à 8h30 le jour même pour l'informer d'une prolongation
+ 1
Tu aurais très bien pu partir du principe que tu avais une journée "off" puisque rien n'était prévu pour ce jour-là et laisser ton portable sur silencieux. Qu'aurait-elle pu dire ?
Si les textes stipulent que le délai est de 48h pour prévenir l'enseignant, la retenue sur salaire n'a pas lieu d'être.
_________________
Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- clapNeoprof expérimenté
Mais on ne prévient pas à 8h30 pour le jour même! Tu n'as même pas d'ordre de mission je suppose?
- sevedeenNiveau 1
Merci de vos réponses et soutiens. Evidemment, a posteriori, je me dis que je n'aurais pas dû commencer ce remplacement.
Je précise juste que le délai de 48h s'impose en cas de nouveau remplacement, afin de prendre contact avec l'établissement, le programme, les cahiers de textes. Ici, le flou demeure car j'étais déjà dans les murs. La principale m'a fait comprendre qu'être prévenue la veille était amplement suffisant pour se présenter devant les élèves! J'ai reçu ce matin (11h54!) un arrêté assez étrange de mon RAD, signé d'aujourd'hui, avec la date du 11/ 02 comme date du début de cette nouvelle suppléance. Or, personne ne m'a prévenu le 11! Le rectorat travaille pourtant pendant les vacances.
De plus, je n'ai pas confiance en la collègue que je remplace, qui prolonge son arrêt à l'envi et prévient au tout dernier moment, quand j'obtiens péniblement 24h d'arrêt maladie avec une grosse grippe, et que la principale semble défendre becs et ongles, et j'appréhende une situation qui s'enlise: peut-on stopper à la fin d'une suppléance un remplacement qui n'est pas dans sa matière?
Je précise juste que le délai de 48h s'impose en cas de nouveau remplacement, afin de prendre contact avec l'établissement, le programme, les cahiers de textes. Ici, le flou demeure car j'étais déjà dans les murs. La principale m'a fait comprendre qu'être prévenue la veille était amplement suffisant pour se présenter devant les élèves! J'ai reçu ce matin (11h54!) un arrêté assez étrange de mon RAD, signé d'aujourd'hui, avec la date du 11/ 02 comme date du début de cette nouvelle suppléance. Or, personne ne m'a prévenu le 11! Le rectorat travaille pourtant pendant les vacances.
De plus, je n'ai pas confiance en la collègue que je remplace, qui prolonge son arrêt à l'envi et prévient au tout dernier moment, quand j'obtiens péniblement 24h d'arrêt maladie avec une grosse grippe, et que la principale semble défendre becs et ongles, et j'appréhende une situation qui s'enlise: peut-on stopper à la fin d'une suppléance un remplacement qui n'est pas dans sa matière?
- clapNeoprof expérimenté
Comment prévenue la veille? Par la collègue que tu remplaces? Ce n'est pas officiel et puis rien ne prouve qu'elle t'a appelé. Et franchement quand bien même si elle t'a appelé hier soir c'est léger pour faire un cours!
- ProvenceEnchanteur
La collègue ne prolonge pas son arrêt: c'est le médecin qui le fait. Tu ne sais rien de ses problèmes de santé et il est bien normal qu'elle ne prévienne personne tant qu'elle n'a pas d'arrêt.sevedeen a écrit:
De plus, je n'ai pas confiance en la collègue que je remplace, qui prolonge son arrêt à l'envi et prévient au tout dernier moment, quand j'obtiens péniblement 24h d'arrêt maladie avec une grosse grippe, et que la principale semble défendre becs et ongles, et j'appréhende une situation qui s'enlise: peut-on stopper à la fin d'une suppléance un remplacement qui n'est pas dans sa matière?
- sevedeenNiveau 1
certes, vous avez raison, je ne suis pas médecin; mais quand la collègue qui a vu son doc le vendredi matin ne me prévient que le dimanche soir de l'issue de ce rendez-vous et vous dit tout de go que le médecin ne lui avait donné qu'une semaine, car elle n'avait qu' une petite baisse de tension, mais qu'elle en a demandé une deuxième, histoire d'être sûre que quelqu'un la remplace bien, histoire de ne pas laisser les élèves sans cours (ses propos, je n'invente rien): que penser?
- ProvenceEnchanteur
Rien. Si le médecin lui donne une semaine de plus, c'est qu'il le juge nécessaire.sevedeen a écrit:certes, vous avez raison, je ne suis pas médecin; mais quand la collègue qui a vu son doc le vendredi matin ne me prévient que le dimanche soir de l'issue de ce rendez-vous et vous dit tout de go que le médecin ne lui avait donné qu'une semaine, car elle n'avait qu' une petite baisse de tension, mais qu'elle en a demandé une deuxième, histoire d'être sûre que quelqu'un la remplace bien, histoire de ne pas laisser les élèves sans cours (ses propos, je n'invente rien): que penser?
- clapNeoprof expérimenté
Je pense que c'est une personne pas très sympa car elle aurait pu t'appeler dès le matin, tu aurais peut-être pu joindre le rectorat! Malheureusement, beaucoup de personnes considèrent les TZR comme des bouche-trous!
- PlutarqueNiveau 10
La collègue aurait en effet pu te contacter dès le vendredi matin, ça t'aurait laissé le temps de contacter le rectorat et de préparer tes cours. Une maladresse je pense.
Ce qui est par contre bien plus embarrassant, c'est l'attitude de l'administration (via la DPE et le CDE) qui 1) prévient à 8h30 le jour J et 2) menace d'une retenue de salaire. Un cours ça se prépare, on ne peut pas demander à un enseignant comme ça de venir tout de suite sans le prévenir un minimum à l'avance. Tu n'as pas à assurer tes cours aujourd'hui, et si la menace de la retenue est mise à exécution, tu dois mettre en demeure le rectorat de rembourser sous menace de saisir le TA.
Ce qui est par contre bien plus embarrassant, c'est l'attitude de l'administration (via la DPE et le CDE) qui 1) prévient à 8h30 le jour J et 2) menace d'une retenue de salaire. Un cours ça se prépare, on ne peut pas demander à un enseignant comme ça de venir tout de suite sans le prévenir un minimum à l'avance. Tu n'as pas à assurer tes cours aujourd'hui, et si la menace de la retenue est mise à exécution, tu dois mettre en demeure le rectorat de rembourser sous menace de saisir le TA.
- sevedeenNiveau 1
La collègue que je remplace est vacataire, donc question bouche-trou, elle en connait un rayon. Seulement, si je comprends ce que veut dire le collègue Provence ci-dessus, il faut voir aussi que le doc ne lui donne initialement qu'une semaine.
Après, j'entends des collègues ou des chefs d'établissement dire "c'est le statut de TZR qui est ainsi!" Mais comme on dit au Gabon où j'ai vécu : "on est ensemble!" Entre profs, on peut aussi se faciliter la tâche et ne pas chercher à mettre les autres dans une situation inconfortable sous prétexte qu'on l'a déjà vécu. Ne prévenir que le dimanche à 18h30 n'est pas pour moi un "oubli".
Quant à la retenue sur salaire, j'attends de voir, mais ce climat de menace n'est guère réjouissant et laisse une fois de plus penser la préparation des cours s'improvise. Mais je tiens à préciser que la DPE était compréhensive à l'idée de ne reprendre que le lendemain; c'est la chef d'établissement qui m'a menacé d'une retenue sur salaire.
Après, j'entends des collègues ou des chefs d'établissement dire "c'est le statut de TZR qui est ainsi!" Mais comme on dit au Gabon où j'ai vécu : "on est ensemble!" Entre profs, on peut aussi se faciliter la tâche et ne pas chercher à mettre les autres dans une situation inconfortable sous prétexte qu'on l'a déjà vécu. Ne prévenir que le dimanche à 18h30 n'est pas pour moi un "oubli".
Quant à la retenue sur salaire, j'attends de voir, mais ce climat de menace n'est guère réjouissant et laisse une fois de plus penser la préparation des cours s'improvise. Mais je tiens à préciser que la DPE était compréhensive à l'idée de ne reprendre que le lendemain; c'est la chef d'établissement qui m'a menacé d'une retenue sur salaire.
- AphrodissiaMonarque
Ça manque de cohérence: si la collègue sait depuis vendredi 24 qu'elle est arrêtée, comment le rectorat peut-il t'envoyer un OM daté du 11?
Ensuite, je ne vois pas trop ce que la collègue vient faire là-dedans: ce n'est pas à elle de te prévenir qu'elle est en arrêt: si elle l'a fait, finalement, c'est, selon moi, par une forme de courtoisie, histoire de t'informer que le rectorat allait te contacter à nouveau.
Ensuite, je ne vois pas trop ce que la collègue vient faire là-dedans: ce n'est pas à elle de te prévenir qu'elle est en arrêt: si elle l'a fait, finalement, c'est, selon moi, par une forme de courtoisie, histoire de t'informer que le rectorat allait te contacter à nouveau.
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- sevedeenNiveau 1
Ca manque de cohérence peut-être, mais l'arrêté daté du 27 /02 précise bien que la suite de la suppléance commençait le 11 février...Quant à la collègue qui devait reprendre , cela semble si courtois de prévenir la veille au soir? Nous travaillons quand même ensemble et pour le suivi des élèves tout de même! J'ai déjà été TZR pour des congés maladie, j'ai toujours été prévenu AVANT la fin de la suppléance, et par des collègues prévenants qui comprenaient qu'un professeur avait besoin de planifier son travail. Je connais même des chefs d'établissement qui appellent les professeurs remplacés pour anticiper le retour du TZR ou non au retour des vacances.
- archebocEsprit éclairé
Aphrodissia a écrit:Ça manque de cohérence: si la collègue sait depuis vendredi 24 qu'elle est arrêtée, comment le rectorat peut-il t'envoyer un OM daté du 11?
Si je comprends bien, ce n'est pas le rectorat qui envoie l'OM, mais le RAD. Le rectorat a demandé au RAD de faire une magouille, et le RAD l'a désamorcé en refusant d'antidater.
- archebocEsprit éclairé
archeboc a écrit:Aphrodissia a écrit:Ça manque de cohérence: si la collègue sait depuis vendredi 24 qu'elle est arrêtée, comment le rectorat peut-il t'envoyer un OM daté du 11?
Si je comprends bien, ce n'est pas le rectorat qui envoie l'OM, mais le RAD. Le rectorat a demandé au RAD de faire une entourloupe, et le RAD l'a désamorcée en refusant d'antidater.
- VicomteDeValmontGrand sage
On te dit d'en parler avec ton syndicat. On ne peut pas grand chose pour toi, ici.
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Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- Hermione0908Modérateur
sevedeen a écrit:Merci de vos réponses et soutiens. Evidemment, a posteriori, je me dis que je n'aurais pas dû commencer ce remplacement.
Je précise juste que le délai de 48h s'impose en cas de nouveau remplacement, afin de prendre contact avec l'établissement, le programme, les cahiers de textes. Ici, le flou demeure car j'étais déjà dans les murs. La principale m'a fait comprendre qu'être prévenue la veille était amplement suffisant pour se présenter devant les élèves! J'ai reçu ce matin (11h54!) un arrêté assez étrange de mon RAD, signé d'aujourd'hui, avec la date du 11/ 02 comme date du début de cette nouvelle suppléance. Or, personne ne m'a prévenu le 11! Le rectorat travaille pourtant pendant les vacances.
De plus, je n'ai pas confiance en la collègue que je remplace, qui prolonge son arrêt à l'envi et prévient au tout dernier moment, quand j'obtiens péniblement 24h d'arrêt maladie avec une grosse grippe, et que la principale semble défendre becs et ongles, et j'appréhende une situation qui s'enlise: peut-on stopper à la fin d'une suppléance un remplacement qui n'est pas dans sa matière?
Alors quand j'étais TZR, je prenais bien garde à signer mes arrêtés de la date du jour où on me les présentait ("Vu et pris connaissance le..."). Ça faisait hurler la secrétaire de mon RAD ("Mais naaaaaaaan ! Tu dois mettre la mêêêême daaaaaate !") mais je ne l'ai bien sûr jamais écoutée. Des arrêtés anti-datés, j'en ai eu des palanquées, il était hors de question que je cautionne.
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Pour en savoir plus, c'est par ici : https://www.neoprofs.org/t48247-topics-en-acces-restreint-forum-accessible-uniquement-sur-demande-edition-2021
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