- Escargot GéantNiveau 8
Merci pour toutes vos idées je note je note!
- Tem-toGrand sage
AsarteLilith a écrit:Les bijoux indiscrets, Diderot ?
Tiens, j'ai jamais lu çui-là. Merci AL, je le mets dans un coin de ma tête.
- ipomeeGuide spirituel
Tem-to a écrit:AsarteLilith a écrit:Les bijoux indiscrets, Diderot ?
Tiens, j'ai jamais lu çui-là. Merci AL, je le mets dans un coin de ma tête.
:aaq:
- AsarteLilithEsprit sacré
Fais attention en effet....
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- fifi51Fidèle du forum
Escargot Géant a écrit:Pour ce critère j'ai lu 73304-23-4153-6-96-8 de Thomas Ott emprunté à ma bibliothèque de quartier. Je ne l'aurais jamais emprunté sans le défi! C'est une BD assez sombre qui se lit très vite vu qu'à l'intérieur il n'y a pas beaucoup de mots non plus (une dizaine tout au plus)
Par contre je galère énormément pour: un livre qui parle d'odeur, et un peu pour:un livre qui évoque un bijou. Si vous avez des idées je prends! (Le parfum de Suskind merci mais non merci)
Pas de couteaux dans les cuisines de cette ville de Khaled Khalifa (pris pour l'auteur syrien) convient également pour le thème des odeurs.
Pour les bijoux, il y a Dumas (les 3 mousquetaires ou le collier de la reine).
- Tem-toGrand sage
Je couvre toujours mes arrièresAsarteLilith a écrit:Fais attention en effet....
- AphrodissiaMonarque
Pour cet item, j'ai lu Bijou de Gyp qu'on trouve en téléchargement pour Kindle mais ça m'étonnerait que ça se trouve en librairie ou bibliothèque, Gyp étant une auteure du 19e qui n'est plus rééditée. C'était pas mal, facile à lire, agréable, mais ça ne parle pas d'un vrai bijou, tout comme...Escargot Géant a écrit:Pour ce critère j'ai lu 73304-23-4153-6-96-8 de Thomas Ott emprunté à ma bibliothèque de quartier. Je ne l'aurais jamais emprunté sans le défi! C'est une BD assez sombre qui se lit très vite vu qu'à l'intérieur il n'y a pas beaucoup de mots non plus (une dizaine tout au plus)
Par contre je galère énormément pour: un livre qui parle d'odeur, et un peu pour:un livre qui évoque un bijou. Si vous avez des idées je prends! (Le parfum de Suskind merci mais non merci)
que je n'ai pas terminé tant j'ai trouvé cela bavard et pénible à lire. Il est vrai que j'ai un vieux contentieux avec Diderot qui est un peu ma bête noire en littérature: je n'arrive à rien finir de lui.AsarteLilith a écrit:Les bijoux indiscrets, Diderot ?
- Tem-toGrand sage
J'ai peiné pour Jacques le fataliste et son maître mais au final, j'ai été fasciné par la construction et la réflexion permanente sur la narration, surtout en essayant de me mettre dans le contexte de l'époque (pas évident).
A 18 ans, j'avais pris un coup de poing en lisant La Religieuse. Moi, c'est le Neveu de Rameau qui ne m'a pas convaincu. Ses drames bourgeois sont poussifs mais ça va, j'ai fini par accrocher. Gros coup de coeur pour le Supplément au voyage de Bougainville.
Mais j'aimerais beaucoup que les chercheurs en littérature et en histoire élucident tous les mystères autour de l'élaboration de l'Encyclopédie tant vis à vis du pouvoir, de ses contributeurs et de ses difficultés d'impression.
Si quelqu'un connaît un ouvrage qui fait le point là-dessus, ça m'intéresse !
A 18 ans, j'avais pris un coup de poing en lisant La Religieuse. Moi, c'est le Neveu de Rameau qui ne m'a pas convaincu. Ses drames bourgeois sont poussifs mais ça va, j'ai fini par accrocher. Gros coup de coeur pour le Supplément au voyage de Bougainville.
Mais j'aimerais beaucoup que les chercheurs en littérature et en histoire élucident tous les mystères autour de l'élaboration de l'Encyclopédie tant vis à vis du pouvoir, de ses contributeurs et de ses difficultés d'impression.
Si quelqu'un connaît un ouvrage qui fait le point là-dessus, ça m'intéresse !
- VioletEmpereur
Il me semble qu'il y a un livre de la collection Découvertes Gallimard là-dessus...
- VioletEmpereur
Je suis en train de terminer L'île des oubliés de Victoria Hislop.
Une jeune femme part en Grèce à la recherche d'informations sur sa mère, et apprend l'histoire familiale, marquée par l'exil et la maladie de la grand-mère atteinte de la lèpre.
Ce n'est pas mal pour l'instant... j'ai envie de savoir la suite...
Je pense que je le raccrocherai au défi sur une histoire sur une saga familiale... enfin je trouverais bien...
Une jeune femme part en Grèce à la recherche d'informations sur sa mère, et apprend l'histoire familiale, marquée par l'exil et la maladie de la grand-mère atteinte de la lèpre.
Ce n'est pas mal pour l'instant... j'ai envie de savoir la suite...
Je pense que je le raccrocherai au défi sur une histoire sur une saga familiale... enfin je trouverais bien...
- MalagaModérateur
Je viens de terminer Le mec de la tombe d'à côté de Katarina Mazetti. Je l'avais choisi pour l'item "Un livre dont le titre comprend plus de six mots" mais finalement, je le classe dans l'item "un livre avec plusieurs narrateurs".
Le livre raconte la rencontre improbable entre une jeune veuve bibliothécaire et un jeune agriculteur.
Je n'ai pas été tellement emballée par le livre. L'écriture ne m'a pas beaucoup plu, les personnages sont un peu fades. Et j'avoue que j'aime rêver un peu quand je lis un livre qui parle d'amour. Or, là, tout est très banal, quotidien voire moche. Bref, je sais que ce bouquin a eu beaucoup de succès mais je dois dire que je suis passée à côté.
Le livre raconte la rencontre improbable entre une jeune veuve bibliothécaire et un jeune agriculteur.
Je n'ai pas été tellement emballée par le livre. L'écriture ne m'a pas beaucoup plu, les personnages sont un peu fades. Et j'avoue que j'aime rêver un peu quand je lis un livre qui parle d'amour. Or, là, tout est très banal, quotidien voire moche. Bref, je sais que ce bouquin a eu beaucoup de succès mais je dois dire que je suis passée à côté.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- FrisouilleEnchanteur
Totalement d'accord avec toi Malaga, ce n'est même pas un bon roman pour la plage : que c'est plat et fade et poussif !
- AmaliahEmpereur
Pour le titre qui évoque un bijou, j'ai bien aimé La Perle et la coquille qui évoque le destin croisé de deux femmes en Afghanistan. Ce n'est pas de la grande littérature mais c'était prenant.
Je suis en train de finir le tome 3e d'Autant en emporte le vent et c'est délicieux! Rhett et Scarlett sont enfin mariés et Scarlett, toujours plus odieuse, découvre le plaisir physique avec Rhett toujours d'un cynisme absolu, je me régale!
Seul bémol : j'ai un vieux Folio sous la main et les 450 pages sont écrites en tout tout petit, c'est pénible.
Je suis en train de finir le tome 3e d'Autant en emporte le vent et c'est délicieux! Rhett et Scarlett sont enfin mariés et Scarlett, toujours plus odieuse, découvre le plaisir physique avec Rhett toujours d'un cynisme absolu, je me régale!
Seul bémol : j'ai un vieux Folio sous la main et les 450 pages sont écrites en tout tout petit, c'est pénible.
- Tem-toGrand sage
Merci pour l'info.Violet a écrit:Il me semble qu'il y a un livre de la collection Découvertes Gallimard là-dessus...
- liskayaNeoprof expérimenté
Je viens de terminer 7 de Tristan Garcia, avec lequel je coche finalement le défi 34 - un livre original dans sa forme.
J'ai aimé certaines histoire, aimé les échos d'une histoire à l'autre formant finalement un tout (d'où le défi 34), un peu moins le style de Tristan Garcia, pas toujours très heureux.
J'ai aimé certaines histoire, aimé les échos d'une histoire à l'autre formant finalement un tout (d'où le défi 34), un peu moins le style de Tristan Garcia, pas toujours très heureux.
- Tem-toGrand sage
Bonjour les papivores.
Différents éléments de ma vie actuelle me replongent dans mes souvenirs du Nord. Et des romans de Maxcence Van der Meersch que j'avais beaucoup lus et qu'il serait bon, je crois, d'exhumer. Notamment pour un défi entre grands lecteurs.
Merci Wikipédia :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maxence_Van_der_Meersch
Différents éléments de ma vie actuelle me replongent dans mes souvenirs du Nord. Et des romans de Maxcence Van der Meersch que j'avais beaucoup lus et qu'il serait bon, je crois, d'exhumer. Notamment pour un défi entre grands lecteurs.
Merci Wikipédia :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maxence_Van_der_Meersch
- AmaliahEmpereur
Je suis en train de lire Pas Pleurer de Lydie Salvayre dont je déteste l'écriture. Comme il est court, je vais quand même me forcer pour l'item histoire de l'Europe. Vous l'avez lu?
J'ai aussi lu Idées noires de Franquin pour le noir et blanc. Je n'ai pas été transcendée, loin s'en faut. J'ai trouvé ça vieux et daté.
J'ai aussi lu Adèle Blanc-Sec : Adèle et la bêtede Jacques Tardi. De la bande dessinée et du policier, pas du tout dans mes goûts. A la fois plat (mise en place des personnages) et en même temps peu évident à suivre pour moi qui ai besoin de mots, un livre surtout qui ressemble à un premier chapitre d'une longue histoire.
Vraiment, je ne suis pas fan de BD.
Et je suis allée faire une petite provision à la médiathèque. Prochaines lectures :
- Les Gens dans l'enveloppe pour le livre original.
- 14 pour le titre sans lettres (je ne pensais que c'était si court!).
- Parfums de Claudel. Vous m'avez donné envie!
- Meursault, contre-enquête de Kamel Daoud pour l'auteur d'Afrique (mais le Maghreb fait-il partie de l'Afrique?).
- Histoire d'une mouette et du chat... de Sepulveda pour les animaux.
J'ai aussi lu Idées noires de Franquin pour le noir et blanc. Je n'ai pas été transcendée, loin s'en faut. J'ai trouvé ça vieux et daté.
J'ai aussi lu Adèle Blanc-Sec : Adèle et la bêtede Jacques Tardi. De la bande dessinée et du policier, pas du tout dans mes goûts. A la fois plat (mise en place des personnages) et en même temps peu évident à suivre pour moi qui ai besoin de mots, un livre surtout qui ressemble à un premier chapitre d'une longue histoire.
Vraiment, je ne suis pas fan de BD.
Et je suis allée faire une petite provision à la médiathèque. Prochaines lectures :
- Les Gens dans l'enveloppe pour le livre original.
- 14 pour le titre sans lettres (je ne pensais que c'était si court!).
- Parfums de Claudel. Vous m'avez donné envie!
- Meursault, contre-enquête de Kamel Daoud pour l'auteur d'Afrique (mais le Maghreb fait-il partie de l'Afrique?).
- Histoire d'une mouette et du chat... de Sepulveda pour les animaux.
- NasopiBon génie
Je sors du Vieux qui lisait des romans d'amour pour le titre avec plus de 6 mots : je me suis vraiment régalée, c'est une belle découverte (je ne connaissais pas du tout cet auteur). Du coup, je crois que je vais lire un autre livre de lui pour l'auteur d'Amérique du Sud.
Encore deux livres, et je suis à la moitié du défi.
Encore deux livres, et je suis à la moitié du défi.
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- JennyMédiateur
Premières lectures de l'année. Je change de technique, je les mets dans plusieurs catégories et je ferai un choix plus tard.
Naguib Mahfouz - Impasse des deux palais : Le livre raconte la vie d'une famille du Caire au début du XXe siècle. Ahmed Abd el-Gawwad est un père autoritaire qui terrifie sa famille. La mère et les filles sont enfermées, espérant un mariage. Yacine, fils issu d'un premier mariage est insouciant et passe ses nuits au dehors, il découvre ainsi la double vie de son père. Son demi frère Fahmi s'engage pour l'indépendance de l'Egypte. Le plus jeune fils Kamal sympathise avec les Britanniques.
Il peut remplir le défi 15, c'est le premier tome d'une trilogie, le 36 pour la saga familiale, le 46 pour la relation parent/enfant et le 48 pour le prix Nobel de littérature.
Katherine Mosby - Sanctuaires ardents : Dans une petite ville de Virginie, pendant la Grande dépression, Vienna Daniels détonne et suscité curiosité et rumeurs. Belle, cultivée et excentrique, elle vient du nord et lutte en secret contre la ségrégation. Abandonnée par son mari, elle reste dans le sud et éleve ses deux enfants entre lectures et contact avec la nature, à l'écart des autres enfants et de l'école. Le livre m'a fait penser aux livres de Truman Capote, à La harpe d'herbes notamment.
Défi 19 : un livre d'Amérique du Nord ou défi 46 pour la relation parent/enfant.
Naguib Mahfouz - Impasse des deux palais : Le livre raconte la vie d'une famille du Caire au début du XXe siècle. Ahmed Abd el-Gawwad est un père autoritaire qui terrifie sa famille. La mère et les filles sont enfermées, espérant un mariage. Yacine, fils issu d'un premier mariage est insouciant et passe ses nuits au dehors, il découvre ainsi la double vie de son père. Son demi frère Fahmi s'engage pour l'indépendance de l'Egypte. Le plus jeune fils Kamal sympathise avec les Britanniques.
Il peut remplir le défi 15, c'est le premier tome d'une trilogie, le 36 pour la saga familiale, le 46 pour la relation parent/enfant et le 48 pour le prix Nobel de littérature.
Katherine Mosby - Sanctuaires ardents : Dans une petite ville de Virginie, pendant la Grande dépression, Vienna Daniels détonne et suscité curiosité et rumeurs. Belle, cultivée et excentrique, elle vient du nord et lutte en secret contre la ségrégation. Abandonnée par son mari, elle reste dans le sud et éleve ses deux enfants entre lectures et contact avec la nature, à l'écart des autres enfants et de l'école. Le livre m'a fait penser aux livres de Truman Capote, à La harpe d'herbes notamment.
Défi 19 : un livre d'Amérique du Nord ou défi 46 pour la relation parent/enfant.
- VioletEmpereur
Je suis en train de lire L'amie prodigieuse, d'Elena Ferrante.
Pour le dernier défi, livre dont l'auteur porte le prénom d"un grand-parent, est-ce que je peux l'utiliser sachant que ma grand-mère s'appelait Hélène ?
Pour le dernier défi, livre dont l'auteur porte le prénom d"un grand-parent, est-ce que je peux l'utiliser sachant que ma grand-mère s'appelait Hélène ?
- AmaliahEmpereur
Bravo Nasopi! C'est à ta liste que j'ai emprunté Idées noires qui était sur mes étagères depuis des années!
J'adore le Sepulveda que tu cites, je le fais lire presque tous les ans à mes 3e.
Violet, tu aimes bien? Pour moi, Hélène / Elena, c'est pareil!
Je n'ai pas accroché à ce roman alors qu'il y a tous les ingrédients pour me séduire, il m'a profondément ennuyée. Mais j'ai trouvé la scène finale particulièrement réussie.
J'adore le Sepulveda que tu cites, je le fais lire presque tous les ans à mes 3e.
Violet, tu aimes bien? Pour moi, Hélène / Elena, c'est pareil!
Je n'ai pas accroché à ce roman alors qu'il y a tous les ingrédients pour me séduire, il m'a profondément ennuyée. Mais j'ai trouvé la scène finale particulièrement réussie.
- Escargot GéantNiveau 8
Violet: Pour moi c'est possible! Surtout que mes grands-parents ont des prénoms pas faciles donc je risque de taper large. (notamment utiliser la version française du prénom de ma grand-mère)
Pour l'auteur syrien j'ai lu: Soleils seconds, de Adonis. C'est de la poésie traduite de l'arabe. Peut aller dans d'autres catégories (notamment pays disparu car est censé se passer en Phénicie, mais aussi forme originale puis qu'il y a du théâtre dedans...)
Je ne l'aurais jamais mais jamais lu sans le défi. Seul auteur syrien trouvé à la bibliothèque (pour Riad Sattouf je me suis référée à sa page wikipedia qui le dit français) Comme souvent avec la poésie j'ai passé 10 pages à me dire: "ahlala c'est génial pourquoi j'en lis pas plus souvent?" et à la 11ème je me rappelle que les recueils ne sont pas un format qui me convient. Trop hermétique. Je vous conseille si vous aimez les mots gerfaut, nébuleuse, constellation, si vous aimez la poésie orientale, les questions existentielles, les ponts entre occident et orient... L'auteur, assez désabusé de ce qui se passe en orient, vit en région parisienne. Ses poésies se réfèrent au Coran comme à Baudelaire.
Pour le format original j'écoute le feuilleton Pars vite et reviens tard de Fred Vargas sur France Culture. (dispo ici: https://www.franceculture.fr/emissions/fictions-le-feuilleton?p=12) J'adore. Par contre c'est un feuilleton donc quelques libertés prises avec le livre. (mais je me valide quand même comme livre lu :diable: )
Pour l'auteur syrien j'ai lu: Soleils seconds, de Adonis. C'est de la poésie traduite de l'arabe. Peut aller dans d'autres catégories (notamment pays disparu car est censé se passer en Phénicie, mais aussi forme originale puis qu'il y a du théâtre dedans...)
Je ne l'aurais jamais mais jamais lu sans le défi. Seul auteur syrien trouvé à la bibliothèque (pour Riad Sattouf je me suis référée à sa page wikipedia qui le dit français) Comme souvent avec la poésie j'ai passé 10 pages à me dire: "ahlala c'est génial pourquoi j'en lis pas plus souvent?" et à la 11ème je me rappelle que les recueils ne sont pas un format qui me convient. Trop hermétique. Je vous conseille si vous aimez les mots gerfaut, nébuleuse, constellation, si vous aimez la poésie orientale, les questions existentielles, les ponts entre occident et orient... L'auteur, assez désabusé de ce qui se passe en orient, vit en région parisienne. Ses poésies se réfèrent au Coran comme à Baudelaire.
Pour le format original j'écoute le feuilleton Pars vite et reviens tard de Fred Vargas sur France Culture. (dispo ici: https://www.franceculture.fr/emissions/fictions-le-feuilleton?p=12) J'adore. Par contre c'est un feuilleton donc quelques libertés prises avec le livre. (mais je me valide quand même comme livre lu :diable: )
- VioletEmpereur
Je viens à peine de commencer le tome 1 et ai acheté le tome 2 ce matin...Pour l'instant, c'est pas mal...
J'espère ne pas être déçue...
J'espère ne pas être déçue...
- DimkaVénérable
Pour le dix-septième défi (un livre paru en 17 ou bien écrit par un écrivain né ou mort en 17), j’ai lu Tite-Live, ou plus précisément sept livres de Tite-Live (ceux qui sont édités par la Pleïade, puisque j’ai eu la chance de tomber sur un exemplaire d’occasion qui ne m’a presque rien coûté) : les livres un à cinq, et vingt-et-un et vingt-deux, les autres étant simplement résumés.
J’ai trouvé cette lecture plutôt agréable : on prend rarement le temps de lire les sources, pendant ses études, ou alors de façon beaucoup plus partielle. Du coup, en lisant Tite-Live, il y a le plaisir de la reconnaissance, puisqu’on a déjà les connaissances (et la critique des historiens), et en même temps, le ton propre aux chroniqueurs est toujours assez amusant, plus vivant que celui des historiens contemporains.
Par ailleurs, j’ai été surpris : ça se lit vraiment bien, je n’ai pas eu de lassitude ou d’impression de longueurs, alors même que le genre se prête bien à cela (avec la répétition des campagnes militaires ou des troubles internes, notamment).
Et en plus, je poste le dix-septième défi, qui porte sur l’année 17, sur la dix-septième page du topic, et ça, c’est quand même grave la classe.
J’ai trouvé cette lecture plutôt agréable : on prend rarement le temps de lire les sources, pendant ses études, ou alors de façon beaucoup plus partielle. Du coup, en lisant Tite-Live, il y a le plaisir de la reconnaissance, puisqu’on a déjà les connaissances (et la critique des historiens), et en même temps, le ton propre aux chroniqueurs est toujours assez amusant, plus vivant que celui des historiens contemporains.
Par ailleurs, j’ai été surpris : ça se lit vraiment bien, je n’ai pas eu de lassitude ou d’impression de longueurs, alors même que le genre se prête bien à cela (avec la répétition des campagnes militaires ou des troubles internes, notamment).
Et en plus, je poste le dix-septième défi, qui porte sur l’année 17, sur la dix-septième page du topic, et ça, c’est quand même grave la classe.
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- Spoiler:
- DimkaVénérable
Simultanément (car je lis parfois deux livres en même temps, et en plus, il a fallu sécher Tite-Live, victime d’un malheureusement incident aquatique), pour le dix-huitième défi (un livre qui évoque l'histoire de l'Europe), j’ai lu Le Monde d’hier de Stefan Zweig.
Au début, l’écriture m’a un peu agacé : Stefan Zweig a une certaine tendance à faire des généralités, et à employer le « nous » pour ne pas assumer un « je », du coup l’écriture est parfois un peu trop théorique, et ça manque de concret, de tranches de vie. Cela dit, j’ai vite accroché, soit que ces aspects s’estompent, soit que je m’y suis habitué. Sinon, tant que j’y suis à m’agacer, il y a des généralités sur les Russes, présentés comme de grands enfants… C’est vraiment cliché. Pourquoi les Occidentaux ne prennent jamais les Russes au sérieux, et les regardent toujours avec une vague condescendance attendrie ?
Cela dit, je suis plutôt content d’avoir lu cela, l’auteur rapporte ses impressions sur la vie autrichienne et européenne, dans les élites intellectuelles : il s’agit de points de vue qu’on lit assez peu, sur une période qu’on connaît mal (par exemple, pour les deux guerres mondiales, on connaît ça vu de la France, parfois un peu de l’Allemagne, mais pour l’Autriche, c’est nettement plus rare). Par ailleurs, l’auteur développe un sentiment européen, c’est assez marrant de voir qu’on n’a pas attendu la seconde moitié du vingtième siècle pour inventer cela…
Habituellement, les discours du type « c’était mieux avant » ont le don de m’agacer : mais d’une part, j’aurais du mal à reprocher à un Autrichien juif écrivant dans les années 40 d’avoir une certaine nostalgie du passé, d’autre part ça reste assez nuancé, il est par exemple très critique sur l’époque de sa jeunesse, et valorise certaines évolutions, par exemple dans les mœurs. Par ailleurs, les propos sont assez progressistes, comme à propos des femmes.
Je trouve aussi l’auteur assez rigolo, il correspond vraiment au cliché de l’intellectuel bourgeois, modéré et posé dans ses propos, intellectuel, cultivé et délicat. Un peu le p’tit papy, pas le genre à courir pieds nus dans la neige les cheveux dans le vent comme un barbare. Ça manque un peu de feu, mais je trouve ce genre de personnes assez touchantes.
Au début, l’écriture m’a un peu agacé : Stefan Zweig a une certaine tendance à faire des généralités, et à employer le « nous » pour ne pas assumer un « je », du coup l’écriture est parfois un peu trop théorique, et ça manque de concret, de tranches de vie. Cela dit, j’ai vite accroché, soit que ces aspects s’estompent, soit que je m’y suis habitué. Sinon, tant que j’y suis à m’agacer, il y a des généralités sur les Russes, présentés comme de grands enfants… C’est vraiment cliché. Pourquoi les Occidentaux ne prennent jamais les Russes au sérieux, et les regardent toujours avec une vague condescendance attendrie ?
Cela dit, je suis plutôt content d’avoir lu cela, l’auteur rapporte ses impressions sur la vie autrichienne et européenne, dans les élites intellectuelles : il s’agit de points de vue qu’on lit assez peu, sur une période qu’on connaît mal (par exemple, pour les deux guerres mondiales, on connaît ça vu de la France, parfois un peu de l’Allemagne, mais pour l’Autriche, c’est nettement plus rare). Par ailleurs, l’auteur développe un sentiment européen, c’est assez marrant de voir qu’on n’a pas attendu la seconde moitié du vingtième siècle pour inventer cela…
Habituellement, les discours du type « c’était mieux avant » ont le don de m’agacer : mais d’une part, j’aurais du mal à reprocher à un Autrichien juif écrivant dans les années 40 d’avoir une certaine nostalgie du passé, d’autre part ça reste assez nuancé, il est par exemple très critique sur l’époque de sa jeunesse, et valorise certaines évolutions, par exemple dans les mœurs. Par ailleurs, les propos sont assez progressistes, comme à propos des femmes.
Je trouve aussi l’auteur assez rigolo, il correspond vraiment au cliché de l’intellectuel bourgeois, modéré et posé dans ses propos, intellectuel, cultivé et délicat. Un peu le p’tit papy, pas le genre à courir pieds nus dans la neige les cheveux dans le vent comme un barbare. Ça manque un peu de feu, mais je trouve ce genre de personnes assez touchantes.
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