- ElbertaHabitué du forum
Bonjour,
J'ai cherché sur le site si le sujet avait déjà été abordé et je n'ai rien trouvé, alors je me permets d'ouvrir un nouveau sujet.
Je viens d'arriver dans un nouveau collège (TZR) où le niveau des élèves est très hétérogène et je n'arrive pas à organiser correctement les séances de lecture de texte / questions.
En général, je commence par lire le texte, puis je consacre un temps à la paraphrase (à l'oral), et je projette les questions. Et là j'ai un problème : il y a les élèves qui y répondent et les autres. Au moment de la correction écrite (à laquelle je tiens puisque j'y ajoute des éléments) les élèves qui ont déjà répondu ne voient pas l'intérêt de recopier les réponses (même si les leurs sont incomplètes) et les autres n'ont rien fait à part attendre la correction.
Comment organisez-vous ce temps de questionnement sur les textes ? Uniquement à l'oral, avec ensuite une sorte de bilan à copier ? J'y pense, mais tout faire à l'oral me dérange. D'autant plus que ces classes sont difficiles (je suis en rep) et que l'oral m'épuise. Et je dois circuler dans les rangs pour faire la discipline.
Je suis un peu perdue.
Merci à tous.
J'ai cherché sur le site si le sujet avait déjà été abordé et je n'ai rien trouvé, alors je me permets d'ouvrir un nouveau sujet.
Je viens d'arriver dans un nouveau collège (TZR) où le niveau des élèves est très hétérogène et je n'arrive pas à organiser correctement les séances de lecture de texte / questions.
En général, je commence par lire le texte, puis je consacre un temps à la paraphrase (à l'oral), et je projette les questions. Et là j'ai un problème : il y a les élèves qui y répondent et les autres. Au moment de la correction écrite (à laquelle je tiens puisque j'y ajoute des éléments) les élèves qui ont déjà répondu ne voient pas l'intérêt de recopier les réponses (même si les leurs sont incomplètes) et les autres n'ont rien fait à part attendre la correction.
Comment organisez-vous ce temps de questionnement sur les textes ? Uniquement à l'oral, avec ensuite une sorte de bilan à copier ? J'y pense, mais tout faire à l'oral me dérange. D'autant plus que ces classes sont difficiles (je suis en rep) et que l'oral m'épuise. Et je dois circuler dans les rangs pour faire la discipline.
Je suis un peu perdue.
Merci à tous.
- julianna7Niveau 5
On peut leur demander de sélectionner des informations en surlignant des éléments du texte. On nous conseille de poser des questions ouvertes sur les textes, susciter le débat puis pourquoi pas garder une trace écrite. Il faut s'interroger sur l'intérêt de cette trace écrite : Est-ce une notion à retenir ? Apprendre à formuler une pensée ?
Parfois, ce n'est pas vraiment utile, mieux vaut leur demander de faire un résumé, d'écrire une suite ou un pastiche si le but est de les faire écrire.
Je pense cependant que répondre à un questionnaire peut être intéressant de temps en temps. Tout dépend de l'objectif.
Parfois, ce n'est pas vraiment utile, mieux vaut leur demander de faire un résumé, d'écrire une suite ou un pastiche si le but est de les faire écrire.
Je pense cependant que répondre à un questionnaire peut être intéressant de temps en temps. Tout dépend de l'objectif.
- AmaliahEmpereur
Je ne travaille jamais à partir de questions projetées pour ma part. Je trouverais ça ennuyeux. Mais ce n'est que mon avis personnel et en rien un jugement de valeur sur ce que tu fais. La plupart du temps, je lis le texte, je fais noter le vocabulaire que je veux qu'ils retiennent, puis je pose des questions à l'oral, de simple compréhension au début puis qui nécessitent un repérage dans le texte. Ils annotent leur texte ou relèvent sur leur feuille ce que j'ai demandé, puis on fait une synthèse que tout le monde note. En général on arrive à quelques notes sur l'auteur, le texte en général puis à deux synthèses partielles sur le texte.
- ElbertaHabitué du forum
Amaliah a écrit:Je ne travaille jamais à partir de questions projetées pour ma part. Je trouverais ça ennuyeux. Mais ce n'est que mon avis personnel et en rien un jugement de valeur sur ce que tu fais.
Je suis d'accord. Je ne faisais pas ça dans mon précédent collège, mais j'ai des classes très très agitées et ils sont habitués à travailler comme ça. J'ai essayé de m'adapter, mais le résultat est décevant. Le problème c'est qu'avec ces classes qui parlent absolument sans arrêt je m'épuise à faire de l'oral. Je voudrais qu'ils soient en activé, mais je ne trouve pas de solution. Ceux qui travaillent ne sont pas ceux qui m'embêtent bien sûr.
- anthinéaGuide spirituel
En sixième:
Je fais une partie orale ( carte mentale du texte que je schématise au tableau d'après leurs interventions ) puis une partie écrite (2/3 questions) qu’on corrige la séance suivante : correction projetée et corrigée par tous car informations complémentaires et on remplit une trace écrite à trous.
En troisième :
Partie orale ( carte mentale)
Puis questionnaire écrit
Puis lecture analytique magistrale ( avec prise de notes)
Je n’ai qu’une partie « dans les clous » mais je tiens à la partie écrite :
Construction d’une réponse ( ils sont tellement à l’ouest)
Passer à l'écrit Systématiquement permet de dédramatiser l’écrit et ça les fait écrire.
Je fais une partie orale ( carte mentale du texte que je schématise au tableau d'après leurs interventions ) puis une partie écrite (2/3 questions) qu’on corrige la séance suivante : correction projetée et corrigée par tous car informations complémentaires et on remplit une trace écrite à trous.
En troisième :
Partie orale ( carte mentale)
Puis questionnaire écrit
Puis lecture analytique magistrale ( avec prise de notes)
Je n’ai qu’une partie « dans les clous » mais je tiens à la partie écrite :
Construction d’une réponse ( ils sont tellement à l’ouest)
Passer à l'écrit Systématiquement permet de dédramatiser l’écrit et ça les fait écrire.
- adumbrateNiveau 10
Amaliah a écrit: La plupart du temps, je lis le texte, je fais noter le vocabulaire que je veux qu'ils retiennent, puis je pose des questions à l'oral, de simple compréhension au début puis qui nécessitent un repérage dans le texte. Ils annotent leur texte ou relèvent sur leur feuille ce que j'ai demandé, puis on fait une synthèse que tout le monde note.
J'ai du mal à tout faire en passant par l'oral, parce que :
- je trouve que les élèves n'ont pas vraiment le temps de "se plonger" dans le texte (certains ont besoin de le relire plusieurs fois), et qu'il est difficile d'entrer dans ses subtilités.
- j'ai l'impression (peut-être n'est-ce qu'une impression) que certains élèves restent passifs.
Comment fais-tu pour surmonter ces écueils ? Ça m'intéresse grandement.
- ElbertaHabitué du forum
Oui c’est le coeur du problème cette passivité. Certains ne font absolument rien. Cette mise en activité est un réel problème.
- AmaliahEmpereur
adumbrate a écrit:Amaliah a écrit: La plupart du temps, je lis le texte, je fais noter le vocabulaire que je veux qu'ils retiennent, puis je pose des questions à l'oral, de simple compréhension au début puis qui nécessitent un repérage dans le texte. Ils annotent leur texte ou relèvent sur leur feuille ce que j'ai demandé, puis on fait une synthèse que tout le monde note.
J'ai du mal à tout faire en passant par l'oral, parce que :
- je trouve que les élèves n'ont pas vraiment le temps de "se plonger" dans le texte (certains ont besoin de le relire plusieurs fois), et qu'il est difficile d'entrer dans ses subtilités.
- j'ai l'impression (peut-être n'est-ce qu'une impression) que certains élèves restent passifs.
Comment fais-tu pour surmonter ces écueils ? Ça m'intéresse grandement.
Je ne fais pas tout à l'oral. Je pose des questions qui vont les amener à surligner le texte, à repérer des procédés etc. Par exemple quels sont les sentiments de tel ou tel personnage? Je demande d'abord qu'ils repèrent des citations puis qu'ils notent le procédé à côté ou une reformulation, selon le texte. Ensuite lors de la mise en commun, je peux noter les mots-clefs au tableau et ils rédigent la synthèse. Parfois la synthèse est courte, parfois plus longue (une vraie réponse argumentée avec mots de liaison). Il m'arrive aussi de la dicter. Ou en 6e de proposer des phrases amorces afin qu'ils complètent par eux-mêmes.
Bref tout dépend du niveau et du texte. Je précise que je n'ai que des 6e et des 3e.
Je trouve que la lecture magistrale permet de gagner du temps et de faire entrer les élèves dans le texte plus rapidement. Un certain nombre d'entre eux ne suit même pas le texte et m'écoute.
Ces élèves qui sont passifs, le sont-ils moins s'ils doivent traiter des questions tout seuls? C'est une vraie question. Globalement, j'en ai très peu qui restent passifs parce que je les flique sans cesse.
Mais mes élèves répondent aussi à des questions. Par exemple, là on travaille en 3e sur Médée d'Euripide. On travaille les textes comme je l'ai indiqué plus haut mais pour chaque séance, ils doivent lire les passages entre les différents extraits que nous lisons et répondre à des questions précises.
En somme, pas de recette miracle surtout que ce qui marche avec une classe ne marchera pas forcément avec une autre. Il m'arrive de faire deux cours sur le même texte bien différents. Ce qui est le plus agréable, c'est de partir de leurs premières impressions. L'an dernier, j'avais une 3e très faible (80% d'orientations en bac pro et 5 élèves sur 26 en CAP), j'appréciais leur spontanéité. "Madame, je comprends rien à ce texte" Pourquoi? Et à partir de ce premier questionnement on était arrivé à une bonne séance.
Je trouve que c'est ce qui fait l'intérêt d'un cours de français en lecture mais aussi ce qui nous épuise, bien plus qu'un cours de langue.
- ernyaFidèle du forum
Même en passant par l'écrit ? (plus difficile de se cacher qu'à l'oral)Elberta a écrit:Oui c’est le coeur du problème cette passivité. Certains ne font absolument rien. Cette mise en activité est un réel problème.
Souvent, après lecture du texte, je fais résumer ce qu'on a lu et je pose pratiquement les mêmes questions que celles données à l'écrit, ce qui en aide certains car au moment de répondre aux questions écrites, ils se rendent compte qu'on en a parlé à l'oral.
Je pratique aussi régulièrement une correction à l'oral pour éviter que les passifs ne fassent qu'attendre d'avoir un truc à recopier. Par contre, ils devront toujours noter une trace écrite en fin de séance.
Mais avec une classe bavarde, il vaut mieux faire beaucoup d'écrit pour leur ôter toute possibilité d'ouvrir la bouche.
- adumbrateNiveau 10
Merci pour vos réponses. Ça me conforte dans l'idée qu'il faut que je garde une partie écrite, mais sans doute en variant un peu plus les taches proposées.
Cela amène une autre question : fais-tu faire des synthèses individuelles ou sont-elles systématiquement reprises collectivement ?
Amaliah a écrit:Ensuite lors de la mise en commun, je peux noter les mots-clefs au tableau et ils rédigent la synthèse. Parfois la synthèse est courte, parfois plus longue (une vraie réponse argumentée avec mots de liaison).
Cela amène une autre question : fais-tu faire des synthèses individuelles ou sont-elles systématiquement reprises collectivement ?
- ElbertaHabitué du forum
Certains ne font rien a l’écrit non plus....
Je pose généralement deux séries de questions. Une qui reprend ce qu’on a dit à l’oral et une plus poussée pour ceux qui avancent. C’est la mise en commun qui est compliquée.
En écrivant je réfléchis, et je me demande si je ne vais pas essayer de mettre les deux séries de questions côte à côte et leur dire de choisir celles qu’ils traitent. Et prévoir une leçon écrite qui reprendrait les deux.
Je pose généralement deux séries de questions. Une qui reprend ce qu’on a dit à l’oral et une plus poussée pour ceux qui avancent. C’est la mise en commun qui est compliquée.
En écrivant je réfléchis, et je me demande si je ne vais pas essayer de mettre les deux séries de questions côte à côte et leur dire de choisir celles qu’ils traitent. Et prévoir une leçon écrite qui reprendrait les deux.
- AustrucheerranteHabitué du forum
Fort intéressant ce sujet.
En ce qui me concerne, j'ai les niveaux du milieu (5ième et 4ième) dans un collège particulièrement défavorisé (mais tranquille), avec des élèves très peu scolaires et pour pas mal très agité (mais pas agressifs).
Je procède de la façon suivante :
1- Je lis le texte à voix haute, devant eux.
2- Je leur distribue une série de questions.
3- Je pose la première question à l'oral ; j'écoute quelques réponses et je complète si je le juge utile ou intéressant.
4- Je leur projette une réponse écrite à la question, un peu plus dense que la simple réponse, que je leur fais noter ; les réponses aux questions vont tenir lieu de leçon.
5 - Je répète les étapes 3 et 4 jusqu'à ce que les questions soient épuisées.
Je réponds à toutes les questions des élèves, notamment sur le vocabulaire ; si une question anticipe sur un point à venir, j'y réponds si je juge opportun, sinon je précise que nous en parlerons un peu plus tard (et à ce moment-là, je fais toujours une remarque du type "comme l'avait dit X...")
En amont, quand on commence un chapitre, je distribue une courte fiche de synthèse sur le chapitre en question, qu'on lit ensemble.
Avantages de cette méthode :
- Elle permet de tenir relativement bien les élèves ; ceux qui écrivent sont peu tentés de bavarder ; on peut commencer à enchaîner sur la question suivante quand les derniers trainards finissent de recopier le texte encore au tableau, ce qui évite de les laisser "s'ennuyer" (et donc parler) ;
- Elle permet de les faire écrire pas mal (l'urgence absolu au collège, au moins pour mes élèves) tout en garantissant qu'ils auront un texte relativement présentable (après, il y a toujours des élèves pour lesquels ça fonctionne moins, pour cause ou de mauvaise volonté ou de lacunes abyssales)
- On peut parler du texte un peu en détail, y compris parfois de façon un peu subtile.
Inconvénient majeur de cette méthode : ça prend du temps ; en moyenne, je passe deux heures sur un texte, soit (vu la façon dont je suis organisé) un texte tous les quinze jours à peu près, ce qui est peu.
Pour gagner un peu de temps, je donne généralement des questions à préparer à la maison, dont je projette la correction directement au début du cours ; l'inconvénient, c'est que certains se sentent dispensés de copier et qu'il faut les rappeler à l'ordre.
En ce qui me concerne, j'ai les niveaux du milieu (5ième et 4ième) dans un collège particulièrement défavorisé (mais tranquille), avec des élèves très peu scolaires et pour pas mal très agité (mais pas agressifs).
Je procède de la façon suivante :
1- Je lis le texte à voix haute, devant eux.
2- Je leur distribue une série de questions.
3- Je pose la première question à l'oral ; j'écoute quelques réponses et je complète si je le juge utile ou intéressant.
4- Je leur projette une réponse écrite à la question, un peu plus dense que la simple réponse, que je leur fais noter ; les réponses aux questions vont tenir lieu de leçon.
5 - Je répète les étapes 3 et 4 jusqu'à ce que les questions soient épuisées.
Je réponds à toutes les questions des élèves, notamment sur le vocabulaire ; si une question anticipe sur un point à venir, j'y réponds si je juge opportun, sinon je précise que nous en parlerons un peu plus tard (et à ce moment-là, je fais toujours une remarque du type "comme l'avait dit X...")
En amont, quand on commence un chapitre, je distribue une courte fiche de synthèse sur le chapitre en question, qu'on lit ensemble.
Avantages de cette méthode :
- Elle permet de tenir relativement bien les élèves ; ceux qui écrivent sont peu tentés de bavarder ; on peut commencer à enchaîner sur la question suivante quand les derniers trainards finissent de recopier le texte encore au tableau, ce qui évite de les laisser "s'ennuyer" (et donc parler) ;
- Elle permet de les faire écrire pas mal (l'urgence absolu au collège, au moins pour mes élèves) tout en garantissant qu'ils auront un texte relativement présentable (après, il y a toujours des élèves pour lesquels ça fonctionne moins, pour cause ou de mauvaise volonté ou de lacunes abyssales)
- On peut parler du texte un peu en détail, y compris parfois de façon un peu subtile.
Inconvénient majeur de cette méthode : ça prend du temps ; en moyenne, je passe deux heures sur un texte, soit (vu la façon dont je suis organisé) un texte tous les quinze jours à peu près, ce qui est peu.
Pour gagner un peu de temps, je donne généralement des questions à préparer à la maison, dont je projette la correction directement au début du cours ; l'inconvénient, c'est que certains se sentent dispensés de copier et qu'il faut les rappeler à l'ordre.
- ElbertaHabitué du forum
@Austrucheerrante J'aime beaucoup ta façon de travailler ! Je pense m'en inspirer car elle correspond bien à la façon dont je voudrais fonctionner, et tu es bien plus organisée que moi.
Distribuer les questions est un effet plus pertinent que les projeter. Cela oblige les élèves à être le nez dans leur cahier alors que la projection, au contraire, les incite à parler. Je me suis mise à la vidéoprojection cette année parce que tous mes collègues le font, mais j'en vois clairement les limites. En revanche, projeter les réponses comme tu le fais est un plus, et tous les élèves ont la même chose dans leur cahier du coup. Tu ne fais donc les questions qu'à l'oral, c'est bien ça ?
J'ai organisé la semaine en 2h de langue et 2h de littérature, mais je passe plutôt 2h sur un extrait de texte que sur un teste entier ! Par exemple presque 4h pour étudier Aux Champs !
Je vais donc tester ton fonctionnement dès lundi avec mes 4è difficiles.
Puis-je me permettre de te demander comment tu fonctionnes en langue ? Parce que là aussi, la mise au travail est laborieuse ....
Distribuer les questions est un effet plus pertinent que les projeter. Cela oblige les élèves à être le nez dans leur cahier alors que la projection, au contraire, les incite à parler. Je me suis mise à la vidéoprojection cette année parce que tous mes collègues le font, mais j'en vois clairement les limites. En revanche, projeter les réponses comme tu le fais est un plus, et tous les élèves ont la même chose dans leur cahier du coup. Tu ne fais donc les questions qu'à l'oral, c'est bien ça ?
J'ai organisé la semaine en 2h de langue et 2h de littérature, mais je passe plutôt 2h sur un extrait de texte que sur un teste entier ! Par exemple presque 4h pour étudier Aux Champs !
Je vais donc tester ton fonctionnement dès lundi avec mes 4è difficiles.
Puis-je me permettre de te demander comment tu fonctionnes en langue ? Parce que là aussi, la mise au travail est laborieuse ....
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