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- totoroMonarque
roxanne a écrit:Notre IPR nous ayant bien la leçon en juillet, je doute que quelqu'un s'y aventure. Et je vais continuer à tenir le même discours à mes élèves.
Deux élèves de notre établissement se sont retrouvés à faire un exposé sur un document complémentaire cette année...
Et dans le cas de mon élève, elle est passé sur un extrait de Dom juan alors qu'on avait étudié Le Mariage de F en OI...
liliepingouin a écrit:
Bon, dans notre académie maintenant circule un modèle où figurent clairement "première partie: l'exposé" et "deuxième partie: l'entretien", au moins les choses sont claires.
Je pense faire cela cette année pour éviter que cela se reproduise...
- Une passanteEsprit éclairé
Quand on indique clairement "lectures analytiques", il semble logique que l'exposé porte sur l'une d'entre elles. Après, l'examinateur est censé être capable de lire un descriptif et de voir que certains GT ont fait l'objet de lectures analytiques alors que d'autres ne sont que des lectures complémentaires cursives.
Mais la question initiale permet donc d'inviter à la plus grande plus grande prudence lors de la rédaction de son descriptif.
Je distingue les lectures complémentaires, qui, comme leur nom l'indique, viennent compléter l'étude de l'objet d'étude, des lectures cursives qui auront été réalisées seules par les élèves, mais je vais probablement modifier ma façon de faire pour éviter toute ambiguïté.
Un collègue numérote les LA au fur et à mesure des séquences, c'est sans doute aussi une bonne solution, l'examinateur ne pourra pas se tromper.
Mais la question initiale permet donc d'inviter à la plus grande plus grande prudence lors de la rédaction de son descriptif.
Je distingue les lectures complémentaires, qui, comme leur nom l'indique, viennent compléter l'étude de l'objet d'étude, des lectures cursives qui auront été réalisées seules par les élèves, mais je vais probablement modifier ma façon de faire pour éviter toute ambiguïté.
Un collègue numérote les LA au fur et à mesure des séquences, c'est sans doute aussi une bonne solution, l'examinateur ne pourra pas se tromper.
- IphigénieProphète
Le mieux serait de revenir à l'ancienne formule avec juste la liste des textes étudiés et d'arrêter cette usine à gaz...mais ça c'est pas demain la veille...on va sans doute bientôt ajouter les documents vus en interdisciplinarité...
- ysabelDevin
Une passante a écrit:Quand on indique clairement "lectures analytiques", il semble logique que l'exposé porte sur l'une d'entre elles. Après, l'examinateur est censé être capable de lire un descriptif et de voir que certains GT ont fait l'objet de lectures analytiques alors que d'autres ne sont que des lecturescomplémentairescursives.
Mais la question initiale permet donc d'inviter à la plus grande plus grande prudence lors de la rédaction de son descriptif.
Je distingue les lectures complémentaires, qui, comme leur nom l'indique, viennent compléter l'étude de l'objet d'étude, des lectures cursives qui auront été réalisées seules par les élèves, mais je vais probablement modifier ma façon de faire pour éviter toute ambiguïté.
Un collègue numérote les LA au fur et à mesure des séquences, c'est sans doute aussi une bonne solution, l'examinateur ne pourra pas se tromper.
Je suis d'accord. Dans mon descriptif je note clairement :
- Textes en LA
-Textes complémentaires
- lectures cursives.
Et je n'ai jamais eu de souci pour l'oral.
Les textes complémentaires, je les vois en classe, mais plus rapidement que les LA tandis que les LC, les élèves les lisent seuls à la maison (en général un roman, un pièce et.)
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- totoroMonarque
Une passante a écrit:Quand on indique clairement "lectures analytiques", il semble logique que l'exposé porte sur l'une d'entre elles. Après, l'examinateur est censé être capable de lire un descriptif et de voir que certains GT ont fait l'objet de lectures analytiques alors que d'autres ne sont que des lecturescomplémentairescursives.
Mais la question initiale permet donc d'inviter à la plus grande plus grande prudence lors de la rédaction de son descriptif.
Je distingue les lectures complémentaires, qui, comme leur nom l'indique, viennent compléter l'étude de l'objet d'étude, des lectures cursives qui auront été réalisées seules par les élèves, mais je vais probablement modifier ma façon de faire pour éviter toute ambiguïté.
Un collègue numérote les LA au fur et à mesure des séquences, c'est sans doute aussi une bonne solution, l'examinateur ne pourra pas se tromper.
c'est ce que je fais, et ça n'a pas empêché une collègue d'interroger mes élèves sur un texte complémentaire (dans une séquence sur une œuvre intégrale qui plus est...)
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- eliamEsprit éclairé
ysabel a écrit:Une passante a écrit:Quand on indique clairement "lectures analytiques", il semble logique que l'exposé porte sur l'une d'entre elles. Après, l'examinateur est censé être capable de lire un descriptif et de voir que certains GT ont fait l'objet de lectures analytiques alors que d'autres ne sont que des lecturescomplémentairescursives.
Mais la question initiale permet donc d'inviter à la plus grande plus grande prudence lors de la rédaction de son descriptif.
Je distingue les lectures complémentaires, qui, comme leur nom l'indique, viennent compléter l'étude de l'objet d'étude, des lectures cursives qui auront été réalisées seules par les élèves, mais je vais probablement modifier ma façon de faire pour éviter toute ambiguïté.
Un collègue numérote les LA au fur et à mesure des séquences, c'est sans doute aussi une bonne solution, l'examinateur ne pourra pas se tromper.
Je suis d'accord. Dans mon descriptif je note clairement :
- Textes en LA
-Textes complémentaires
- lectures cursives.
Et je n'ai jamais eu de souci pour l'oral.
Les textes complémentaires, je les vois en classe, mais plus rapidement que les LA tandis que les LC, les élèves les lisent seuls à la maison (en général un roman, un pièce et.)
Je fais la même chose mais une année trois de mes élèves ont été interrogés en L.A sur des textes complémentaires.
- IphigénieProphète
Je suis quand même très surprise de voir qu'il y a autant d'interrogateurs qui ne connaissent pas les textes... ça laisse rêveur.
C'st sans doute le signe que notre système d'EAF actuel est exécrable: quand on monte un truc aussi compliqué administrativement, ça engendre forcément des bavures...
Enfin, heureusement ça n'empêche pas le niveau de monter, inexorablement, d'année en année. On tourne à 13 de moyenne en S +/- à l'oral, avec des mômes dont on déplore tous le manque criant de vocabulaire courant, alors, pourquoi s'inquiéter...
C'st sans doute le signe que notre système d'EAF actuel est exécrable: quand on monte un truc aussi compliqué administrativement, ça engendre forcément des bavures...
Enfin, heureusement ça n'empêche pas le niveau de monter, inexorablement, d'année en année. On tourne à 13 de moyenne en S +/- à l'oral, avec des mômes dont on déplore tous le manque criant de vocabulaire courant, alors, pourquoi s'inquiéter...
- NLM76Grand Maître
Et 10-11 de moyenne en séries technologiques...
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- ysabelDevin
eliam a écrit:ysabel a écrit:Une passante a écrit:Quand on indique clairement "lectures analytiques", il semble logique que l'exposé porte sur l'une d'entre elles. Après, l'examinateur est censé être capable de lire un descriptif et de voir que certains GT ont fait l'objet de lectures analytiques alors que d'autres ne sont que des lecturescomplémentairescursives.
Mais la question initiale permet donc d'inviter à la plus grande plus grande prudence lors de la rédaction de son descriptif.
Je distingue les lectures complémentaires, qui, comme leur nom l'indique, viennent compléter l'étude de l'objet d'étude, des lectures cursives qui auront été réalisées seules par les élèves, mais je vais probablement modifier ma façon de faire pour éviter toute ambiguïté.
Un collègue numérote les LA au fur et à mesure des séquences, c'est sans doute aussi une bonne solution, l'examinateur ne pourra pas se tromper.
Je suis d'accord. Dans mon descriptif je note clairement :
- Textes en LA
-Textes complémentaires
- lectures cursives.
Et je n'ai jamais eu de souci pour l'oral.
Les textes complémentaires, je les vois en classe, mais plus rapidement que les LA tandis que les LC, les élèves les lisent seuls à la maison (en général un roman, un pièce et.)
Je fais la même chose mais une année trois de mes élèves ont été interrogés en L.A sur des textes complémentaires.
Je prends aussi le temps de bien expliquer à mes élèves que pour l'exposé ils ne peuvent être interrogés que sur les (LA sauf pour les Oi). Et, au cas où, qu'ils puissent dire poliment à l'examinateur qu'il a dû se méprendre...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- eliamEsprit éclairé
ysabel a écrit:eliam a écrit:ysabel a écrit:Une passante a écrit:Quand on indique clairement "lectures analytiques", il semble logique que l'exposé porte sur l'une d'entre elles. Après, l'examinateur est censé être capable de lire un descriptif et de voir que certains GT ont fait l'objet de lectures analytiques alors que d'autres ne sont que des lecturescomplémentairescursives.
Mais la question initiale permet donc d'inviter à la plus grande plus grande prudence lors de la rédaction de son descriptif.
Je distingue les lectures complémentaires, qui, comme leur nom l'indique, viennent compléter l'étude de l'objet d'étude, des lectures cursives qui auront été réalisées seules par les élèves, mais je vais probablement modifier ma façon de faire pour éviter toute ambiguïté.
Un collègue numérote les LA au fur et à mesure des séquences, c'est sans doute aussi une bonne solution, l'examinateur ne pourra pas se tromper.
Je suis d'accord. Dans mon descriptif je note clairement :
- Textes en LA
-Textes complémentaires
- lectures cursives.
Et je n'ai jamais eu de souci pour l'oral.
Les textes complémentaires, je les vois en classe, mais plus rapidement que les LA tandis que les LC, les élèves les lisent seuls à la maison (en général un roman, un pièce et.)
Je fais la même chose mais une année trois de mes élèves ont été interrogés en L.A sur des textes complémentaires.
Je prends aussi le temps de bien expliquer à mes élèves que pour l'exposé ils ne peuvent être interrogés que sur les (LA sauf pour les Oi). Et, au cas où, qu'ils puissent dire poliment à l'examinateur qu'il a dû se méprendre...
Je l'ai fait aussi. Mes élèves l'ont signalé à l'examinatrice qui leur a répondu : "ce n'est pas grave." et a maintenu son interrogation sur des textes complémentaires. Notre P.A, à ma demande, s'est enquis des recours pour les élèves, on lui a répondu que la seule possibilité était de repasser un oral à la session de septembre.
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