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- GrypheMédiateur
EducPros.fr a écrit:
Petites phrases de candidats à la présidentielle, notes émanant de Terra Nova comme du ministère, projets de plusieurs syndicats… Le baccalauréat (re)devient un objet concret de réflexion pour les acteurs du monde éducatif. Autant de signes avant-coureurs d’une prochaine réforme ?
http://www.letudiant.fr/educpros/enquetes/bac-on-se-prepare-pour-la-grande-reforme.html
:lecteur:
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- User17706Bon génie
Une réforme du bac, ça n'est pas assez ambitieux. Trois ou quatre réformes du bac dès 2018, ça, ça aurait de la gueule, si vous me passez l'expression.
- OlympiasProphète
Mais que c'est fatigant.
- ForsterÉrudit
Ça fait un bout de temps que ça revient dans les réunions de bac : "le bac n'est plus un examen mais un certificat. Votre rôle c'est de valider le passage dans le supérieur" voilà ce que nous ont répété inspecteurs, CDE et formateurs l'année dernière.
- User17706Bon génie
Le coup de tampon le plus onéreux qu'on ait inventé, alors. (En réformant, je suis sûr qu'on peut encore aggraver les choses.)
- DaphnéDemi-dieu
RooMcfly a écrit:Ça fait un bout de temps que ça revient dans les réunions de bac : "le bac n'est plus un examen mais un certificat. Votre rôle c'est de valider le passage dans le supérieur" voilà ce que nous ont répété inspecteurs, CDE et formateurs l'année dernière.
Ce que le bac ne fait plus depuis un moment déjà puisqu'il n'est plus qu'une attestation d'arrivée en classe terminale sur tapis roulant.......
- GrypheMédiateur
Ah oui, pour le DNB, cela a été tenté avec succès.PauvreYorick a écrit:Le coup de tampon le plus onéreux qu'on ait inventé, alors. (En réformant, je suis sûr qu'on peut encore aggraver les choses.)
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- IphigénieProphète
Voilà: il est temps de réformer les réformes et que le char de l'Etat navigue vers la terre promise de la refondation par delà les tempêtes et les obstacles que lui dressent à tous les carrefours les conservateurs mal intentionnés. :|PauvreYorick a écrit:Une réforme du bac, ça n'est pas assez ambitieux. Trois ou quatre réformes du bac dès 2018, ça, ça aurait de la gueule, si vous me passez l'expression.
- JacqGuide spirituel
"Comment est-ce possible que ceux qui réussissent si bien au bac échouent si souvent dans la suite de leurs études ?" (J.-R. Girard)
Ah oui, on se demande :lol:
Bon, on passe tout en compétences et ce sera mieux ! Des p'tites croix, des p'tites croix, toujours des p'tites croix ! Et le niveau va s'améliorer.
La bonne nouvelle dans tout cela c'est que l'UNSA et la CFDT se penchent sur le sujet. Lorsque l'on voit leurs contributions aux dernières réformes et la réussite desdites réformes, nous pouvons nous dire que nous sommes sauvés ! Ouf !
Ah oui, on se demande :lol:
Bon, on passe tout en compétences et ce sera mieux ! Des p'tites croix, des p'tites croix, toujours des p'tites croix ! Et le niveau va s'améliorer.
La bonne nouvelle dans tout cela c'est que l'UNSA et la CFDT se penchent sur le sujet. Lorsque l'on voit leurs contributions aux dernières réformes et la réussite desdites réformes, nous pouvons nous dire que nous sommes sauvés ! Ouf !
- LefterisEsprit sacré
le rapport Bréhier, qui a été commenté ici, paru dans l'été 2014, laissait voir venir le coup.
De plus, le bac doit être le prolongement du brevet, qui doit être le prolongement du primaire etc.
Et puis il y a le processus de Lisbonne, l'harmonisation européenne blablal (discours d'IPR, hein...l'ayant eux-mêmes pris de leurs donneurs d'ordres) . Et derrière tout ça, régionalisation, économies, inversion des normes par dévaluation totale des diplômes devenus locaux, laquelle permet de briser les statuts, les concours, les garanties collectives attachées aux qualifications nationales.
Il y a même des mal intentionnés qui vont jusqu'à dire que tout ça est parfaitement synchronisé avec la loi travail , les demandes de la finance, du patronat.
De plus, le bac doit être le prolongement du brevet, qui doit être le prolongement du primaire etc.
Et puis il y a le processus de Lisbonne, l'harmonisation européenne blablal (discours d'IPR, hein...l'ayant eux-mêmes pris de leurs donneurs d'ordres) . Et derrière tout ça, régionalisation, économies, inversion des normes par dévaluation totale des diplômes devenus locaux, laquelle permet de briser les statuts, les concours, les garanties collectives attachées aux qualifications nationales.
Il y a même des mal intentionnés qui vont jusqu'à dire que tout ça est parfaitement synchronisé avec la loi travail , les demandes de la finance, du patronat.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- RuthvenGuide spirituel
Sur le bac-3/+3, les réunions se multiplient dans les académies, évidemment dans le sens des compétences transdisciplinaires et du numérique ... Les universitaires devraient y mettre le nez s'ils ne veulent pas être définitivement secondarisés.
- LefterisEsprit sacré
Il faut aussi voir que l'échange des services est dans la ligne de mire : c'est écrit noir sur blanc dans le rapport Bréhier, que je cite plus haut, et comme par hasard c'est un voeu de la Cour des Comptes. Les professeurs du second degré pourront intervenir au primaire, et vice-versa, mais aussi dans le supérieur, et vice-versa. Même "souplesse" entre les matières ... que de gain financier dans la gestion des personnels, malléables, déplaçables. Pas le niveau ? Pas l'habitude ? Pas grave. le deus ex machina Numericus résoudra le problème grâce aux bases de données permettant le cours inversé de la maternelle à la fac.Ruthven a écrit:Sur le bac-3/+3, les réunions se multiplient dans les académies, évidemment dans le sens des compétences transdisciplinaires et du numérique ... Les universitaires devraient y mettre le nez s'ils ne veulent pas être définitivement secondarisés.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- JacqGuide spirituel
A vous lire, on peut se dire que cela va être beau.
Nous allons encore faire l'inverse de ce qui devrait être fait.
Pourtant le constat nous l'avons.
Dans le supérieur ils font le constat de ce qui manque aux élèves sortant du général.
Dans les entreprises ils font le constat de ce qui manque aux élèves sortant directement du bac ou du bac pro. Je développe plus car je suis en LP : mais on voit la baisse de niveau lié à la dernière réforme et aux réformes individuelles de certaines formations (je pense aux GA) mais au généralise les réformes échouant aux bac pro qui étaient jusque là à l'écart de cette bouillie.
C'est assez simple à voir, dans le monde du travail comme dans le supérieur pour ceux qui y passent : l'écrit, la compréhension.
Et on va encore faire l'inverse et poursuivre dans les réformes de ces dernières années qui n'ont conduit qu'à faire empirer les choses.
En plus, tout cela en enjeu politique pour les élections, donc populisme à tous les étages à prévoir.
Nous allons encore faire l'inverse de ce qui devrait être fait.
Pourtant le constat nous l'avons.
Dans le supérieur ils font le constat de ce qui manque aux élèves sortant du général.
Dans les entreprises ils font le constat de ce qui manque aux élèves sortant directement du bac ou du bac pro. Je développe plus car je suis en LP : mais on voit la baisse de niveau lié à la dernière réforme et aux réformes individuelles de certaines formations (je pense aux GA) mais au généralise les réformes échouant aux bac pro qui étaient jusque là à l'écart de cette bouillie.
C'est assez simple à voir, dans le monde du travail comme dans le supérieur pour ceux qui y passent : l'écrit, la compréhension.
Et on va encore faire l'inverse et poursuivre dans les réformes de ces dernières années qui n'ont conduit qu'à faire empirer les choses.
En plus, tout cela en enjeu politique pour les élections, donc populisme à tous les étages à prévoir.
- User21929Expert
Il faut vraiment qu'on se révolte là, non ? Toujours pas ?
Bon, je vais regarder le meilleur pâtissier du coup.
Bon, je vais regarder le meilleur pâtissier du coup.
- ... :
- AAAAAAAAAH !
- DaphnéDemi-dieu
Lefteris a écrit:Il faut aussi voir que l'échange des services est dans la ligne de mire : c'est écrit noir sur blanc dans le rapport Bréhier, que je cite plus haut, et comme par hasard c'est un voeu de la Cour des Comptes. Les professeurs du second degré pourront intervenir au primaire, et vice-versa, mais aussi dans le supérieur, et vice-versa. Même "souplesse" entre les matières ... que de gain financier dans la gestion des personnels, malléables, déplaçables. Pas le niveau ? Pas l'habitude ? Pas grave. le deus ex machina Numericus résoudra le problème grâce aux bases de données permettant le cours inversé de la maternelle à la fac.Ruthven a écrit:Sur le bac-3/+3, les réunions se multiplient dans les académies, évidemment dans le sens des compétences transdisciplinaires et du numérique ... Les universitaires devraient y mettre le nez s'ils ne veulent pas être définitivement secondarisés.
Le grand rêve de l'UNSA, un corps unique de la maternelle à l'Université !
- ChamilNiveau 9
Lefteris a écrit:
Et puis il y a le processus de Lisbonne, l'harmonisation européenne blablal (discours d'IPR, hein...l'ayant eux-mêmes pris de leurs donneurs d'ordres) .
Ce qui est assez triste dans l'affaire est que même cette explication serait incohérente. Ces élites éducatives françaises, qui se gargarisent de comparaisons internationales, n'ont jamais mis les pieds en dehors de la France pour la plupart d'entre elles. Dans l'ensemble des pays occidentaux, l'enseignement supérieur n'est déterminé par le secondaire ou intégré dans un ensemble contraignant avec lui, pour la simple et bonne raison qu'il est vraiment autonome.
Qu'est-ce que des inspecteurs, chefs d'établissement et autre chefaillons de l'EN vaguement formés à Poitiers ont à dire de la compétition mondiale entre universités, des politiques de R&D, des pratiques de sélection de plus en plus féroces entre établissements, des nouveaux champs de recherche, du régime du doctorat, de la carte de formation LMD, du métier d' EC et de ses évolutions, etc...?
Sous bénéfice d'inventaire, cette idée d'un "bac-3/bac+3" n'apparaît qu'en France, sous la plume de gens qui devraient se renseigner sur le parcours de sélection d'un diplômé du second degré pour entrer dans le supérieur dans les pays de l'OCDE.
- ChamilNiveau 9
Ruthven a écrit:Sur le bac-3/+3, les réunions se multiplient dans les académies, évidemment dans le sens des compétences transdisciplinaires et du numérique ... Les universitaires devraient y mettre le nez s'ils ne veulent pas être définitivement secondarisés.
Le ver a été préalablement mis dans le fruit:
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000032569627&categorieLien=id
http://www.education.gouv.fr/cid105599/la-place-des-agreges-dans-l-enseignement-universitaire-rapport-igaenr.html
Faisons un peu d'autocritique: si les EC ne désertaient pas le premier cycle universitaire (comme le montre cyniquement le rapport ci-dessous), ils n'auraient pas à craindre cette "secondarisation" (expression pas très bien choisi car pas juste pour les collègues du second degré et l'immense travail qu'ils fournissent pour tirer leurs élèves vers le haut).
- ChamilNiveau 9
Daphné a écrit:Lefteris a écrit:Il faut aussi voir que l'échange des services est dans la ligne de mire : c'est écrit noir sur blanc dans le rapport Bréhier, que je cite plus haut, et comme par hasard c'est un voeu de la Cour des Comptes. Les professeurs du second degré pourront intervenir au primaire, et vice-versa, mais aussi dans le supérieur, et vice-versa. Même "souplesse" entre les matières ... que de gain financier dans la gestion des personnels, malléables, déplaçables. Pas le niveau ? Pas l'habitude ? Pas grave. le deus ex machina Numericus résoudra le problème grâce aux bases de données permettant le cours inversé de la maternelle à la fac.Ruthven a écrit:Sur le bac-3/+3, les réunions se multiplient dans les académies, évidemment dans le sens des compétences transdisciplinaires et du numérique ... Les universitaires devraient y mettre le nez s'ils ne veulent pas être définitivement secondarisés.
Le grand rêve de l'UNSA, un corps unique de la maternelle à l'Université !
Non, ce n'est pas encore assez, il faut un droit au doctorat délivrable à la naissance pour éviter toute stigmatisation.
- RuthvenGuide spirituel
Quel petit joueur ... C'est un droit à l'HDR qu'il faut défendre. :lol:
- VinZTDoyen
Chamil a écrit:Lefteris a écrit:
Et puis il y a le processus de Lisbonne, l'harmonisation européenne blablal (discours d'IPR, hein...l'ayant eux-mêmes pris de leurs donneurs d'ordres) .
Ce qui est assez triste dans l'affaire est que même cette explication serait incohérente. Ces élites éducatives françaises, qui se gargarisent de comparaisons internationales, n'ont jamais mis les pieds en dehors de la France pour la plupart d'entre elles. Dans l'ensemble des pays occidentaux, l'enseignement supérieur n'est déterminé par le secondaire ou intégré dans un ensemble contraignant avec lui, pour la simple et bonne raison qu'il est vraiment autonome.
Qu'est-ce que des inspecteurs, chefs d'établissement et autre chefaillons de l'EN vaguement formés à Poitiers ont à dire de la compétition mondiale entre universités, des politiques de R&D, des pratiques de sélection de plus en plus féroces entre établissements, des nouveaux champs de recherche, du régime du doctorat, de la carte de formation LMD, du métier d' EC et de ses évolutions, etc...?
Ah, tu as fait une faute de frappe, tu voulais dire : « formés à moitié » …
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« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- ChamilNiveau 9
Ruthven a écrit:Quel petit joueur ... C'est un droit à l'HDR qu'il faut défendre. :lol:
Veuillez me pardonner, je battrai ma coulpe sur l'autel du saint SGEN en récitant trois fois l'intégrale des discours de Najat Vallaud Belkacem :-)
- ChamilNiveau 9
VinZT a écrit:
Ah, tu as fait une faute de frappe, tu voulais dire : « formés à moitié » …
Je suis pour une évaluation bienveillante qui ne stigmatise pas cette formation disons "différente"...
- trompettemarineMonarque
Soyons logique.
L'école de demain :
Tout le monde passe dans la classe supérieure, les savoirs ne sont plus à transmettre car ils discriminent.
Il faut juste occuper les enfants, car ils ne doivent plus s'ennuyer. Tout le monde a son bac dans ces conditions puisque l'on adapte les épreuves aux animations faites en classe (EPI, AP, TPE, etc.). L'école ne sert donc à rien sauf à garder les enfants.
L'étape suivante ne peut logiquement être que la suppression de l'école puisqu'elle ne sert à rien. Créons un ministère de la garderie où seul le BAFA serait exigible.
Pour faire des économies, les animateurs ne seront pris qu'à mi-temps.
Les animations auront lieu de 10h à 12h et 14 h à 16 heures. Les parents feront appel à des sociétés privées pour garder leurs enfants en dehors des heures d'animation.
Cela créera des emplois qui ne coûteront rien à la collectivité et cela permettra même aux mères de famille de rester au foyer. Ainsi, le chômage chutera.
Pour ne pas faire doublon, le périscolaire est supprimé.
Quod demonstrandum est !
UNSA, SGEN, MEDEF, même combat
Bon, j'exagère un tantinet...
jour de rentrée
L'école de demain :
Tout le monde passe dans la classe supérieure, les savoirs ne sont plus à transmettre car ils discriminent.
Il faut juste occuper les enfants, car ils ne doivent plus s'ennuyer. Tout le monde a son bac dans ces conditions puisque l'on adapte les épreuves aux animations faites en classe (EPI, AP, TPE, etc.). L'école ne sert donc à rien sauf à garder les enfants.
L'étape suivante ne peut logiquement être que la suppression de l'école puisqu'elle ne sert à rien. Créons un ministère de la garderie où seul le BAFA serait exigible.
Pour faire des économies, les animateurs ne seront pris qu'à mi-temps.
Les animations auront lieu de 10h à 12h et 14 h à 16 heures. Les parents feront appel à des sociétés privées pour garder leurs enfants en dehors des heures d'animation.
Cela créera des emplois qui ne coûteront rien à la collectivité et cela permettra même aux mères de famille de rester au foyer. Ainsi, le chômage chutera.
Pour ne pas faire doublon, le périscolaire est supprimé.
Quod demonstrandum est !
UNSA, SGEN, MEDEF, même combat
Bon, j'exagère un tantinet...
jour de rentrée
- DaphnéDemi-dieu
trompettemarine a écrit:Soyons logique.
L'école de demain :
Tout le monde passe dans la classe supérieure, les savoirs ne sont plus à transmettre car ils discriminent.
Il faut juste occuper les enfants, car ils ne doivent plus s'ennuyer. Tout le monde a son bac dans ces conditions puisque l'on adapte les épreuves aux animations faites en classe (EPI, AP, TPE, etc.). L'école ne sert donc à rien sauf à garder les enfants.
L'étape suivante ne peut logiquement être que la suppression de l'école puisqu'elle ne sert à rien. Créons un ministère de la garderie où seul le BAFA serait exigible.
Pour faire des économies, les animateurs ne seront pris qu'à mi-temps.
Les animations auront lieu de 10h à 12h et 14 h à 16 heures. Les parents feront appel à des sociétés privées pour garder leurs enfants en dehors des heures d'animation.
Cela créera des emplois qui ne coûteront rien à la collectivité et cela permettra même aux mères de famille de rester au foyer. Ainsi, le chômage chutera.
Pour ne pas faire doublon, le périscolaire est supprimé.
Quod demonstrandum est !
UNSA, SGEN, MEDEF, même combat
Bon, j'exagère un tantinet...
jour de rentrée
A peine !
Enfin l'idée est là...
- GaliNéoFidèle du forum
Très flippante ton idée, et pourtant Halloween est déjà passé...
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¡ Hermano ! Dale gracias a Dios, que lo que tienes en la mano, no lo tienes por todo el año...
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- Rythmes scolaires, une réforme tout bénef pour le privé (Canard Enchaîné 17.09.14)
- L'urgence, c'est de faire pression sur les syndicats pour une réforme du nombre
- Grande réforme de l'ENA pour en faire une "école de management public".
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