- jésusFidèle du forum
Moi aussi, j'ai pris le boulot où il était que ce soit dans le public, le privé. et ce dans 3 académies différentes, en faisant jusqu'à 100 km pour un poste, en enseignant le français alors que je devais faire de la philo.
j'ai passé l'interne deux fois, en suivant les consignes des rapports en se faisant corriger sans cadeau ni gant par un ami qui avait eu l'interne. Des efforts et des sacrifices , j'en ai fait. Et je n'ai jamais pensé passer ma vie comme contractuel. Et je n'ai jamais pensé que contractuel était un choix de facilité pour rester dans ma région.
C'est juste que dans ma matière les places sont chers et que les conditions difficiles que je viens d'énumérer ne facilite pas la vie pour bosser l'agrégation externe, par exemple, qui demande du travail.
mon message était ; mettez plus de poste à l'interne, quitte à rogner sur l'externe pour faciliter l'insertion des contractuels.
j'ai passé l'interne deux fois, en suivant les consignes des rapports en se faisant corriger sans cadeau ni gant par un ami qui avait eu l'interne. Des efforts et des sacrifices , j'en ai fait. Et je n'ai jamais pensé passer ma vie comme contractuel. Et je n'ai jamais pensé que contractuel était un choix de facilité pour rester dans ma région.
C'est juste que dans ma matière les places sont chers et que les conditions difficiles que je viens d'énumérer ne facilite pas la vie pour bosser l'agrégation externe, par exemple, qui demande du travail.
mon message était ; mettez plus de poste à l'interne, quitte à rogner sur l'externe pour faciliter l'insertion des contractuels.
- RendashBon génie
jésus a écrit:Moi aussi, j'ai pris le boulot où il était que ce soit dans le public, le privé. et ce dans 3 académies différentes, en faisant jusqu'à 100 km pour un poste, en enseignant le français alors que je devais faire de la philo.
j'ai passé l'interne deux fois, en suivant les consignes des rapports en se faisant corriger sans cadeau ni gant par un ami qui avait eu l'interne. Des efforts et des sacrifices , j'en ai fait. Et je n'ai jamais pensé passer ma vie comme contractuel. Et je n'ai jamais pensé que contractuel était un choix de facilité pour rester dans ma région.
C'est juste que dans ma matière les places sont chers et que les conditions difficiles que je viens d'énumérer ne facilite pas la vie pour bosser l'agrégation externe, par exemple, qui demande du travail.
mon message était ; mettez plus de poste à l'interne, quitte à rogner sur l'externe pour faciliter l'insertion des contractuels.
En fait, la tendance serait plutôt à l'inverse : rogner sur les places au concours pour contractualiser le plus de monde possible :lol: Inutile de rogner sur le nombre de postes mis à l'externe en maths ou en lettres, puisque ces concours ne font déjà pas le plein. Pour le reste, ma foi, oui : en philo, les places sont chères. Pour tout le monde. Et donc ?
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- mafalda16Modérateur
Dites il n'y a que moi que cela fait tiquer:
education.gouv a écrit:Remplacement de courte durée, inférieur ou égal à 15 jours :
Le décret n° 2005-1035 du 26 août 2005 a précisé l’organisation du remplacement de courte durée des personnels enseignants dans les établissements d’enseignement du second degré.
Ainsi, dans chaque établissement, un protocole doit définir notamment les modalités de mobilisation des enseignants pour un remplacement de courte durée, conformément à leurs qualifications, dans la limite de 5 heures supplémentaires par semaine et de 60 heures par année scolaire. Le chef d’établissement doit rechercher en priorité l’accord des enseignants pour participer à ce dispositif même s’il a la possibilité de recourir à la désignation d’un enseignant en l’absence de volontaires. Ce dispositif permet en priorité de pallier les absences prévisibles, comme celles liées aux stages de formation continue, à la préparation ou la présentation à un concours ou examen, à la participation à un jury.
Les titulaires et contractuels de l’établissement participant au dispositif bénéficient d’heures supplémentaires effectives (HSE).
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"Si no luchas, al menos ten la decencia de respetar a quienes lo hacen", José Martí.
- jésusFidèle du forum
Rendash a écrit:jésus a écrit:Moi aussi, j'ai pris le boulot où il était que ce soit dans le public, le privé. et ce dans 3 académies différentes, en faisant jusqu'à 100 km pour un poste, en enseignant le français alors que je devais faire de la philo.
j'ai passé l'interne deux fois, en suivant les consignes des rapports en se faisant corriger sans cadeau ni gant par un ami qui avait eu l'interne. Des efforts et des sacrifices , j'en ai fait. Et je n'ai jamais pensé passer ma vie comme contractuel. Et je n'ai jamais pensé que contractuel était un choix de facilité pour rester dans ma région.
C'est juste que dans ma matière les places sont chers et que les conditions difficiles que je viens d'énumérer ne facilite pas la vie pour bosser l'agrégation externe, par exemple, qui demande du travail.
mon message était ; mettez plus de poste à l'interne, quitte à rogner sur l'externe pour faciliter l'insertion des contractuels.
En fait, la tendance serait plutôt à l'inverse : rogner sur les places au concours pour contractualiser le plus de monde possible :lol: Inutile de rogner sur le nombre de postes mis à l'externe en maths ou en lettres, puisque ces concours ne font déjà pas le plein. Pour le reste, ma foi, oui : en philo, les places sont chères. Pour tout le monde. Et donc ?
Je disais qu'à mon échelle , pas grand chose n'est fait pour faciliter l'insertion des contractuels, notamment via un nombre plus conséquent à l'interne. Il peut y avoir d'autres solutions...Un bureau RH dans les rectorats qui propose une sorte de reclassements des contractuels, mais là on serait dans la science fiction.
- RendashBon génie
Il n'y a déjà pas grand monde (ni des masses de solution) pour s'occuper du reclassement des titulaires, alors, en effet, c'est de la science-fiction
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- CathEnchanteur
Je rappelle aux jeunots que de mon temps , quand on voulait passer un concours c'était l'externe ou l'interne, il était impossible de passer les deux.
- jésusFidèle du forum
Ca a changé en quelle année?
- CathEnchanteur
Aucune idée... Delphine, une idée ?
- Graisse-BoulonsNiveau 10
Cath a écrit:Je rappelle aux jeunots que de mon temps , quand on voulait passer un concours c'était l'externe ou l'interne, il était impossible de passer les deux.
Je prend aussi ma canne pour préciser qu'il n'y avait pas de "troisième concours" pour devenir enseignant sans diplômes http://vocationenseignant.fr/devenir-enseignant-sans-diplome, ni de possibilité de détachement, y compris dans le corps des agrégés, de quiconque ayant un statut de fonctionnaire de catégorie A... http://educavox.fr/accueil/debats/tout-fonctionnaire-peut-devenir-enseignant.... allons, du calme, ça ne marche que dans un sens.
- DaphnéDemi-dieu
Cath a écrit:Je rappelle aux jeunots que de mon temps , quand on voulait passer un concours c'était l'externe ou l'interne, il était impossible de passer les deux.
Et du mien, qui est encore nettement plus ancien, il n'y avait que les concours externes.
- ZenxyaGrand sage
Mais il y avait le statut de MA (maître auxiliaire) qui me semble être plus avantageux que celui de contractuel. (Je dis peut-être une bêtise)
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Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres - La Boétie
La folie c’est faire toujours la même chose et s’attendre à un résultat différent - Albert Einstein
L'École est le lieu où l'on va s'instruire de ce que l'on ignore ou de ce que l'on sait mal pour pouvoir, le moment venu, se passer de maître - Jacques Muglioni
- zouzFidèle du forum
Pour répondre, en vrac désolée, j'avais rédigé un premier message qui s'est effacé (par ma faute) + mon ordinateur fait des siennes.
On peut tout à fait faire une carrière en tant que contractuel dans l'EN, certains de vos collègues sont en CDI (6 ans de CDD sans interruption de 4 mois avant d'y arriver, cela n'existe nulle part ailleurs que dans la FP, et c'est une honte) et le resteront jusqu'à la fin de leur carrière.
Les c ontractuels sont soumis aux mêmes obligations que les fonctionnaires contrairement à ce qui est dit plus haut, les droits ne sont pas les mêmes.
L'Etat s'accommode fort bien pour nous mettre devant les élèves malgré le concours et ce, pendant des années. Non le concours n'est pas la garantie de quoi que ce soit: http://www.liberation.fr/societe/2000/09/15/dix-neuf-ans-prof-auxiliaire-vire-juste-avant-d-etre-titulaire_337237
Et si nous sommes mauvais, et bien que l'on vienne nous inspecter et éventuellement nous FORMER si l'on pense la personne capable au cours des premiers mois d'exercice ou qu'on nous dégage sur le champ.
Tous les contractuels ne sont pas jeunes, loin de là, et les études universitaires sont loin, voilà pour le concours externe.
Pour pouvoir suivre la formation au concours interne organisée dans certaines académies, il faut être en poste, or, au moment de l'inscription, aucun contractuel ne sait s'il sera en poste ou pas. Pareil pour l'obtention du concours interne, il faut être en poste pour être déclaré admis.
Tout ceci non pas pour polémiquer mais pour faire un point rapide de la situation. Et aucun contractuel (à mon avis) ne souhaite que le statut soit remis en cause, certains mêmes se foutent de ce statut, le fait est que nous sommes là, exerçant les mêmes fonctions qu'un titulaire, pour certains depuis des années.
On peut tout à fait faire une carrière en tant que contractuel dans l'EN, certains de vos collègues sont en CDI (6 ans de CDD sans interruption de 4 mois avant d'y arriver, cela n'existe nulle part ailleurs que dans la FP, et c'est une honte) et le resteront jusqu'à la fin de leur carrière.
Les c ontractuels sont soumis aux mêmes obligations que les fonctionnaires contrairement à ce qui est dit plus haut, les droits ne sont pas les mêmes.
L'Etat s'accommode fort bien pour nous mettre devant les élèves malgré le concours et ce, pendant des années. Non le concours n'est pas la garantie de quoi que ce soit: http://www.liberation.fr/societe/2000/09/15/dix-neuf-ans-prof-auxiliaire-vire-juste-avant-d-etre-titulaire_337237
Et si nous sommes mauvais, et bien que l'on vienne nous inspecter et éventuellement nous FORMER si l'on pense la personne capable au cours des premiers mois d'exercice ou qu'on nous dégage sur le champ.
Tous les contractuels ne sont pas jeunes, loin de là, et les études universitaires sont loin, voilà pour le concours externe.
Pour pouvoir suivre la formation au concours interne organisée dans certaines académies, il faut être en poste, or, au moment de l'inscription, aucun contractuel ne sait s'il sera en poste ou pas. Pareil pour l'obtention du concours interne, il faut être en poste pour être déclaré admis.
Tout ceci non pas pour polémiquer mais pour faire un point rapide de la situation. Et aucun contractuel (à mon avis) ne souhaite que le statut soit remis en cause, certains mêmes se foutent de ce statut, le fait est que nous sommes là, exerçant les mêmes fonctions qu'un titulaire, pour certains depuis des années.
- GaliNéoFidèle du forum
zouz a écrit:(6 ans de CDD sans interruption de 4 mois avant d'y arriver, cela n'existe nulle part ailleurs que dans la FP, et c'est une honte)
De mémoire c'était pas 2 mois ?
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¡ Hermano ! Dale gracias a Dios, que lo que tienes en la mano, no lo tienes por todo el año...
- zouzFidèle du forum
Peut-être avant 2012 ? 4 mois maintenant.
- RendashBon génie
zouz a écrit:
On peut tout à fait faire une carrière en tant que contractuel dans l'EN, certains de vos collègues sont en CDI (6 ans de CDD sans interruption de 4 mois avant d'y arriver, cela n'existe nulle part ailleurs que dans la FP, et c'est une honte) et le resteront jusqu'à la fin de leur carrière.
Les concours sont ouverts pour ceux qui souhaiteraient faire une carrière d'enseignant. Les études sont parfois loin, et alors ? Un concours, ça se travaille, et dans certaines disciplines, des contractuels chevronnés en savent bien plus long que certains lauréats frais émoulus de l'ESPE. Il ne s'agit pas de cartonner, il s'agit de réussir le concours, et en maths ou en lettres, pardon, mais c'est donné. Les premiers reçus ont un très haut niveau universitaire, mais pour que les dernières places ne soient pas pourvues dans des disciplines pourtant largement déficitaires, c'est qu'il y a de la place pour des contractuels chevronnés dont les études sont loin mais qui en savent toujours plus que les gens qui ont été recalés par les jurys. Le concours externe n'est pas forcément plus difficile que l'interne, c'est même parfois le contraire dans certaines disciplines. Evidemment, pour ça, il faut au moins essayer de se bouger les miches, mais c'est valable pour tous les concours.
Félicitations au passage à tous ceux qui ont réussi un concours, interne ou externe, en étant en poste : CAPES interne ou externe pour des contractuels ou des PE souhaitant se reconvertir (Maikresse ), agreg' interne ou externe, et j'en passe. Comme quoi, c'est possible. Mais ça ne tombera pas tout cuit dans le bec, c'est certain.
zouz a écrit:
Les c ontractuels sont soumis aux mêmes obligations que les fonctionnaires contrairement à ce qui est dit plus haut, les droits ne sont pas les mêmes.
J'ignorais que les contractuels étaient soumis au mouvement à deux tours et pouvaient se retrouver mutés à des centaines de kilomètres de chez eux. Les droits ne sont pas les mêmes parce que le statut n'est pas le même ; même chose pour le salaire, l'avancement, etc. La principale honte, c'est qu'en fonction des académies, la formation à l'interne ne soit pas accessible à tout le monde, comme tu l'affirmes :
zouz a écrit:Pour pouvoir suivre la formation au concours interne organisée dans certaines académies, il faut être en poste, or, au moment de l'inscription, aucun contractuel ne sait s'il sera en poste ou pas. Pareil pour l'obtention du concours interne, il faut être en poste pour être déclaré admis.
Là, il y a un vrai problème. Pour avoir accès au concours interne, il faut cumuler un certain nombre d'années d'ancienneté ; cette condition devrait suffire pour accéder aux formations. Que certaines académies en rajoutent est une honte. Mais c'est le même bazar pour les barèmes des mut', par exemple, ce n'est donc pas limité aux contractuels.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- zouzFidèle du forum
Je persiste, des contractuels en CDI poursuivent, commencent ou terminent leur carrière chaque année dans les établissements. Nous sommes déjà enseignants, et ce sans le concours, malgré ce que vous en pensez. J'estime que l'on n'a pas à exiger l'obtention d'un concours dans ces conditions. Assez d'hypocrisie.
Concernant les mutations, je ne vois pas bien comment on pourrait demander à des contractuels de déménager pour quelques semaines, quelques mois ou même pour l'année (ce que certains contractuels acceptent pourtant de faire). Cet argument étant récurrent dans la bouche des déçus des résultats de mutation: battez-vous contre les bonnes personnes et cessez de rejeter la faute sur les contractuels.
Les droits ne sont pas les mêmes parce que le statut n'est pas le même ; même chose pour le salaire, l'avancement, etc.
Mais vous pensez réellement ce que vous écrivez et si je comprends bien que c'est tout à fait normal ?!!!! Je suis sûre que vous faites partie de ceux qui après avoir repris à leur compte des propos que l'on attendrait davantage de gens de droite, ajoutent 'et pourtant, je suis de gauche'...
Concernant les mutations, je ne vois pas bien comment on pourrait demander à des contractuels de déménager pour quelques semaines, quelques mois ou même pour l'année (ce que certains contractuels acceptent pourtant de faire). Cet argument étant récurrent dans la bouche des déçus des résultats de mutation: battez-vous contre les bonnes personnes et cessez de rejeter la faute sur les contractuels.
Les droits ne sont pas les mêmes parce que le statut n'est pas le même ; même chose pour le salaire, l'avancement, etc.
Mais vous pensez réellement ce que vous écrivez et si je comprends bien que c'est tout à fait normal ?!!!! Je suis sûre que vous faites partie de ceux qui après avoir repris à leur compte des propos que l'on attendrait davantage de gens de droite, ajoutent 'et pourtant, je suis de gauche'...
- clapNeoprof expérimenté
Je suis désolée Zouz mais je trouve injuste que dans certaines académies les contractuels en CDI soient prioritaires sur les TZR pour les AFA. Normalement le recours aux contractuels ne devraient se faire que s'il n'y a pas de titulaires disponibles, c'est la loi!
- zouzFidèle du forum
Je ne connais pas ce cas Clap, j'écrivais en répondant à ce qui était écrit plus haut, à savoir que les contractuels bénéficiaient en quelque sorte d'un avantage, dans la mesure où ils ne sont pas soumis aux règles de mutation. Les contractuels ayant un CDI sont heureusement davantage protégés que les contractuels en CDD...quoique grâce à la 'loi travail', votre futur pourrait s'éclaircir. Ce n'est qu'une question de mois.
Après, on peut et je dirais même que l'on doit se battre pour une amélioration des conditions de travail, mais on n'oublie pas celui qui est en dessous et on ne lui enfonce pas davantage la tête sous l'eau, c'est tout.
Après, on peut et je dirais même que l'on doit se battre pour une amélioration des conditions de travail, mais on n'oublie pas celui qui est en dessous et on ne lui enfonce pas davantage la tête sous l'eau, c'est tout.
- clapNeoprof expérimenté
Mais en même temps c'est vrai que vous n'êtes pas soumis aux inconvénients de la mutation. Du fait de ce que j'écrivais plus haut je me suis retrouvée un an à galérer dans des remplacements courte et moyenne durée à perpet quand des contractuels ont eu un poste à 5km de chez eux. Et je ne trouve pas ça normal!
- mafalda16Modérateur
zouz a écrit:Je ne connais pas ce cas Clap, j'écrivais en répondant à ce qui était écrit plus haut, à savoir que les contractuels bénéficiaient en quelque sorte d'un avantage, dans la mesure où ils ne sont pas soumis aux règles de mutation. Les contractuels ayant un CDI sont heureusement davantage protégés que les contractuels en CDD...quoiqu'avec la loi travail, votre futur pourrait s'éclaircir. Ce n'est qu'une question de mois.
Après, on peut et je dirais même que l'on doit se battre pour une amélioration des conditions de travail, mais on n'oublie pas celui qui est en dessous et on ne lui enfonce pas davantage la tête sous l'eau, c'est tout.
Bon on reprend calmement.
Personne ne dit que les contractuels doivent être enfoncés. Personne ne dit non plus que les conditions de travail des contractuels sont idylliques.
En revanche, concernant les mutations, le contractuel n'est pas soumis au mêmes règles c'est un fait. Tu peux retourner les explications comme tu veux, tu ne pourras pas prouver le contraire. Il est d'ailleurs tout à fait normal qu'un contractuel puisse refuser un poste sans avoir à se justifier.
Quant aux contractuels cdi, c'est un concept qui m’échappe. Soit l'institution estime qu'ils sont compétents et on donne l'équivalent d'un CAPES sur liste d'aptitude, soit ce n'est pas le cas et alors le CDI me semble bien hypocrite. M'enfin l'hypocrisie de l'institution en ce domaine n'est pas nouveau.
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"Si no luchas, al menos ten la decencia de respetar a quienes lo hacen", José Martí.
- ProvençalLeGauloisExpert
zouz a écrit:Je persiste, des contractuels en CDI poursuivent, commencent ou terminent leur carrière chaque année dans les établissements. Nous sommes déjà enseignants, et ce sans le concours, malgré ce que vous en pensez. J'estime que l'on n'a pas à exiger l'obtention d'un concours dans ces conditions. Assez d'hypocrisie.
Concernant les mutations, je ne vois pas bien comment on pourrait demander à des contractuels de déménager pour quelques semaines, quelques mois ou même pour l'année (ce que certains contractuels acceptent pourtant de faire). Cet argument étant récurrent dans la bouche des déçus des résultats de mutation: battez-vous contre les bonnes personnes et cessez de rejeter la faute sur les contractuels.
Les droits ne sont pas les mêmes parce que le statut n'est pas le même ; même chose pour le salaire, l'avancement, etc.
Mais vous pensez réellement ce que vous écrivez et si je comprends bien que c'est tout à fait normal ?!!!! Je suis sûre que vous faites partie de ceux qui après avoir repris à leur compte des propos que l'on attendrait davantage de gens de droite, ajoutent 'et pourtant, je suis de gauche'...
Je ne crois pas avoir lu Rendash écrire que les contractuels n'étaient pas enseignants...
En revanche, par définition, ils ne sont pas fonctionnaires et n'ont pas le même statut que ceux qui ont passé et réussi le concours.
Le statut de fonctionnaire donne des droits mais également des devoirs, dont la joie ultime, pour les concours nationaux, d'être affecté sur l'ensemble du territoire.
Si un contractuel veut le statut de fonctionnaire, il doit passer et réussir le concours (interne, externe, réservé, bref il y a le choix) et rentrer dans le jeu de la mutation, je ne vois pas ce que ça a de si scandaleux.
Je comprends que ceux qui tentent un concours et le ratent en soient frustrés (j'ai raté pour ma part de nombreuses fois des concours (ah l'oral me perdra toujours) avant de tenter les concours administratifs) et souhaiteraient que le système soit différent, mais j'en ai un peu marre de ceux qui ne tentent même pas le concours mais qui voudraient le statut qui va avec quand même... Et ce n'est pas propre à l'enseignement, nombre de mes collègues C jalousent régulièrement les collègues B (et ne parlons pas des A), et quand on leur répond de tenter le concours (qui ne nécessite franchement pas la même somme de travail ni le même investissement en terme de temps qu'un CAPES), ils ont toujours une bonne raison de ne pas s'y inscrire et de continuer de râler...
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N'empêche que je suis une légende.
Perceval
- zouzFidèle du forum
mafalda16 a écrit:zouz a écrit:Je ne connais pas ce cas Clap, j'écrivais en répondant à ce qui était écrit plus haut, à savoir que les contractuels bénéficiaient en quelque sorte d'un avantage, dans la mesure où ils ne sont pas soumis aux règles de mutation. Les contractuels ayant un CDI sont heureusement davantage protégés que les contractuels en CDD...quoiqu'avec la loi travail, votre futur pourrait s'éclaircir. Ce n'est qu'une question de mois.
Après, on peut et je dirais même que l'on doit se battre pour une amélioration des conditions de travail, mais on n'oublie pas celui qui est en dessous et on ne lui enfonce pas davantage la tête sous l'eau, c'est tout.
Bon on reprend calmement.
Personne ne dit que les contractuels doivent être enfoncés. Personne ne dit non plus que les conditions de travail des contractuels sont idylliques.
En revanche, concernant les mutations, le contractuel n'est pas soumis au mêmes règles c'est un fait. Tu peux retourner les explications comme tu veux, tu ne pourras pas prouver le contraire. Il est d'ailleurs tout à fait normal qu'un contractuel puisse refuser un poste sans avoir à se justifier.
Quant aux contractuels cdi, c'est un concept qui m’échappe. Soit l'institution estime qu'ils sont compétents et on donne l'équivalent d'un CAPES sur liste d'aptitude, soit ce n'est pas le cas et alors le CDI me semble bien hypocrite. M'enfin l'hypocrisie de l'institution en ce domaine n'est pas nouveau.
Ai-je essayé de contredire ce point ?
- PoupoutchModérateur
Je n'ai pas lu l'ensemble des pages du fil, juste la fin. Je suis désolée si ça ne vous plaît pas, mais je suis d'accord avec Rendash, le statut n'est pas le même.zouz a écrit:Je persiste, des contractuels en CDI poursuivent, commencent ou terminent leur carrière chaque année dans les établissements. Nous sommes déjà enseignants, et ce sans le concours, malgré ce que vous en pensez. J'estime que l'on n'a pas à exiger l'obtention d'un concours dans ces conditions. Assez d'hypocrisie.
Concernant les mutations, je ne vois pas bien comment on pourrait demander à des contractuels de déménager pour quelques semaines, quelques mois ou même pour l'année (ce que certains contractuels acceptent pourtant de faire). Cet argument étant récurrent dans la bouche des déçus des résultats de mutation: battez-vous contre les bonnes personnes et cessez de rejeter la faute sur les contractuels.
Les droits ne sont pas les mêmes parce que le statut n'est pas le même ; même chose pour le salaire, l'avancement, etc.
Mais vous pensez réellement ce que vous écrivez et si je comprends bien que c'est tout à fait normal ?!!!! Je suis sûre que vous faites partie de ceux qui après avoir repris à leur compte des propos que l'on attendrait davantage de gens de droite, ajoutent 'et pourtant, je suis de gauche'...
On peut penser ce qu'on veut des concours et de leur contenu face aux exigences réelles de l'enseignement, mais je crois qu'il est important de défendre le statut que donne le concours, et que, quoi que vous puissiez en dire, vous n'avez pas en tant que contractuel.
Oui, sans doute, certains font carrière comme contractuels ; c'est un peu comme pour le temps partiel ou les CDD. En soi, pouvoir travailler pour une mission courte ou choisir de se libérer un jour de travail n'est pas une mauvaise chose. Le problème, c'est que, dans la majorité des cas, cette situation n'est pas choisie, mais subie.
Il me semble dangereux de défendre au nom d'une pensée politique "de gauche" des statuts qui instituent des inégalités. Parce que, que vous le vouliez ou non, un contractuel et un titulaire ne sont pas égaux. Face à certains collègues, certains parents, parce que leur capacité n'a pas été sanctionnée par un concours (aussi idiot que cet argument puisse être). Face à l'administration, parce que votre statut vous permet d'être bien plus facilement remercié. Face à l'avancement de carrière, parce que par définition, vous n'êtes pas appelés à rester en poste jusqu'à la retraite.
Justement parce que je me considère vraiment de gauche, je pense qu'il faut au contraire défendre le statut de fonctionnaire et le recrutement par concours. Et qu'il faudrait garder en tête que la situation idéale, ce serait qu'il n'y ait pas de contractuels. C'est pour cela que la possibilité de passer plusieurs concours (externe, interne, réservé quand il est ouvert) est une bonne chose, dont chaque contractuel devrait profiter au mieux. Oui, cela demande du travail, mais notre concours ne nous est pas tombé tout cuit non plus. En parallèle, je pense que les contractuels devraient bénéficier de formations, afin de pouvoir passer ces concours au mieux et ne trouve pas normal qu'on leur ferme les préparations concours au prétexte de leur statut.
Bon, je vois que d'autres ont répondu le temps que je tape mon message ; je le poste quand même, bien qu'il fasse doublon avec certains...
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- RendashBon génie
zouz a écrit:Je persiste, des contractuels en CDI poursuivent, commencent ou terminent leur carrière chaque année dans les établissements. Nous sommes déjà enseignants, et ce sans le concours, malgré ce que vous en pensez. J'estime que l'on n'a pas à exiger l'obtention d'un concours dans ces conditions. Assez d'hypocrisie.
Concernant les mutations, je ne vois pas bien comment on pourrait demander à des contractuels de déménager pour quelques semaines, quelques mois ou même pour l'année (ce que certains contractuels acceptent pourtant de faire). Cet argument étant récurrent dans la bouche des déçus des résultats de mutation: battez-vous contre les bonnes personnes et cessez de rejeter la faute sur les contractuels.
Les droits ne sont pas les mêmes parce que le statut n'est pas le même ; même chose pour le salaire, l'avancement, etc.
Mais vous pensez réellement ce que vous écrivez et si je comprends bien que c'est tout à fait normal ?!!!! Je suis sûre que vous faites partie de ceux qui après avoir repris à leur compte des propos que l'on attendrait davantage de gens de droite, ajoutent 'et pourtant, je suis de gauche'...
Je me fous pas mal et de la droite et de la gauche, je ne me définis par d'une façon aussi bêtement binaire ; en revanche, je tiens au maintien d'un statut accessible par concours, statut que je trouve fondamental pour maintenir un service public, statut qui est attaqué de tous les côtés par des gens qui souhaitent voir tout le monde devenir contractuel. Pour le reste, tu es dans le procès d'intention doublé d'une mauvaise lecture de mes propos : je ne rejette strictement aucune faute sur les contractuels, sinon celle qui consiste à ne pas passer le concours et à demander les mêmes droits que les titulaires. Les contractuels en poste depuis longtemps sont largement aptes à obtenir le concours, largement plus que bon nombre d'étudiants du moins ; je ne vois pas où est le mépris dans cette affirmation.
Enfin, il est évident qu'on ne doit pas demander à un personnel précaire par définition (puisque contractuel) de bouger : ce n'est pas moi qui affirmais que les contractuels étaient soumis aux mêmes obligations que les titulaires, c'est toi. A tort, donc.
clap a écrit:Je suis désolée Zouz mais je trouve injuste que dans certaines académies les contractuels en CDI soient prioritaires sur les TZR pour les AFA. Normalement le recours aux contractuels ne devraient se faire que s'il n'y a pas de titulaires disponibles, c'est la loi!
De la même façon, on envoie les TZR dans des régions reculées et isolées, plutôt que dans les métropoles : c'est le cas dans l'académie de Lyon, notamment. Evidemment, on a un vivier de contractuels plus important à Lyon qu'à Mocheville-sur-Etron, Ain ; statutairement, c'est absurde, mais dans l'idée de défense du service public, ça me semble logique. Donc, je râle, et j'y vais. Maintenant, si on manque de TZR pour couvrir à la fois les besoins de l'Ain, de la Loire et de Lyon, qu'on ouvre le recrutement plutôt que de recruter du personnel précaire. Seulement, ceux des contractuels qui ne veulent pas passer le concours afin d'éviter le mouvement n'y trouveront pas leur compte ; très bien, c'est leur choix, c'est leur droit, mais je trouve aberrant qu'ils réclament ensuite les mêmes droits que les titulaires.
zouz a écrit:Je ne connais pas ce cas Clap, j'écrivais en répondant à ce qui était écrit plus haut, à savoir que les contractuels bénéficiaient en quelque sorte d'un avantage, dans la mesure où ils ne sont pas soumis aux règles de mutation.
C'est exactement ça. C'est un choix à faire, voilà tout : à cet avantage répondent de nombreux inconvénients, je crois qu'il n'a pas été question de les nier une seule seconde. C'est la même chose quand on compare les différences entre titulaires du CAPES et titulaires du CAFEP, non ?
mafalda16 a écrit:zouz a écrit:Je ne connais pas ce cas Clap, j'écrivais en répondant à ce qui était écrit plus haut, à savoir que les contractuels bénéficiaient en quelque sorte d'un avantage, dans la mesure où ils ne sont pas soumis aux règles de mutation. Les contractuels ayant un CDI sont heureusement davantage protégés que les contractuels en CDD...quoiqu'avec la loi travail, votre futur pourrait s'éclaircir. Ce n'est qu'une question de mois.
Après, on peut et je dirais même que l'on doit se battre pour une amélioration des conditions de travail, mais on n'oublie pas celui qui est en dessous et on ne lui enfonce pas davantage la tête sous l'eau, c'est tout.
Bon on reprend calmement.
Personne ne dit que les contractuels doivent être enfoncés. Personne ne dit non plus que les conditions de travail des contractuels sont idylliques.
En revanche, concernant les mutations, le contractuel n'est pas soumis au mêmes règles c'est un fait. Tu peux retourner les explications comme tu veux, tu ne pourras pas prouver le contraire. Il est d'ailleurs tout à fait normal qu'un contractuel puisse refuser un poste sans avoir à se justifier.
Quant aux contractuels cdi, c'est un concept qui m’échappe. Soit l'institution estime qu'ils sont compétents et on donne l'équivalent d'un CAPES sur liste d'aptitude, soit ce n'est pas le cas et alors le CDI me semble bien hypocrite. M'enfin l'hypocrisie de l'institution en ce domaine n'est pas nouveau.
Ha, merci.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- zouzFidèle du forum
Vous êtes sûr que c'est uniquement pour cette raison qu'ils ne veulent pas passer le concours (contourner les règles de mutation ?). On peut aussi penser qu'ils s'y refusent parce qu'on a estimé qu'ils faisaient l'affaire sans, non ? Le coeur du problème est bien là.
Pardon de réclamer des droits et souhaiter dénoncer l'hypocrisie de l'Etat (et vous serez gentil de ne pas présenter des travailleurs précaires comme une menace pour le statut). Enfin, rien ne m'empêchera de penser que l'Etat est un bien mauvais employeur (Une pensée également aux ASH, aux AED et aux fonctionnaires de la catégorie C).
(P.S.: Sur certains points, ce n'est pas à vous que je répondais).
Pardon de réclamer des droits et souhaiter dénoncer l'hypocrisie de l'Etat (et vous serez gentil de ne pas présenter des travailleurs précaires comme une menace pour le statut). Enfin, rien ne m'empêchera de penser que l'Etat est un bien mauvais employeur (Une pensée également aux ASH, aux AED et aux fonctionnaires de la catégorie C).
(P.S.: Sur certains points, ce n'est pas à vous que je répondais).
- RendashBon génie
zouz a écrit:Vous êtes sûr que c'est uniquement pour cette raison qu'ils ne veulent pas passer le concours (contourner les règles de mutation ?). On peut aussi penser qu'ils s'y refusent parce qu'on a estimé qu'ils faisaient l'affaire sans, non ? Le coeur du problème est bien là.
Pardon de réclamer des droits et souhaiter dénoncer l'hypocrisie de l'Etat (et vous serez gentil de ne pas présenter des travailleurs précaires comme une menace pour le statut). Enfin, rien ne m'empêchera de penser que l'Etat est un bien mauvais employeur (Une pensée également aux ASH, aux AED et aux fonctionnaires de la catégorie C).
(P.S.: Sur certains points, ce n'est pas à vous que je répondais).
Ai-je dit "uniquement" ? Tu serais bien aimable de cesser de transformer mes propos ou d'extrapoler à partir de morceaux de phrases. Ceux qui s'y refuseraient "parce qu'on a estimé qu'ils faisaient l'affaire sans" (sans le concours, donc), ne peuvent pas ensuite se plaindre de ne pas avoir les mêmes droits que les titulaires : "on" estime qu'ils font l'affaire précisément parce qu'ils constituent une réserve de main-d'oeuvre jetable et peu onéreuse par rapport à des TZR. Donc refuser de passer le concours pour ce motif, très bien, mais ne pas se plaindre ensuite de ne pas avoir autant de droits que les titulaires. Je maintiens que "carrière" et "contractuel" sont deux mots incompatibles : un contrat, c'est temporaire, pour faire une carrière on doit passer le concours.
L'Etat est un mauvais employeur, c'est un fait. Le statut (ou plutôt l'absence de statut) des AED et des AVS est une honte, certes. Mais ça n'a rien d'un choix, contrairement aux contractuels qui font le choix de ne pas passer le concours ; ce n'est donc pas comparable.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
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