- floe-floeNiveau 3
J'ouvre différents sujets pour que nous puissions échanger sur nos idées, nos problématiques de séquences et nos objectifs.
En ce qui concerne le thème "Le voyage et l'aventure : pourquoi aller vers l'inconnu ?" je vais faire une séquence sur les récits de voyage.
Je ne pense pas forcément faire une séquence sur le roman d'aventure car ils ont deux séquences prévues en 6ème.
Je constate que beaucoup de profs ont décidé d'en faire un mais je trouve que c'est mieux de leur montrer un autre genre.
En ce qui concerne le thème "Le voyage et l'aventure : pourquoi aller vers l'inconnu ?" je vais faire une séquence sur les récits de voyage.
Je ne pense pas forcément faire une séquence sur le roman d'aventure car ils ont deux séquences prévues en 6ème.
Je constate que beaucoup de profs ont décidé d'en faire un mais je trouve que c'est mieux de leur montrer un autre genre.
- miss sophieExpert spécialisé
Il faudrait que tu indiques dans ton titre le niveau (5e), ce serait plus clair.
En plus d'un GT sur les Grandes découvertes (textes de Colomb, Léry, Pigafetta), je compte faire un chapitre sur la poésie du voyage.
Cette année ma 3e OI sera un roman d'aventures, Voyage au centre de la Terre de Jules Verne, aussi pour la thématique "L'homme est-il maître de la nature?". Mais je suis d'accord que l'an prochain, avec les élèves qui auront étudié un roman d'aventures en 6e, il faudra sans doute changer de genre (et l'année d'après plus encore puisqu'ils l'auront aussi travaillé en CM2).
En plus d'un GT sur les Grandes découvertes (textes de Colomb, Léry, Pigafetta), je compte faire un chapitre sur la poésie du voyage.
Cette année ma 3e OI sera un roman d'aventures, Voyage au centre de la Terre de Jules Verne, aussi pour la thématique "L'homme est-il maître de la nature?". Mais je suis d'accord que l'an prochain, avec les élèves qui auront étudié un roman d'aventures en 6e, il faudra sans doute changer de genre (et l'année d'après plus encore puisqu'ils l'auront aussi travaillé en CM2).
- floe-floeNiveau 3
Ah oui oui c'est vrai j'ai prévu une séquence sur la poésie qui permet de voyager ! Je l'avais oubliée celle là ! Il faut dire que cela ne m'inspire pas des masses !! As-tu des idées de textes ? de problématiques ? d'objectifs ?
Je veux bien modifier le titre de mon topic mais je ne sais pas faire... comment on fait ?
Je veux bien modifier le titre de mon topic mais je ne sais pas faire... comment on fait ?
- tannatHabitué du forum
Editer sur ton premier message/ titre du message : puis tu modifies.floe-floe a écrit:
Je veux bien modifier le titre de mon topic mais je ne sais pas faire... comment on fait ?
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« Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent. » Samuel Beckett
« C'est un malheur que les hommes ne puissent d'ordinaire posséder aucun talent sans avoir quelque envie d'abaisser les autres.» Vauvenargues
- miss sophieExpert spécialisé
Pour la poésie du voyage, ce ne sont pas les idées qui me manquent mais il va falloir que je fasse des choix ! On peut penser à :
Queneau : "Conjugaison"
Baudelaire : "L'invitation au voyage", "L'homme et la mer", "Le voyage" (I et III)
Du Bellay : "Heureux qui comme Ulysse"
Heredia : "Les conquérants"
Cendrars : "Iles"
Rimbaud : "Ma bohème"
Queneau : "Conjugaison"
Baudelaire : "L'invitation au voyage", "L'homme et la mer", "Le voyage" (I et III)
Du Bellay : "Heureux qui comme Ulysse"
Heredia : "Les conquérants"
Cendrars : "Iles"
Rimbaud : "Ma bohème"
- TangledingGrand Maître
En poésie sur ce thème je vais me concentrer sur Baudelaire, l'évocation du voyage dans les Fleurs de Mal, pour étudier ainsi la tension "spleen & idéal".
Je sens que ça va être coton mais pour faire qq chose d'intelligent avec ces programmes, on n'a guère le choix.
Je sens que ça va être coton mais pour faire qq chose d'intelligent avec ces programmes, on n'a guère le choix.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- floe-floeNiveau 3
J'étais partie là dessus aussi et puis en relisant les programmes et à force de réfléchir je me disais que ça pourrait être intéressant d'étudier la poésie de l'objet / du quotidien. Mais alors par contre j'ai pas d'idées et ne sais pas comment m'y prendre !
- sandGuide spirituel
Tu n'as pas de manuel à disposition pour ta classe de 5ème ? Pour certaines séquences, les textes présents dans le manuel de mes élèves me conviennent, et j'en ajoute un ou deux si besoin.
- MauvetteÉrudit
Pour la poésie du voyage, j'ai toujours fait ce thème en 5e et nous étudions toujours avec beaucoup de succès "Un hémisphère dans une chevelure" de Baudelaire.
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Je vais bien, ne t'en fais pas
- trompettemarineMonarque
générique de la saison 2
Le générique de la saison 1 n' a pas tout à fait le même texte ("reculer l'impossible")
J'ai l'impression que le texte décrit la mission de l'enseignant !
Bon, je ressors après cette "petite digression" qui n'a rien de voltairienne.
Plus sérieusement, voici une petite idée de problématique : Lire de la science-fiction, est-ce aller vers l'inconnu ?
Le générique de la saison 1 n' a pas tout à fait le même texte ("reculer l'impossible")
J'ai l'impression que le texte décrit la mission de l'enseignant !
Bon, je ressors après cette "petite digression" qui n'a rien de voltairienne.
Plus sérieusement, voici une petite idée de problématique : Lire de la science-fiction, est-ce aller vers l'inconnu ?
- AsarteLilithEsprit sacré
un GT sur Léry, Cartier, Diaz, Las Casas et JC Carrière, dans Lelivrescolaire.fr
L'étude d'une OI sur le voyage aussi.
L'étude d'une OI sur le voyage aussi.
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- Pacifique ParsonsNiveau 2
Mauvette a écrit:Pour la poésie du voyage, j'ai toujours fait ce thème en 5e et nous étudions toujours avec beaucoup de succès "Un hémisphère dans une chevelure" de Baudelaire.
Mes élèves l'an passé ont trouvé que le poète était "un fétichiste trop chelou" :lol:
Concernant le voyage, on peut aussi inviter les élèves à réfléchir sur ce qui pousse à voyager, notamment de nos jours. On peut par exemple tenter d'expliquer avec eux un très court extrait des Pensées de Pascal concernant l'orgueil :
"Curiosité n’est que vanité le plus souvent, on ne veut savoir que pour en parler, autrement on ne voyagerait pas sur la mer pour ne jamais en rien dire et pour le seul plaisir de voir, sans espérance d’en jamais communiquer."
Lien peut-être à faire avec les réseaux sociaux, exhiber sa vie tout ça. De même j'ai des textes édifiants sur l'impact du tourisme de masse dont les élèves n'ont pas forcément conscience, en guise d'ouverture, ça peut faire réfléchir.
- lauvelyJe viens de m'inscrire !
Est-ce qu'on peut envisager une OI avec Wild ou Into the wild ? avec deux raisons d'introspections (différentes certes) d'aller vers l'inconnu ? et voir en une séance comment l'inconnu et les pensées intimes les réflexions sont transmises ensuite à l'écran.
- ernyaFidèle du forum
Bonjour, j'aimerais faire une séquence poésie à la rentrée sur le thème du voyage mais j'aimerais varier un peu et faire autre chose que "Heureux qui comme Ulysse", "le relais" de Nerval, etc. Bref proposer autre chose que ce qu'on trouve régulièrement dans les manuels.
J'aimerais bien des poèmes qui évoquent les contrées découvertes lors des voyages. Je pensais à Voyages d'Anna de Noailles ou encore Derrière ce ciel éteint de Supervielle. Auriez-vous d'autres idées ?
J'aimerais bien des poèmes qui évoquent les contrées découvertes lors des voyages. Je pensais à Voyages d'Anna de Noailles ou encore Derrière ce ciel éteint de Supervielle. Auriez-vous d'autres idées ?
- sandGuide spirituel
Les Conquérants de Heredia.
- ernyaFidèle du forum
Je le trouve super difficile pour des cinquièmes, d'autant plus que je n'ai pas encore fait de GT sur les récits de découverte du Nouveau Monde et qu'ils ne l'ont pas encore fait en histoire... Ca fait beaucoup de mises en place en amont pour un si petit poème, je trouve...
- tannatHabitué du forum
Mais il est tellement beau...
Je l'ai fait en 5e l'an dernier. C'était une classe dans laquelle un tiers des élèves ne parle pas le français à la maison. Ils ont en général relativement bien compris le texte.
Je trouve dommage qu'on s’abstienne d'étudier certains textes parce qu'on les juge (ou que d'autres les jugent) trop difficiles, mais je comprends que l'on répugne à les étudier en classe si on ne les aime pas.
Le Voyage
À Maxime Du Camp.
I
Pour l’enfant, amoureux de cartes et d’estampes,
L’univers est égal à son vaste appétit.
Ah ! que le monde est grand à la clarté des lampes !
Aux yeux du souvenir que le monde est petit !
Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le cœur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers :
Les uns, joyeux de fuir une patrie infâme ;
D’autres, l’horreur de leurs berceaux, et quelques-uns,
Astrologues noyés dans les yeux d’une femme,
La Circé tyrannique aux dangereux parfums.
Pour n’être pas changés en bêtes, ils s’enivrent
D’espace et de lumière et de cieux embrasés ;
La glace qui le mord, les soleils qui les cuivrent,
Effacent lentement la marque des baisers.
Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir ; cœurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et, sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !
Ceux-là dont les désirs ont la forme des nues,
Et qui rêvent, ainsi qu’un conscrit le canon,
De vastes voluptés, changeantes inconnues,
Et dont l’esprit humain n’a jamais su le nom !
[…]
III
Étonnants voyageurs ! quelles nobles histoires
Nous lisons dans vos yeux profonds comme les mers !
Montrez-nous les écrins de vos riches mémoires,
Ces bijoux merveilleux, faits d'astres et d'éthers.
Nous voulons voyager sans vapeur et sans voile !
Faites, pour égayer l'ennui de nos prisons,
Passer sur nos esprits, tendus comme une toile,
Vos souvenirs avec leurs cadres d'horizons.
Dites, qu'avez-vous vu ?
Charles Baudelaire, Les fleurs du mal, 1861.
Navigateur solitaire
Les pieds dans les copeaux l’artisan fait la planche
il se laisse porter par la lourdeur de l’eau
il a pris soin de mettre un gilet bien étanche
pour ne pas disparaître et couler corps et os
C’est ainsi qu’il dérive au milieu de la Manche
en regardant le ciel d’un regard chemineau (1)
parfois d’une main sûre il écarte une branche
d’algue proliférant en l’humide berceau
Parfois à son côté passe un transatlantique
tout prêt à l’accueillir c’est lui qui ne veut pas
il préfère sa course à l’humeur touristique
parfois à son côté un iceberg tragique
pourrait bien l’emporter jusques à Wabana(2)
mais lui tout ce qu’il souhaite est gagner Reykjavik (3)
Raymond Queneau, Fendre les flots, éd. Gallimard, 1969.
Je l'ai fait en 5e l'an dernier. C'était une classe dans laquelle un tiers des élèves ne parle pas le français à la maison. Ils ont en général relativement bien compris le texte.
Je trouve dommage qu'on s’abstienne d'étudier certains textes parce qu'on les juge (ou que d'autres les jugent) trop difficiles, mais je comprends que l'on répugne à les étudier en classe si on ne les aime pas.
Le Voyage
À Maxime Du Camp.
I
Pour l’enfant, amoureux de cartes et d’estampes,
L’univers est égal à son vaste appétit.
Ah ! que le monde est grand à la clarté des lampes !
Aux yeux du souvenir que le monde est petit !
Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le cœur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers :
Les uns, joyeux de fuir une patrie infâme ;
D’autres, l’horreur de leurs berceaux, et quelques-uns,
Astrologues noyés dans les yeux d’une femme,
La Circé tyrannique aux dangereux parfums.
Pour n’être pas changés en bêtes, ils s’enivrent
D’espace et de lumière et de cieux embrasés ;
La glace qui le mord, les soleils qui les cuivrent,
Effacent lentement la marque des baisers.
Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir ; cœurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et, sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !
Ceux-là dont les désirs ont la forme des nues,
Et qui rêvent, ainsi qu’un conscrit le canon,
De vastes voluptés, changeantes inconnues,
Et dont l’esprit humain n’a jamais su le nom !
[…]
III
Étonnants voyageurs ! quelles nobles histoires
Nous lisons dans vos yeux profonds comme les mers !
Montrez-nous les écrins de vos riches mémoires,
Ces bijoux merveilleux, faits d'astres et d'éthers.
Nous voulons voyager sans vapeur et sans voile !
Faites, pour égayer l'ennui de nos prisons,
Passer sur nos esprits, tendus comme une toile,
Vos souvenirs avec leurs cadres d'horizons.
Dites, qu'avez-vous vu ?
Charles Baudelaire, Les fleurs du mal, 1861.
Navigateur solitaire
Les pieds dans les copeaux l’artisan fait la planche
il se laisse porter par la lourdeur de l’eau
il a pris soin de mettre un gilet bien étanche
pour ne pas disparaître et couler corps et os
C’est ainsi qu’il dérive au milieu de la Manche
en regardant le ciel d’un regard chemineau (1)
parfois d’une main sûre il écarte une branche
d’algue proliférant en l’humide berceau
Parfois à son côté passe un transatlantique
tout prêt à l’accueillir c’est lui qui ne veut pas
il préfère sa course à l’humeur touristique
parfois à son côté un iceberg tragique
pourrait bien l’emporter jusques à Wabana(2)
mais lui tout ce qu’il souhaite est gagner Reykjavik (3)
Raymond Queneau, Fendre les flots, éd. Gallimard, 1969.
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« Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent. » Samuel Beckett
« C'est un malheur que les hommes ne puissent d'ordinaire posséder aucun talent sans avoir quelque envie d'abaisser les autres.» Vauvenargues
- ernyaFidèle du forum
Merci, Tannat, ce n'est pas vraiment ce type de contenu que je recherche mais je ne connaissais pas celui de Queneau ! Ces poèmes sont très beaux mais j'aimerais travailler davantage sur des poèmes qui parlent vraiment des contrées traversées. Qui les décrivent à l'aide de métaphores, personnifications, etc. Ce n'est pas la figure du voyageur qui m'intéresse mais les lieux.
(Je ne suis pas sûre d'être claire en ce lendemain de réveillon...).
(Je ne suis pas sûre d'être claire en ce lendemain de réveillon...).
- OudemiaBon génie
Il y a quelques strophes de Vigny où on peut trouver ça :
- La Maison du berger:
[...]
Pars courageusement, laisse toutes les villes ;
Ne ternis plus tes pieds aux poudres du chemin
Du haut de nos pensers vois les cités serviles
Comme les rocs fatals de l'esclavage humain.
Les grands bois et les champs sont de vastes asiles,
Libres comme la mer autour des sombres îles.
Marche à travers les champs une fleur à la main.
La Nature t'attend dans un silence austère ;
L'herbe élève à tes pieds son nuage des soirs,
Et le soupir d'adieu du soleil à la terre
Balance les beaux lys comme des encensoirs.
La forêt a voilé ses colonnes profondes,
La montagne se cache, et sur les pâles ondes
Le saule a suspendu ses chastes reposoirs.
Le crépuscule ami s'endort dans la vallée,
Sur l'herbe d'émeraude et sur l'or du gazon,
Sous les timides joncs de la source isolée
Et sous le bois rêveur qui tremble à l'horizon,
Se balance en fuyant dans les grappes sauvages,
Jette son manteau gris sur le bord des rivages,
Et des fleurs de la nuit entrouvre la prison.
Il est sur ma montagne une épaisse bruyère
Où les pas du chasseur ont peine à se plonger,
Qui plus haut que nos fronts lève sa tête altière,
Et garde dans la nuit le pâtre et l'étranger.
Viens y cacher l'amour et ta divine faute ;
Si l'herbe est agitée ou n'est pas assez haute,
J'y roulerai pour toi la Maison du Berger. [...]
- ProvenceEnchanteur
Je suis d'accord, je l'ai souvent fait étudier en 6e. C'est un très beau poème dont l'étude se suffit à elle-même, sans qu'il y ait besoin d'introduire en détail le contexte. Quelques mots avant l'étude suffisent.tannat a écrit:Mais il est tellement beau...
Je l'ai fait en 5e l'an dernier. C'était une classe dans laquelle un tiers des élèves ne parle pas le français à la maison. Ils ont en général relativement bien compris le texte.
J'ai toujours eu du mal à considérer un poème comme un contenu.ernya a écrit:Merci, Tannat, ce n'est pas vraiment ce type de contenu que je recherche mais je ne connaissais pas celui de Queneau ! Ces poèmes sont très beaux mais j'aimerais travailler davantage sur des poèmes qui parlent vraiment des contrées traversées. Qui les décrivent à l'aide de métaphores, personnifications, etc. Ce n'est pas la figure du voyageur qui m'intéresse mais les lieux.
(Je ne suis pas sûre d'être claire en ce lendemain de réveillon...).
- ernyaFidèle du forum
@Provence : j'ai parlé de "contenu" pour essayer de préciser un peu plus la thématique que je recherchais. Je compte bien aussi étudier la forme des poèmes et je ne résume pas un poème à son contenu.
@ Oudémia : merci pour ta suggestion, je la mets dans ma liste provisoire !
@ Oudémia : merci pour ta suggestion, je la mets dans ma liste provisoire !
- ProvenceEnchanteur
Un poème, c'est un ensemble, non?ernya a écrit:@Provence : j'ai parlé de "contenu" pour essayer de préciser un peu plus la thématique que je recherchais. Je compte bien aussi étudier la forme des poèmes et je ne résume pas un poème à son contenu.
- ernyaFidèle du forum
Provence a écrit:Un poème, c'est un ensemble, non?ernya a écrit:@Provence : j'ai parlé de "contenu" pour essayer de préciser un peu plus la thématique que je recherchais. Je compte bien aussi étudier la forme des poèmes et je ne résume pas un poème à son contenu.
Oui, nous sommes d'accord là-dessus. Aurais-tu des poèmes à me suggérer ?
- ProvenceEnchanteur
De très belles choses dans les Trophées de Herédia, mais ces poèmes seront peut-être trop connus, et pas avec les bonnes figures de style... "Le récif de corail", "La Trebbia" (les voyageurs sont soldats...), "A une ville morte" (pas vraiment un voyage, mais bon), "Soleil couchant". Avec un bon chausse-pied, ils devraient pouvoir entrer dans le thème choisi.
- ernyaFidèle du forum
Merci, Provence, pour ces propositions. J'aime pas mal "le récif de corail"
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