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- RendashBon génie
Lefteris a écrit:ils = les élèves (chieurs).Rendash a écrit:Lefteris a écrit: J'ai déjà expliqué à des sstagiaires que si les élèves étaient mal élevés e t paresseux, ce n'était pas de leur faute, contrairement à ce quon leur raconte : ils étaient pareils avant, sont pareils partout, et ce ne sont pas eux qui les ont élevés.
Merci, j'avais compris
Disons, pour rester courtois, ce qui me changera un peu, que ça ne correspond pas à ce que je vois. "Les" élèves, vraiment ? "Pareils partout" ? Je dois avoir à la fois une sacrée veine et une grande naïveté de jeune premier, alors.
Accessoirement, en écrivant ça, tu dédouanes la hiérarchie et les imposteurs malveillants et fainéants qui sévissent dans certaines ESPE, et ça, ça m'emmerde. Un élève, même paresseux et mal élevé, n'est un fouteur de merde que lorsqu'on le laisse faire et qu'on passe plus de temps et d'énergie à lui trouver des excuses qu'à le recadrer (collectivement, j'entends, donc). C'est l'institution qui est responsable, et non l'individu isolé, et certainement pas le stagiaire ; là dessus, on est évidemment d'accord.
- Reine MargotDemi-dieu
Je comprends au contraire le message de Lefteris comme une dénonciation de l'institution qui refuse de sanctionner les perturbateurs.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- jésusFidèle du forum
Rendash a écrit:Lefteris a écrit:ils = les élèves (chieurs).Rendash a écrit:Lefteris a écrit: J'ai déjà expliqué à des sstagiaires que si les élèves étaient mal élevés e t paresseux, ce n'était pas de leur faute, contrairement à ce quon leur raconte : ils étaient pareils avant, sont pareils partout, et ce ne sont pas eux qui les ont élevés.
Merci, j'avais compris
Disons, pour rester courtois, ce qui me changera un peu, que ça ne correspond pas à ce que je vois. "Les" élèves, vraiment ? "Pareils partout" ? Je dois avoir à la fois une sacrée veine et une grande naïveté de jeune premier, alors.
Accessoirement, en écrivant ça, tu dédouanes la hiérarchie et les imposteurs malveillants et fainéants qui sévissent dans certaines ESPE, et ça, ça m'emmerde. Un élève, même paresseux et mal élevé, n'est un fouteur de merde que lorsqu'on le laisse faire et qu'on passe plus de temps et d'énergie à lui trouver des excuses qu'à le recadrer (collectivement, j'entends, donc). C'est l'institution qui est responsable, et non l'individu isolé, et certainement pas le stagiaire ; là dessus, on est évidemment d'accord.
C'est encore exact et évident que les responsables des établissements, des formations, des rectorats sont hors-sol à ce niveau. Prêt à nier l'évidence pour sauver une idéologie de fin de règne défaillante, leur carrière, leur prestige ( au fait qu'est-ce qu'il y a de plus important, moi je ne vois pas...)
- RendashBon génie
Reine Margot a écrit:Je comprends au contraire le message de Lefteris comme une dénonciation de l'institution qui refuse de sanctionner les perturbateurs.
"C'est l'institution qui est responsable, et non l'individu isolé, et certainement pas le stagiaire ; là dessus, on est évidemment d'accord.".
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Reine MargotDemi-dieu
jésus a écrit:
C'est encore exact et évident que les responsables des établissements, des formations, des rectorats sont hors-sol à ce niveau.
A mon poste je suis très bien placée pour le constater. Et je remarque aussi une bonne proportion de militants du SGEN et de l'UNSA dans ce domaine.
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- jésusFidèle du forum
Après, si démission il y a, il faut le faire, non pas parce qu'on s'imagine responsable d'une situation qu'on ne maîtrise pas mais parce qu'on ne veut pas participer à un système qui va à l'encontre de ses propres valeurs ou qui obtient des résultats exécrables...
- jésusFidèle du forum
Reine Margot a écrit:jésus a écrit:
C'est encore exact et évident que les responsables des établissements, des formations, des rectorats sont hors-sol à ce niveau.
A mon poste je suis très bien placée pour le constater. Et je remarque aussi une bonne proportion de militants du SGEN et de l'UNSA dans ce domaine.
:lol: :lol: J'en ris jaune derrière mon ordi tellement cela est une évidence absolue.
- Reine MargotDemi-dieu
jésus a écrit:Reine Margot a écrit:jésus a écrit:
C'est encore exact et évident que les responsables des établissements, des formations, des rectorats sont hors-sol à ce niveau.
A mon poste je suis très bien placée pour le constater. Et je remarque aussi une bonne proportion de militants du SGEN et de l'UNSA dans ce domaine.
:lol: :lol: J'en ris jaune derrière mon ordi tellement cela est une évidence absolue.
Je t'assure que discuter avec eux quotidiennement au sujet de l'impunité des élèves est beaucoup moins drôle .
Un vrai mur, une négation du réel quasi orwellienne.
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- jésusFidèle du forum
Reine Margot a écrit:jésus a écrit:Reine Margot a écrit:jésus a écrit:
C'est encore exact et évident que les responsables des établissements, des formations, des rectorats sont hors-sol à ce niveau.
A mon poste je suis très bien placée pour le constater. Et je remarque aussi une bonne proportion de militants du SGEN et de l'UNSA dans ce domaine.
:lol: :lol: J'en ris jaune derrière mon ordi tellement cela est une évidence absolue.
Je t'assure que discuter avec eux quotidiennement au sujet de l'impunité des élèves est beaucoup moins drôle .
Un vrai mur, une négation du réel quasi orwellienne.
Rien d'étonnant, non? C'est un monde à part dans tous les sens du terme...
- Reine MargotDemi-dieu
Non, ça ne m'étonne pas mais ça me désespère.
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- VolediaNiveau 5
@Lefteris : Merci . Pour répondre à ta question, mon inspectrice ayant été informée de mon concours, la commission des stagiaires l'était aussi... Comme je n'avais pas l'énergie de faire semblant de demander un renouvellement, c'est départ volontaire, daté fin août. Pour le détachement, j'ai pas tout pigé honnêtement mais d'après ce que j'ai compris c'est futur ministère qui gérera ça, ils prennent en compte l'ancienneté dans d'autres corps de la fonction publique.
Ca sert à rien de s'en vouloir, surtout si ça ne te bottait pas plus que ça... Au moins le repasser, lui ou n'importe quel autre, t'apporterait plus de sérénité. Quitte à choisir de rester dans l'EN après, c'est pas grave, c'est pas du temps perdu.
Et mon Dieu que je sympathise pour la dépendance financière...
Monstre sous le lit a écrit:Félicitations Voledia pour ton concours
J'ai dû demander 4 jours :lol: (bon au total ça faisait que 5h de cours et 1 jour de formation). Faut pas avoir de scrupule, c'est de droit, et ça tuera pas les élèves.Monstre sous le lit a écrit:Là où je m'en veux terriblement, mais vraiment, c'est que j'avais passé les écrits d'un autre concours, un truc qui ne me bottait pas plus que cela mais qui m'ouvrait une porte de sortie, j'étais admissible, mais convoquée aux oraux un jour où j'avais cours… je n'ai pas osé demander à mon chef ma journée pour aller les passer.
Ca sert à rien de s'en vouloir, surtout si ça ne te bottait pas plus que ça... Au moins le repasser, lui ou n'importe quel autre, t'apporterait plus de sérénité. Quitte à choisir de rester dans l'EN après, c'est pas grave, c'est pas du temps perdu.
Et mon Dieu que je sympathise pour la dépendance financière...
Je suis d'accord sur le fait que l'avenir à moyen-long teme nécessite une réflexion, et qu'il ne faut pas prendre de décision quand on est incapable de la mener.roxanne a écrit:Il est vrai qu'un projet à plus ou moins long terme te permettrait de relativiser ta situation et de t'en détacher un peu.
- LefterisEsprit sacré
J'aurais dû écrire "lorsque les élèves sont chiants". Il est vrai que j'enseigne dans un établissement où la plus grande partie est très très très chiante, ce qui donne l'image de classes quasi uniformément pénibles, malgré les quelques élèves acceptables disséminés dans les classes, et faisant souvent profil bas.Rendash a écrit:
Disons, pour rester courtois, ce qui me changera un peu, que ça ne correspond pas à ce que je vois. "Les" élèves, vraiment ? "Pareils partout" ? Je dois avoir à la fois une sacrée veine et une grande naïveté de jeune premier, alors.
Accessoirement, en écrivant ça, tu dédouanes la hiérarchie et les imposteurs malveillants et fainéants qui sévissent dans certaines ESPE, et ça, ça m'emmerde. Un élève, même paresseux et mal élevé, n'est un fouteur de merde que lorsqu'on le laisse faire et qu'on passe plus de temps et d'énergie à lui trouver des excuses qu'à le recadrer (collectivement, j'entends, donc). C'est l'institution qui est responsable, et non l'individu isolé, et certainement pas le stagiaire ; là dessus, on est évidemment d'accord.
Du reste , ça ne dédouane nullement la hiérarchie , qui par sa passivité est souvent responsable, ni les imposteurs des ESPE qui aggravent la chose par leurs théories fumeuses. Un pénible est en effet en contravention avec le contrat social, même avec le sacro -saint "vivrensemble" , sa liberté de faire chier entrave celle des autres , qui est de pouvoir étudier, et à ce titre il faudrait qu'une main de fer dans un gant d'acier l'empêche de nuire. Ce qui est possible , à condition de le vouloir, mais c'est là où le bât blesse. L'institution est dirigée par des cyniques, dont les volontés sont relayées par des non moins cyniques y trouvant leur propre intérêt (voir le fil sur les pro-réforme) , et quelques idiots utiles.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- LefterisEsprit sacré
Voledia a écrit:@Lefteris : Merci . Pour répondre à ta question, mon inspectrice ayant été informée de mon concours, la commission des stagiaires l'était aussi... Comme je n'avais pas l'énergie de faire semblant de demander un renouvellement, c'est départ volontaire, daté fin août. Pour le détachement, j'ai pas tout pigé honnêtement mais d'après ce que j'ai compris c'est futur ministère qui gérera ça, ils prennent en compte l'ancienneté dans d'autres corps de la fonction publique.
L'ancienneté est reprise. Ce qui ne le sera peut-être pas,vu que tu étais stagiaire, et non titularisée c'est l'indice acquis (si tu reste en catégorie A, le préjudice sera minime). A suivre, ça sera intéressant pour tous ceux qui quittent ou vont quitter l'EN ...
Monstre sous le lit a écrit:Félicitations Voledia pour ton concours
Il ne faut pas hésiter à aller passer des concours. Au mieux, on les a , au pire, ça entraîne, d'autant que pas mal de concours FP ont un format proche.Au moins le repasser, lui ou n'importe quel autre, t'apporterait plus de sérénité. Quitte à choisir de rester dans l'EN après, c'est pas grave, c'est pas du temps perdu.
Et mon Dieu que je sympathise pour la dépendance financière...
Quant à la dépendance financière, elle augmente avec le temps, et ça rejoint la réflexion précédente. Il faut penser au départ assez vite, car une fois installé, très avancé dans la carrière, on ne peut plus se permettre de repartir à zéro. Un jeune enseignant ne perd pas trop en descendant en catégorie B par exemple et a le temps de refaire un parcours de carrière. Il y a aussi des limites d'âge à certains concours, donc ne pas trop traîner.
Après, il ne reste plus que le détachement, et je peux dire d'expérience que c'est loin d'être gagné, sans piston ou opportunité exceptionnelle.
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- sybillouNiveau 1
Bonjour
Je réponds à ton message que je découvre seulement aujourd'hui en te parlant un peu de ma propre expérience. Je suis devenue prof à l'âge de 40 ans après avoir réussi le capes de LM, auparavant j'étais bibliothécaire, j'aimais mon métier mais je commençais à m'ennuyer... Mes deux premières années d'enseignement ont été rudes, il m'est aussi arrivé de pleurer en sortant des cours. Moult fois je me suis demandé pourquoi j'avais quitté un métier épanouissant et tranquille pour celui d'enseignante où je me sentais parfois comme un innocent dans la cage aux fauves (et les fauves ne sont pas toujours ceux qu'on pense, il y a aussi les parents d'élèves et les collègues parfois). J'étais en position de détachement, ce qui fait que je pouvais reprendre mon ancien boulot. Puis un jour une formatrice de l'IUFM que je connaissais en dehors m'a fait comprendre que j'avais fait un choix ambitieux, que j'avais réussi un concours difficile et qu'il fallait du temps pour s'accoutumer au changement etc etc et que c'était normal que la satisfaction n'arrive pas aussi vite que je l'espérais, qu'il fallait du temps. Ses propos m'ont éclairée, je me suis accrochée et je suis restée. Ce n'est pas forcément idéal tous les jours et je trouve aussi que notre travail est chronophage et nous coupe en quelque sorte des (autres) relations humaines car nous avons besoin de moments de solitude pour nous ressourcer (enfin pour moi c'est ainsi). Ensuite, l'autre problème c'est que ton histoire personnelle (douloureuse) et professionnelle se superposent et il faut essayer de les régler séparément.
Voilà quelques conseils, solidairement.... Sylvie
Je réponds à ton message que je découvre seulement aujourd'hui en te parlant un peu de ma propre expérience. Je suis devenue prof à l'âge de 40 ans après avoir réussi le capes de LM, auparavant j'étais bibliothécaire, j'aimais mon métier mais je commençais à m'ennuyer... Mes deux premières années d'enseignement ont été rudes, il m'est aussi arrivé de pleurer en sortant des cours. Moult fois je me suis demandé pourquoi j'avais quitté un métier épanouissant et tranquille pour celui d'enseignante où je me sentais parfois comme un innocent dans la cage aux fauves (et les fauves ne sont pas toujours ceux qu'on pense, il y a aussi les parents d'élèves et les collègues parfois). J'étais en position de détachement, ce qui fait que je pouvais reprendre mon ancien boulot. Puis un jour une formatrice de l'IUFM que je connaissais en dehors m'a fait comprendre que j'avais fait un choix ambitieux, que j'avais réussi un concours difficile et qu'il fallait du temps pour s'accoutumer au changement etc etc et que c'était normal que la satisfaction n'arrive pas aussi vite que je l'espérais, qu'il fallait du temps. Ses propos m'ont éclairée, je me suis accrochée et je suis restée. Ce n'est pas forcément idéal tous les jours et je trouve aussi que notre travail est chronophage et nous coupe en quelque sorte des (autres) relations humaines car nous avons besoin de moments de solitude pour nous ressourcer (enfin pour moi c'est ainsi). Ensuite, l'autre problème c'est que ton histoire personnelle (douloureuse) et professionnelle se superposent et il faut essayer de les régler séparément.
Voilà quelques conseils, solidairement.... Sylvie
- HeveyHammondNiveau 1
Je me joins aux autres commentaires. J ai 38 ans. je viens de réussir le capes de lettres modernes. je vais faire comme Sybillou: j ai commencé comme grand cadre auprès des ministères. et là, enorme désillusion, et ennui à longueur de journée. J ai fait une depression, une belle, j ai perdu toute confiance en moi...Du coup j ai repassé un concours. je suis devenue Bibliothécaire. Et tout comme Sybillou: ennui . (Bon, pour moi ce n'était pas enrichissant, pas épanouissant...mais j ai une bibliothèque scientifique un peu particulière, que je gère seule, au sein d une équipe compliquée, et j ai la responsabilité d un service difficile). Je m apprête à me prendre une claque à la rentrée. une énorme claque. De ces expériences différentes j ai pu apprendre quoi? je sais ce que je ne supporte pas.. et ce que je recherche. Quand j ai démissionné de mon premier boulot le sgens m ont pris pour une folle: c'était une place en or (mieux payée que l éducation nationale, bien mieux payée et très valorisant sur un CV). Sauf que cela me tuait à petits feux (j ai perdu 20 kilos et j ai failli etre hospitalisée pour anoréxie sévère). Après j ai bossé dans le privé un an..mais pareil: cela n allait pas. quand je suis arrivée bibliothécaire, j étais détruite. Ca m a pris 7 ans pour quitter ce joli placard. Aujourd'hui: je me dis que j étais jeune, et que mieux conseillée je n aurai pas quitter mon premier emploi... En même temps le fait d'avoir plus aucune pression ma permis d avoir 4 enfants, d investir plus dans ma vie privée que je ne l aurais fait sinon. Essaie de prendre un peu de temps pour voir ou est vraiment le souci: le pro ou le perso... et vois . Moi, j'aurai tenté un an de plus pour voir, et surtout n avoir aucun regret plus tard.....
Des pensées
Des pensées
- Estelle69Niveau 2
Ce métier est difficile, il faut s'accrocher et essayer de se mettre en contact avec l'assistance sociale de l'inspection pour être aidé.
- rob13Je viens de m'inscrire !
Eh bien ça n'est pas si rose la vie de professeur stagiaire. Je te souhait bon courage et bonne continuation pour la suite.
- GreenCpeNiveau 6
Je suis dans le même état que toi et pourtant, on n'a pas fait une semaine. Cette souffrance est insupportable. Marre de passer mes soirées à pleurer du fait de l'isolement imposé dans un contexte difficile. Bref, je pense aussi démissionner voire abandonner mon poste.
- CatalunyaExpert spécialisé
Disons que quand on s'occupe de la charge de CPE tout en corrigeant des copies, on est vite débordé.
- GreenCpeNiveau 6
Garde tes remarques désobligeantes pour toi ! La je n'ai pas envie de me justifier. T'es une sacrée ordure car t'es sur un post souffrance.
- KalypsoExpert spécialisé
Monstre sous le lit, des nouvelles ? tu as fait ta rentrée ? comment te sens tu ?
- GreenCpeNiveau 6
D'autre part c'est la mutation que je vie mal pas le reste donc si tu suivais le post tu comprendrais au lieu de me suivre a la trace.
- SaskaNiveau 8
GreenCpe, créer ton propre sujet te permettrait peut-être de glaner des conseils et du soutien pour ta propre situation
Ceci dit, la période de rentrée n'est jamais simple pour les CPE...en avançant dans l'année, tu vas trouver ton rythme !
Catalunya, j'ai pas compris pourquoi tu parles de corriger des copies...j'ai raté un épisode ?
Ceci dit, la période de rentrée n'est jamais simple pour les CPE...en avançant dans l'année, tu vas trouver ton rythme !
Catalunya, j'ai pas compris pourquoi tu parles de corriger des copies...j'ai raté un épisode ?
- MelanieSLBDoyen
GreenCPE a l'année dernière dit qu'il faisait des tas de choses, y compris corriger des copies (ce qui explique qu'un certain nombre de membres pensent que c'est un troll, et ne mérite donc aucune compassion, cf. post de Catalunya plus haut).
Je n'ai jamais réussi à décider, donc si GreenCPE est effectivement en souffrance, j'espère qu'il rencontrera des gens biens dans sa nouvelle affectation. Les 15 premiers jours sont durs quand on arrive quelque part, mais ça devrait aller mieux au fur et à mesure.
Je n'ai jamais réussi à décider, donc si GreenCPE est effectivement en souffrance, j'espère qu'il rencontrera des gens biens dans sa nouvelle affectation. Les 15 premiers jours sont durs quand on arrive quelque part, mais ça devrait aller mieux au fur et à mesure.
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La réforme du collège en clair : www.reformeducollege.fr .
Et pour ceux qui voudraient en comprendre quelques fondements idéologiques:
De l’école, Jean-Claude Milner, visionnaire en 1984 (ça ne s'invente pas!) de ce qui nous arrive: "On ne dira pas que les enseignants sont l'appendice inutile d'une institution dangereuse et presque criminelle; on dira seulement qu'ils doivent devenir Autres: animateurs, éducateurs, grands frères, nourrices, etc. La liste est variable. Que, par là, les enseignants cessent d’être ce qu'ils doivent être, c'est encore une fois sortir de la question. On ne dira pas que les enseignants n'ont pas à exister, mais qu'ils ont à exister Autrement. Que cette Autre existence consiste à renoncer à soi-même pour disparaître dans la nuit éducative et s'y frotter, tous corps et tous esprits confondus, avec les partenaires de l'acte éducatif - manutentionnaires, parents, élèves, etc. -, seul un méchant pourrait en prendre ombrage." (page 24)
- Dadoo33Grand sage
Euh Greencpe est une femme...
- MaellerpÉrudit
Dadoo33 a écrit:Euh Greencpe est une femme...
Ben c'est à dire que l'on a un peu de mal à suivre même avec beaucoup de bonne volonté... CPE, prof, administratif, syndiquée, pas syndiquée... et surtout rapidement agressif (ve) et donneur (se) de leçons.
Mais bien évidemment je compatis si sa souffrance est réelle, et lui souhaite bon courage.
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