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- KeaFidèle du forum
Je ne suis pas certaine que les motifs d'arrêt les plus fréquents soient "ce n'est pas intéressant", mais plutôt "c'est du travail en plus", "j'ai plus d'heures de cours", "je finis mes journées de cours plus tard", "je n'ai pas d'heures de perm pour faire mon travail perso", "je ne suis pas avec mes copains en cours de LCA", etc. : les ados voient souvent à court terme, ce n'est pas pour autant que les LCA ne sont pas un atout, un enseignement intéressant, dans leur cursus.pwofesseur a écrit:si c'est intéressant, il n'y a pas de raison d'arrêter (ni de l'interdire du coup)
si c'est pour faire des déclinaisons tout l'année...
- IphigénieProphète
Ouais, c'est comme en maths, ceux qui font des maths toute l'année, c'est d'un rasoir!...pwofesseur a écrit:si c'est intéressant, il n'y a pas de raison d'arrêter (ni de l'interdire du coup)
si c'est pour faire des déclinaisons tout l'année...
Tu as raison: moi je dis que même qu'avant de commencer un cours on devrait toujours demander aux mômes si certains ne préfèreraient pas aller à la cafét'.
ça, c'est de la bonne réflexion pédagogique, qui laisse le temps de se demander ensuite, si on monte, on descend, ou on passe à côté, ou si on fait classe à l'endroit ou à l'envers, avec pastilles ou gommettes.
Y a des jours, j'vous jure, ma brave dame....
Maintenant pour l'histoire des autorisations ou pas à abandonner le latin, c'est un des symptômes d'une maladie complexe: celle qui consiste à ne pas savoir en latin à qui on s'adresse, pour quoi faire et pour quel résultats: ça fait partie de l'incroyable situation d'hypocrisie dans laquelle on place les professeurs de lettres classiques depuis des années, dans l'unique but, on le voit bien, de saper leur enseignement de biais à défaut d'avoir le courage de le faire frontalement. En l'état, c'est le moindre mal, à régler au cas par cas d'ailleurs. Mais si j'en crois les propos de la ministre dans la dernière réforme, le latin c'est essentiel puisqu'elle veut que tout le monde en fasse, donc c'est logique de le rendre obligatoire jusqu'au bout du collège. Y a un moment ou le double langage, ça va bien.
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