- RendashBon génie
leskhal a écrit:L'un n'empêche par l'autre.Rendash a écrit:Dhaiphi a écrit:On n'est pas obligé d'aider les fossoyeurs à tenir la pelle.Ignatius Reilly a écrit: notre place dans la société est enterrée depuis des lustres.
Mais enfin, la pelle ne passe pas par un bermuda, c'est ridicule. La pelle, ce sont les collègues en nombre toujours croissant qui sont infichus d'écrire trois lignes sans faire de faute, de maîtriser correctement leur discipline, qui se caguent dessus à la moindre remarque de leur CDE ou de leur IPR et qui sacrifient leurs convictions, si tant est qu'ils en aient eu un jour, et les progrès de leurs élèves, à un sourire et une tape sur l'épaule de la part de la hiérarchie. La pelle, ce sont ceux qui haussent les épaules lorsqu'il s'agit de culture, et qui n'ont aucune appétence pour le savoir, dans un métier censé être intellectuel. Certainement pas un bermuda. D'autant plus que pour d'aucuns que je connais, le jean/baskets/t-shirt est déjà un signe de décadence :lol:
Ben voyons. L'un a du sens, pas l'autre. Ou plutôt, l'autre aurait, éventuellement, du sens, si l'un n'était pas un problème. Là, c'est discuter de la couleur des nouveaux rideaux alors que la maison flambe.
Et quoi qu'il en soit, je reste sur mon impression de départ : c'est fascinant d'épier à ce point les collègues alors que la solidarité a de moins en moins de sens dans ce métier. Mais c'est bien, vous êtes prêts pour la caporalisation, vous finirez formateurs ou référents fringues, avec un susucre et une tape sur l'épaule
- HélipsProphète
Et bien je reste aussi sur mon impression de départ : le collègue qui se présente pour son premier dans une tenue qu'une partie notable de la société interprète comme une tenue de vacances n'a pas compris ce qu'était le monde du travail.
Et je ne vois pas pourquoi ma première impression serait moins légitime que la première impression de Rendash sur les collègues qui "épient" les autres.
Et je ne vois pas pourquoi ma première impression serait moins légitime que la première impression de Rendash sur les collègues qui "épient" les autres.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- CasparProphète
Balthamos a écrit:Que veux tu, c'est ainsi que passe notre société actuelle, par la forme avant ou à la place du fond.
L'enjeu du paraître.
Oui, c'est tout nouveau. D'ailleurs Louis XIV se promenait en short et Cléopâtre en jogging Décathlon.
Merci Helips de revenir au sujet de départ qui n'était pas "Le bermuda à travers les âges" ou "épier les collègues pour critiquer leurs vêtements".
- BalthamosDoyen
Nous sommes enseignants et justement je suis fier d'exercer un métier que je considère comme noble et qui malgré tout me permet une certaines souplesse dans mes tenues vestimentaires ou dans mes obligations.
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- Spoiler:
- RendashBon génie
Hélips a écrit:Et bien je reste aussi sur mon impression de départ : le collègue qui se présente pour son premier dans une tenue qu'une partie notable de la société interprète comme une tenue de vacances n'a pas compris ce qu'était le monde du travail.
C'est surtout celui qui se pointe au boulot sans être compétent pour son boulot qui n'a rien compris au monde du travail. Le débat sur le bermuda n'a pas plus de sens que celui sur les tatouages, ou la coupe de cheveux, ou les chaussures, ou le sac à dos, ou que sais-je encore.
Hélips a écrit:Et je ne vois pas pourquoi ma première impression serait moins légitime que la première impression de Rendash sur les collègues qui "épient" les autres.
Sauf qu'il ne s'agit pas d'une impression, mais d'un fait. L'impression, à la limite, c'est de trouver pathétiquement ridicules tous ces foutus hypocrites qui viennent pleurnicher après les collègues qui surveillent et commentent leur façon de travailler, tout en surveillant et commentant la façon de se fringuer des autres ; et de trouver salement nocifs ceux qui ont le bon goût d'être cohérents et qui s'arrogent le droit de surveiller à la fois le boulot, et la tenue, de leurs collègues, et qui contribuent à cet état d'esprit qui permet cette caporalisation d'abord rampante, et de plus en plus affirmée, que l'on constate dans le métier. Susucre, tatape, etc. Qu'ils deviennent CDE ou IPR, dans ces cas-là.
Caspar Goodwood a écrit:Balthamos a écrit:Que veux tu, c'est ainsi que passe notre société actuelle, par la forme avant ou à la place du fond.
L'enjeu du paraître.
Oui, c'est tout nouveau. D'ailleurs Louis XIV se promenait en short et Cléopâtre en jogging Décathlon.
Bien vu :lol:
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- leskhalNiveau 9
Rendash : arrête de taper sur ceux qui sont d'accord avec toi
Que la question des fringues soit la partie émergée de l'iceberg de la dévalorisation de notre profession est une évidence.
Si on y attache de l'importance parce que c'est tout ce qui reste à discuter, c'est pathétique, on est d'accord, mais je pense qu'on peut commencer par s'habiller dignement pour discuter du reste. Ce n'est pas compliqué et ça permet de laisser espérer qu'on a des choses conséquentes à dire.
Je sais qu'Einstein s'habillait n'importe comment et que Gandhi finit par abandonner le costume mais les temps ont changé et nous avons plus de choses à prouver que Tonton Albert.
Je ne déroge jamais au pantalon coton/chemise quand je suis en classe, ce qui me permet de virer les bermudas (j'ai le règlement pour moi). Il en faut plus pour imposer son autorité mais c'est une bonne façon d'obtenir le silence initial.
C'est comme le téléphone portable. Je ne sors jamais le mien en classe, il est en mode silencieux au fond de mon sac et les élèves ne l'ont jamais vu, même aux abords du lycée. Ce qui me permet de virer et de coller tous les utilisateurs en classe (pour l'instant, l'administration suit...). C'est comme les fringues, ça fait partie du devoir d'exemplarité au boulot. Loin de la classe, chacun fait ce qu'il veut...
Que la question des fringues soit la partie émergée de l'iceberg de la dévalorisation de notre profession est une évidence.
Si on y attache de l'importance parce que c'est tout ce qui reste à discuter, c'est pathétique, on est d'accord, mais je pense qu'on peut commencer par s'habiller dignement pour discuter du reste. Ce n'est pas compliqué et ça permet de laisser espérer qu'on a des choses conséquentes à dire.
Je sais qu'Einstein s'habillait n'importe comment et que Gandhi finit par abandonner le costume mais les temps ont changé et nous avons plus de choses à prouver que Tonton Albert.
Je ne déroge jamais au pantalon coton/chemise quand je suis en classe, ce qui me permet de virer les bermudas (j'ai le règlement pour moi). Il en faut plus pour imposer son autorité mais c'est une bonne façon d'obtenir le silence initial.
C'est comme le téléphone portable. Je ne sors jamais le mien en classe, il est en mode silencieux au fond de mon sac et les élèves ne l'ont jamais vu, même aux abords du lycée. Ce qui me permet de virer et de coller tous les utilisateurs en classe (pour l'instant, l'administration suit...). C'est comme les fringues, ça fait partie du devoir d'exemplarité au boulot. Loin de la classe, chacun fait ce qu'il veut...
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- RendashBon génie
Caspar Goodwood a écrit:
Merci Helips de revenir au sujet de départ qui n'étaient pas "Le bermuda à travers les âges" ou "Epier les collègues pour critiquer leurs vêtements".
...et qui recouvre l'image donnée par le corps enseignant. Bermuda, ou orthographe irréprochable ?
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- RendashBon génie
leskhal a écrit:Rendash : arrête de taper sur ceux qui sont d'accord avec toi
Que la question des fringues soit la partie émergée de l'iceberg de la dévalorisation de notre profession est une évidence.
Si on y attache de l'importance parce que c'est tout ce qui reste à discuter, c'est pathétique, on est d'accord, mais je pense qu'on peut commencer par s'habiller dignement pour discuter du reste. Ce n'est pas compliqué et ça permet de laisser espérer qu'on a des choses conséquentes à dire.
Je sais qu'Einstein s'habillait n'importe comment et que Gandhi finit par abandonner le costume mais les temps ont changé et nous avons plus de choses à prouver que Tonton Albert.
Je ne déroge jamais au pantalon coton/chemise quand je suis en classe, ce qui me permet de virer les bermudas (j'ai le règlement pour moi). Il en faut plus pour imposer son autorité mais c'est une bonne façon d'obtenir le silence initial.
C'est comme le téléphone portable. Je ne sors jamais le mien en classe, il est en mode silencieux au fond de mon sac et les élèves ne l'ont jamais vu, même aux abords du lycée. Ce qui me permet de virer et de coller tous les utilisateurs en classe (pour l'instant, l'administration suit...). C'est comme les fringues, ça fait partie du devoir d'exemplarité au boulot. Loin de la classe, chacun fait ce qu'il veut...
Mais je ne tape sur personne, ou alors sur tout le monde Je dis simplement, d'une part que c'est un faux débat (pas la question initiale, hein : que le CDE se pose la question est légitime, que des collègues s'arrogent le droit de porter un regard sur les fringues des autres ne l'est pas, à mon avis), d'autre part que si l'image doit être améliorée, ça doit passer par des choses sérieuses, pas par ce genre de préoccupation.
Et ton point de vue n'est pas en contradiction avec le mien, tant que tu te préoccupes des tes fringues. Je ne dis rien de plus que ça ^^ A titre personnel, je suis adepte des pantacourts l'été, mais tant que je vais au bahut, je mets un jean. Mais je ne me sens pas légitime, ni ne sens légitime quelque collègue que ce soit, pour porter un avis sur les vêtements des autres. Mais je n'ai ni une âme de chef d'établissement, ni une âme de caporal.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- RendashBon génie
Caspar Goodwood a écrit:Il y a une faute dans mon message ?
Je ne sais pas, je ne porte pas de bermuda
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- CasparProphète
J'ai dû mal accorder "être", j'ai hésité, bon bref, mon orthographe n'est pas irréprochable, et ma tenue vestimentaire non plus, je pars me faire fouetter et je reviendrai une autre fois.
- RendashBon génie
Caspar Goodwood a écrit:J'ai dû mal accorder "être", j'ai hésité, bon bref, mon orthographe n'est pas irréprochable, et ma tenue vestimentaire non plus, je pars me faire fouetter et je reviendrai une autre fois.
Echange de bons procédés, Clarisse ? vs
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- AlykiGrand sage
Désolée, je ne résiste pas :
http://madame.lefigaro.fr/style/comment-porter-le-short-au-bureau-060715-97330
(y a un petit message pour les collègues de philo :lol:)
http://madame.lefigaro.fr/style/comment-porter-le-short-au-bureau-060715-97330
(y a un petit message pour les collègues de philo :lol:)
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Ἐρωτηθεὶς δὲ τί δεῖ μάλιστα μανθάνειν τοὺς ἐλευθέρους παῖδας, « Ταῦτ´ » ἔφη « ὅσαπερ ἂν αὐτοὺς ὠφελήσειεν ἄνδρας γενομένους. »
Interrogé sur ce qu'il valait mieux apprendre à des enfants libres, (Léotychidas) dit "ce qui pourra leur servir lorsqu'ils seront devenus des hommes" - Apophtegme laconien.
- RendashBon génie
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- jésusFidèle du forum
Rendash a écrit:leskhal a écrit:L'un n'empêche par l'autre.Rendash a écrit:Dhaiphi a écrit:
On n'est pas obligé d'aider les fossoyeurs à tenir la pelle.
Mais enfin, la pelle ne passe pas par un bermuda, c'est ridicule. La pelle, ce sont les collègues en nombre toujours croissant qui sont infichus d'écrire trois lignes sans faire de faute, de maîtriser correctement leur discipline, qui se caguent dessus à la moindre remarque de leur CDE ou de leur IPR et qui sacrifient leurs convictions, si tant est qu'ils en aient eu un jour, et les progrès de leurs élèves, à un sourire et une tape sur l'épaule de la part de la hiérarchie. La pelle, ce sont ceux qui haussent les épaules lorsqu'il s'agit de culture, et qui n'ont aucune appétence pour le savoir, dans un métier censé être intellectuel. Certainement pas un bermuda. D'autant plus que pour d'aucuns que je connais, le jean/baskets/t-shirt est déjà un signe de décadence :lol:
Ben voyons. L'un a du sens, pas l'autre. Ou plutôt, l'autre aurait, éventuellement, du sens, si l'un n'était pas un problème. Là, c'est discuter de la couleur des nouveaux rideaux alors que la maison flambe.
Et quoi qu'il en soit, je reste sur mon impression de départ : c'est fascinant d'épier à ce point les collègues alors que la solidarité a de moins en moins de sens dans ce métier. Mais c'est bien, vous êtes prêts pour la caporalisation, vous finirez formateurs ou référents fringues, avec un susucre et une tape sur l'épaule
C'est la grande tristesse du métier...Dans un système caporalisé, il n'y a plus de place pour faire des généralités. A chaque chef, établissements ses petites règles. Et à l'infini, désormais on se demandera " On m'a fait des reproches alors que l'usage ou en général cela passe..." et bientôt il n'y aura plus aucun usage auquel se référer...
Faire une remarque sur l'habillement de quelqu'un alors que la loi ne trouverait rien à redire. C'est insignifiant vu comme ça.
Mais avec la caporalisation qui a fait son "outing" qui dit que demain CDE ou inspecteur ne vont pas reprocher que les hommes mettent des jeans parce que c'est trop décontracté, que les hommes doivent les cheveux court et pas de barbe de trois jours parce que c'est négligé...
La caporalisation, c'est le paradis de la lubie des petits chefs...
- CasparProphète
jésus a écrit:Rendash a écrit:leskhal a écrit:L'un n'empêche par l'autre.Rendash a écrit:
Mais enfin, la pelle ne passe pas par un bermuda, c'est ridicule. La pelle, ce sont les collègues en nombre toujours croissant qui sont infichus d'écrire trois lignes sans faire de faute, de maîtriser correctement leur discipline, qui se caguent dessus à la moindre remarque de leur CDE ou de leur IPR et qui sacrifient leurs convictions, si tant est qu'ils en aient eu un jour, et les progrès de leurs élèves, à un sourire et une tape sur l'épaule de la part de la hiérarchie. La pelle, ce sont ceux qui haussent les épaules lorsqu'il s'agit de culture, et qui n'ont aucune appétence pour le savoir, dans un métier censé être intellectuel. Certainement pas un bermuda. D'autant plus que pour d'aucuns que je connais, le jean/baskets/t-shirt est déjà un signe de décadence :lol:
Ben voyons. L'un a du sens, pas l'autre. Ou plutôt, l'autre aurait, éventuellement, du sens, si l'un n'était pas un problème. Là, c'est discuter de la couleur des nouveaux rideaux alors que la maison flambe.
Et quoi qu'il en soit, je reste sur mon impression de départ : c'est fascinant d'épier à ce point les collègues alors que la solidarité a de moins en moins de sens dans ce métier. Mais c'est bien, vous êtes prêts pour la caporalisation, vous finirez formateurs ou référents fringues, avec un susucre et une tape sur l'épaule
C'est la grande tristesse du métier...Dans un système caporalisé, il n'y a plus de place pour faire des généralités. A chaque chef, établissements ses petites règles. Et à l'infini, désormais on se demandera " On m'a fait des reproches alors que l'usage ou en général cela passe..." et bientôt il n'y aura plus aucun usage auquel se référer...
Faire une remarque sur l'habillement de quelqu'un alors que la loi ne trouverait rien à redire. C'est insignifiant vu comme ça.
Mais avec la caporalisation qui a fait son "outing" qui dit que demain CDE ou inspecteur ne vont pas reprocher que les hommes mettent des jeans parce que c'est trop décontracté, que les hommes doivent les cheveux court et pas de barbe de trois jours parce que c'est négligé...
La caporalisation, c'est le paradis de la lubie des petits chefs...
Il y a toujours eu des différences entre les établissements et les cde.
- jésusFidèle du forum
Certes, mais je pense que cela va s'accentuer avec le temps...et ces histoires de bermuda va se multiplier...alors que la société et le métier ont évolué...
- CasparProphète
jésus a écrit:Certes, mais je pense que cela va s'accentuer avec le temps...et ces histoires de bermuda va se multiplier...alors que la société et le métier ont évolué...
Quand j'ai passé le CAPES en 1995 le Président a renvoyé un candidat qui s'était présenté à la réunion qui a lieu la veille des épreuves et lui a demandé d'aller se changer.
- jésusFidèle du forum
Il y avait des réunions pour les candidats avant les épreuves de CAPES ???? Elles servaient à quoi?
- CasparProphète
jésus a écrit:Il y avait des réunions pour les candidats avant les épreuves de CAPES ???? Elles servaient à quoi?
Il y en a toujours à ma connaissance. C'est une réunion d'information pour donner aux candidats des consignes et leurs horaires de passage. Elle a lieu la veille des épreuves, à chaque fois qu'un nouveau lot de candidats convoqués arrive.
- jésusFidèle du forum
J'ai l'impression que ça n'existe plus, en tout cas, au capes de philo, il n'y en a pas...
- CasparProphète
jésus a écrit:J'ai l'impression que ça n'existe plus, en tout cas, au capes de philo, il n'y en a pas...
De futurs collègues passant le Capes d'anglais cette année nt largement évoqué la réunion d'information sur le topic en question.
Ici par exemple : https://www.neoprofs.org/t92019p625-conseils-pour-la-preparation-du-capes-d-anglais-2016
- DhaiphiGrand sage
Toutafé !leskhal a écrit:L'un n'empêche par l'autre.
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De toutes les écoles que j’ai fréquentées, c’est l’école buissonnière qui m’a paru la meilleure.
[Anatole France]
J'aime les regretteurs d'hier qui voudraient changer le sens des rivières et retrouver dans la lumière la beauté d'Ava Gardner.
[Alain Souchon]
- User17706Bon génie
Je crois qu'il serait à présent opportun d'aborder le problème délicat des couleurs. Le vert pomme, par exemple, est-il acceptable pour un agent de l'État?
- CasparProphète
PauvreYorick a écrit:Je crois qu'il serait à présent opportun d'aborder le problème délicat des couleurs. Le vert pomme, par exemple, est-il acceptable pour un agent de l'État?
C'est osé, ça a un côté dandy, mais je dirais oui, en revanche le look monochrome (chemise et bermuda vert pomme tous les deux) is a big no-no.
- RogerMartinBon génie
On est toujours dans la rubrique bermuda, ou tu étends ce questionnement à la garde-robe complète ?
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
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