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- misschiefNiveau 3
Bonjour,
J’ai eu la chance d’être reçu au CAPES lnterne (public) et maintenant je découvre avec surprise mon admissibilité aux oraux de l’externe (privé) :shock: …Du coup je me demande si ça vaut le coup d’aller passer les oraux de ce CAPES CAFEP…J’aurais deux petites questions à vous soumettre. Est-ce vrai que…
-l’on a vraiment plus d’avantages à bosser dans le public ?
-le privé donne effectivement plus d’avantages pour l’affectation ? (est-ce qu’on reste dans son académie après son année de stage) ?
Merci d’avance!
J’ai eu la chance d’être reçu au CAPES lnterne (public) et maintenant je découvre avec surprise mon admissibilité aux oraux de l’externe (privé) :shock: …Du coup je me demande si ça vaut le coup d’aller passer les oraux de ce CAPES CAFEP…J’aurais deux petites questions à vous soumettre. Est-ce vrai que…
-l’on a vraiment plus d’avantages à bosser dans le public ?
-le privé donne effectivement plus d’avantages pour l’affectation ? (est-ce qu’on reste dans son académie après son année de stage) ?
Merci d’avance!
- mindiyNiveau 2
Je ne sais pas comment cela se passe actuellement mais dans ma matière (les maths) , il y a près de 15 ans, je suis restée dans mon académie à 1 heure de ma ville natale.
Mais cela dépendait déjà des matières (anglais et maths restaient dans l'académie).
Je pense qu'on doit gagner un peu plus dans le public mais les élèves sont peut etre moins faciles" ?
Mais cela dépendait déjà des matières (anglais et maths restaient dans l'académie).
Je pense qu'on doit gagner un peu plus dans le public mais les élèves sont peut etre moins faciles" ?
- misschiefNiveau 3
Merci mindiy pour ta reponse Tu es donc dans le privé c'est ca?
Il me semble que dans le privé les éleves ne sont pas forcément meilleurs mais que les classes sont moins surchargées...
Il me semble que dans le privé les éleves ne sont pas forcément meilleurs mais que les classes sont moins surchargées...
- mindiyNiveau 2
Oui je suis dans le privé. J'ai des classes de 30-32 élèves cette année en lycée. Tout dépend des années et de la DGH donné par le rectorat. Si une classe s'ouvre ou se ferme. Il peut y avoir 6 classes de Seconde de 26 élèves une année et 32 élèves de Seconde répartis dans 5 classes l'année suivante.
- misschiefNiveau 3
Ok ben voila une de mes certitudes qui tombe!
- UNSA-EnseignementNiveau 3
Dans le public, le salaire est meilleure car les charges (salariales et "patronales") sont plus faibles.
La retraite est meilleure aussi. 6 derniers mois pris en compte contre les 25 meilleurs années.
http://www.unsa-enseignement.fr/personnel-education-nationale/salaires/
L'affectation des stagiaires est souvent dans la même académie, dans le privé sous contrat.
Le statut d'agent contractuel n'est pas celui de fonctionnaire.
Le statut de directeur du privé est bien plus ambigue que celui de Chef d'établissement. Les entourloupes et coups tordus sont bien plus aisés ...
La retraite est meilleure aussi. 6 derniers mois pris en compte contre les 25 meilleurs années.
http://www.unsa-enseignement.fr/personnel-education-nationale/salaires/
L'affectation des stagiaires est souvent dans la même académie, dans le privé sous contrat.
Le statut d'agent contractuel n'est pas celui de fonctionnaire.
Le statut de directeur du privé est bien plus ambigue que celui de Chef d'établissement. Les entourloupes et coups tordus sont bien plus aisés ...
_________________
Plus de détails :
www.unsa-enseignement.fr
- mindiyNiveau 2
Le Chefs d'Etablissement sont recrutés sur des critères religieux essentiellement.
Les CPE sont recrutés sans concours ni formation .
Les CPE sont recrutés sans concours ni formation .
- misschiefNiveau 3
Merci pour le document sur les salaires, ca fait quand meme une sacrée différence... on dira que le salaire un peu plus élevé du public compense un peu les frais de déplacement pour rentrer dans son academie d'origine de temps en temps!... C'est vraiment le gros avantage du privé que de ne pas envoyer les profs aux 4 coins du pays. Sinon j'ai trouvé ce doc qui résume les differences privé/public, je sais pas ce qu'il vaut...http://www.ifrap.org/education-et-culture/quelle-difference-entre-les-enseignants-du-public-et-les-professeurs-du-prive
- doubledeckerSage
Vu du bout de ma lorgnette, le mieux c'est ce qui correspond le plus aux valeurs de chacun. Mais c'est vrai que ce type de réponse n'aide pas beaucoup
_________________
If you're not failing every now and again it's a sign you're not doing anything very innovative (Woody Allen)
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- Gilles B.Niveau 7
Info ou intox ?
Dans le privé, avoir eu le concours ne serait pas synonyme de recrutement.
Il faudrait en plus démarcher les établissement et quoique disposant du CAER, sans poste, pas de paie ?
Est-ce vrai ?
Dans le privé, avoir eu le concours ne serait pas synonyme de recrutement.
Il faudrait en plus démarcher les établissement et quoique disposant du CAER, sans poste, pas de paie ?
Est-ce vrai ?
- EU1Fidèle du forum
doubledecker a écrit:Vu du bout de ma lorgnette, le mieux c'est ce qui correspond le plus aux valeurs de chacun. Mais c'est vrai que ce type de réponse n'aide pas beaucoup
oui pour moi aussi là est la principale différence
- User14996Niveau 10
Le principal "avantage" du privé, c'est sa méthode d'affectation. Un breton comme moi aura bien plus de difficultés à enseigner en Bretagne dans le public que dans le privé sous contrat.
Comme dit plus haut, c'est aussi et surtout une question de valeurs.
Comme dit plus haut, c'est aussi et surtout une question de valeurs.
- Pat BÉrudit
Semi-intox.Gilles B. a écrit:Info ou intox ?
Dans le privé, avoir eu le concours ne serait pas synonyme de recrutement.
Il faudrait en plus démarcher les établissement et quoique disposant du CAER, sans poste, pas de paie ?
Est-ce vrai ?
- Dans le privé, avoir le concours te garantit un poste à mi-temps (en cas de "crise", si on ferme des classes et que tu es le dernier arrivé, tu perds des heures sans certitude de les retrouver ailleurs... même si tu es prioritaire tant qu'une solution acceptable n'est pas trouvée). Personnellement, j'ai démarré à 12h l'année suivant mon stage (dont 3h de physique, acceptée parce qu'il n'y avait pas assez de maths !), puis 16 l'année suivante, je n'ai été à plein-temps qu'au bout de 2 ans. Je souhaitais rester à une distance raisonnable de chez moi donc j'ai pris ce qu'il y avait (impératifs familiaux, je ne pouvais pas déménager). j'ai la chance d'être en maths, matière très déficitaire, donc je trouve assez facilement des postes là où je veux...
- Oui, il faut démarcher des chefs d'établissement, il faut entrer en contact avec ceux chez lesquels on postule, mais c'est encadré par des règles. Il me semble qu'il a simplement, le droit de choisir entre deux personnes de priorité équivalente, ou de refuser quelqu'un lorsqu'il s'agit d'un poste à profil spécifique (genre enseigner l'histoire-géo en langue anglaise). Quoiqu'il arrive, la commission académique de l'emploi doit vous trouver une affectation, au moins à mi-temps. Attention, certains directeurs cherchent à contourner ces règles et il vaut mieux se rapprocher d'un syndicat... Ou du rectorat : c'est lui qui nous affecte, in fine !
- C'est dans ce "au moins à mi-temps" que le bat blesse : si on ne vous trouve qu'un mi-temps, on ne vous paye qu'un mi-temps... (je ne crois pas qu'il y ait eu des profs se retrouvant sans poste... cela dit, avec la réforme, ça pourrait arriver...).
- De plus, selon les établissements, le public n'est pas obligatoirement plus facile (certains sont plutôt spécialisés dans les élèves en difficulté par ex), et les classes sont parfois chargées... Et la personnalité du directeur peut rendre l'ambiance intenable, ou au contraire vraiment top : il décide seul de pas mal de chose, ce n'est pas encadré par les mêmes règles que dans le public, certains prennent très au sérieux leur mission d'évangélisation des foules (on a pas des cours qui sautent pour cérémonies religieuses ou intervention de religieux), certains sont à fond "cours traditionnels - recherche de l'excellence" mais d'autres sont dans la démagogie et les projets vitrine,... et on n'a quasiment pas notre mot à dire : si ça ne nous plaît pas, on n'a qu'à muter (ce que je fais avec soulagement cette année, comme 20% de l'équipe!)... Et c'est une tendance qui s'accentue, tout comme la place donnée aux parents-clients rois, de plus en plus présents et exigeants avec les profs (beaucoup trop de rendez-vous, ça n'existait quasiment pas à mes débuts!).
Beaucoup de collègues ont été longtemps non-titulaires (ou le sont encore) et en gardent une habitude de soumission au directeur (parce que, non titulaire, ils ne sont pas repris s'ils ne disent pas "amen" à tout)
Bref, sans hésiter, sauf impératif "géographique" (ce qui était mon cas, et qui est vraiment à mon avis le seul avantage du privé, à moins d'avoir de forte convictions chrétiennes), enseigner dans le public me semble préférable, au moins au niveau du statut (garantie d'un temps plein) et probablement au niveau du fonctionnement.
Après, ce n'est que mon avis... et apparemment le public est en train de prendre tous les défauts du privé, donc c'est sans doute à nuancer !
- AlexlaféeNiveau 6
Gilles B. Non, pas exactement, une fois le CAER ou le CAFEP en poche tu es stagiaire, comme avec le CAPES. Une fois validé, tu es nommé sur un poste vacant . Toutefois le chef d'établissement fait son recrutement parmi les candidats au poste, au cours d'un ou plusieurs entretiens d'embauche. Tu peux également devancer cet entretien (ce qui est conseillé) pour intégrer un établissement que tu convoites et avoir l’initiative de la rencontre avec les chefs d’établissement.
Par ailleurs, la nomination des maîtres s'effectue selon le principe d'un classement par priorité (plusieurs critères sont pris en compte : perte d'heure, perte de poste, rapprochement familial...). Plusieurs commissions académiques de l'emploi ont lieu de mai à juillet afin d'établir ces priorités et de placer tous les maîtres au mouvement.
La nomination se fait de façon académique s'il y a des postes à pourvoir... (selon les matières, l'affectation est parfois lointaine).
Mais pour ton stage la nomination se fait dans ton académie oui .
Enfin, il n'y pas moins d'élèves par classe que dans le public, tout dépend des établissements ; il y a des établissements en ZEP, d'autres dans des quartiers très favorisés, comme dans le public.
Les responsables de vie scolaire (= CPE) ne passent pas de concours mais sont des cadres administratifs qui reçoivent une formation interne au privé de plusieurs mois assortie de plusieurs stages dans divers établissements.
Par ailleurs, la nomination des maîtres s'effectue selon le principe d'un classement par priorité (plusieurs critères sont pris en compte : perte d'heure, perte de poste, rapprochement familial...). Plusieurs commissions académiques de l'emploi ont lieu de mai à juillet afin d'établir ces priorités et de placer tous les maîtres au mouvement.
La nomination se fait de façon académique s'il y a des postes à pourvoir... (selon les matières, l'affectation est parfois lointaine).
Mais pour ton stage la nomination se fait dans ton académie oui .
Enfin, il n'y pas moins d'élèves par classe que dans le public, tout dépend des établissements ; il y a des établissements en ZEP, d'autres dans des quartiers très favorisés, comme dans le public.
Les responsables de vie scolaire (= CPE) ne passent pas de concours mais sont des cadres administratifs qui reçoivent une formation interne au privé de plusieurs mois assortie de plusieurs stages dans divers établissements.
- FiatLuxFidèle du forum
C'est une question vraiment difficile. Je suis enseignante dans le privé et mon mari l'est dans le public. Je peux donc voir certaines différences qui correspondent à de gros clichés, je dois l'avouer :
- Il est mieux payé que moi
- Il fait moins d'heures de bénévolat que moi
Mais ...
- J'ai des élèves bien plus calmes
- Je travaille où je veux
On pourrait s'étendre des lignes et des lignes sur ce sujet, aussi je résume de façon assez grossière ce que je constate cette année. Evidemment, il y a des nuances à apporter et il faut éviter des généralités douteuses (certains privés ont un public très difficile, certains publics sont très agréables, on ne choisit pas vraiment l'établissement qu'on veut dans le privé, etc).
Actuellement, je suis dans un collège formidable avec des conditions d'enseignement idéales. Alors certes je suis moins bien payée (100 euros de moins) que mes amis du public qui ont fait les mêmes études que moi et qui ont passé le concours avec moi, mais quand je vois les conditions de travail auxquelles j'ai droit, je ne regrette absolument pas.
- Il est mieux payé que moi
- Il fait moins d'heures de bénévolat que moi
Mais ...
- J'ai des élèves bien plus calmes
- Je travaille où je veux
On pourrait s'étendre des lignes et des lignes sur ce sujet, aussi je résume de façon assez grossière ce que je constate cette année. Evidemment, il y a des nuances à apporter et il faut éviter des généralités douteuses (certains privés ont un public très difficile, certains publics sont très agréables, on ne choisit pas vraiment l'établissement qu'on veut dans le privé, etc).
Actuellement, je suis dans un collège formidable avec des conditions d'enseignement idéales. Alors certes je suis moins bien payée (100 euros de moins) que mes amis du public qui ont fait les mêmes études que moi et qui ont passé le concours avec moi, mais quand je vois les conditions de travail auxquelles j'ai droit, je ne regrette absolument pas.
- CasparProphète
FiatLux a écrit:C'est une question vraiment difficile. Je suis enseignante dans le privé et mon mari l'est dans le public. Je peux donc voir certaines différences qui correspondent à de gros clichés, je dois l'avouer :
- Il est mieux payé que moi
- Il fait moins d'heures de bénévolat que moi
Mais ...
- J'ai des élèves bien plus calmes
- Je travaille où je veux
On pourrait s'étendre des lignes et des lignes sur ce sujet, aussi je résume de façon assez grossière ce que je constate cette année. Evidemment, il y a des nuances à apporter et il faut éviter des généralités douteuses (certains privés ont un public très difficile, certains publics sont très agréables, on ne choisit pas vraiment l'établissement qu'on veut dans le privé, etc).
Actuellement, je suis dans un collège formidable avec des conditions d'enseignement idéales. Alors certes je suis moins bien payée (100 euros de moins) que mes amis du public qui ont fait les mêmes études que moi et qui ont passé le concours avec moi, mais quand je vois les conditions de travail auxquelles j'ai droit, je ne regrette absolument pas.
Tu as bien résumé la situation. Il faut en tout cas bien réfléchir car les passerelles entre privé et public ne sont pas légion à ma connaissance.
- scot69Modérateur
FiatLux a écrit:C'est une question vraiment difficile. Je suis enseignante dans le privé et mon mari l'est dans le public. Je peux donc voir certaines différences qui correspondent à de gros clichés, je dois l'avouer :
- Il est mieux payé que moi
- Il fait moins d'heures de bénévolat que moi
Mais ...
- J'ai des élèves bien plus calmes
- Je travaille où je veux
On pourrait s'étendre des lignes et des lignes sur ce sujet, aussi je résume de façon assez grossière ce que je constate cette année. Evidemment, il y a des nuances à apporter et il faut éviter des généralités douteuses (certains privés ont un public très difficile, certains publics sont très agréables, on ne choisit pas vraiment l'établissement qu'on veut dans le privé, etc).
Actuellement, je suis dans un collège formidable avec des conditions d'enseignement idéales. Alors certes je suis moins bien payée (100 euros de moins) que mes amis du public qui ont fait les mêmes études que moi et qui ont passé le concours avec moi, mais quand je vois les conditions de travail auxquelles j'ai droit, je ne regrette absolument pas.
Idem, mon chéri est dans le public.
Et quand on raconte nos journées (car 95% du temps, nous parlons boulot), il me dit souvent "non mais dans le public, tu ne verrais jamais ça!!!"
Un truc que je remarque dans le privé, c'est cette course perpétuelle aux heures sup!
- CasparProphète
scot69 a écrit:FiatLux a écrit:C'est une question vraiment difficile. Je suis enseignante dans le privé et mon mari l'est dans le public. Je peux donc voir certaines différences qui correspondent à de gros clichés, je dois l'avouer :
- Il est mieux payé que moi
- Il fait moins d'heures de bénévolat que moi
Mais ...
- J'ai des élèves bien plus calmes
- Je travaille où je veux
On pourrait s'étendre des lignes et des lignes sur ce sujet, aussi je résume de façon assez grossière ce que je constate cette année. Evidemment, il y a des nuances à apporter et il faut éviter des généralités douteuses (certains privés ont un public très difficile, certains publics sont très agréables, on ne choisit pas vraiment l'établissement qu'on veut dans le privé, etc).
Actuellement, je suis dans un collège formidable avec des conditions d'enseignement idéales. Alors certes je suis moins bien payée (100 euros de moins) que mes amis du public qui ont fait les mêmes études que moi et qui ont passé le concours avec moi, mais quand je vois les conditions de travail auxquelles j'ai droit, je ne regrette absolument pas.
Idem, mon chéri est dans le public.
Et quand on raconte nos journées (car 95% du temps, nous parlons boulot), il me dit souvent "non mais dans le public, tu ne verrais jamais ça!!!"
Un truc que je remarque dans le privé, c'est cette course perpétuelle aux heures sup!
Elle peut aussi exister dans le public je t'assure.
- Carrie7Niveau 9
La course perpétuelle aux heures supp, c'est aussi, en tous cas dans mon établissement (privé), parce qu'on a des conditions d'enseignement plus favorables, un public plus calme et une direction cohérente, et qu'il nous reste donc plus d'énergie pour faire des heures supp, si on en a besoin...
- kioupsPBTHabitué du forum
Hé hé, je vois qu'il y a pas mal de couples privé-public !
Pour la "course aux heures sup", chez ma femme (privé), le chef envoie chaque vendredi soir les créneaux libérés prévus et propose des noms de collègues dispo pour prendre la classe. Et pour une absence imprévue, les collègues sont souvent réquisitionnés sur les heures libres pour surveiller une classe (bénévolement s'ils surveillent, payés s'ils font cours).
Chez moi (public), le secrétariat essaie de tenir à jour un tableau avec les profs absents (prévus). Cela arrive régulièrement qu'il y ait des erreurs (quelques soucis de communication entre secrétariat, vie sco et chefs...). Et très rares sont les volontaires pour prendre en charge les classes...
Pour la "course aux heures sup", chez ma femme (privé), le chef envoie chaque vendredi soir les créneaux libérés prévus et propose des noms de collègues dispo pour prendre la classe. Et pour une absence imprévue, les collègues sont souvent réquisitionnés sur les heures libres pour surveiller une classe (bénévolement s'ils surveillent, payés s'ils font cours).
Chez moi (public), le secrétariat essaie de tenir à jour un tableau avec les profs absents (prévus). Cela arrive régulièrement qu'il y ait des erreurs (quelques soucis de communication entre secrétariat, vie sco et chefs...). Et très rares sont les volontaires pour prendre en charge les classes...
_________________
- Spoiler:
- 2004-2005 : stagiaire en lycée (seconde)
2005-2006 : stagiaire (again !) en collège (4ème)
2006-2008 : TZR en collège à l'année (5-4-3 PP 5ème puis 6-5)
2008-2011 : collège 1 (6-5-3, PP 6ème puis 5ème)
2011-2012 : collèges 2 et 3 (6-4, PP 6ème)
2012-2017 : collège 2 (un peu de tout, PP 6ème)
2017 : agreg interne
2017-2018 : lycée 1 (1S, 1STI2D, seconde)
2018-2019 : lycée 1 (1S, TS, TSTI2D, PP 1S et TS)
- alanneFidèle du forum
Mais dans le public c est l'interne que tu as donc théoriquement tu restes dans ton academie.
_________________
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- scot69Modérateur
Une autre différence que je constate(après, ça dépend peut être du bahut): chez nous, dans le privé, on craint énormément l'équipe de direction, (dont font partie le CPE et le CDT) alors que dans le public (de ce que me dit mon mec), c'est plutôt eux qui ont peur des profs.
- kioupsPBTHabitué du forum
Ca dépend des établissements, des personnes mais oui, c'est probablement le cas de manière générale !
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- Spoiler:
- 2004-2005 : stagiaire en lycée (seconde)
2005-2006 : stagiaire (again !) en collège (4ème)
2006-2008 : TZR en collège à l'année (5-4-3 PP 5ème puis 6-5)
2008-2011 : collège 1 (6-5-3, PP 6ème puis 5ème)
2011-2012 : collèges 2 et 3 (6-4, PP 6ème)
2012-2017 : collège 2 (un peu de tout, PP 6ème)
2017 : agreg interne
2017-2018 : lycée 1 (1S, 1STI2D, seconde)
2018-2019 : lycée 1 (1S, TS, TSTI2D, PP 1S et TS)
- alanneFidèle du forum
oui c est ce que j ai remarqué également.
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