Autorisation d'absence oral du bac pour fête religieuse

Whypee a écrit:Quand je pense que ma grande sœur a dû faire cours le matin avant son mariage...

Oui, mais ça, c'est à moitié normal. J'ai appris à l'I.U.F.M., pourtant très avare de renseignements sur nos droits, que l'on avait droit à trois jours.




Sinon, je ne vois pas l'intérêt de se marier...

tit871 a écrit:

Estelle69 a écrit:

mandane a écrit:Chers tous,

je viens de recevoir ma convocation pour le bac. Je suis censée interroger à l'oral de français un jour de fête religieuse (fête de fin de ramadan, pour être précise). J'avoue que je comptais ce jour-là aller chez ma famille, qui habite assez loin de chez moi. J'ai vu que cette fête peut donner lieu à une autorisation d'absence facultative. Qu'est-ce que cela veut dire exactement? Est-ce que cela signifie que c'est au rectorat (ou au chef?) d'accepter ou non? Comment puis-je faire ma demande?
Je sais qu'un tel sujet est potentiellement sujet à polémique, aussi vous serais-je reconnaissante de discuter de cela dans les espaces dédiés à la question de la laïcité et de l'islam, merci .

T'imagine si un élève refuse de venir au bac sous prétexte de fête religieuse ?  Que dirais tu ?  L'école est une institution, il faut de la tolérance mais la question religieuse n'est pas acceptable pour s'absenter.

tu ne vois pas la différence entre passer un examen/concours et faire passer un examen???

Quand on commence à faire des différences avec le fait religieux, la laïcité est en danger.

Gné ?
Par une circulaire de 1967...., l'Etat Français liste ceci...

C'est ça la laïcité, traiter toutes les religions de la même façon...
http://www.education.gouv.fr/botexte/bo011101/MENA0102322C.htm

Pour rappel :
http://www.education.gouv.fr/botexte/bo020829/MENA0201858C.htm

Pour Versailles (de 2015 svp...)

http://www.ac-versailles.fr/public/upload/docs/application/pdf/2015-12/autorisations_absence.pdf

frimoussette77 a écrit:

Whypee a écrit:

Madame_Prof a écrit:

Whypee a écrit:Quand je pense que ma grande sœur a dû faire cours le matin avant son mariage...

Pardon ?!

Elle est bien gentille.

Elle voulait pas perdre une journée de salaire ?

Oui mais non, elle a reçu un refus de dernière minute de la part de l'inspecteur d'Académie !

Nous pouvons aussi choisir de nous marier pendant nos vacances pour ne pas avoir à travailler le jour de notre mariage.

Nous pouvons aussi nous marier avec des gens qui ne sont pas profs et qui n'ont pas les mêmes vacances que nous.. ou avoir des raisons spécifiques (date importante; famille qui vient de loin et qui n'est pas prof non plus, etc... Il faut arrêter de tendre le baton pour se faire battre).

La collègue Mandane fait de la provocation, elle me fait penser à ces élèves en mal d'identité, pour qui la religion est le premier refuge quand ils sont remis en cause. Si tu dois t'absenter, il n'y pas de soucis à cela, en revanche l'excuse religieuse est parfaitement déplacée.
Quand je remplis une autorisation d'absence exceptionnelle, je note "raison personnelle", pourquoi ressentir le besoin de mettre en avant une fête religieuse pour s'absenter ?

CallmeLucifer a écrit:

frimoussette77 a écrit:

Whypee a écrit:

Madame_Prof a écrit:

Pardon ?!

Elle est bien gentille.

Elle voulait pas perdre une journée de salaire ?

Oui mais non, elle a reçu un refus de dernière minute de la part de l'inspecteur d'Académie !

Nous pouvons aussi choisir de nous marier pendant nos vacances pour ne pas avoir à travailler le jour de notre mariage.

Nous pouvons aussi nous marier avec des gens qui ne sont pas profs et qui n'ont pas les mêmes vacances que nous.. ou avoir des raisons spécifiques (date importante; famille qui vient de loin et qui n'est pas prof non plus, etc... Il faut arrêter de tendre le baton pour se faire battre).

Nous avons choisi de nous marier, avec mon mari, un 21 mars parce que cette date avait une signification particulière pour nous. Cependant, je savais très bien que ce n'était pas durant les vacances scolaires et je n'ai pas eu de jours de repos. J'ai travaillé la veille du mariage et le lundi suivant. Cela ne me semble pas anormal.

« Faut pas croire: en comptant tous les dieux, demi-dieux, quarts de dieux, etc.. il y a déjà eu 62 millions de dieux depuis les débuts de l’humanité. Alors, les mecs qui pensent que le leur est le seul bon. Ça craint un max! »

« Dieu, c’est comme le sucre dans le lait chaud. Il est partout et on ne le voit pas. Et plus on le cherche, moins on le trouve. »


COLUCHE

Estelle69 a écrit:La collègue Mandane fait de la provocation, elle me fait penser à ces élèves en mal d'identité, pour qui la religion est le premier refuge quand ils sont remis en cause. Si tu dois t'absenter, il n'y pas de soucis à cela, en revanche l'excuse religieuse est parfaitement déplacée.
Quand je remplis une autorisation d'absence exceptionnelle, je note "raison personnelle", pourquoi ressentir le besoin de mettre en avant une fête religieuse pour s'absenter ?

Parce que c'est une raison légitime d'absence, tout simplement, et que cela doit être accordé, sauf raison impérative de service! Sauf à être un intégriste complétement nœud nœud, on ira passer ses épreuves de bac, comme élève, même si c'est l'aïd parce qu'effectivement, c'est une fois dans la vie, dieu comprendra! En revanche, comme enseignant, potentiellement convoqué tous les ans pendant toute sa carrière, obtenir une autorisation d'absence à 3 ou 4 reprises dans la dite carrière parce que ça tombe le jour d'une fête que - pour des raisons familiales, sentimentales ou religieuses - on trouve importante, je ne vois pas bien le souci?!

CallmeLucifer a écrit:Nous pouvons aussi nous marier avec des gens qui ne sont pas profs

:shock: C'est autorisé ?! Mais comment on fabrique des petits profs alors ?

Shere Khan a écrit:

Whypee a écrit:Quand je pense que ma grande sœur a dû faire cours le matin avant son mariage...

Oui, mais ça, c'est à moitié normal. J'ai appris à l'I.U.F.M., pourtant très avare de renseignements sur nos droits, que l'on avait droit à trois jours.

En fait une pure légende urbaine.

Je crois que c'est le perdir qui peut accorder cela contre rattrapage des cours.

Tamerlan a écrit:

Shere Khan a écrit:

Whypee a écrit:Quand je pense que ma grande sœur a dû faire cours le matin avant son mariage...

Oui, mais ça, c'est à moitié normal. J'ai appris à l'I.U.F.M., pourtant très avare de renseignements sur nos droits, que l'on avait droit à trois jours.

En fait une pure légende urbaine.

Vu le troisième document posté ci-dessus par JEMS, non ! (Cinq jours d'autorisation d'absence, dont trois avec traitement, valable pour le mariage comme pour le pacs)

snitch a écrit:

Tamerlan a écrit:

Shere Khan a écrit:

Whypee a écrit:Quand je pense que ma grande sœur a dû faire cours le matin avant son mariage...

Oui, mais ça, c'est à moitié normal. J'ai appris à l'I.U.F.M., pourtant très avare de renseignements sur nos droits, que l'on avait droit à trois jours.

En fait une pure légende urbaine.

Vu le troisième document posté ci-dessus par JEMS, non ! (Cinq jours d'autorisation d'absence, dont trois avec traitement, valable pour le mariage comme pour le pacs)

Je pensais que Shere Khan parlait des fameux 3 jours de convenance personnelle.

Nous n'avons pas tous la même lecture :

Le BO a écrit:Les autorisations d'absence facultatives

Fêtes religieuses : Selon leur confession, les agents peuvent obtenir des autorisations d'absence, dans la mesure où leur absence demeure compatible 1967 avec le fonctionnement normal du service

Circulaire FP n°901 du 23 septembre Le calendrier des principales fêtes est précisé chaque année par circulaire du ministère de la fonction publique.

J'ai souligné ce qui pose problème à Mandane. Elle demande une autorisation d'absence alors qu'elle est examinatrice. Il n'est donc pas possible de rattraper par des cours.

Thalia de G a écrit:Nous n'avons pas tous la même lecture :

Le BO a écrit:Les autorisations d'absence facultatives

Fêtes religieuses : Selon leur confession, les agents peuvent obtenir des autorisations d'absence, dans la mesure où leur absence demeure compatible 1967 avec le fonctionnement normal du service

Circulaire FP n°901 du 23 septembre Le calendrier des principales fêtes est précisé chaque année par circulaire du ministère de la fonction publique.

J'ai souligné ce qui pose problème à Mandane. Elle demande une autorisation d'absence alors qu'elle est examinatrice. Il n'est donc pas possible de rattraper par des cours.

C'est pourquoi il s'agirait plutôt pour la collègue de demander à la rigueur une annulation de la convocation comme membre de jury qu'une autorisation d'absence. Avec, évidemment, peu de chance que ça aboutisse.

ee a écrit:

Estelle69 a écrit:La collègue Mandane fait de la provocation, elle me fait penser à ces élèves en mal d'identité, pour qui la religion est le premier refuge quand ils sont remis en cause. Si tu dois t'absenter, il n'y pas de soucis à cela, en revanche l'excuse religieuse est parfaitement déplacée.
Quand je remplis une autorisation d'absence exceptionnelle, je note "raison personnelle", pourquoi ressentir le besoin de mettre en avant une fête religieuse pour s'absenter ?

Parce que c'est une raison légitime d'absence, tout simplement, et que cela doit être accordé, sauf raison impérative de service! Sauf à être un intégriste complétement nœud nœud, on ira passer ses épreuves de bac, comme élève, même si c'est l'aïd parce qu'effectivement, c'est une fois dans la vie, dieu comprendra! En revanche, comme enseignant, potentiellement convoqué tous les ans pendant toute sa carrière, obtenir une autorisation d'absence à 3 ou 4 reprises dans la dite carrière parce que ça tombe le jour d'une fête que - pour des raisons familiales, sentimentales ou religieuses - on trouve importante, je ne vois pas bien le souci?!

Je crois que justement tout le problème est là, comment définit-on "raison impérative de service" ? Est ce qu'un examen rentre dans cette catégorie ou non ?

sookie a écrit:Je crois que justement tout le problème est là, comment définit-on "raison impérative de service" ? Est ce qu'un examen rentre dans cette catégorie ou non ?

Une fois qu'on est jury, je ne vois pas bien comment on pourrait satisfaire au minimum exigé par le service si on ne fait pas passer les candidats... Je suis d'accord avec la lecture de Thalia. Pour moi l'alternative n'est pas entre jury présent et jury autorisé à être absent, mais entre jury et non jury. D'où à la rigueur une demande d'annulation de nomination de jury, ce qui n'est pas la même chose qu'une demande d'autorisation d'absence.

snitch a écrit:

Tamerlan a écrit:

Shere Khan a écrit:

Whypee a écrit:Quand je pense que ma grande sœur a dû faire cours le matin avant son mariage...

Oui, mais ça, c'est à moitié normal. J'ai appris à l'I.U.F.M., pourtant très avare de renseignements sur nos droits, que l'on avait droit à trois jours.

En fait une pure légende urbaine.

Vu le troisième document posté ci-dessus par JEMS, non ! (Cinq jours d'autorisation d'absence, dont trois avec traitement, valable pour le mariage comme pour le pacs)

Hélas ce sont des autorisations facultatives, y compris pour les fêtes religieuses en dessous... donc soumises à autorisation du CDE. J'ai vu passer plusieurs CDE dans mon établissement, chacun agissant de manière différente, de l'autorisation accordée, à celle accordée avec rattrapage, jusqu'au refus ayant entraîné un changement de date de mariage...

Maellerp a écrit:

snitch a écrit:

Tamerlan a écrit:

Shere Khan a écrit:
Oui, mais ça, c'est à moitié normal. J'ai appris à l'I.U.F.M., pourtant très avare de renseignements sur nos droits, que l'on avait droit à trois jours.

En fait une pure légende urbaine.

Vu le troisième document posté ci-dessus par JEMS, non ! (Cinq jours d'autorisation d'absence, dont trois avec traitement, valable pour le mariage comme pour le pacs)

Hélas ce sont des autorisations facultatives, y compris pour les fêtes religieuses en dessous... donc soumises à autorisation du CDE. J'ai vu passer plusieurs CDE dans mon établissement, chacun agissant de manière différente, de l'autorisation accordée,  à celle accordée avec rattrapage, jusqu'au refus ayant entraîné un changement de date de mariage...

je dirais plutôt "heureusement".

Les personnels qui s'occupent de cette gestion peuvent aussi être compréhensifs...
Quand il a fallu aller inscrire Enfant 1 dans l'enseignement supérieur, le jour et la tranche horaire étaient imposés, or j'étais convoquée ce jour là. J'ai appelé et demandé poliment à être déchargée de la demi journée, j'ai été libérée de la journée complète.
Personne n'est indispensable.

snitch a écrit:

Thalia de G a écrit:Nous n'avons pas tous la même lecture :

Le BO a écrit:Les autorisations d'absence facultatives

Fêtes religieuses : Selon leur confession, les agents peuvent obtenir des autorisations d'absence, dans la mesure où leur absence demeure compatible 1967 avec le fonctionnement normal du service

Circulaire FP n°901 du 23 septembre Le calendrier des principales fêtes est précisé chaque année par circulaire du ministère de la fonction publique.

J'ai souligné ce qui pose problème à Mandane. Elle demande une autorisation d'absence alors qu'elle est examinatrice. Il n'est donc pas possible de rattraper par des cours.

C'est pourquoi il s'agirait plutôt pour la collègue de demander à la rigueur une annulation de la convocation comme membre de jury qu'une autorisation d'absence. Avec, évidemment, peu de chance que ça aboutisse.

Et heureusement.

snitch a écrit:

CallmeLucifer a écrit:Nous pouvons aussi nous marier avec des gens qui ne sont pas profs

:shock: C'est autorisé ?! Mais comment on fabrique des petits profs alors ?

:lol: :lol:

Heureusement, j'ai envie de dire. Sinon


Pour revenir au sujet de ce fil, j'espère tout de même que l'on ne compare pas un mariage, qui a lieu une fois ou deux, voire trois, dans sa vie, en termes d'importance, à une fête religieuse qui a lieu chaque année et pour laquelle la présence d'une personne précise n'est pas indispensable ?!

mandane a écrit:Chers tous,

je viens de recevoir ma convocation pour le bac. Je suis censée interroger à l'oral de français un jour de fête religieuse (fête de fin de ramadan, pour être précise). J'avoue que je comptais ce jour-là aller chez ma famille, qui habite assez loin de chez moi. J'ai vu que cette fête peut donner lieu à une autorisation d'absence facultative. Qu'est-ce que cela veut dire exactement? Est-ce que cela signifie que c'est au rectorat (ou au chef?) d'accepter ou non? Comment puis-je faire ma demande?
Je sais qu'un tel sujet est potentiellement sujet à polémique, aussi vous serais-je reconnaissante de discuter de cela dans les espaces dédiés à la question de la laïcité et de l'islam, merci .

Ce type d'autorisation d'absence n'est pas de droit pour un enseignant et elle ne concerne pas les jurys d'examens nationaux mais les cours et missions ordinaires.

Chocolat a écrit:

snitch a écrit:

CallmeLucifer a écrit:Nous pouvons aussi nous marier avec des gens qui ne sont pas profs

:shock: C'est autorisé ?! Mais comment on fabrique des petits profs alors ?

:lol: :lol:

Heureusement, j'ai envie de dire. Sinon


Pour revenir au sujet de ce fil, j'espère tout de même que l'on ne compare pas un mariage, qui a lieu une fois ou deux, voire trois, dans sa vie, en termes d'importance, à une fête religieuse qui a lieu chaque année et pour laquelle la présence d'une personne précise n'est pas indispensable ?!

Si l'autorisation était de droit, j'imagine sans aucun problème plusieurs mariages par an et la pratique de cultes nombreux. Récemment, par exemple, des condisciples ont fêté le solstice, je suis persuadée de leur avoir manqué et je sens, je profite de l'occasion pour vous le partager, un vide spirituel abyssal suite à ma défection. Je pense que je vais devoir faire pénitence et me faire flageller, ce qui va encore occasionner des absences. :lol: :lol: .
    
Plus sérieusement, je crois qu'il serait bon que les enseignants et futurs enseignants lisent et relisent les textes avant de commencer à exercer comme titulaire dans un établissement public ou dans un établissement privé en contrat avec l'Etat. ^
  
Si je suis depuis toujours et plus que jamais favorable à une vigilance collective sur le strict respect de nos droits, j'aimerais aussi souligner que ces droits ne vont bien entendu pas sans obligations. On ne peut pas vouloir, faute d'un meilleur système, être fonctionnaire mais ne pas risquer d'exercer à petaoushnok. On ne peut pas vouloir jouir du statut de titulaire sans être convoqué tous les ans comme Jury d'examen. Et comme cela a été souligné, les supérieurs hiérarchiques que sont le CDE et l'IPR sont là pour évaluer les possibilités au cas par cas. C'est leur rôle et ils l'exercent bien, en fonction de situations données ou de "besoins de services". Car on peut difficilement vouloir enseigner, de bonne foi, justement, en France, en ne se souciant guère de faire perdurer les examens nationaux, dont le baccalauréat fait partie, et donc en étant consciencieux quant à leur organisation. Et cette organisation suppose la disponibilité des agents.    

Dans le cas de notre collègue, qui a posté jeudi, n'a pas eu le temps de prendre de mesure Jeudi ni Vendredi et n'a plus posté depuis, phénomène qui me semble plutôt fréquent sur le forum ces jours-ci, il s'agit d'une urgence, mais d'une urgence aléatoire puisque les dates ne sont pas fixées. Pourquoi dès lors, ne pas prévoir en amont et proposer ses services pour d'autres missions en négociant une absence bien avant l'arrivée de la convocation?  Il me semble que dans ce cas la demande serait moins susceptible de passer pour un caprice de revendication identitaire.

Estelle69 a écrit:La collègue Mandane fait de la provocation, elle me fait penser à ces élèves en mal d'identité, pour qui la religion est le premier refuge quand ils sont remis en cause. Si tu dois t'absenter, il n'y pas de soucis à cela, en revanche l'excuse religieuse est parfaitement déplacée.
Quand je remplis une autorisation d'absence exceptionnelle, je note "raison personnelle", pourquoi ressentir le besoin de mettre en avant une fête religieuse pour s'absenter ?

"Raison personnelle" ne passe pas dans mon établissement. Et pour cause : pour se voir accorder un congé, de droit ou facultatif, encore faut-il que le chef d'établissement en sache le motif...

Shere Khan a écrit:

Whypee a écrit:Quand je pense que ma grande sœur a dû faire cours le matin avant son mariage...

Oui, mais ça, c'est à moitié normal. J'ai appris à l'I.U.F.M., pourtant très avare de renseignements sur nos droits, que l'on avait droit à trois jours.




Sinon, je ne vois pas l'intérêt de se marier...

Nous n'avons pas droit à trois jours et ce depuis longtemps.........
Le CDE peut nous octroyer quelque chose à condition de prouver qu'on ne peut pas se marier pendant les vacances.