- AshtrakFidèle du forum
ben2510 a écrit:Pourtant c'est un exercice assez basique pour des TES.
Et ?
Bouboule a écrit:
Cela me fait penser au problème vécu suivant, à une époque où les emprunts étaient à un taux bien supérieur à ceux pratiqués actuellement. Je souhaitais utiliser mon PEL qui me permettait d'emprunter à 5,65%. Une conseillère financière d'une banque concurrente m'a proposé un emprunt classique à 5,55% pour faire "mieux".
Si je n'avais pas été capable de comprendre comment on obtenait ces fameux outils et l'expliquer, j'aurais probablement été pris pour un fou par la conseillère quand je lui ai dit que l'emprunt à 5,65% était plus intéressant (pour moi) que celui à 5,55% et qu'il fallait qu'elle baisse à 5,50%.
Même si effectivement, on peut s'en sortir en appliquant des outils en ligne sans rien comprendre à leur obtention, je préfère nettement savoir comment ils sont obtenus.
Je ne suis pas certain que ta compréhension du problème implique la compréhension de la théorie des suites.
Encore une fois, on dévie du post. Je veux bien continuer cette discussion avec vous par MP (ou sur un autre fil) mais pas ici.
Pardon aux autres pour cet aparté
- LaverdureEmpereur
Pas plus ni moins que celle de "profil scientifique" qui, parfois, se résume à une moyenne convenable en maths (dans certains des conseils de seconde auxquels j'assiste, c'est le seul critère pris en compte pour le passage en S). Un profil littéraire ou scientifique se voit, à mon avis, dans une différence significative entre les moyennes des pôles scientifiques (maths, PC, SVT et éventuellement un EE) et littéraire (français, HG, LV et éventuellement un EE) et dans les appréciations qui peuvent souligner un goût prononcé pour l'une ou l'autre de ces disciplines, des qualités de rédaction ou d'expression, la maîtrise de la démarche expérimentale, etc.Enaeco a écrit:Handsome Devil a écrit:Je reviens un jour après sur ce fil et je ne me sens pas beaucoup plus avancé :Handsome Devil a écrit:Quelqu'un pourrait éclairer ma lanterne sur les critères d'orientation vers cette filière et plus précisément sa définition de ce que constituerait un "profil littéraire" ? C'est une notion qui me parait très fumeuse. Correspond-elle pour vous à un simple goût pour certaines activités, un niveau de connaissances ou bien un mode de réflexion spécifique ?
Tu demandes ça a qui et dans quel contexte ?
Ce que je constate en conseil de classe, ceux qui "ont un profil littéraire", c'est ceux qui ont de mauvaises moyennes en sciences et qui ont des notes acceptables (ou en tout cas supérieures à celle du pôle scientifique) en français et/ou en langues (un seul des 2 est parfois suffisant pour déclarer le statut de "profil littéraire").
C'est effectivement une notion assez fumeuse à mes yeux.
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- Graisse-BoulonsNiveau 10
"Pas plus ni moins que celle de "profil scientifique" qui, parfois, se résume à une moyenne convenable en maths (dans certains des conseils de seconde auxquels j'assiste, c'est le seul critère pris en compte pour le passage en S). Un profil littéraire ou scientifique se voit, à mon avis, dans une différence significative entre les moyennes des pôles scientifiques (maths, PC, SVT et éventuellement un EE) et littéraire (français, HG, LV et éventuellement un EE) et dans les appréciations qui peuvent souligner un goût prononcé pour l'une ou l'autre de ces disciplines, des qualités de rédaction ou d'expression, la maîtrise de la démarche expérimentale, etc."
Partiellement d'accord : ce que j'ai constaté de mon coté nécessite de rentrer dans le détail des chiffres : Partons d'une classe fictive de 34 élèves de secondes et dont les moyennes de classe dans toutes les matières seraient de 10.
On assiste souvent à ce mode de pensée :
- Exemple 1 : 10 en français, 11 en LV1, 11 en HG 14 en math, 15 en physique : profil scientifique;
- Exemple 2 : 5 en math, 8 en physique, 11 en français et 10 en LV1, 10 ou 11 en HG suffisent à déterminer un profil "littéraire"...
- Exemple 3 : 8/9 dans toutes les matières (voir moins) = STI2D...plus de redoublements...
Partiellement d'accord : ce que j'ai constaté de mon coté nécessite de rentrer dans le détail des chiffres : Partons d'une classe fictive de 34 élèves de secondes et dont les moyennes de classe dans toutes les matières seraient de 10.
On assiste souvent à ce mode de pensée :
- Exemple 1 : 10 en français, 11 en LV1, 11 en HG 14 en math, 15 en physique : profil scientifique;
- Exemple 2 : 5 en math, 8 en physique, 11 en français et 10 en LV1, 10 ou 11 en HG suffisent à déterminer un profil "littéraire"...
- Exemple 3 : 8/9 dans toutes les matières (voir moins) = STI2D...plus de redoublements...
- IphigénieProphète
Ce sont souvent plutôt les notes très hautes en SVT, avec des 14/15 de moyennes de classe- (matière pionnière dans la bienveillance et les notes de travaux collectifs, si j'ai bien compris) qui déterminent chez nous le passage en S, même avec des notes médiocres en maths ou/et PC: d'où des S qui n'en sont pas, des L qui n'en sont pas, des ES qui n'en sont pas...Pas plus ni moins que celle de "profil scientifique" qui, parfois, se résume à une moyenne convenable en maths (dans certains des conseils de seconde auxquels j'assiste, c'est le seul critère pris en compte pour le passage en S).
Pire, S c'est pour les innombrables filles qui veulent être véto parce qu'elles aiment leur chat, L pour celles qui se sentent artistes en capilliculture et onglerie et ES pour les futurs juristes-enquêteurs selon la dernière série: j'entendais ce matin à la radio un reportage sur des jeunes qui dans je ne sais quel cadre ont fait une enquête auprès de personnes âgées et s'émerveillaient parce que ça leur avait permis de découvrir que des très vieux qui ont vécu pendant la dernière guerre mondiale leur avaient appris qu'ils pensaient quand même alors à être amoureux, voire à respirer...et je me disais: mais il leur faut une enquête pour savoir ça? Ben oui, l'approche du réel est de plus en plus absente des cerveaux des enfants.
- LaverdureEmpereur
C'est hélas souvent le cas parce qu'il paraît que les LSHS, c'est facile alors que pour aller en S faut être solide en sciences (et bien plus souvent en maths)... Cela dit, dans ton exemple 2, l'élève a plutôt un profil littéraire sans être un parfait littéraire et nos classes sont de toute façon hétérogènes : on n'a pas que des très bons passionnés.Graisse-Boulons a écrit:"Pas plus ni moins que celle de "profil scientifique" qui, parfois, se résume à une moyenne convenable en maths (dans certains des conseils de seconde auxquels j'assiste, c'est le seul critère pris en compte pour le passage en S). Un profil littéraire ou scientifique se voit, à mon avis, dans une différence significative entre les moyennes des pôles scientifiques (maths, PC, SVT et éventuellement un EE) et littéraire (français, HG, LV et éventuellement un EE) et dans les appréciations qui peuvent souligner un goût prononcé pour l'une ou l'autre de ces disciplines, des qualités de rédaction ou d'expression, la maîtrise de la démarche expérimentale, etc."
Partiellement d'accord : ce que j'ai constaté de mon coté nécessite de rentrer dans le détail des chiffres : Partons d'une classe fictive de 34 élèves de secondes et dont les moyennes de classe dans toutes les matières seraient de 10.
On assiste souvent à ce mode de pensée :
- Exemple 1 : 10 en français, 11 en LV1, 11 en HG 14 en math, 15 en physique : profil scientifique;
- Exemple 2 : 5 en math, 8 en physique, 11 en français et 10 en LV1, 10 ou 11 en HG suffisent à déterminer un profil "littéraire"...
- Exemple 3 : 8/9 dans toutes les matières (voir moins) = STI2D...plus de redoublements...
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- LaverdureEmpereur
En sciences sociales, l'enquête permet d'analyser ce qui passe pour une évidence et de la réfuter éventuellement. L'auteur de ce blog l'explique mieux que moi à partir du "prix Nobel" d'économie 2015 : http://econoclaste.org.free.fr/econoclaste/?p=12744#more-12744Iphigénie a écrit:Ce sont souvent plutôt les notes très hautes en SVT, avec des 14/15 de moyennes de classe- (matière pionnière dans la bienveillance et les notes de travaux collectifs, si j'ai bien compris) qui déterminent chez nous le passage en S, même avec des notes médiocres en maths ou/et PC: d'où des S qui n'en sont pas, des L qui n'en sont pas, des ES qui n'en sont pas...Pas plus ni moins que celle de "profil scientifique" qui, parfois, se résume à une moyenne convenable en maths (dans certains des conseils de seconde auxquels j'assiste, c'est le seul critère pris en compte pour le passage en S).
Pire, S c'est pour les innombrables filles qui veulent être véto parce qu'elles aiment leur chat, L pour celles qui se sentent artistes en capilliculture et onglerie et ES pour les futurs juristes-enquêteurs selon la dernière série: j'entendais ce matin à la radio un reportage sur des jeunes qui dans je ne sais quel cadre ont fait une enquête auprès de personnes âgées et s'émerveillaient parce que ça leur avait permis de découvrir que des très vieux qui ont vécu pendant la dernière guerre mondiale leur avaient appris qu'ils pensaient quand même alors à être amoureux, voire à respirer...et je me disais: mais il leur faut une enquête pour savoir ça? Ben oui, l'approche du réel est de plus en plus absente des cerveaux des enfants.
Pour ce qui est du passage en S : ce que tu écris explique peut-être pourquoi les maths jouent le rôle de variable discriminante. Encore que je n'avais pas l'impression que les notes en PC soient si élevées que ça (mais pour les SVT, je suis d'accord : un collègue m'expliquait que, vu le programme, les notes au trimestre 1 ne pouvaient qu'être élevées).
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- Graisse-BoulonsNiveau 10
Laverdure a écrit:C'est hélas souvent le cas parce qu'il paraît que les LSHS, c'est facile alors que pour aller en S faut être solide en sciences (et bien plus souvent en maths)... Cela dit, dans ton exemple 2, l'élève a plutôt un profil littéraire sans être un parfait littéraire et nos classes sont de toute façon hétérogènes : on n'a pas que des très bons passionnés.Graisse-Boulons a écrit:"Pas plus ni moins que celle de "profil scientifique" qui, parfois, se résume à une moyenne convenable en maths (dans certains des conseils de seconde auxquels j'assiste, c'est le seul critère pris en compte pour le passage en S). Un profil littéraire ou scientifique se voit, à mon avis, dans une différence significative entre les moyennes des pôles scientifiques (maths, PC, SVT et éventuellement un EE) et littéraire (français, HG, LV et éventuellement un EE) et dans les appréciations qui peuvent souligner un goût prononcé pour l'une ou l'autre de ces disciplines, des qualités de rédaction ou d'expression, la maîtrise de la démarche expérimentale, etc."
Partiellement d'accord : ce que j'ai constaté de mon coté nécessite de rentrer dans le détail des chiffres : Partons d'une classe fictive de 34 élèves de secondes et dont les moyennes de classe dans toutes les matières seraient de 10.
On assiste souvent à ce mode de pensée :
- Exemple 1 : 10 en français, 11 en LV1, 11 en HG 14 en math, 15 en physique : profil scientifique;
- Exemple 2 : 5 en math, 8 en physique, 11 en français et 10 en LV1, 10 ou 11 en HG suffisent à déterminer un profil "littéraire"...
- Exemple 3 : 8/9 dans toutes les matières (voir moins) = STI2D...plus de redoublements...
Oui, enfin, au risque de fâcher certains, dans mon exemple 2, on peut surtout dire qu'il n'a pas le profil scientifique...heureusement, il y en a d'autres qui vont avoir 15 ou 16 dans les matières littéraires et, force est de constater que ce sont, en général, des enfants issus de classes sociales "favorisées", baignant un minimum dans une certaine culture mais dont les parents poussent en général les gamins à faire quand même une S !!!! (médecins, ingénieurs ets...). J'ai bien écrit "en général"...parce qu'il y a aussi les enfants de profs de français, quand même !
- gauvain31Empereur
Iphigénie a écrit:Ce sont souvent plutôt les notes très hautes en SVT, avec des 14/15 de moyennes de classe- (matière pionnière dans la bienveillance et les notes de travaux collectifs, si j'ai bien compris) qui déterminent chez nous le passage en S, même avec des notes médiocres en maths ou/et PC: d'où des S qui n'en sont pas, des L qui n'en sont pas, des ES qui n'en sont pas...Pas plus ni moins que celle de "profil scientifique" qui, parfois, se résume à une moyenne convenable en maths (dans certains des conseils de seconde auxquels j'assiste, c'est le seul critère pris en compte pour le passage en S).
Pire, S c'est pour les innombrables filles qui veulent être véto parce qu'elles aiment leur chat, L pour celles qui se sentent artistes en capilliculture et onglerie et ES pour les futurs juristes-enquêteurs selon la dernière série: j'entendais ce matin à la radio un reportage sur des jeunes qui dans je ne sais quel cadre ont fait une enquête auprès de personnes âgées et s'émerveillaient parce que ça leur avait permis de découvrir que des très vieux qui ont vécu pendant la dernière guerre mondiale leur avaient appris qu'ils pensaient quand même alors à être amoureux, voire à respirer...et je me disais: mais il leur faut une enquête pour savoir ça? Ben oui, l'approche du réel est de plus en plus absente des cerveaux des enfants.
Ce n'est pas le cas de tous les lycées ou de tous les collègues de SVT . Franchement 14/15 de moyenne pour moi ce n'est pas honnête (avis personnel), à moins d'avoir une classe euro de très haut niveau et encore j'ai eu des euros; ça ne montait pas aussi haut (à 12 max avec moi). Après, on ne doit pas évaluer la même chose
- Graisse-BoulonsNiveau 10
"La terminale L est à revivifier, pour tout ce qu'elle pourrait apporter (et les maths ne me semblent pas prioritaire dans le lot)"
Pour moi, ce qui est à revivifier, ce n'est pas la L, désolé. C'est peut être par ignorance mais c'est ce que je pense. Ce qui est important, c'est l'enseignement général au sein des sections scientifiques et technologiques ! J'ai fait F3. J'avoue sans peine être une grosse tanche en français et en littérature. Je fais partie de ce petit nombre d'élèves de "F" qui à décollé en suite pour faire plus qu'un BTS. Ce n'est qu'en maîtrise que j'ai perdu mon sentiment d'infériorité vis à vis des "C", quand j'en ai laissé beaucoup derrière moi sur des enseignements devenus scientifiques et technologiques. Mon handicap en français par contre est toujours là et bien là. Après le bac, pour certains, c'est TERMINE, plus de cours...ils resteront donc comme ils sont. C'est là qu'il faut agir. Des ingénieurs qui font une faute par ligne comme moi ou qui sont incapables de prendre un coup de fil en anglais à la boite, ce n'est plus possible ! Des ingénieurs qui, en voyage d'affaire, passant devant des monuments sont pris en flagrant délit de découverte, c'est la honte !
Pour moi, ce qui est à revivifier, ce n'est pas la L, désolé. C'est peut être par ignorance mais c'est ce que je pense. Ce qui est important, c'est l'enseignement général au sein des sections scientifiques et technologiques ! J'ai fait F3. J'avoue sans peine être une grosse tanche en français et en littérature. Je fais partie de ce petit nombre d'élèves de "F" qui à décollé en suite pour faire plus qu'un BTS. Ce n'est qu'en maîtrise que j'ai perdu mon sentiment d'infériorité vis à vis des "C", quand j'en ai laissé beaucoup derrière moi sur des enseignements devenus scientifiques et technologiques. Mon handicap en français par contre est toujours là et bien là. Après le bac, pour certains, c'est TERMINE, plus de cours...ils resteront donc comme ils sont. C'est là qu'il faut agir. Des ingénieurs qui font une faute par ligne comme moi ou qui sont incapables de prendre un coup de fil en anglais à la boite, ce n'est plus possible ! Des ingénieurs qui, en voyage d'affaire, passant devant des monuments sont pris en flagrant délit de découverte, c'est la honte !
- IphigénieProphète
Je suis assez d'accord avec toi, si ce n'est que cette attention plus grande portée à l'enseignement de la langue et de la culture générale revivifierait de facto la filière L parce qu'on aurait à nouveau besoin de profs de lettres. Les lettres se meurent parce qu'on a complètement négligé la culture générale dans de nombreuses formations qui en manquent cruellement (je pense entre autres aux études de médecine, ou de droit, qui auraient bien besoin d'être renforcées du côté de l'approche philosophique et humaine ).Graisse-Boulons a écrit:"La terminale L est à revivifier, pour tout ce qu'elle pourrait apporter (et les maths ne me semblent pas prioritaire dans le lot)"
Pour moi, ce qui est à revivifier, ce n'est pas la L, désolé. C'est peut être par ignorance mais c'est ce que je pense. Ce qui est important, c'est l'enseignement général au sein des sections scientifiques et technologiques ! J'ai fait F3. J'avoue sans peine être une grosse tanche en français et en littérature. Je fais partie de ce petit nombre d'élèves de "F" qui à décollé en suite pour faire plus qu'un BTS. Ce n'est qu'en maîtrise que j'ai perdu mon sentiment d'infériorité vis à vis des "C", quand j'en ai laissé beaucoup derrière moi sur des enseignements devenus scientifiques et technologiques. Mon handicap en français par contre est toujours là et bien là. Après le bac, pour certains, c'est TERMINE, plus de cours...ils resteront donc comme ils sont. C'est là qu'il faut agir. Des ingénieurs qui font une faute par ligne comme moi ou qui sont incapables de prendre un coup de fil en anglais à la boite, ce n'est plus possible ! Des ingénieurs qui, en voyage d'affaire, passant devant des monuments sont pris en flagrant délit de découverte, c'est la honte !
- IphigénieProphète
Je veux bien le croire, mais je crains que dans ce domaine comme d'autres nous ne soyons une académie pilote en ce qui concerne les catastrophes scolaires...gauvain31 a écrit:Iphigénie a écrit:Ce sont souvent plutôt les notes très hautes en SVT, avec des 14/15 de moyennes de classe- (matière pionnière dans la bienveillance et les notes de travaux collectifs, si j'ai bien compris) qui déterminent chez nous le passage en S, même avec des notes médiocres en maths ou/et PC: d'où des S qui n'en sont pas, des L qui n'en sont pas, des ES qui n'en sont pas...Pas plus ni moins que celle de "profil scientifique" qui, parfois, se résume à une moyenne convenable en maths (dans certains des conseils de seconde auxquels j'assiste, c'est le seul critère pris en compte pour le passage en S).
Pire, S c'est pour les innombrables filles qui veulent être véto parce qu'elles aiment leur chat, L pour celles qui se sentent artistes en capilliculture et onglerie et ES pour les futurs juristes-enquêteurs selon la dernière série: j'entendais ce matin à la radio un reportage sur des jeunes qui dans je ne sais quel cadre ont fait une enquête auprès de personnes âgées et s'émerveillaient parce que ça leur avait permis de découvrir que des très vieux qui ont vécu pendant la dernière guerre mondiale leur avaient appris qu'ils pensaient quand même alors à être amoureux, voire à respirer...et je me disais: mais il leur faut une enquête pour savoir ça? Ben oui, l'approche du réel est de plus en plus absente des cerveaux des enfants.
Ce n'est pas le cas de tous les lycées ou de tous les collègues de SVT . Franchement 14/15 de moyenne pour moi ce n'est pas honnête (avis personnel), à moins d'avoir une classe euro de très haut niveau et encore j'ai eu des euros; ça ne montait pas aussi haut (à 12 max avec moi). Après, on ne doit pas évaluer la même chose
- HerrelisGrand sage
Hahahaha!!!! Pardon... ma mère est devenue médecin après un bac littéraire (dans les années 70, certes, mais quand même). Moi-même, j'ai passé mon Bac A1 en étant une ouiche en maths (aidée en ça par l'inimitée de ma prof à qui ma tête ne revenait littéralement pas!) mais avec comme option SVT, où je me suis très bien débrouillée, toute l'année et lors de l'examen (un beau et régulier 18). Mon autre option c'était le latin. Mais je n'avais pas envie de faire un bac scientifique, et on m'a jugée trop faible en maths (15 de moyenne en seconde) pour passer en C ou en D.wanax a écrit:Si on n'aime pas les sciences et que l'on veut à tout prix soigner, faut faire sorcier ou rebouteux.
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Han : "Comment on s'en sort?" Luke : "comme d'habitude." Han : "Si mal que ça?!!" Le Retour du Jedi
"Drowned in moonlight, strangled by her own bra." -Carrie Fisher- 1956-2016 - See you space momma.
"Drowned in moonlight, strangled by her own bra." -Carrie Fisher- 1956-2016 - See you space momma.
- Graisse-BoulonsNiveau 10
Je vois :
"Je veux bien le croire, mais je crains que dans ce domaine comme d'autres nous ne soyons une académie pilote en ce qui concerne les catastrophes scolaires...[/quote]"
...Alors je regarde les renseignements du profil et je constate que le lieu indiqué est "ici et ailleurs"...OK, rien à ajouter...
- OlympiasProphète
Vu de maintenant, ça fait rire sachant que j'ai en S des élèves qui ont 4 en maths en terminale (et qui avaient 9 en seconde et qui sont passés en 1ère S).Herrelis a écrit:Hahahaha!!!! Pardon... ma mère est devenue médecin après un bac littéraire (dans les années 70, certes, mais quand même). Moi-même, j'ai passé mon Bac A1 en étant une ouiche en maths (aidée en ça par l'inimitée de ma prof à qui ma tête ne revenait littéralement pas!) mais avec comme option SVT, où je me suis très bien débrouillée, toute l'année et lors de l'examen (un beau et régulier 18). Mon autre option c'était le latin. Mais je n'avais pas envie de faire un bac scientifique, et on m'a jugée trop faible en maths (15 de moyenne en seconde) pour passer en C ou en D.wanax a écrit:Si on n'aime pas les sciences et que l'on veut à tout prix soigner, faut faire sorcier ou rebouteux.
- JaneMonarque
Graisse-Boulons a écrit:"La terminale L est à revivifier, pour tout ce qu'elle pourrait apporter (et les maths ne me semblent pas prioritaire dans le lot)"
Pour moi, ce qui est à revivifier, ce n'est pas la L, désolé. C'est peut être par ignorance mais c'est ce que je pense. Ce qui est important, c'est l'enseignement général au sein des sections scientifiques et technologiques ! J'ai fait F3. J'avoue sans peine être une grosse tanche en français et en littérature. Je fais partie de ce petit nombre d'élèves de "F" qui à décollé en suite pour faire plus qu'un BTS. Ce n'est qu'en maîtrise que j'ai perdu mon sentiment d'infériorité vis à vis des "C", quand j'en ai laissé beaucoup derrière moi sur des enseignements devenus scientifiques et technologiques. Mon handicap en français par contre est toujours là et bien là. Après le bac, pour certains, c'est TERMINE, plus de cours...ils resteront donc comme ils sont. C'est là qu'il faut agir. Des ingénieurs qui font une faute par ligne comme moi ou qui sont incapables de prendre un coup de fil en anglais à la boite, ce n'est plus possible ! Des ingénieurs qui, en voyage d'affaire, passant devant des monuments sont pris en flagrant délit de découverte, c'est la honte !
L'un n'empêche pas l'autre
De toute façon,y a pas à tortiller du derrière: le français (je ne parle pas forcément de littérature) tout comme l'anglais doivent obligatoirement être maîtrisés quel que soit le cursus envisagé.
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- AshtrakFidèle du forum
Jane a écrit:Graisse-Boulons a écrit:"La terminale L est à revivifier, pour tout ce qu'elle pourrait apporter (et les maths ne me semblent pas prioritaire dans le lot)"
Pour moi, ce qui est à revivifier, ce n'est pas la L, désolé. C'est peut être par ignorance mais c'est ce que je pense. Ce qui est important, c'est l'enseignement général au sein des sections scientifiques et technologiques ! J'ai fait F3. J'avoue sans peine être une grosse tanche en français et en littérature. Je fais partie de ce petit nombre d'élèves de "F" qui à décollé en suite pour faire plus qu'un BTS. Ce n'est qu'en maîtrise que j'ai perdu mon sentiment d'infériorité vis à vis des "C", quand j'en ai laissé beaucoup derrière moi sur des enseignements devenus scientifiques et technologiques. Mon handicap en français par contre est toujours là et bien là. Après le bac, pour certains, c'est TERMINE, plus de cours...ils resteront donc comme ils sont. C'est là qu'il faut agir. Des ingénieurs qui font une faute par ligne comme moi ou qui sont incapables de prendre un coup de fil en anglais à la boite, ce n'est plus possible ! Des ingénieurs qui, en voyage d'affaire, passant devant des monuments sont pris en flagrant délit de découverte, c'est la honte !
L'un n'empêche pas l'autre
De toute façon,y a pas à tortiller du derrière: le français (je ne parle pas forcément de littérature) tout comme l'anglais doivent obligatoirement être maîtrisés quel que soit le cursus envisagé.
+10000
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Un âne dit toujours ce qu'il pense : hi-han !
- plotchHabitué du forum
Laverdure a écrit:C'est aussi ce qu'il me semble. L'objet du débat était la qualité des études de médecine suivies par un des exemples cités par Lene75 : Anne Fagot-Largeault. Pour Plotch, elle n'avait peut-être pas tout fait et n'avait qu'un CES. Pour ma part, au vu notamment de cette indication (MD) et du fait qu'elle avait exercé la médecine, je pensais qu'elle avait suivit un cursus complet.Marcel Khrouchtchev a écrit:Laverdure a écrit:d'après le site de l'UNESCO, elle a un PhD en 1971 et est MD en 1978.
Je ne comprends pas bien le débat: "MD" ne signifie-t-il pas qu'elle a l'équivalent de ce que nous appelons en France "doctorat" de médecine?
Donc toujours dans un soucis de rigueur je me suis documenté sur ce CES de psychiatrie sur le lien suivant http://www.regards-sociologiques.com/wp-content/uploads/2008/08/rs-29-la-normalisation-de-la-psychiatrie-francaise.pdf , et il en ressort que d'après une décision du 30/12/1968 :
L’inscription au CES de
psychiatrie est ouverte aux étudiants ayant
validé leur 6° année de médecine ou au
titulaire d’un doctorat français ou étranger
Anne Fagot-Largeault ayant déjà obtenu son doctorat de philosophie a pu donc rentrer en CES de psychiatrie sans faire les 6 premières années de médecine.
- JaneMonarque
plotch a écrit:Laverdure a écrit:C'est aussi ce qu'il me semble. L'objet du débat était la qualité des études de médecine suivies par un des exemples cités par Lene75 : Anne Fagot-Largeault. Pour Plotch, elle n'avait peut-être pas tout fait et n'avait qu'un CES. Pour ma part, au vu notamment de cette indication (MD) et du fait qu'elle avait exercé la médecine, je pensais qu'elle avait suivit un cursus complet.Marcel Khrouchtchev a écrit:Laverdure a écrit:d'après le site de l'UNESCO, elle a un PhD en 1971 et est MD en 1978.
Je ne comprends pas bien le débat: "MD" ne signifie-t-il pas qu'elle a l'équivalent de ce que nous appelons en France "doctorat" de médecine?
Donc toujours dans un soucis de rigueur je me suis documenté sur ce CES de psychiatrie sur le lien suivant http://www.regards-sociologiques.com/wp-content/uploads/2008/08/rs-29-la-normalisation-de-la-psychiatrie-francaise.pdf , et il en ressort que d'après une décision du 30/12/1968 :
L’inscription au CES de
psychiatrie est ouverte aux étudiants ayant
validé leur 6° année de médecine ou au
titulaire d’un doctorat français ou étranger
Anne Fagot-Largeault ayant déjà obtenu son doctorat de philosophie a pu donc rentrer en CES de psychiatrie sans faire les 6 premières années de médecine.
Bon, on s'en tape non ? Tant mieux pour elle et puis c'est tout...
On a bien compris, en lisant ce fil, que pour les scientifiques, bien souvent, la L c'est
Globalement, ne pourrait-on pas dire de même au sujet des élèves moyens / médiocres qui partent en S parce que la S, c'est vachement mieux que la L ? Et qui obtiennent leur bac parce qu'il suffit presque d'ouvrir un paquet de lessive pour en sortir son diplôme ?
Et, soyons fous, voyons plus loin: ne pourrait-on pas dire d'un grand nombre d'élèves qu'ils n'ont pas leur place au LGT, mais qu'ils y sont quand même parce que le système fait tout pour qu'ils y entrent ? La médiocrité des filières L n'est-elle pas liée tout simplement à cette baisse dramatique du niveau qui s'accompagne, très paradoxalement, d'une hausse des effectifs en lycée général ?
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- plotchHabitué du forum
Jane a écrit:plotch a écrit:Laverdure a écrit:C'est aussi ce qu'il me semble. L'objet du débat était la qualité des études de médecine suivies par un des exemples cités par Lene75 : Anne Fagot-Largeault. Pour Plotch, elle n'avait peut-être pas tout fait et n'avait qu'un CES. Pour ma part, au vu notamment de cette indication (MD) et du fait qu'elle avait exercé la médecine, je pensais qu'elle avait suivit un cursus complet.Marcel Khrouchtchev a écrit:
Je ne comprends pas bien le débat: "MD" ne signifie-t-il pas qu'elle a l'équivalent de ce que nous appelons en France "doctorat" de médecine?
Donc toujours dans un soucis de rigueur je me suis documenté sur ce CES de psychiatrie sur le lien suivant http://www.regards-sociologiques.com/wp-content/uploads/2008/08/rs-29-la-normalisation-de-la-psychiatrie-francaise.pdf , et il en ressort que d'après une décision du 30/12/1968 :
L’inscription au CES de
psychiatrie est ouverte aux étudiants ayant
validé leur 6° année de médecine ou au
titulaire d’un doctorat français ou étranger
Anne Fagot-Largeault ayant déjà obtenu son doctorat de philosophie a pu donc rentrer en CES de psychiatrie sans faire les 6 premières années de médecine.
Bon, on s'en tape non ? Tant mieux pour elle et puis c'est tout...
On a bien compris, en lisant ce fil, que pour les scientifiques, bien souvent, la L c'estde la merdedu caca parce qu'en dehors des sciences, point de salut, et malheureusement trop souvent aussi, pour les enseignants des matières non scientifiques, c'est le cas aussi.
Globalement, ne pourrait-on pas dire de même au sujet des élèves moyens / médiocres qui partent en S parce que la S, c'est vachement mieux que la L ? Et qui obtiennent leur bac parce qu'il suffit presque d'ouvrir un paquet de lessive pour en sortir son diplôme ?
Et, soyons fous, voyons plus loin: ne pourrait-on pas dire d'un grand nombre d'élèves qu'ils n'ont pas leur place au LGT, mais qu'ils y sont quand même parce que le système fait tout pour qu'ils y entrent ? La médiocrité des filières L n'est-elle pas liée tout simplement à cette baisse dramatique du niveau qui s'accompagne, très paradoxalement, d'une hausse des effectifs en lycée général ?
Je n'ai pas critiqué la L ou les matières littéraires mais la pertinence de certains exemples cités dans ce fil. Votre réponse est hors de propos, en ce qui me concerne en tout cas.
- JaneMonarque
plotch a écrit:Jane a écrit:plotch a écrit:Laverdure a écrit:
C'est aussi ce qu'il me semble. L'objet du débat était la qualité des études de médecine suivies par un des exemples cités par Lene75 : Anne Fagot-Largeault. Pour Plotch, elle n'avait peut-être pas tout fait et n'avait qu'un CES. Pour ma part, au vu notamment de cette indication (MD) et du fait qu'elle avait exercé la médecine, je pensais qu'elle avait suivit un cursus complet.
Donc toujours dans un soucis de rigueur je me suis documenté sur ce CES de psychiatrie sur le lien suivant http://www.regards-sociologiques.com/wp-content/uploads/2008/08/rs-29-la-normalisation-de-la-psychiatrie-francaise.pdf , et il en ressort que d'après une décision du 30/12/1968 :
L’inscription au CES de
psychiatrie est ouverte aux étudiants ayant
validé leur 6° année de médecine ou au
titulaire d’un doctorat français ou étranger
Anne Fagot-Largeault ayant déjà obtenu son doctorat de philosophie a pu donc rentrer en CES de psychiatrie sans faire les 6 premières années de médecine.
Bon, on s'en tape non ? Tant mieux pour elle et puis c'est tout...
On a bien compris, en lisant ce fil, que pour les scientifiques, bien souvent, la L c'estde la merdedu caca parce qu'en dehors des sciences, point de salut, et malheureusement trop souvent aussi, pour les enseignants des matières non scientifiques, c'est le cas aussi.
Globalement, ne pourrait-on pas dire de même au sujet des élèves moyens / médiocres qui partent en S parce que la S, c'est vachement mieux que la L ? Et qui obtiennent leur bac parce qu'il suffit presque d'ouvrir un paquet de lessive pour en sortir son diplôme ?
Et, soyons fous, voyons plus loin: ne pourrait-on pas dire d'un grand nombre d'élèves qu'ils n'ont pas leur place au LGT, mais qu'ils y sont quand même parce que le système fait tout pour qu'ils y entrent ? La médiocrité des filières L n'est-elle pas liée tout simplement à cette baisse dramatique du niveau qui s'accompagne, très paradoxalement, d'une hausse des effectifs en lycée général ?
Je n'ai pas critiqué la L ou les matières littéraires mais la pertinence de certains exemples cités dans ce fil. Votre réponse est hors de propos, en ce qui me concerne en tout cas.
Oh, que votre seigneurie me pardonne....
_________________
"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- plotchHabitué du forum
Jane a écrit:plotch a écrit:Jane a écrit:plotch a écrit:
Donc toujours dans un soucis de rigueur je me suis documenté sur ce CES de psychiatrie sur le lien suivant http://www.regards-sociologiques.com/wp-content/uploads/2008/08/rs-29-la-normalisation-de-la-psychiatrie-francaise.pdf , et il en ressort que d'après une décision du 30/12/1968 :
Anne Fagot-Largeault ayant déjà obtenu son doctorat de philosophie a pu donc rentrer en CES de psychiatrie sans faire les 6 premières années de médecine.
Bon, on s'en tape non ? Tant mieux pour elle et puis c'est tout...
On a bien compris, en lisant ce fil, que pour les scientifiques, bien souvent, la L c'estde la merdedu caca parce qu'en dehors des sciences, point de salut, et malheureusement trop souvent aussi, pour les enseignants des matières non scientifiques, c'est le cas aussi.
Globalement, ne pourrait-on pas dire de même au sujet des élèves moyens / médiocres qui partent en S parce que la S, c'est vachement mieux que la L ? Et qui obtiennent leur bac parce qu'il suffit presque d'ouvrir un paquet de lessive pour en sortir son diplôme ?
Et, soyons fous, voyons plus loin: ne pourrait-on pas dire d'un grand nombre d'élèves qu'ils n'ont pas leur place au LGT, mais qu'ils y sont quand même parce que le système fait tout pour qu'ils y entrent ? La médiocrité des filières L n'est-elle pas liée tout simplement à cette baisse dramatique du niveau qui s'accompagne, très paradoxalement, d'une hausse des effectifs en lycée général ?
Je n'ai pas critiqué la L ou les matières littéraires mais la pertinence de certains exemples cités dans ce fil. Votre réponse est hors de propos, en ce qui me concerne en tout cas.
Oh, que votre seigneurie me pardonne....
C'est bon je serai magnanime
- JaneMonarque
plotch a écrit:Jane a écrit:plotch a écrit:Jane a écrit:
Bon, on s'en tape non ? Tant mieux pour elle et puis c'est tout...
On a bien compris, en lisant ce fil, que pour les scientifiques, bien souvent, la L c'estde la merdedu caca parce qu'en dehors des sciences, point de salut, et malheureusement trop souvent aussi, pour les enseignants des matières non scientifiques, c'est le cas aussi.
Globalement, ne pourrait-on pas dire de même au sujet des élèves moyens / médiocres qui partent en S parce que la S, c'est vachement mieux que la L ? Et qui obtiennent leur bac parce qu'il suffit presque d'ouvrir un paquet de lessive pour en sortir son diplôme ?
Et, soyons fous, voyons plus loin: ne pourrait-on pas dire d'un grand nombre d'élèves qu'ils n'ont pas leur place au LGT, mais qu'ils y sont quand même parce que le système fait tout pour qu'ils y entrent ? La médiocrité des filières L n'est-elle pas liée tout simplement à cette baisse dramatique du niveau qui s'accompagne, très paradoxalement, d'une hausse des effectifs en lycée général ?
Je n'ai pas critiqué la L ou les matières littéraires mais la pertinence de certains exemples cités dans ce fil. Votre réponse est hors de propos, en ce qui me concerne en tout cas.
Oh, que votre seigneurie me pardonne....
C'est bon je serai magnanime
Monseigneur est trop bon... :acb:
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- Graisse-BoulonsNiveau 10
plotch a écrit:Laverdure a écrit:C'est aussi ce qu'il me semble. L'objet du débat était la qualité des études de médecine suivies par un des exemples cités par Lene75 : Anne Fagot-Largeault. Pour Plotch, elle n'avait peut-être pas tout fait et n'avait qu'un CES. Pour ma part, au vu notamment de cette indication (MD) et du fait qu'elle avait exercé la médecine, je pensais qu'elle avait suivit un cursus complet.Marcel Khrouchtchev a écrit:Laverdure a écrit:d'après le site de l'UNESCO, elle a un PhD en 1971 et est MD en 1978.
Je ne comprends pas bien le débat: "MD" ne signifie-t-il pas qu'elle a l'équivalent de ce que nous appelons en France "doctorat" de médecine?
Donc toujours dans un soucis de rigueur je me suis documenté sur ce CES de psychiatrie sur le lien suivant http://www.regards-sociologiques.com/wp-content/uploads/2008/08/rs-29-la-normalisation-de-la-psychiatrie-francaise.pdf , et il en ressort que d'après une décision du 30/12/1968 :
L’inscription au CES de
psychiatrie est ouverte aux étudiants ayant
validé leur 6° année de médecine ou au
titulaire d’un doctorat français ou étranger
Anne Fagot-Largeault ayant déjà obtenu son doctorat de philosophie a pu donc rentrer en CES de psychiatrie sans faire les 6 premières années de médecine.
...et sachant que les psychiatres, contrairement aux psychologues prescrivent des médoc, ça fait peur ! Enfin, prenons ça avec philosophie...
- PabloPEExpert
Qu'est-ce qui fait peur? Qu'un littéraire possède un ordonnancier? Peut être que justement ça permettra au pharmacien de pouvoir lire la prescription et ne pas donner de médicament au pif.
Moi aussi je peux être de mauvaise foi
Moi aussi je peux être de mauvaise foi
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"Et moi qui
me croyais tranquille pour un bout de temps avec mon chat brun."
- Graisse-BoulonsNiveau 10
PabloPE a écrit:Qu'est-ce qui fait peur? Qu'un littéraire possède un ordonnancier? Peut être que justement ça permettra au pharmacien de pouvoir lire la prescription et ne pas donner de médicament au pif.
Moi aussi je peux être de mauvaise foi
Une chose est sure : l'humour n'a jamais tué personne !
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
plotch a écrit:Laverdure a écrit:C'est aussi ce qu'il me semble. L'objet du débat était la qualité des études de médecine suivies par un des exemples cités par Lene75 : Anne Fagot-Largeault. Pour Plotch, elle n'avait peut-être pas tout fait et n'avait qu'un CES. Pour ma part, au vu notamment de cette indication (MD) et du fait qu'elle avait exercé la médecine, je pensais qu'elle avait suivit un cursus complet.Marcel Khrouchtchev a écrit:Laverdure a écrit:d'après le site de l'UNESCO, elle a un PhD en 1971 et est MD en 1978.
Je ne comprends pas bien le débat: "MD" ne signifie-t-il pas qu'elle a l'équivalent de ce que nous appelons en France "doctorat" de médecine?
Donc toujours dans un soucis de rigueur je me suis documenté sur ce CES de psychiatrie sur le lien suivant http://www.regards-sociologiques.com/wp-content/uploads/2008/08/rs-29-la-normalisation-de-la-psychiatrie-francaise.pdf , et il en ressort que d'après une décision du 30/12/1968 :
L’inscription au CES de
psychiatrie est ouverte aux étudiants ayant
validé leur 6° année de médecine ou au
titulaire d’un doctorat français ou étranger
Anne Fagot-Largeault ayant déjà obtenu son doctorat de philosophie a pu donc rentrer en CES de psychiatrie sans faire les 6 premières années de médecine.
Elle ne dit pas avoir de CES, mais un MD.
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