- ArverneGrand sage
Quelle claque, mais quelle claque !!!! Une année de travail, des sacrifices sur tout et des notes minables telles que je n'en ai jamais eu depuis que je passe l'agreg. Je suis sonnée, je sais que ce n'est qu'un concours mais là, c'est rude. Je fais partie de ceux qui préparent l'agreg chaque année, la passent pas tout le temps, le tout pour le plaisir d'apprendre, de réfléchir, de sortir de la routine du collège et je dois dire que j'y prends un certain plaisir mais ces notes, c'est vraiment un coup de poignard dans le coeur.
- kiwiGuide spirituel
Je suis désolée pour toi Arverne, mais sans doute que tu devrais mettre les choses au clair avec l'agrégation si ça te rend si malheureuse. Soit tu stoppes tout définitivement pour enfin te consacrer à autre chose, soit tu te dis que l'obtention du concours n'est pas pour toi une fin en soi, et que apprendre des choses, te mettre à la page suffit à tes attentes. On peut en effet voir les cours, les lectures de concours comme quelque chose d'enrichissant pour sa culture personnelle et pour sa pratique. Je pense même que ça le serait d'autant plus qu'il n'y a pas la pression de l'obtention du concours à tout prix.
- LE GLEUHERNiveau 1
Echec, ça fait quatre fois, je me demande si je dois prendre une pause...
- ArverneGrand sage
Merci Kiwi, tu touches le coeur du problème. Il faudrait que j'arrête avec l'agreg mais je n'y arrive pas. L'agreg ne me rend pas malheureuse, mais d'avoir de si mauvaises notes après avoir travaillé, si, surtout après avoir eu des notes honorables en préparation. C'est difficile de bosser un an sans avoir d'enjeu sur le résultat. Il n'en demeure pas moins que j'aime préparer l'agreg car j'apprends plein de choses, cela permet de me maintenir à niveau en enseignant en collège. En y repensant depuis hier, je crois que malgré mon impression, je n'ai pas travaillé tant que ça : j'ai préparé 3 nouveaux niveaux en collège tout en me préservant des plages de repos et récupération pour ne pas arriver sur les rotules en janvier. Quand je lis le temps de travail des collègues dans certains posts dédiés, j'en suis loin. Je pense aussi à un problème de méthode. Je n'arrive pas à bien écrire, je n'arrive pas à développer, j'ai du mal à rédiger, c'est laborieux, ça manque de fluidité. Il faut que je travaille là dessus mais je ne sais pas comment. J'ai rédigé et rendu des devoirs cette année (mais pas dans les conditions du concours) et ça n'a pas suffi.kiwi a écrit:Je suis désolée pour toi Arverne, mais sans doute que tu devrais mettre les choses au clair avec l'agrégation si ça te rend si malheureuse. Soit tu stoppes tout définitivement pour enfin te consacrer à autre chose, soit tu te dis que l'obtention du concours n'est pas pour toi une fin en soi, et que apprendre des choses, te mettre à la page suffit à tes attentes. On peut en effet voir les cours, les lectures de concours comme quelque chose d'enrichissant pour sa culture personnelle et pour sa pratique. Je pense même que ça le serait d'autant plus qu'il n'y a pas la pression de l'obtention du concours à tout prix.
- kiwiGuide spirituel
L'an dernier, j'ai frôlé l'admission. Si la barre avait été moins élevée, comme les années précédentes, j'aurais été admise. Mais... Ce ne fut pas le cas. Toutefois, je pense avoir assez bien cerné les attentes du jury pour les épreuves de dissertation.
Ce qui compte avant tout, c'est la problematisation, le questionnement du sujet qui doit vraiment cerner l'ensemble de ses dimensions. Le plan doit donc y répondre logiquement. Le jury n'attend pas des copies à rallonge, juste des copies bien construites, qui annoncent une idée par sous-partie, explicitée et étayée par des exemples développés avec des transitions claires.
Il attend aussi un minimum de respect des règles du raisonnement dans chaque discipline : une copie d'histoire doit être dynamique, au sens qu'elle montre des évolutions, avec des dates et ancrée avec des personnages. Elle doit présenter des nuances. Les exemples doivent être datés.
Une copie de geo doit présenter un raisonnement scalaire, des acteurs, mobiliser des explications nuancées à plusieurs échelles, et bien sûr, être étayée par des réalisations graphiques qui respectent la sémiologie et sont problématisées.
Le plus dur, c'est d'avoir cette capacité à raisonner, à voir où nous emmène un sujet. La rédaction, ça devient automatique à force d'entraînements.
L'an dernier, j'avais vraiment mis l'agreg en priorité. Au collège : 18h, aucun cours refait, pas de projet, rien. Juste mon travail au minimum.
Cette année, j'avais que deux niveaux et pas de PP. Bon, j'ai dû hélas abandonner, mais c'est autre chose... Si on veut l'agrégation à tout prix, on s'en donne les moyens, c'est à dire qu'on fait tout pour se dégager du temps. Et on s'organise, sans s'éparpiller.
L'oral, je n'en parle pas, c'est trop particulier. Mais c'est sûr que l'an dernier, j'avais vraiment bossé comme une damnée c'est à dire au maximum que me l'a permis ma santé.
Quoi qu'il en soit, l'agrégation interne n'est pas un concours qui mérite qu'on se mette sa santé physique et mentale en l'air.
Ce qui compte avant tout, c'est la problematisation, le questionnement du sujet qui doit vraiment cerner l'ensemble de ses dimensions. Le plan doit donc y répondre logiquement. Le jury n'attend pas des copies à rallonge, juste des copies bien construites, qui annoncent une idée par sous-partie, explicitée et étayée par des exemples développés avec des transitions claires.
Il attend aussi un minimum de respect des règles du raisonnement dans chaque discipline : une copie d'histoire doit être dynamique, au sens qu'elle montre des évolutions, avec des dates et ancrée avec des personnages. Elle doit présenter des nuances. Les exemples doivent être datés.
Une copie de geo doit présenter un raisonnement scalaire, des acteurs, mobiliser des explications nuancées à plusieurs échelles, et bien sûr, être étayée par des réalisations graphiques qui respectent la sémiologie et sont problématisées.
Le plus dur, c'est d'avoir cette capacité à raisonner, à voir où nous emmène un sujet. La rédaction, ça devient automatique à force d'entraînements.
L'an dernier, j'avais vraiment mis l'agreg en priorité. Au collège : 18h, aucun cours refait, pas de projet, rien. Juste mon travail au minimum.
Cette année, j'avais que deux niveaux et pas de PP. Bon, j'ai dû hélas abandonner, mais c'est autre chose... Si on veut l'agrégation à tout prix, on s'en donne les moyens, c'est à dire qu'on fait tout pour se dégager du temps. Et on s'organise, sans s'éparpiller.
L'oral, je n'en parle pas, c'est trop particulier. Mais c'est sûr que l'an dernier, j'avais vraiment bossé comme une damnée c'est à dire au maximum que me l'a permis ma santé.
Quoi qu'il en soit, l'agrégation interne n'est pas un concours qui mérite qu'on se mette sa santé physique et mentale en l'air.
- DuguesclinNiveau 5
Sachez chers collègues qu'avec le PCCR le statut de bi-admissible n'existe plus même si ceux qui le sont déjà le restent. Du coup quand on passe l'agreg désormais faut vraiment être admis car la bi-admissibilité ne sert plus à rien...
- shantia38Niveau 5
kiwi a écrit:L'an dernier, j'ai frôlé l'admission. Si la barre avait été moins élevée, comme les années précédentes, j'aurais été admise. Mais... Ce ne fut pas le cas. Toutefois, je pense avoir assez bien cerné les attentes du jury pour les épreuves de dissertation.
Ce qui compte avant tout, c'est la problematisation, le questionnement du sujet qui doit vraiment cerner l'ensemble de ses dimensions. Le plan doit donc y répondre logiquement. Le jury n'attend pas des copies à rallonge, juste des copies bien construites, qui annoncent une idée par sous-partie, explicitée et étayée par des exemples développés avec des transitions claires.
Il attend aussi un minimum de respect des règles du raisonnement dans chaque discipline : une copie d'histoire doit être dynamique, au sens qu'elle montre des évolutions, avec des dates et ancrée avec des personnages. Elle doit présenter des nuances. Les exemples doivent être datés.
Une copie de geo doit présenter un raisonnement scalaire, des acteurs, mobiliser des explications nuancées à plusieurs échelles, et bien sûr, être étayée par des réalisations graphiques qui respectent la sémiologie et sont problématisées.
Le plus dur, c'est d'avoir cette capacité à raisonner, à voir où nous emmène un sujet. La rédaction, ça devient automatique à force d'entraînements.
L'an dernier, j'avais vraiment mis l'agreg en priorité. Au collège : 18h, aucun cours refait, pas de projet, rien. Juste mon travail au minimum.
Cette année, j'avais que deux niveaux et pas de PP. Bon, j'ai dû hélas abandonner, mais c'est autre chose... Si on veut l'agrégation à tout prix, on s'en donne les moyens, c'est à dire qu'on fait tout pour se dégager du temps. Et on s'organise, sans s'éparpiller.
L'oral, je n'en parle pas, c'est trop particulier. Mais c'est sûr que l'an dernier, j'avais vraiment bossé comme une damnée c'est à dire au maximum que me l'a permis ma santé.
Quoi qu'il en soit, l'agrégation interne n'est pas un concours qui mérite qu'on se mette sa santé physique et mentale en l'air.
Et même quand on met l'agreg en priorité, il existe des circonstances de la (vraie) vie qui font que voilà vous ne pouvez pas présenter ce concours dans de bonnes conditions. Cette année a été plus que chaotique pour moi : 2 établissements, 4 niveaux à gérer et 2 passages sur le billard.
Je tenais la route jusqu'à la 3ème épreuve : FATALE. Je ne pensais pas avoir été déstabilisée, mais voilà j'ai "bugué" et manqué de lucidité et je leur ai donné le bâton pour me taper. J'ai oublié de présenter une évaluation dans la partie didactique. 6.5.
ça laisse un goût amer, mais voilà c'est un concours; il faut rester lucide jusqu'au bout...
- Karine B.Guide spirituel
Arverne a écrit:Merci Kiwi, tu touches le coeur du problème. Il faudrait que j'arrête avec l'agreg mais je n'y arrive pas. L'agreg ne me rend pas malheureuse, mais d'avoir de si mauvaises notes après avoir travaillé, si, surtout après avoir eu des notes honorables en préparation. C'est difficile de bosser un an sans avoir d'enjeu sur le résultat. Il n'en demeure pas moins que j'aime préparer l'agreg car j'apprends plein de choses, cela permet de me maintenir à niveau en enseignant en collège. En y repensant depuis hier, je crois que malgré mon impression, je n'ai pas travaillé tant que ça : j'ai préparé 3 nouveaux niveaux en collège tout en me préservant des plages de repos et récupération pour ne pas arriver sur les rotules en janvier. Quand je lis le temps de travail des collègues dans certains posts dédiés, j'en suis loin. Je pense aussi à un problème de méthode. Je n'arrive pas à bien écrire, je n'arrive pas à développer, j'ai du mal à rédiger, c'est laborieux, ça manque de fluidité. Il faut que je travaille là dessus mais je ne sais pas comment. J'ai rédigé et rendu des devoirs cette année (mais pas dans les conditions du concours) et ça n'a pas suffi.kiwi a écrit:Je suis désolée pour toi Arverne, mais sans doute que tu devrais mettre les choses au clair avec l'agrégation si ça te rend si malheureuse. Soit tu stoppes tout définitivement pour enfin te consacrer à autre chose, soit tu te dis que l'obtention du concours n'est pas pour toi une fin en soi, et que apprendre des choses, te mettre à la page suffit à tes attentes. On peut en effet voir les cours, les lectures de concours comme quelque chose d'enrichissant pour sa culture personnelle et pour sa pratique. Je pense même que ça le serait d'autant plus qu'il n'y a pas la pression de l'obtention du concours à tout prix.
et un master recherche ?
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Le SNES, what else ?
Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- kiwiGuide spirituel
Shantia : je te comprends bien. Suite à mon échec de justesse, j'avais décidé de me mettre encore plus dans les conditions pour l'obtenir et me dégager du temps. Mais ma grossesse venue plus tôt que prévu a mis un terme à mes espérances pour cette année. Impossible de tout concilier. Tant pis.
- ArverneGrand sage
Je suis déjà titulaire d'un DEAKarine B. a écrit:Arverne a écrit:Merci Kiwi, tu touches le coeur du problème. Il faudrait que j'arrête avec l'agreg mais je n'y arrive pas. L'agreg ne me rend pas malheureuse, mais d'avoir de si mauvaises notes après avoir travaillé, si, surtout après avoir eu des notes honorables en préparation. C'est difficile de bosser un an sans avoir d'enjeu sur le résultat. Il n'en demeure pas moins que j'aime préparer l'agreg car j'apprends plein de choses, cela permet de me maintenir à niveau en enseignant en collège. En y repensant depuis hier, je crois que malgré mon impression, je n'ai pas travaillé tant que ça : j'ai préparé 3 nouveaux niveaux en collège tout en me préservant des plages de repos et récupération pour ne pas arriver sur les rotules en janvier. Quand je lis le temps de travail des collègues dans certains posts dédiés, j'en suis loin. Je pense aussi à un problème de méthode. Je n'arrive pas à bien écrire, je n'arrive pas à développer, j'ai du mal à rédiger, c'est laborieux, ça manque de fluidité. Il faut que je travaille là dessus mais je ne sais pas comment. J'ai rédigé et rendu des devoirs cette année (mais pas dans les conditions du concours) et ça n'a pas suffi.kiwi a écrit:Je suis désolée pour toi Arverne, mais sans doute que tu devrais mettre les choses au clair avec l'agrégation si ça te rend si malheureuse. Soit tu stoppes tout définitivement pour enfin te consacrer à autre chose, soit tu te dis que l'obtention du concours n'est pas pour toi une fin en soi, et que apprendre des choses, te mettre à la page suffit à tes attentes. On peut en effet voir les cours, les lectures de concours comme quelque chose d'enrichissant pour sa culture personnelle et pour sa pratique. Je pense même que ça le serait d'autant plus qu'il n'y a pas la pression de l'obtention du concours à tout prix.
et un master recherche ?
- DuguesclinNiveau 5
Perso, je préfère avoir un enfant que l'agreg. Simple curiosité: tu comptes tenter de nouveau l'agreg ?kiwi a écrit:Shantia : je te comprends bien. Suite à mon échec de justesse, j'avais décidé de me mettre encore plus dans les conditions pour l'obtenir et me dégager du temps. Mais ma grossesse venue plus tôt que prévu a mis un terme à mes espérances pour cette année. Impossible de tout concilier. Tant pis.
- kiwiGuide spirituel
Duguesclin a écrit:Perso, je préfère avoir un enfant que l'agreg. Simple curiosité: tu comptes tenter de nouveau l'agreg ?kiwi a écrit:Shantia : je te comprends bien. Suite à mon échec de justesse, j'avais décidé de me mettre encore plus dans les conditions pour l'obtenir et me dégager du temps. Mais ma grossesse venue plus tôt que prévu a mis un terme à mes espérances pour cette année. Impossible de tout concilier. Tant pis.
Il est certain qu'il n'y a pas débat.
Oui, je vais sûrement retenter. Je demande mon congé de formation chaque année. Là étant arrêtée définitivement, je vais préparer mes cours pour l'an prochain. S'il me reste du temps et de l'énergie pendant mon congé, je bosserais peut-être l'agrégation pour me présenter sans pression l'année prochaine. J'ai beaucoup travaillé avant d'abandonner, et j'ai dejà pas mal de choses sur les anciennes questions. Alors si en plus les nouvelles questions m'intéressent... Pourquoi pas réessayer. J'ai la méthode. Mais vraiment :zéro pression. Ma priorité sera mon bébé.
- eleonore69Érudit
Bonsoir,
je pense que je vais abandonner. Je trouve que cette prépa est usante... Avec un plein temps, une famille c'est tout simplement épuisant.. J'ai remarqué , en plus, que j'apprenais moins bien qu'avant (lorsque j'étais étudiante): difficultés à mémoriser de grandes quantités d'infos...
je pense que je vais abandonner. Je trouve que cette prépa est usante... Avec un plein temps, une famille c'est tout simplement épuisant.. J'ai remarqué , en plus, que j'apprenais moins bien qu'avant (lorsque j'étais étudiante): difficultés à mémoriser de grandes quantités d'infos...
- GuiguesNiveau 8
Une chose m'étonne : il y a 230 admissibles apparemment. La règle ce n'est pas nombre de poste *2 ?
- ArverneGrand sage
C'est sûr que l'âge ne favorise pas la mémorisation. C'est effectivement usant de préparer l'agreg, physiquement et moralement et quand on n'y trouve plus du plaisir, il ne faut pas insister.eleonore69 a écrit:Bonsoir,
je pense que je vais abandonner. Je trouve que cette prépa est usante... Avec un plein temps, une famille c'est tout simplement épuisant.. J'ai remarqué , en plus, que j'apprenais moins bien qu'avant (lorsque j'étais étudiante): difficultés à mémoriser de grandes quantités d'infos...
Désolée de parler encore de moi mais je ne comprends toujours pas comment j'ai pu être admissible il y a quelques années, puis très proche de l'admissibilité l'année d'après (il me manquait 1.25 point sur 60) alors que cette année, mes notes sont si basses dans les 3 épreuves (5 de moyenne). Je ne comprends pas. Ca me dépasse. Comment ai-je pu régresser à ce point tout en travaillant toute l'année avec régularité, en rendant des devoirs ? Une épreuve ratée, je peux comprendre mais les trois, dans ces conditions ...
- Karine B.Guide spirituel
Arverne a écrit:C'est sûr que l'âge ne favorise pas la mémorisation. C'est effectivement usant de préparer l'agreg, physiquement et moralement et quand on n'y trouve plus du plaisir, il ne faut pas insister.eleonore69 a écrit:Bonsoir,
je pense que je vais abandonner. Je trouve que cette prépa est usante... Avec un plein temps, une famille c'est tout simplement épuisant.. J'ai remarqué , en plus, que j'apprenais moins bien qu'avant (lorsque j'étais étudiante): difficultés à mémoriser de grandes quantités d'infos...
Désolée de parler encore de moi mais je ne comprends toujours pas comment j'ai pu être admissible il y a quelques années, puis très proche de l'admissibilité l'année d'après (il me manque 1.25 point sur 60) alors que cette année, mes notes sont si basses dans les 3 épreuves (5 de moyenne). Je ne comprends pas. Ca me dépasse. Comment ai-je pu régresser à ce point tout en travaillant toute l'année avec régularité, en rendant des devoirs ?
Il faudra demander tes copies avec les commentaires et voir si des formateurs peuvent te conseiller sur ce qui n'a pas été (les formateurs ont-ils été au jury de l'agreg interne ? Parce que ça peut faire aussi la différence dans une formation)
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- HélipsProphète
Arverne a écrit:C'est sûr que l'âge ne favorise pas la mémorisation. C'est effectivement usant de préparer l'agreg, physiquement et moralement et quand on n'y trouve plus du plaisir, il ne faut pas insister.eleonore69 a écrit:Bonsoir,
je pense que je vais abandonner. Je trouve que cette prépa est usante... Avec un plein temps, une famille c'est tout simplement épuisant.. J'ai remarqué , en plus, que j'apprenais moins bien qu'avant (lorsque j'étais étudiante): difficultés à mémoriser de grandes quantités d'infos...
Désolée de parler encore de moi mais je ne comprends toujours pas comment j'ai pu être admissible il y a quelques années, puis très proche de l'admissibilité l'année d'après (il me manquait 1.25 point sur 60) alors que cette année, mes notes sont si basses dans les 3 épreuves (5 de moyenne). Je ne comprends pas. Ca me dépasse. Comment ai-je pu régresser à ce point tout en travaillant toute l'année avec régularité, en rendant des devoirs ? Une épreuve ratée, je peux comprendre mais les trois, dans ces conditions ...
Juste une remarque : dans tous les concours dont je connais la cuisine, la note n'est que relative aux autres notes. En gros on met des notes, on collecte toutes les notes, et on change d'échelle en mettant la plus mauvaise à 1 (ou 0 ou 0,5) et la meilleure à 20 (ou 19, ou 19,5) et on étale les autres en gardant soigneusement le classement. Il arrive aussi qu'on impose une moyenne donnée pour équilibrer l'influence de chaque épreuve, qu'il n'y en ait pas une qui prenne le pas sur les autres.
Si l'agrégation interne fonctionne comme ça, tu n'as pas forcément démérité par rapport à tes performance des années, mais tu t'es trouvée en face de plus de candidats meilleurs que les autres années. Et le fait que ça se produise dans les trois épreuves me fait pencher pour cette explication.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- eleonore69Érudit
Arverne a écrit:C'est sûr que l'âge ne favorise pas la mémorisation. C'est effectivement usant de préparer l'agreg, physiquement et moralement et quand on n'y trouve plus du plaisir, il ne faut pas insister.eleonore69 a écrit:Bonsoir,
je pense que je vais abandonner. Je trouve que cette prépa est usante... Avec un plein temps, une famille c'est tout simplement épuisant.. J'ai remarqué , en plus, que j'apprenais moins bien qu'avant (lorsque j'étais étudiante): difficultés à mémoriser de grandes quantités d'infos...
Désolée de parler encore de moi mais je ne comprends toujours pas comment j'ai pu être admissible il y a quelques années, puis très proche de l'admissibilité l'année d'après (il me manquait 1.25 point sur 60) alors que cette année, mes notes sont si basses dans les 3 épreuves (5 de moyenne). Je ne comprends pas. Ca me dépasse. Comment ai-je pu régresser à ce point tout en travaillant toute l'année avec régularité, en rendant des devoirs ? Une épreuve ratée, je peux comprendre mais les trois, dans ces conditions ...
Bonjour Arverne, je suis dans la même situation : 5 de moyenne.. Pourtant , j'ai travaillé et j'ai eu l'impression (pour l'épreuve 3 surtout ) d'avoir fait mieux... Je ne parle pas de la géo, où mon impression d'avoir raté était nette dès le départ...
- ArverneGrand sage
Quand on arrive à cette moyenne sur 3 épreuves, ratées il faut bien le dire, c'est dur de relativiser et de se dire qu'on va s'y remettre après quelques jours de repos.
- victoire04Niveau 2
Je suis dans le même cas que vous, 6.5 de moyenne sur les 3 épreuves ! ...Avec plus d'auteurs cités, je ne comprends pas. J'ai du tout mal faire. Pas d'autres explications.
- ArverneGrand sage
Moi aussi, cette année, j'avais bien travaillé l'historiographie en me disant que ça allait vraiment valoriser mes copies. Raté.victoire04 a écrit:Je suis dans le même cas que vous, 6.5 de moyenne sur les 3 épreuves ! ...Avec plus d'auteurs cités, je ne comprends pas. J'ai du tout mal faire. Pas d'autres explications.
- victoire04Niveau 2
Et pire, je les fais pour mes 3 épreuves (ce que je ne faisais pas auparavant où j'avais eu plus)!
- LE GLEUHERNiveau 1
On se dit que le travail fourni n'est pas reconnu et c'est frustrant.
- eleonore69Érudit
Ce que je trouve assez bizarre , c'est de me retrouver avec la même note en géographie (où je ne savais presque rien: pas de citation, pas de schéma) et en histoire (citation, historiographie)...
- HélipsProphète
Je répète ce que j'ai écrit plus haut : les notes d'un concours sont relatives au niveau global des candidats qui ont composé cette année, et non absolues.eleonore69 a écrit:Ce que je trouve assez bizarre , c'est de me retrouver avec la même note en géographie (où je ne savais presque rien: pas de citation, pas de schéma) et en histoire (citation, historiographie)...
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