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Professeur : un métier solitaire ou collaboratif ?
- JPhMMDemi-dieu
Voilà.
D'un nouveau genre, mais d'un genre d'un âge pour ainsi dire biblique.
D'un nouveau genre, mais d'un genre d'un âge pour ainsi dire biblique.
- BalthamosDoyen
JPhMM a écrit:Solitaire.
Sauf de 5 à 7, bien sûr.
+1
- BalthamosDoyen
Pourquoi pas un troisième choix? Entre les deux?
Collaboratif, de plus en plus.
Cela est sympa et l'interdisciplinarité est un bon médium pour transmettre des savoirs et des connaissances. Puis c'est un aspect intéressant à développer.
Solitaire de base et d'après les textes. Nous n'avons pas d'obligation et c'est une chance de ne compte que sur soit même, aussi bien pour les élèves que pour nos conditions de travail.
Je ne participe pas au sondage car ma réponse n'est pas dans le questionnaire.
Collaboratif, de plus en plus.
Cela est sympa et l'interdisciplinarité est un bon médium pour transmettre des savoirs et des connaissances. Puis c'est un aspect intéressant à développer.
Solitaire de base et d'après les textes. Nous n'avons pas d'obligation et c'est une chance de ne compte que sur soit même, aussi bien pour les élèves que pour nos conditions de travail.
Je ne participe pas au sondage car ma réponse n'est pas dans le questionnaire.
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- Spoiler:
- JPhMMDemi-dieu
D'ailleurs Rabelais et moi avons décidé de commencer un travail transdisciplinaire français-mathématique : "Le « 5 à 7 » et autres synecdoques numériques".Balthamos a écrit:Pourquoi pas un troisième choix? Entre les deux?
Collaboratif, de plus en plus.
Cela est sympa et l'interdisciplinarité est un bon médium pour transmettre des savoirs et des connaissances. Puis c'est un aspect intéressant à développer.
Solitaire de base et d'après les textes. Nous n'avons pas d'obligation et c'est une chance de ne compte que sur soit même, aussi bien pour les élèves que pour nos conditions de travail.
Je ne participe pas au sondage car ma réponse n'est pas dans le questionnaire.
Très enthousiasmant.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- BalthamosDoyen
Le vendredi soir après les cours est souvent collaboratif chez nous.
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- Spoiler:
- MalagaModérateur
Pat B a écrit:J'hésite...
On collabore en équipe éducative pour gérer les classes, ou lors du conseil de classe, pour réfléchir aux décisions d'orientation. On collabore entre collègues d'une même matière pour se donner quelques docs utiles ou pour mieux faire la transition d'un niveau au suivant. On collabore entre matières voisines pour coordonner nos progressions ("en physique, t'as besoin que je fasse les puissances de 10 à quelle période ?"). Donc, oui, on collabore. Un peu, en fonction des besoins.
Mais effectivement, le coeur du métier, c'est seul face aux élèves. Ou seul face à nos copies et nos préparations.
Donc ça reste plus solitaire que collaboratif...
De la même façon que pour construire une maison, chaque artisan se coordonne avec ceux des autres corps de métier, mais est ensuite seul à faire son travail (et il serait inimaginable qu'un autre corps de métier vienne dire comment il doit le faire ou l'obilger à travailler à deux...)
Je souscris totalement à tes propos.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- leskhalNiveau 9
La question est naïve, sa réponse nécessairement tronquée.
Solitaire par goût, on te fait d'ailleurs bien sentir ta responsabilité en cas de problème.
La collaboration est essentiellement subie, qu'il s'agisse d'assister à des réunions ou conseils de classe, de faire une synthèse ou de préparer un sujet commun, c'est toujours frustrant et on est confronté à la bêtise humaine avec une violence récurrente.
J'aime bien faire ma cuisine dans mon coin, j'aime bien partager mes recettes, certains collègues sont intéressants, mais à la fin je préfère rester aux fourneaux pour ce qui me concerne.
Solitaire par goût, on te fait d'ailleurs bien sentir ta responsabilité en cas de problème.
La collaboration est essentiellement subie, qu'il s'agisse d'assister à des réunions ou conseils de classe, de faire une synthèse ou de préparer un sujet commun, c'est toujours frustrant et on est confronté à la bêtise humaine avec une violence récurrente.
J'aime bien faire ma cuisine dans mon coin, j'aime bien partager mes recettes, certains collègues sont intéressants, mais à la fin je préfère rester aux fourneaux pour ce qui me concerne.
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- RabelaisVénérable
Oh, joli!!!JPhMM a écrit:D'ailleurs Rabelais et moi avons décidé de commencer un travail transdisciplinaire français-mathématique : "Le « 5 à 7 » et autres synecdoques numériques".Balthamos a écrit:Pourquoi pas un troisième choix? Entre les deux?
Collaboratif, de plus en plus.
Cela est sympa et l'interdisciplinarité est un bon médium pour transmettre des savoirs et des connaissances. Puis c'est un aspect intéressant à développer.
Solitaire de base et d'après les textes. Nous n'avons pas d'obligation et c'est une chance de ne compte que sur soit même, aussi bien pour les élèves que pour nos conditions de travail.
Je ne participe pas au sondage car ma réponse n'est pas dans le questionnaire.
Très enthousiasmant.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- Pierre-HenriHabitué du forum
Les deux. Solitaire quand je prépare mes cours et que les donne, quand je cherche les moyens de faire progresser mes élèves et d'adapter à eux mon enseignement ; collaboratif pour toutes les questions de discipline, de sécurité, pour colmater immédiatement les brèches dans lesquelles s'engouffreraient les élèves.
Solitaires mais solidaires, en somme.
Solitaires mais solidaires, en somme.
- SergeMédiateur
Solitaire, ce qui n'empêche nullement de faire régulièrement des passerelles et parfois des projets communs, mais uniquement avec qui on le décide, sur le sujet qu'on décide et sur la durée qu'on décide, sans "cahier des charges" EPI et autres joyeusetés administratives
- RatatouilleNiveau 2
Définitivement solitaire... une année j'ai travaillé en équipe avec une collègue et c'était un tout autre métier, quelque chose de très stimulant professionnellement. Le côté solitaire du prof est ce que je n'aime pas et c'est je pense quelque chose qui pourrait me faire changer de voie. Après j'entends bien que pour d'autres c'est ce côté solitaire qui peut être plaisant.
- DaphnéDemi-dieu
JPhMM a écrit:Solitaire.
Sauf de 5 à 7, bien sûr.
:lol:
- CisilHabitué du forum
Solitaire.
On est seul face aux élèves, seul pour préparer nos cours, seul devant nos paquets de copies. Mais c'est sans doute dû à ma matière, en vingt ans de collège, je n'ai que très rarement eu des collègues de ma discipline. Et ça me convient ! Il m'arrive de bosser avec mes collègues d'anglais, pour confronter nos pratiques, comparer nos progressions (combien de fois ai-je entendu les élèves me dire : "on fait la même chose en anglais !"...), mais j'aime l'idée d'être seul maître à bord.
On est seul face aux élèves, seul pour préparer nos cours, seul devant nos paquets de copies. Mais c'est sans doute dû à ma matière, en vingt ans de collège, je n'ai que très rarement eu des collègues de ma discipline. Et ça me convient ! Il m'arrive de bosser avec mes collègues d'anglais, pour confronter nos pratiques, comparer nos progressions (combien de fois ai-je entendu les élèves me dire : "on fait la même chose en anglais !"...), mais j'aime l'idée d'être seul maître à bord.
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"Si haut que l’on soit placé, on n’est jamais assis que sur son cul." Montaigne.
"When I went to school, they asked me what I wanted to be when I grew up. I wrote down ‘happy’. They told me I didn’t understand the assignment, and I told them they didn’t understand life.” John Lennon
- LefterisEsprit sacré
Solitaire : parce qu'on est seul classe, qu'on crée ses cours, qu'on corrige, que c'est un métier de conception.Aussi parce que pour beaucoup d'entre nous, cela correspond à un choix de liberté de travail. Etant reconverti, un peu un pis aller je le reconnais, c'est une des raisons de mon choix : ne pas subir les décisions d'autrui, m'organiser, ne pas passer de temps en réunion, ne pas s'imposer la présence de gens à qui on n'a rien à dire ... Contrepartie d'une énorme claque salariale.
Je ne conçois le travail d'"équipe" que pour les questions pratiques, discipline et autres aspects liés aux conditions de travail . Sinon c'est plus une torture qu'autre chose, on le voit avec les jacasseries imposées de cette :censure: de réforme. Si c'est pour aller boire un coup , on peut toujours voir les collègues, et pour parler autre chose que boulot.
Je ne conçois le travail d'"équipe" que pour les questions pratiques, discipline et autres aspects liés aux conditions de travail . Sinon c'est plus une torture qu'autre chose, on le voit avec les jacasseries imposées de cette :censure: de réforme. Si c'est pour aller boire un coup , on peut toujours voir les collègues, et pour parler autre chose que boulot.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- scot69Modérateur
Je suis vraiment très mitigé. J'ai voté solitaire car nous sommes seuls devant nos classes effectivement, et aussi parce que je remarque que beaucoup de collègues ne savent pas travailler en équipe et ne supportent pas qu'une idée vienne de quelqu'un d'autre, ni de faire la moindre concession. J'ai déjà vu des réunions d'élaborations de projets communs partir dans tous les sens et finir à la limite de l'agressivité.
Cela dit, j'ai la chance d'avoir des collègues d'anglais supers avec qui on travaille efficacement, sans perdre de temps et on se fait une véritable confiance. On se refile nos documents, on se soutient vachement... c'est super agréable. Là récemment, on a organisé une grande sortie en commun avec d'autres matières et tout a été réglé très rapidement... par contre, quand je vois mes collègues de compta, elles ne savent pas faire une concertation sans s'insulter et régler de vieux contentieux...
Je dois dire que j'ai une chance incroyable, mais ça n'a pas toujours été le cas.
Après, que veux dire travailler en équipe???
Cela dit, j'ai la chance d'avoir des collègues d'anglais supers avec qui on travaille efficacement, sans perdre de temps et on se fait une véritable confiance. On se refile nos documents, on se soutient vachement... c'est super agréable. Là récemment, on a organisé une grande sortie en commun avec d'autres matières et tout a été réglé très rapidement... par contre, quand je vois mes collègues de compta, elles ne savent pas faire une concertation sans s'insulter et régler de vieux contentieux...
Je dois dire que j'ai une chance incroyable, mais ça n'a pas toujours été le cas.
Après, que veux dire travailler en équipe???
- AndmaExpert spécialisé
Je suis solo parce que j'ai envie de faire comme je le sens au moment où je le sens.
Cette culture de vouloir tout faire collaboratif demande un gros travail supplémentaire non rémunéré ce qui ne m'empêche pas de discuter de nos pratiques en sdp ou sur des listes de discussion riches en échanges.
Cette culture de vouloir tout faire collaboratif demande un gros travail supplémentaire non rémunéré ce qui ne m'empêche pas de discuter de nos pratiques en sdp ou sur des listes de discussion riches en échanges.
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Nelson Mandela : « en faisant scintiller notre lumière nous offrons la possibilité aux autres d'en faire autant »
- KrilinXV3Neoprof expérimenté
"Autoentrepreneur" avec un statut de fonctionnaire, en ce qui me concerne.
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Asinus asinum fricat
- MiewHabitué du forum
Question intéressante...
Le but de l'éducation nationale, avec la réforme du collège, est de faire bosser les professeurs en équipes dans le cadre des EPI.
Mais nous savons bel et bien que, pour l'instant, le travail se fait globalement en solitaire, et les résultats provisoires du sondage témoignent !
Le but de l'éducation nationale, avec la réforme du collège, est de faire bosser les professeurs en équipes dans le cadre des EPI.
Mais nous savons bel et bien que, pour l'instant, le travail se fait globalement en solitaire, et les résultats provisoires du sondage témoignent !
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“Le premier symptôme de l'amour vrai chez un jeune homme, c'est la timidité, chez une jeune fille, c'est la hardiesse.”
Victor Hugo, Les Misérables.
- JPhMMDemi-dieu
MerciRabelais a écrit:Oh, joli!!!JPhMM a écrit:D'ailleurs Rabelais et moi avons décidé de commencer un travail transdisciplinaire français-mathématique : "Le « 5 à 7 » et autres synecdoques numériques".Balthamos a écrit:Pourquoi pas un troisième choix? Entre les deux?
Collaboratif, de plus en plus.
Cela est sympa et l'interdisciplinarité est un bon médium pour transmettre des savoirs et des connaissances. Puis c'est un aspect intéressant à développer.
Solitaire de base et d'après les textes. Nous n'avons pas d'obligation et c'est une chance de ne compte que sur soit même, aussi bien pour les élèves que pour nos conditions de travail.
Je ne participe pas au sondage car ma réponse n'est pas dans le questionnaire.
Très enthousiasmant.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- InvitéInvité
Franchement, c'est ambiguë comme question... On peut comprendre:
- devrait être
- ou est dans les faits (dans ma pratique ou dans la majorité des pratiques).
Pour exploiter cela dans un mémoire, pas évident...
- devrait être
- ou est dans les faits (dans ma pratique ou dans la majorité des pratiques).
Pour exploiter cela dans un mémoire, pas évident...
- A TuinVénérable
*Au départ je me préparais à ne pas répondre, vu qu'il n'y avait pas la possibilité de l'entre-deux. Je trouve qu'il y a de la collaboration en ce sens qu'on communique, parfois on se passe des séances ou documents entre collègues de la même matière. C'est intéressant.
Au final après lecture des attentes donc :
J'ai répondu solitaire parce que à un moment donné on est seul dans sa classe, et personne non plus ne viendra préparer tes cours à ta place. Même quand on es convoqués pour des formations où il faut produire des cours, séquences ou autres, bien souvent j'ai pu constater que si je produisais un truc bien chiadé sur quoi j'avais passé du temps, beaucoup d'autres viennent limite les mains dans les poches en attendant que ça leur tombe tout cuit. Il y a parfois aussi de l'échange, c'est super dans ces cas là. Mais malgré tout, cette démarche a des limites.
Si on se plaçait systématiquement dans le collaboratif par contre, ce serait vraiment très bien car pour avoir pu travailler ainsi en binôme quelques fois, cela fait gagner du temps, et on est plus performant car on peut bénéficier d'idées/ démarches nouvelles, et en faire bénéficier d'autres.
Sinon, évidemment que les gens de l'ESPE vont trouver le collaboratif formidable : ils comptent bien évidemment là-dessus aussi -pour certains-, pour récupérer le travail d'autrui et se faire ensuite mousser gracieusement. Ils n'ont aucun intérêt personnel à dire le contraire.
Au final après lecture des attentes donc :
J'ai répondu solitaire parce que à un moment donné on est seul dans sa classe, et personne non plus ne viendra préparer tes cours à ta place. Même quand on es convoqués pour des formations où il faut produire des cours, séquences ou autres, bien souvent j'ai pu constater que si je produisais un truc bien chiadé sur quoi j'avais passé du temps, beaucoup d'autres viennent limite les mains dans les poches en attendant que ça leur tombe tout cuit. Il y a parfois aussi de l'échange, c'est super dans ces cas là. Mais malgré tout, cette démarche a des limites.
Si on se plaçait systématiquement dans le collaboratif par contre, ce serait vraiment très bien car pour avoir pu travailler ainsi en binôme quelques fois, cela fait gagner du temps, et on est plus performant car on peut bénéficier d'idées/ démarches nouvelles, et en faire bénéficier d'autres.
Sinon, évidemment que les gens de l'ESPE vont trouver le collaboratif formidable : ils comptent bien évidemment là-dessus aussi -pour certains-, pour récupérer le travail d'autrui et se faire ensuite mousser gracieusement. Ils n'ont aucun intérêt personnel à dire le contraire.
- MalavitaÉrudit
Comme les réponses précédentes, il m'est impossible de trancher (et donc de répondre aux sondages). Solidaire car effectivement, devant les élèves, lors de la préparation et des correction, nous sommes seuls.
Collaboratif aussi, mais bon, je ne parle pas des réunions et autres trucs obligatoires imposés et chronophages, mais des échanges d'idées, de séquences, de copies, sans compter la gestion des élèves commune... Surtout, en LP (enfin, pour ceux qui respectent les textes), nous avons des EGLS (enseignement général lié à la spécialité) et des PPCP (Projet pluridisciplinaire à caractère professionnel), bref, cela ressemble à des EPI (enfin d’après ce que j'en comprends) mais en plus libre. On intervient donc sur la même classe aux mêmes horaires et en binôme. C'est plutôt enrichissant et cela permet de découvrir d'autres pratiques (enfin, à condition de travailler avec des collègues qui tiennent la route...), même si cela demande un peu de coordination et une bonne répartition des tâches et des objectifs. Au final, cela roule pas mal.
Bref, la réponse au sondage va dépendre aussi beaucoup de ses propres pratiques personnelles et de la culture de son établissement.
Petit bémol du collaboratif : des professeurs qui ont l'habitude de travailler ensemble, de communiquer... peuvent devenir hyper solidaires en cas de gros pépins et là, c'est le CDE et le rectorat qui trouvent que le collaboratif, finalement... Par contre, là, toi, tu de dis c'est vachement bien ! :succes:
Collaboratif aussi, mais bon, je ne parle pas des réunions et autres trucs obligatoires imposés et chronophages, mais des échanges d'idées, de séquences, de copies, sans compter la gestion des élèves commune... Surtout, en LP (enfin, pour ceux qui respectent les textes), nous avons des EGLS (enseignement général lié à la spécialité) et des PPCP (Projet pluridisciplinaire à caractère professionnel), bref, cela ressemble à des EPI (enfin d’après ce que j'en comprends) mais en plus libre. On intervient donc sur la même classe aux mêmes horaires et en binôme. C'est plutôt enrichissant et cela permet de découvrir d'autres pratiques (enfin, à condition de travailler avec des collègues qui tiennent la route...), même si cela demande un peu de coordination et une bonne répartition des tâches et des objectifs. Au final, cela roule pas mal.
Bref, la réponse au sondage va dépendre aussi beaucoup de ses propres pratiques personnelles et de la culture de son établissement.
Petit bémol du collaboratif : des professeurs qui ont l'habitude de travailler ensemble, de communiquer... peuvent devenir hyper solidaires en cas de gros pépins et là, c'est le CDE et le rectorat qui trouvent que le collaboratif, finalement... Par contre, là, toi, tu de dis c'est vachement bien ! :succes:
- Ignatius ReillyFidèle du forum
Tamerlan a écrit:Franchement, c'est ambiguë comme question... On peut comprendre:
- devrait être
- ou est dans les faits (dans ma pratique ou dans la majorité des pratiques).
Pour exploiter cela dans un mémoire, pas évident...
C'est dans ce sens que j'ai demandé une précision, puisque les réponses feront l'objet d'un travail pour l'ESPE.
J'ai répondu : solitaire. Je vois bien que des collègues bossent parfois ensemble, j'ai déjà fait des choses intéressantes avec une collègue de français autour d'une autobiographie en 3ème, mais ça partait d'une volonté de ma part.
Les EPI me hérissent le poil car je ne peux pas travailler comme ça, en groupe.
- RabelaisVénérable
JPhMM a écrit:MerciRabelais a écrit:Oh, joli!!!JPhMM a écrit:D'ailleurs Rabelais et moi avons décidé de commencer un travail transdisciplinaire français-mathématique : "Le « 5 à 7 » et autres synecdoques numériques".Balthamos a écrit:Pourquoi pas un troisième choix? Entre les deux?
Collaboratif, de plus en plus.
Cela est sympa et l'interdisciplinarité est un bon médium pour transmettre des savoirs et des connaissances. Puis c'est un aspect intéressant à développer.
Solitaire de base et d'après les textes. Nous n'avons pas d'obligation et c'est une chance de ne compte que sur soit même, aussi bien pour les élèves que pour nos conditions de travail.
Je ne participe pas au sondage car ma réponse n'est pas dans le questionnaire.
Très enthousiasmant.
Et voilà, tu publies deja nos photos sur internet
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- JPhMMDemi-dieu
Je fais du prosélytisme pour le travail collaboratif interdisciplinaire. Il parait que c'est bon pour nos carrières. Tu n'en es pas marrie, j'espère ?Rabelais a écrit:JPhMM a écrit:MerciRabelais a écrit:Oh, joli!!!JPhMM a écrit:
D'ailleurs Rabelais et moi avons décidé de commencer un travail transdisciplinaire français-mathématique : "Le « 5 à 7 » et autres synecdoques numériques".
Très enthousiasmant.
Et voilà, tu publies deja nos photos sur internet
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- jésusFidèle du forum
Bah, tout dépend si le travail en équipe est imposé ou s'il est issu d'un choix. Si on travaille en équipe à contre-coeur , c'est pire que tout.
En revanche, travailler seul et se sentir isolé en tant que contractuel dans un établissement, j'ai testé plusieurs fois.
Etre capable de dialoguer et parler de sa matière avec des collègues , c'est bien aussi. Ne pas parler philo avec ses collègues ou seulement s'adresser la parole pour les bac blancs...c'est nul. La vie intellectuelle ne s'arrête pas avec les études...et c'est toujours intéressant d'avoir des discussions théoriques sur sa matière si on est dans un processus de "concours" .
En revanche, travailler seul et se sentir isolé en tant que contractuel dans un établissement, j'ai testé plusieurs fois.
Etre capable de dialoguer et parler de sa matière avec des collègues , c'est bien aussi. Ne pas parler philo avec ses collègues ou seulement s'adresser la parole pour les bac blancs...c'est nul. La vie intellectuelle ne s'arrête pas avec les études...et c'est toujours intéressant d'avoir des discussions théoriques sur sa matière si on est dans un processus de "concours" .
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